all i want for this new year is you ❥ estyne

Stressée, c’est le meilleur des termes qui soient. Depuis hier, je suis régulièrement au téléphone avec ta famille, tout organiser, presque à la minute près. Je suis arrivée ce matin, j’ai pris un hôtel pas loin de chez toi pour dire de pouvoir me préparer, et être dans les temps. Ta cousine est celle qui m’a le plus aidé, j’ai même eu l’occasion de la voir rapidement pour peaufiner les détails. Je l’aime beaucoup, adorable avec moi. C’est elle qui s’occupe de tout sur place, je crois même qu’un de tes cousins sera dans la confidence, celui qui t’occupera pendant que je me faufile chez toi. J’enfile ma tenue, une belle longue robe dorée que j’ai ramené de Bordeaux directement, avec je ne sais combien de robe dans ma valise parce que j’hésitais. Je veux être parfaite pour toi, que tu sois bouchée bée en me voyant, que tes yeux brillent.
Il est presque l’heure, presque minuit, je prend la route pour chez toi, ta cousine sait, je lui ai envoyé un message. Je dois attendre devant la maison. Cela me parait une éternité, j’entends les douze coups de minuits, et les gens à l’intérieur qui crient une bonne année. Discrètement, ta cousine m’ouvre, et je lui donne mes talons pour faire le moins de bruit possible. Je suis dans un état de stress second, tellement peur que tu te retournes à la dernière seconde. Tu es dos à moi, dehors, au bord de ta piscine, dans les bras du dit cousin, pendant que je passe entre les gens présents dont ton meilleur ami et son amie. Assez proche de toi, je plaque mes mains sur tes yeux, sans que tu es eu le temps de me voir, mon coeur a un raté, je pense enfin à respirer, mais je ne dis rien pour l’instant. Ne dit juste pas que c’est cette fameuse amie qui a les mains sur tes yeux ou tu vas finir plus vite que prévu dans la piscine.

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Tu es dos à moi, je ne suis qu’à quelques centimètres de toi, dans cette robe dorée, sans talons pour faire le moins de bruit possible. Sur le côté, ta cousine qui me fait le signe que c’est le moment. Alors mes mains se posent sur tes yeux. Ta cousine faisait signe à Tille d’un doigt sur la bouche en guise de chut pour ne pas qu’elle hurle mon prénom, contente de me voir. Mais son sourire la trahie sur son envie, il va falloir être rapide, même si ta cousine la retrouve pour la prendre dans ses bras. Je ne dis rien pas un mot, je t’entends souffler quelques mots en espagnol dont je n’ai pas signification complète. Juste tu retires mes mains, me retrouvant face à toi. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, tu me soulèves, décollant du sol me serrant fort alors que mes bras entoure ton cou. Je suis tellement heureuse, un sourire que rien ne peut retirer de mon visage. Ta réaction me fait doucement rire. La preuve que tu ne t’y attendais pas. « Surprise mon amour !» que je m’exclame un peu trop fort, mais je suis tellement excitée que de te retrouver ici, chez toi. « J’avais envie de commencer cette année avec toi.» Yeux dans les yeux, avant de presser tes lèvres contre les miennes. J’en oublie presque qu’il y a ta famille, ton meilleur ami, et le monde qui nous entoure. « Feliz navidad mi amor. » que je te souffle dans un espagnol approximatif entre deux baiser.

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@Maxyne C. Lurton & @Esteban J. Quesada

Personne ne t’avait dit que ta femme serait présente ce soir, sinon tu aurais fait un effort pour mieux t’habiller. Pensant passer la soirée avec Scott, Auréa ainsi que tes cousins et cousines, pas besoin de te mettre sur ton trente-et-un, pas besoin de lancer une possible guerre. Pourquoi ? Car tu savais d’avance que des photos seraient postées sur les réseaux et Maxyne aurait certainement vu rouge en te voyant, en bombe, et pas pour elle. Tu trainais au bord de la piscine, regardant ta petite puce courir un peu partout, elle était tellement bien ici. Des fois, tu te demandais si tu viendrais pas vivre ici, car tu la voyais bien plus épanouie avec ses cousins et cousines, plutôt qu’avec ses quelques amis en amérique. Ses doigts contre ta peau, pensant tout d’abord à une connerie de ta cousine et finalement, en te retournant, tu trouvais cette merveille. Ce petite bout de femme, un grand sourire sur tes lèvres, ton regard posé sur elle. « Comme je suis contente de te retrouver. » soufflais-tu doucement. Ces dernières semaines avaient été compliquées et ça te faisait plaisir de la voir ici, elle avait fait tout ça pour passer une soirée avec toi. « Cette nouvelle année va super bien commencer. » tu prolongeais ce baiser, la redéposant doucement sur le sol. « On pourrait presque croire que tu es espagnole. » tu rigolais légèrement, regardant autour de toi. « Je vais te présenter à la plupart des personnes. » elle avait pas mal de monde à rencontrer, tu avais une grande famille. Tillie arrivait en courant pour s’agripper à elle, contente également de voir Maxyne. « Tu sais que parfois, je me dis qu’elle serait bien plus heureuse ici qu’à Boston. » ton regard se posa un instant sur la jeune femme et sur Tillie.

