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(omaston) I've loved and I've lost

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@Omar Beauregard Que s'est-il passé ? Qu'est-ce que j'ai loupé ? Où est partie la magie du début ? Je sais, tout a commencé à foirer dès l'instant où j'ai accepté d'être en couple avec lui, où je lui ai dit que je le voulais, lui et personne d'autre, et que j'avais plus peur de nous montrer. Tout ce qu'il attendait, Omar, je lui ai donné. Pour lui faire plaisir, pour lui montrer que je l'aime. Mais l'instant d'après, il y a eu cet éloignement. Je suis pas tout blanc dans l'histoire, évidemment que je me suis éloigné aussi mais en aucun cas mes sentiments étaient confus. J'étais juste un gamin qui se retrouvait au Summer Camp et qui voulait profiter avec ses copains. A la rentrée, j'ai essayé de me rapprocher, de le retrouver, mais il était moins là, et quand il était là, c'est comme s'il n'était pas là. Sa tête ailleurs. Ses paroles confuses et maintenant, des révélations. Un éloignement, ça je l'ai compris. Et un garçon ? Un autre que moi... Je n'ai pas voulu savoir ce qu'il s'était passé, c'était déjà assez dur pour moi d'encaisser tout ça. Mon beau chevalier... celui qui me disait qu'il n'irait jamais voir ailleurs, que je lui suffisais... j'aurais préféré qu'il me quitte avant. J'aurais préféré ne pas lui dire oui. J'aurais préféré ne pas le laisser m'embrasser il y a deux ans quand je pleurais sur le bateau aux Caraïbes. Tous ces souvenirs me sont douloureux. J'aimerais les effacer. Tout oublier. Mais comment ? Omar est dans mes pensées, Omar est dans mon corps, dans mes veines et dans l'air que je respire. Montrer aux autres que je ne vais pas bien ? Très peu pour moi. Easton est un brave garçon qui sourit tout le temps. C'est la meilleure façon pour moi de cacher mes émotions. Je relis les messages échangés avec Omar. Celui-ci doit passer à la coloc rapporter mes affaires. C'est gentil, mais j'aurais aimé que ces affaires pourrissent chez toi. Histoire d'être sûr qu'il reste une petite partie de moi près de toi. Lorsqu'on sonne à la porte, je viens ouvrir sans accourir comme j'avais l'habitude de le faire pour t'accueillir. Je prends un temps fou à oser croiser ton regard. " salut... merci pour... ça. " que je dis en tendant les bras pour récupérer le carton qui rassemblait surement tous mes vêtements, ma brosse à dent, mon shampoing spécial brillance, et d'autres choses que j'ai surement oubliées.
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I'VE LOVED AND I'VE LOST
omaston (omar & easton)
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Ce carton est bien plus lourd qu'il n'y paraît. Je me retrouve là, comme un con devant la porte à attendre que tu m'ouvres. Les bras me font mal car il y a tant dedans, tant que je te rends même s'il est quasiment vide. Je n'ai pas la tête à replonger dans les souvenirs car je ne comprends pas ce qu'il s'est passé. On était si bien ensemble, tu avais fini par accepter ce qu'on avait, par t'ouvrir jusqu'à ce que tu t'éloignes et que les doutes prennent le pas. J'en avais eu mal au point d'être à la pointe de faire une grosse connerie, la pire chose que l'on m'ait faite. Pourquoi en étais-je arrivé là ? Pourquoi même quand on s'est retrouvé et que tu me cherchais sans cesse près de toi, cela ne semblait plus suffire ? Pourquoi ai-je eu l'impression de ne plus suffire ? Il y a eu tant d'obstacles, tant de violences que je me suis faite qu'au moment où nous aurions pu être heureux, un simple petit incident m'a conforté dans l'idée que quelque chose clochait. Peut-être que je faisais la plus grosse connerie de ma vie. Peut-être que j'allais le regretter amèrement. Peut-être que je le regrette déjà. Mon visage est entièrement fermé, les yeux eux proches d'imploser tant je me retiens d'exprimer la moindre tristesse. La porte s'ouvre et l'ambiance est glaciale. Je te passe simplement le carton que tu attrapes avant que nos regards se croisent. Instinctivement, je baisse la tête, honteux et malheureux. ❝ Je... J'ai mis tout ce que je pouvais, juste les cadeaux que tu m'as fait sont toujours chez moi... Si tu les veux vraiment, tu me dis... ❞ Car je n'ai pas réussi à me séparer, d'eux. Ils ont cette part de toi en eux que je ne peux pas oublier. J'en porte même présentement le gilet que nous avions choisi ensemble il y a quelques mois de cela. Je n'avais pas totalement réalisé en le mettant que cela était déplacé. Quel pauvre idiot. C'est moi qui n'arrive pas à te regarder, la gorge se serrant, les larmes criant de vouloir couler. Pourquoi ai-je si mal ? Pourquoi n'as-tu pas cherché à te battre ? ❝ Tu veux que je m'en aille ou... Tu veux bien que je rentre... Même juste deux minutes. ❞ J'ai toujours été persuadé de ne pas être assez, même quand je l'ai été. Tu vois, Easton, tu n'es pas le seul à avoir besoin d'être rassuré.

