(carolina) Bonjour fatigue, ici maladresse.

BONJOUR FATIGUE, ICI MALADRESSE
@"libre" & @Luan Ferchill

Sept heures du matin et te voilà dans les locaux de l’hôpital. T’enfiles ta tenue et tu vas chercher ton chariot pour faire le ménage. Tu déambules alors que tu es morte de fatigue. Un client a eu besoin de toi la veille et tu es rentrée tard. Pendant trois heures, tu passes de chambre en chambre pour les nettoyer. L’hôpital te semble tellement grand. Interminable. Tu as besoin d’un café peut être même deux à cet heure-ci, mais tu as encore une heure avant ta pause. Tu n’oublies pas que tu fais tout ça pour Luna. C’est comme un mantra que tu te répètes encore et encore. Tu commences à passer la serpillère dans le couloir de l’étage et sans faire exprès tu renverses le saut dans le couloir. Inondant les pieds le pantalon de la personne qui passait par là. Tu te sens tellement confuse, tu le sais pourtant que quand tu es fatiguée tu es maladroite. — " Je suis vraiment désolée. “ que tu lâches en lui donnant des torchons.

#rplibre

(Invité)

Bonjour fatigue, ici maladresse.

@Luan Ferchill

Rester à l’hôpital pour la fête de noël n’est pas une situation des plus joyeuses, mais avec la tempête de neige, Carolina n’a pas eu d’autres choix, étant cheffe de l’unité psychiatrique. Éreinter, c’est dans son bureau qu’elle se change promptement afin de ne pas revêtir les mêmes vêtements encore et encore. Une fois prête, elle délaisse son étage pour se rendre dans un autre, inférieur, puisqu’il semblerait qu’elle doive faire une expertise psy, dans le but de savoir si le patient en question doit rejoindre, ou non, "son étage". Poussant un soupir, ses cheveux noués formant une queue de cheval, c’est épuisé qu’elle erre dans l’immense couloir pour raser un mur, étant donné qu’une personne fait le ménage. Mais c’était sans compter sur la maladresse de l’employée qui y renverse le saut d’eau.
— « Merde ! » La psychiatre s’exclame, puisqu’elle n’a plus de pantalon de rechange et que ses escarpins en satin prennent l’eau. « Ce… Ce n’est rien. » La brune n’est pas en rogne, non, elle est simplement blasée par la situation. « Je ne pense pas que ça puisse changer grand-chose. » Elle souffle à la jeune femme qui lui apporte des torchons afin qu’elle s’essuie du mieux qu’elle le peut. « Mais merci. » Elle termine dans un sourire, pour s’essayer à se sécher.

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(Invité)