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Surprise réussie. Je le vois dans ton sourire, l’expression de ton visage. Tout comme mon visage, il brille d’amour en te voyant, radieuse. Je dois tellement à ta famille pour m’avoir aidé à réaliser cette surprise. Dans tes bras, ma robe ne permet pas de te faciliter la tâche en passant les jambes autour de toi, cette sensation de te sentir contre moi, ça fait un bien fou. Enfin. «  Je ne me voyais pas commencer l’année avec quelqu’un d’autres, qu’avec toi. » Pas mon frère, ma sœur, Maxime, ou je ne sais qui encore. Non, c’était toi que je voulais voir les premières secondes de deux milles vingt-trois. Les pieds au sol, je te souhaite une bonne année dans ta langue natale. «  Je me suis entraînée à prendre l’accent. » riant avec toi. Il faut dire que je stress tellement depuis que mon avion a atterri ici, cela fait parti des choses que j’ai répété en boucle devant un miroir pour être sûr d’avoir la meilleure prononciation possible. Je glisse ma main dans la tienne quand tu me proposes de rencontrer quelques personnes, restant pieds nus, oubliant totalement l’existence de mes talons. Une main que je lâche vite quand j’ai une petite bombe qui fonce droit vers moi. Me baissant pour prendre Tillie dans mes bras, je finie par la porter comme je peux. J’ai tellement l’impression de la voir changer de jour en jour. Je dépose un baiser sur le front de ta fille, lui souhaitant une bonne année, alors qu’elle passe ses bras autour de mon cou pour un câlin. Je vous aime tellement. Mon regard se pose sur toi, écoutant tes mots. Ce n’est pas vraiment la première conversation que j’aurai aimé avoir pour commencer l’année, mais je comprends ce que tu veux dire. «  J’ai le même ressenti quand je rentre en France, j’ai un peu la mal du pays en rentrant à Boston. Pourtant, je sais que ma vie est là-bas pour l’instant. Un jour tu reviendras avec elle ici. » Sûrement pour y vivre, t’épanouir. Je fini par redéposer la demoiselle au sol, après un bisou sur la joue. C’est qu’elle se fait un petit peu lourde avec son âge. Je fini par prendre à nouveau ta main. «  Tu devais me présenter je crois. » ou alors on profite d’un moment ensemble. Tant que je suis avec toi, tout me va.

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@Maxyne C. Lurton & @Esteban J. Quesada  

Ce regard que tu lui portes, tes parents l’ont déjà remarqué, c’était sur. Tu savais d’avance que tu allais avoir quelques discussions plus tard. Ils te voyaient heureux et c’était le plus important pour eux. Ils t’avaient vu dans tous tes états, perdu, à te poser un paquet de questions. Voir la souffrance dans les yeux de son enfant, c’était bien ce qu’il y avait de plus dur. Tu le voyais très bien avec ta fille, la voir malade, la voir perdue, c’était un supplice, alors tu pouvais comprendre ce que pouvais ressentir tes parents. Tu étais bien avec cette jeune femme, malgré ce moment difficile, ces hauts et ces bas… Même si durant une petite semaine, tu ne savais même plus où tu en étais, si tu l’aimais encore, si tu voulais encore souffrir. La plupart de tes proches, n’étaient pas réellement d’accord avec ce point de vu, qu’elle ne te méritait pas et qu’elle devait rester avec son Maxime. Voilà, ce que tu avais entendu pendant plusieurs jours, dans plusieurs messages. Pourtant, tu avais décidé de te battre encore une fois, d’essayer d’accepter ces personnes. Mais, elle, elle devait en faire de même avec tes proches, elle ne devait rien te dire. « Tu es adorable. » soufflais-tu doucement à ses paroles, un petit sourire sur tes lèvres. Tu rigolais, pourtant son accent n’était pas trop mal « Bonne année ma princesse et tu as pris pas mal de cours. » tu te moquais un peu d’elle, même si, elle faisait pas mal d’effort pour toi. Tu la déposais au sol, la regardant dans cette magnifique robe. Tu haussais les épaules « On verra ça plus tard ! » soufflais-tu doucement. Tu devais lui présenter quelques personnes, tu lui attrapais la main, marchant en direction d’un petit groupe de personne. « On va commencer par les darons, les tontons et tata et j’en passe alors. » tu rigolais un peu, présentant les personnes que tu croisais. « Je pense que tu n’arriveras pas à te souvenir de tout le monde. » soufflais-tu avec un petit sourire malicieux. Tu faisais faire le tour de la demoiselle, prenant le temps de la présenter à tout le monde, ce qui avait pris un peu de temps, tu lui avais donné un verre pour qu’elle puisse tenir le coup. « Maintenant que tu connais tout le monde, prête pour la fête ? », tu reprenais un verre pour te mettre dans l’ambiance.