@Easton Argall & @Omar Beauregard
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@Omar Beauregard On m'a pas appris que le risque de se mettre dans une relation, c'est le risque de tout perdre. J'ai accepté, j'ai voulu franchir le pas car tu m'as assuré que ce serait safe. Mais ça ne l'est pas. Regarde-moi maintenant, je ne suis plus qu'en lambeaux, aucune énergie, aucun trait joyeux sur le visage. Tu as volé ma joie de vivre, à tout jamais. Et le pire, c'est que j'ai l'impression que toi, tu t'en sors bien. Toi, t'as fait ton truc, t'es enfin débarrassé de moi et tu peux kiffer ta vie. Quand je te regarde, c'est vraiment l'impression que j'ai. Ventre qui se tord quand j'ouvre la porte. Je réceptionne ce qui est à moi et écoute l'interlocuteur sans oser le regarder trop longtemps dans les yeux. Je n'ai pas envie de me montrer faible face à lui, car je sais que si je le regarde plus de dix secondes, je vais m'effondrer sur le sol. " qu'est-ce que j'en ferais ? " que je réponds d'une pointe vexée. Mes cadeaux sont tes cadeaux maintenant. Je me racle la gorge, réalisant que j'ai été un peu brutal.  " je veux dire eum... tu peux les garder. " je rêve où il porte ce haut que je lui ai offert ? Et il me le montre en pleine face comme ça ? Je détourne le regard et donne à mon tour, quelque chose qu'il a laissé chez moi. " t'as oublié ça, l'autre soir. " une petite trousse avec simplement sa brosse à dents. C'est bête, je pourrais la jeter tout simplement. Mais j'ai pas réussi. Sa brosse à dents avait sa place à la salle de bain depuis des mois. Omar demande l'autorisation de rester un peu. Je m'apprête à lui répondre par la négative en trouvant une excuse mais à l'instant même, il commence à pleuvoir. Je ne peux pas le laisser repartir sous la pluie. Même si... même si ce serait comme une petite vengeance de rien du tout. Je grimace et recule pour le laisser passer. " reste le temps que la pluie s'en aille. " j'espère qu'elle s'en ira vite et pas demain. Je suis mal à l'aise là, tout à coup. Il est chez moi, je l'ai laissé entrer et je suis totalement tétanisé.
