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(werthorne) night of disaster

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with @Théodore Hawthorne Nuit du nouvel an, soirée sous le signe des festivités, la seule nuit où tous les coups sont permis. Où les erreurs sont faites et sont capable d'être oubliés. Elle était à Boston depuis seulement quelques jours et ce retour lui faisait du bien. Retrouver sa chambre, ses affaires, son quotidien. Éloignée de l'ambiance morbide de l'hôpital, éloignée des regards inquiétés et des faux sourire réconfortant. Elle a utilisée ces quelques jours pour retrouver ses proches, ceux qu'elle a délaissée, oubliant pendant un instant cette charge interminable qui ne cessait de s'étaler sur ses épaules. Prendre du temps pour elle, en était presque devenue vitale. ce soir, l'université d'Harvard est en fête. La plupart des confréries remplie de leurs étudiants, s'amusant et criant face au décompte tant attendu. Les verres qui s'enchainent, les conversations, les rires, l'innocence d'une étudiante déjà bien trop ivre pour finir correctement la soirée. Parce que grâce à ça, elle oubliait, c'était peut-être qu'une soirée, mais elle oubliait ce terrible mois qu'elle venait de passer. Retrouvant les bases de cette petite émerveillée, bien trop envieuse de se mettre la tête à l'envers. Parce que rien n'est important n'est ce pas ? Les personnes les plus importantes sont présente ce soir, ses plus proches amis, les adams, mais aussi plusieurs garçons qui font partie de son quotidien, ceux auxquelles elle s'accroche, ceux dont elle s'enivre, qui font tambouriner son coeur, coeur incapable de choisir face à toute ces possibilités. Parce qu'elle est faible et qu'elle fait peut-être pas partie de ces femmes capable de vivre sans un homme à ses côtés. Parce qu'ils l'a font craquer et parce qu'elle apprécie bien trop leur tendresse pour s'en échapper. Les jambes de poupée qui commencent à avoir du mal à tenir sur les talons haut, l'alcool qui l'a rend plus forte et l'aide à poursuivre cette soirée. Les corps qui dansent et s'évadent sur la musique, nouvelle année qu'elle fête comme elle devait être fêtée, tout comme le cap des vingt-trois qu'elle venait de passer. Les sourcils qui se froncent un instant, se rendant compte qu'elle n'avait croisée que très peu de fois Théodore ce soir, seulement des sourires échangés, avec l'impression qu'il s'était échappé toute la soirée. Parce que c'est le genre de moment où tout déraille, où elle est sensés se poser plein de questions. Pourquoi ne s'amusait-il pas comme les autres ? Avait-elle fait quelque chose de mal ? Mais cette fois y'a l'alcool qui l'imbibe, y'a ce sourire idiot contre les lèvres, cette gamine inconscience qui a repris sa place, alors y'a pas de questions qui se mélangent. Sourire qui s'écarte jusqu'au bout des lèvres lorsqu'elle finit par le retrouver, installé sur l'un des canapés, sirotant son verre certainement encore trop remplie pour l'heure. Silhouette féminine qui s'approche d'un air presque trop déterminé face à son manque d'agilité, son corps qui s'affale sur le canapé à ses côtés, petit coup d'épaule qu'elle lui donne, plongeant ses noisettes dans ses azurs. Mais qu'est ce que tu fous ? Tu boudes ? Pourquoi tu t'amuses pas ? Petite moue qu'elle affiche, aux airs faussement choquée. Aller viens ! On va danser ! T'as pas le droit de rester là, c'est le nouvel an et mon anniversaire quand même ! Mine de malice, air presque boudeur. Petite princesse capricieuse qui saurait se révéler face à l'alcool. Pauvre idiote incapable de se rendre compte de la réalité de la réalité qui l'entoure.
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night of disaster × @Orphéa Wertheimer