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J’avais envie d’faire des efforts, une dernière fois. Te montrer que tu comptes pour moi malgré tout ce qu’on a pu traverser depuis… le début de notre histoire ? D’un point de vue extérieur, beaucoup son contre nous, moi-même j’ai douté de nous, après cet accident. Un message qui restera ancré dans ma tête, bien que je cherche à l’enfouir loin. Très loin. Malgré tout, je suis là. Avec toi. J’ai laissé ma famille à Bordeaux, j’ai laissé Maxime, ou je ne sais qui encore pour être là en Espagne. Je ne sais pas combien de temps ce calme tiendra. J’ai envie de croire assez longtemps pour profiter du bonheur un peu. On le mérite non ? Pour l’instant en tout cas, je suis dans les airs, dans tes bras, et juste nos rires qui font offices de bruits autour de nous. On verra ça plus tard , je suis d’accord. On a le temps pour parler de ses doutes que tu as quand au bonheur de ta fille à Boston. Puis vient la présentation à une grosse partie de ta famille. C’est la première fois que je prends le temps de regarder le monde autour de nous. Ma main sert la tienne un peu plus fort, me redonnant un coup de stress supplémentaire. « ça va être compliquer, mais je vais essayer. » alors que je tourne mon visage vers toi, voyant ce sourire que je connais trop bien. «  Tu prends un malin plaisir à me torturer n’est-ce pas ? » Alors que je te fais une grimace digne de l’âge mentale de Tillie. Et encore. Même ta fille est parfois plus mature que moi. On fait le tour, ça prend un peu de temps, saluer, parler, répondre aux questions. Parfois avec certains regards désapprobateurs, d’autres qui m’accueillent les bras grands ouverts. Je cherche qu’à ne retenir que le positif de tout ça. Comme je l’ai toujours tenté de le faire dans ma vie. J’accepte le verre que tu me tends à la fin des présentations, revenant à un moment à nous. «  ça tombe bien, j’avais envie de danser avec toi là maintenant. » Le verre dans une main, mon autre bras qui se pose sur ton épaule, mon corps contre le tien pour suivre la musique. «  J’ai envie de faire la fête toute la nuit. » que je ris alors que je me hisse sur la pointe des pieds pour t’embrasser. J’ai une forme, tout ce stress qui part pour me donner une autre sorte d’adrénaline, comme dopée.

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@Maxyne C. Lurton & @Esteban J. Quesada  

Cette soirée allait totalement changer avec son arrivé, bien évidement, tu étais content de la voir ici, près de toi et de ta famille et de tes amis. Elle ne connaissait pas grand monde et tu allais devoir la présenter à l’ensemble des personnes. Ils étaient pour la plupart au courant des hauts et des bas, certains avaient hâte de la rencontrer, d’autre un peu plus sur la réserve et ça se voyait certainement sur leur visage. Il ne fallait pas y prêter attention, c’est ce que tu avais tenté de lui faire comprendre, ne restant pas bien longtemps auprès de ses personnes. Ils étaient de ta famille, ils voulaient ton bonheur et voyaient d’un mauvais regard cette demoiselle, mais l’acceptaient par obligation. Un sourire sur tes lèvres « Tu sais que j’aime bien te taquiner. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Ton regard plongé dans le sien, elle était sublime, ça te faisait tellement de bien, de l’avoir près de toi. Après avoir passé des longues minutes à échanger avec les différentes personnes, il était temps de faire la fête. Ton regard posé sur la jeune femme, attrapant un autre verre au passage pour lui donner « Ne me demande pas ce qu’il y a, à l’intérieur. » tu haussais les épaules, à savoir que c’était de l’alcool, il y avait très peu de soft, du moins, seulement pour les enfants. Elle dansait près de toi, son corps contre le tien, sur le son et le rythme de la musique. Les couples se formaient petit à petit sur la danse, buvant quelques gorgées de ta boisson. Prolongeant son baiser, une sensation de bien-être envahissait ton corps tout entier. « Et bien, faisons la fête toute la nuit alors. » soufflais-tu à son oreille, que tu mordillas doucement.