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La brutalité de la réponse me pousse à baisser les yeux, honteux. Je ne peux pas te blâmer d'être en colère. Si tu savais comme je m'en voulais, comme je me sens bête. Je ne sais pas si ce que j'ai fait est la meilleure des décisions, mais j'ai la sensation qu'elle nous sera bénéfique avec le temps. C'est ce que j'espère, c'est ce en quoi je crois. ❝ Okay, merci... ❞ Tu sembles encore à vif et qui peux te blâmer ? Personne, même pas moi. Je suis le seul responsable de ton état, ayant brisé un rêve que nous vivions, ou peut-être le début d'un cauchemar. Tu me tends une trousse et je reste bloqué dessus. Comment cacher ces larmes qui montent si vite ? Putain, j'ai envie de tout envoyer valser, te pousser contre le mur et t'embrasser. Pourquoi est-ce que j'ai rompu déjà ? Pourquoi suis-je aussi con ? ❝ Merci ❞ ravale-je, la gorge sèche, le visage tombant pour éviter que tu ne vois ce qui s'y cache. C'est idiot car je ne peux me dérober à mes émotions, et je ne peux porter de masque pour les dissimuler. Face à toi, je suis exposé et il n'y a nul part où me cacher. La pluie tombe au moment où je pose ma question. Quel tragique tournure alors que je sais que nous risquons de nous faire du mal. ❝ Merci. ❞ Les yeux s'assèchent, je me sens soudainement vide. La tension est palpable, à couper avec un couteau. J'avance le long du petit couloir d'entrée avant de m'arrêter. M'adossant contre le mur, mon visage se tord dans tous les sens à chercher quelque chose à dire, les yeux paniquant dans toutes les directions avant que je ne soupire et glisse le long du mur à claquer le sol de mes fesses. ❝ J'suis désolé East... J'aimerais tellement que tu me frappes là, maintenant, tout d'suite, ça ferait moins mal que ce que je nous fais vivre... ❞ L'expression faciale est enlevée, comme si quelqu'un l'avait dévoré mais je sens les larmes chaudes, sur mes joues, couler, dans un silence des plus terrifiants. ❝ J'sais même pas pourquoi, j'ai pris peur... ❞ Sentir ta présence si proche, nous deux isolés devient dur. Alors soudainement, je me reprends, passe une main sur mes joues en panique en me relevant. ❝ Faut qu'j'y aille... Si j'reste, j'vais vouloir t'embrasser donc à moins que tu aies envie de me cogner la gueule, faut qu'je parte... Ou alors non, vas-y, j'me défendrai pas. ❞ La panique me possède comme une maladie mortelle, à l'effet immédiat, pourrissant mes veines. J'essaie de me calmer mais ma gorge tremble. Je ferme les yeux, planté devant toi. ❝ Frappe-moi, East... ❞ Juste délivre-nous, colle ta haine sur ma gueule. Venge-toi.

@Easton Argall & @Omar Beauregard
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@Omar Beauregard Le coeur qui se serre, l'envie de pleurer encore. Je me suis arrêté il y a peu, stoppant les larmes après que tu m'aies demandé de venir par messages. Je retiens tout mon être de ne pas flancher. Je suis blessé à vif, mon coeur n'est plus qu'un meuble vide, un meuble que j'ai adoré décoré, remplir de souvenirs. Tout est parti d'un seul coup de vent. Je le laisse entrer, ne voulant pas lui infliger la pluie, même ça, je n'en suis pas capable. Je ferme la porte, déglutis et regarde te foutre par terre. J'allais te demander de te lever mais tu me coupes la parole. " arrête de dire ça. je ne veux pas.  " je me mords la lèvre et serre les poings. Tu ne veux pas mais pourquoi tu sens cette tension dans tes poings ? J'ai déjà été frappé, tu te rappelles ? Je me suis juré de ne jamais en arriver là avec quelqu'un. Omar se confie, me dit qu'il ne sait pas pourquoi il a pris peur. Qu'est-ce que ça veut dire ? Je pensais qu'il m'avait quitté car on ne communiquait plus, qu'on s'était trop éloigné. Il m'avait abandonné car il a peur de moi ? De notre histoire ? C'est moi le trouillard dans le couple, c'est moi qu'il faut rassurer, pas toi. C'est le monde à l'envers, je n'y comprends plus rien. Omar se lève soudainement et je déglutis. " tu veux m'emb... -quoi ? " m'embrasser ? Cette fois-ci, je ne retiens plus mes larmes. Il peut pas dire ça, il peut pas me faire mal comme ça. Me quitter, revenir, me repousser, m'embrasser. Non non. J'en tremble de partout et je secoue la tête quand il me redemande de le frapper. Mes doigts craquent à la force de ma poigne mais ma main ne s'élève pas jusqu'à son visage. " frappe-toi, toi-même. t'as oublié ce que Holden m'a fait ? tu crois que c'est la solution ? putain, je pensais que t'étais différent. " j'ouvre la porte, reste statique sans le regarder, attendant qu'il décide à se bouger. " j'veux que tu t'en ailles.  " que je dis d'une voix tremblante, les larmes qui coulent chaudement jusque dans mon cou. Ne me fais plus de mal, n'empire pas ton cas. Je suis pas prêt à tout ça. Je veux juste être seul.