Combien de regards sont nécessaires pour combler l’absence d’un seul ? L’alcool ondule contre le verre, préservant son ivresse dans la tourbe de sa couleur. Tes yeux naviguent dans la salle, s’abreuvant des reflets de ses cheveux blonds dans le noir. Tes doigts se serrent instinctivement. Elle ne semble jamais avoir aussi bien danser que ce soir, réfugiée ainsi dans quelques paires de bras. Ta gorge se serre et tu étouffes, ton cœur se soulevant jusqu’à tes lèvres dans une affreuse nausée. Plusieurs fois la tentation de la rejoindre a animé tes pensées, mais tes genoux fléchissent à son approche. Étrange comme tu es à toi-même ton pire adversaire. Tu hésites à t’échapper de cette mascarade, mais toujours une nouvelle musique te vole son si tendre sourire. Existe-t-il pire tourment que d’être ainsi prisonnier du présent ? Incapable de se soustraire vers un ailleurs. La souffrance empêche le temps de s’écouler et chaque seconde est le spectacle de sa tête sur l’épaule d’un autre. Cette souffrance qui te prive de la moindre possibilité d’imaginer un changement, une délivrance… Et tu demeures assis dans ce canapé Théodore, tournant et retournant le même liquide dans le même verre. Encore et encore. Tu préfèrerais te trancher la langue plutôt que d’admettre que tu te consumes de prendre leur place, que tu ne supportes pas de la voir se déhancher ainsi contre eux. Ça cache une plaie purulente. Combien donnerais-tu pour qu’elle t’invite à la rejoindre et qu’elle murmure qu’il serait douloureux de te voir converser avec une autre. La jalousie... Celle creusant la chair est une solitude abyssale. Dans cette fête, tu n’es qu’une ombre patiente. Une présence s’effondre maladroitement à tes côtés, t’arrachant de tes ruminements. Petit coup d’épaule, son parfum mélangé à l’alcool. « Mais qu'est ce que tu fous ? Tu boudes ? Pourquoi tu t'amuses pas ? » Enfin son regard dans le tien, tu pourrais presque sentir ton âme relâché son souffle. Elle mime son mécontentement par une grimace adorable. Néanmoins, rien ne peut dérider tes traits sérieux. Sa douceur ne rencontre que ta noirceur, lumière s’enroulant naïvement autour de tes ténèbres. « Aller viens ! On va danser ! T'as pas le droit de rester là, c'est le nouvel an et mon anniversaire quand même ! » Elle est espiègle, loin d’imaginer la colère qui habite ton cœur. « Pourquoi est-ce que je m’amuserais ? » Tu bois une longue gorgée de ta boisson pourtant boudée longuement. « Une prochaine fois. Je n’ai pas particulièrement envie de festoyer et tu semblais déjà bien accompagnée ce soir. » Tu te redresses élégamment, décollant vos deux corps. « J’attendais seulement un moment pour te souhaiter un joyeux anniversaire. »

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with @Théodore Hawthorne

Soirée qui bat son plein, moment d'égarement dont elle avait besoin après ces journées passées à Paris. Elle retrouvait celle qu'elle était avant de partir, innocente et frivole. Oubliant la noirceur pour faire place à la lumière, celle qui ne cessait de vouloir s'éteindre ces derniers temps. Elle en oubliait le temps et l'espace, profitant de chaque moment passés face aux personnes qu'elle retrouvait. Le rire facile et le sourire difficile à supprimer, l'alcool a déjà déposée sa discorde sur ses traits et son corps. Une seule chose manquait à la fête : Théodore. Il était bien là, mais c'est comme si ce n'était pas le cas. Appuyé sur le canapé, l'air morbide et envahie par la colère. Incapable de s'en rendre compte, la seule chose qu'elle ressentait, était son absence. Parce qu'elle voulait tout Orphéa, parce que Théodore faisait partie de son tableau parfait, celui où se retrouvent ceux qui compte. Le corps qui s'approche du sien, lumière qui se jette sur cette vague d'ombre avec l'espoir de pouvoir l'éclairer. Moue triste qui s'affiche à ses mots, insatisfaite, incapable de recevoir la réponse qu'elle attendait. Pour toutes les raisons que j'viens de citer, c'est pas n'importe quelle soirée. Les épaules qui se haussent, comme si la réponse était logique. La venue de la nouvelle année et de son anniversaire était pour elle, une très bonne raison de s'amuser. Y'a beaucoup de mes proches ce soir, c'est vrai, mais je suis avec toi maintenant. Sourire qui reste gravé, elle s'était promis de passer une bonne soirée, il ne devait pas lui gâcher ça. Et bien maintenant tu peux, aller arrêt de bouder ! Dit-elle alors qu'elle lui attrapait la joue pour la tirer comme on pouvait le faire à un enfant. Encore envahie de bonne humeur et d'enthousiasme pour décider d'abandonner.
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night of disaster × @Orphéa Wertheimer