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Oh ça oui, je sais combien tu aimes me taquiner, me rendre folle. Je ne peux qu’en rire. La complicité qu’on a là, celle qu’on a eu quand on s’est rencontré en juillet. Elle fait tellement de bien, la retrouver, comme au premier jour. Peut-être que tu as raison, et que ton bonheur se trouve ici. J’aimerai me tromper, me dire que ça serait partout où l’on sera ensemble. Amoureuse au plus profond de mon être, je m’accroche à toi, à ce que je ressens, même si les bas sont bien trop présents autour de nous. Même ta famille le sait, le sens. Je ne suis pas la mieux accepter par tout le monde. Peinée pour toi, pour nous, je fais face tout de même. La famille c’est précieux. Et qui sait si je montre combien je tiens à toi, les plus sceptiques comprendront. Les présentations faites, retour à la fête. «  On va découvrir ça alors. » trempant mes lèvres dans le verre. Je suis plus une habituée à l’alcool doux comme le vin. Cette gorgée m’arrache une grimace et me fait sourire à la fois. «  Avez-vous l’intention de me saouler monsieur Quesada ? » Le sourire fin aux lèvres, les yeux brillants. Ce soir, je m’amuse, et avec ce genre de verres, je vais vite finir dans un état second. Corps à corps, lèvres contre lèvres, je me laisse porter par le son de la musique contre toi. Ça fait du bien de tout oublier. Un soupire qui s’échappe quand tu t’attaques à mon oreille. Point sensible parmi tant d’autres que tu connais sur le bout des doigts. «  Toute la nuit hein ? » Je te prends aux mots. Je ne sais pas ce que vous aviez prévu pour ce nouvel an, autre que boire et danser. Je sais juste que je compte t’accaparer autant que je le peux. Et ceux, malgré la présence de ta famille et de ton meilleur ami. Ce verre se boit tout seul, le posant pour avoir les deux mains de libres. Le rythme change, et on profite aussi des autres. Un peu. Dos contre toi, ta main autour de ma taille que je sers. ai une forme, tout ce stress qui part pour me donner une autre sorte d’adrénaline, comme dopée.

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@Maxyne C. Lurton & @Esteban J. Quesada  

Ce cadeau, était certainement le meilleur de tout ceux que tu avais pu avoir à Noël. Retrouver sa femme pour le nouvel an, avec ta famille, que demander de plus ? La soirée commence à avancer de plus en plus vite, les présentations sont faites, une bonne chose de faite. Tu savais que certaines personnes étaient réticentes, mais d’autres acceptaient cette demoiselle avec grand plaisir. Le temps ferait le reste, tu n’en doutais pas une seule seconde. Mais, elle pouvait voir, que dans cet endroit, tu n’étais pas le même garçon, pas sur tes gardes. Tellement, mieux dans un endroit comme celui-ci, proche de ta famille. Ton regard se posa sur la jeune femme, un léger sourire sur tes lèvres, tu attrapais le verre et à ton tour, laissait glisser le liquide couler dans ta bouche. A vrai dire, tu n’avais pas été présent lors de la confection de cette boisson, mais connaissant tes cousins, ça devait être une tuerie. Dans tous les sens du terme, que ça soit niveau goût que niveau alcool. Tu rigolais à ses paroles « Je n’oserais pas faire ça Mademoiselle Lurton. » soufflais-tu doucement. Déposant tes lèvres contre son front, déposant un profond baiser. Tillie courrait partout avec ses cousins et ses cousines, dans peu de temps, elle serait fatiguée et allait se retrouver au lit. Avec un peu de chance, demain, elle ne se lèvera pas très tôt, tu allais pouvoir profiter de la grasse matinée avec ta bella. « Bien sûr, toute la nuit et même bien plus encore. » soufflais-tu à son oreille. Tu finissais rapidement ce verre, l’alcool montait déjà, comme pour la plupart des personnes. Les plus vieux partaient avec les plus jeunes, laissant la villa aux jeunes adultes, les cousins, les cousines et les invités et amis. Pour faire simple, ce nouvel an allait fort en alcool et surtout en gueule de bois le lendemain. Tillie venait te faire un bisous avant de partir, comme à Maxyne, partant main dans la main avec tes parents. La jeune femme se glissa contre toi, ta main glissait autour de sa taille, tes lèvres le long de sa nuque. Oui, plus rien ne comptait à part elle, tu étais sur un petit nuage, certainement du à l’alcool.

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