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Il n'y a rien à tirer de plus dans l'immédiat. Les coeurs se déchirent à nous laisser en petits morceaux, les mots ne faisant plus sens au point que je ne pourrais dire pourquoi je ressens tout et rien à la fois. Te voir fondre en larmes devant moi me fait réaliser que la peine que je t'inflige est bien pire que celle que je m'inflige moi-même. Qu'est-ce que je peux faire pour tout changer à présent ? Rien absolument rien. ❝ East, putain, t'as jamais demandé à Holden, c'est pas la même chose. Je sais juste pas quoi ressentir, dire faire car j'suis aussi boulversé que toi. C'est peut-être moi qui aies mis un terme mais ça veut pas dire que j'suis là à m'aimer, à profiter et tout et j'en sais foutrement rien. ❞ La colère a pris le relais, les yeux se gorgent au point que l'eau salée coule dans mon arrière gorge à m'en étouffer. Je finis par simplement reprendre mon souffle, baissant la tête comme si je me vidais de l'intérieur à l'intérieur et non l'extérieur. ❝ J'suis désolé... ❞ lâche-je dans un soupir venant du plus profond de mes tripes. Peut-être que partir est la meilleure solution. Peut-être que je devrais simplement disparaître. C'est bien ce que tu aimerais dans l'immédiat. ❝ Juste... Oublie moi ou non mais j't'oublierai pas. ❞ C'est d'une connerie de dire ça là mais je n'ai aucune idée de quoi dire d'autre. Je me penche en avançant vers la porte, baisant ton crâne tendu avant de me retirer immédiatement. ❝ Prends soin de toi... Salut. ❞ J'ai l'air et le ton zombifiés comme si je me vidais progressivement de toute mon énergie vitale. Je sers mes bras l'un contre l'autre en passant le bas de ta porte, la pluie s'écrasant sur ma figure comme une punition du ciel. C'est tout ce que je mérite, c'est tout ce que je ressens. Une pluie de larmes cherchant à créer une inondation.

@Easton Argall & @Omar Beauregard
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@Omar Beauregard Je me suis jamais fait quitté et je n'étais pas prêt à ça. Je ne pensais pas qu'on pouvait autant avoir mal. C'est vicieux, on a été attaché à une personne qui nous apportait toute la source de bonheur dont on avait besoin, et puis du jour au lendemain, cette source de bonheur disparait. Faut se dire que plus rien ne sera jamais comme avant. Que c'est fini, que c'est pour toujours et que plus jamais tu ressentiras ce que t'as ressenti. Je comprends Alyssia quand elle me disait qu'elle en avait marre de souffrir, qu'on la laisse tout le temps. Moi, ça m'est arrivé qu'une fois et je n'ose pas imaginer ce que ça puisse faire si ça se reproduit encore. Ce que mes proches me disent, c'est que ça va aller, que c'est un mal pour un bien et que le temps fera les choses. Là tout de suite, c'est inimaginable pour moi de me dire que je vais avancer. J'ai plutôt l'impression de reculer, de tomber d'une pente, de toucher le fond et de continuer à dégringoler. Omar s'excuse et comme le gentil petit enfant que je suis, je me sens obligé de répondre : " c'est rien. " car j'ai horreur de faire culpabiliser les autres. Mais au fond, tu le sais, ce n'est pas rien. Je réalise que trop tard le baiser qu'il me dépose sur le front qu'il est déjà en train de partir. Je suis en colère, je suis déchiré et une partie de moi me dit que je suis con de le laisser partir. Mais trop tard, il est déjà introuvable avec cette pluie torrentielle.

the end (omaston) I've loved and I've lost 3232039673
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