« Pour toutes les raisons que j'viens de citer, c'est pas n'importe quelle soirée. » L’enfant capricieuse réclame de sa petite moue triste de l’affection, un sourire. L’inflexion des lèvres et les effluves de parfum, d’alcool. Les épaules qui se redressent nonchalamment motivées par une logique infaillible. Néanmoins Théodore, tu préfères cette apparence ectoplasmique, l’allégorie même de la Convoitise comme étendard, l’incarnation de la rivalité dans les sillons du regard. Tu serres légèrement les dents, le verre désormais plus vide que rempli en détournant le regard. « Ce n’est pas suffisant. » Ainsi, empêcher le ravissement d’Orphéa de s’épanouir semble être la dernière consolation à l’amère jalousie qui creuse inlassablement ses ornières dans ta poitrine. Seule apaisement de ta colère à devoir partager sa présence avec d’autres. Qu’ils brûlent tous dans les méandres infernaux lorsque tu vois leurs regards sales, lorsqu’ils te volent son attention et son corps durant de multiples danses. « Y'a beaucoup de mes proches ce soir, c'est vrai, mais je suis avec toi maintenant. » Une soirée ridicule où tous les détails revêtent une dimension démesurée, où tu es incapable de maîtrise ni même de raisonner, de comprendre… Non. Tu voulais simplement qu’elle reste à tes pieds, risqué d’emprisonner sa liberté d’un collier autour du cou. N’es-tu point effrayé par de telles extravagance Théodore ? Ne devrais-tu pas laisser une certaine distance entre sa joie et ta morosité ? « Je crois que ma patience a atteint mes limites, tu devrais retourner voir tes proches. » Jalousie détruit toujours ce qu’elle est incapable de créer. Impossible pour Théodore d’orner pareil sourire sur ses lèvres, ni faire rougir ainsi ses joues. N’est-ce pas pour cela qu’elle chantonne toujours combien tu es son ami ? Pour cela qu’elle accourt dans les bras de tu ne sais qui dans les aéroports ? Elle attrape ta joue, la tirant dans une grimace enfantine. « Et bien maintenant tu peux, aller arrêt de bouder ! » Tu attrapes sa main, la serrant doucement entre tes phalanges, tes yeux de chagrin retrouvant finalement les siens. « Minuit est passé, ce n’est plus ton anniversaire il me semble » Tu déglutis légèrement avant de relâcher sa paume.

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Pauvre naïve, incapable d'ouvrir les yeux. Vision perturbé par l'alcool ingéré et les sourires offert au long de la soirée. Parce qu'il suffisait parfois d'un bon moment pour retrouver ce qu'elle est vraiment, ce soleil, sûrement trop rayonnant, ce soleil qui oubliait qu'il était si proche de s'éteindre il y a peu. Peut-être que ce soir, vous étiez opposés parce qu'elle retrouvait ses couleurs, des couleurs qui s'effacent à tes côtés, pour devenir plus sombre. Des regards qui s'évitent et qui s'ignorent, les différences qui se mettent en avant sans que ça devienne encore trop flagrant. Mais elle a pas envie d'une soirée comme ça, parce que ses envies n'ont pas de limite. Ca peut pas être une soirée parfaite si tu fais pas partie de l'instant. Les mots qui tentent de le convaincre, des mots qui ont peu de pouvoir, même son regard, presque suppliant n'avait pas suffit pour te décrocher rien qu'un sourire. Soupire qui s'échappe, mauvaise onde qui lui donne envie de fuir, pourtant, c'est pas ce qu'elle veut. Mais pourquoi ? Qu'est c'qui t'arrives ? Vraiment, je comprend pas. Incompréhension accroché au visage, les noisettes qui observent les azurs, tentant d'y voir une once de vérité. L'humour qu'elle tente d'utiliser, échec considérable. Son regard qui se dépose sur sa main qu'il attrape, les yeux qui se lèvent au ciel. J'pensais que tu me connaissais mieux que ça, c'est mon anniversaire depuis seulement deux heures. Corps de poupée qui se relève du canapé, sa main qu'elle décide de lui tendre. J'te laisse deux solutions, sois t'arrêt de bouder et tu viens danser avec moi, sois on se reparle demain. Parce que ce soir n'est pas comme tous les soirs, elle avait retrouvée ce qu'il lui faisait du bien, comme vivante à nouveau, alors elle met de côté sa veste d'infirmière, c'était peut-être égoïste, mais pour une fois, elle a besoin de penser à elle.
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