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merry christmas + Carolina.

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Une rencontre plutôt agréable, quelques messages et des points en commun. Ça faisait bien longtemps que tu n’avais pas échangé avec une jeune femme comme ceci. Elle était de repos ce mardi, tu n’avais pas grand chose à faire de ton côté également. Tu avais effectuer les dernières tâches la veille, pour être tranquille. Ton téléphone professionnelle en silencieux et vraiment te contacter en dernier lieu. Le marché de noël, c’était un bon lieu pour une première rencontre. Du monde, des animations, même si il y avait des blancs, tu pourrais toujours rebondir sur autre chose. Tu avais enfilé des vêtements plus chaud, le froid avait commencé à s'installer dans cette ville. Dans seulement quelques jours, tu reprendrais la route pour te rendre à Paris. Tu avais quelques points à revoir avec le PDG et par la suite, enchainer avec les fêtes de fin d’année. Le point de rendez-vous était l’arche d’entrée, ça ne serait pas compliqué de la reconnaître, du moins c’est ce que tu pensais. Marchant dans la rue, l’écharpe cachant la moitié de ton visage, une parka sur le corps, on dirait que tu te trouves au pole nord. Tu arrivais à l’heure, te grillant une cigarette, ton regard se promenait un peu partout, cherchant la demoiselle du regard.
@Carolina Lena Corzo
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Merry christmas.
@Raphaël Dumas
La cheffe de l’unité psychiatrique de l’hôpital de Boston est quelque peu nerveuse. Car elle doit retrouver un homme rencontré sur le réseau social de la ville et qu’elle est « rouillée » niveau sociabilité depuis qu’elle est devenue cheffe, justement. Alors cette rencontre, elle l’a peut-être imaginé une fois ou deux, lorsque son esprit n’était pas porté sur l’un de ses nombreux patients. Ayant achevé sa journée, rejoignant le village de noël, elle se dit que ce serait sans le moindre doute l’endroit idéal afin de faire une séance photos. Seulement, ça ne le serait pas pour un massage de crâne, étant donné qu’ils l’ont évoqué dans leurs échanges de messages. Souriant à cette pensée, la brune se gare non loin de leur lieu de rendez-vous, ayant troqué sa paire d’escarpins pour des bottines à talons plats. Un énorme manteau présent sur son dos, une écharpe drapant son cou et des gants présents à ses mains, elle sort de son véhicule pour le verrouiller et rejoindre l’arche qui semble être le point de rendez-vous de tous.
— « Bonsoir Raphaël ! » Elle prononce dès lors qu’elle l’aperçoit, tandis qu’elle se tient à trois bons mètres de lui. Il faut dire que sa jovialité est toujours débordante, ainsi que sa gentillesse, à n’importe quelle heure du jour comme de la nuit. « J’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre. » Elle ose prononcer, puisqu’il fait froid. Heureusement, il grille tranquillement une cigarette, ce qui est généralement le signe que l’on attend une tierce personne, comme dans leur propre cas. « Je suis heureuse de te rencontrer, enfin, roi de Boston. » Elle ne peut s’empêcher de faire allusion à leur plaisanterie, tout en lui offrant une révérence.


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Comment finir l’année par une belle note ? Rencontrer cette jeune femme qui arrivait à te faire sourire à travers un téléphone. Elle savait comment te parler, et quoi te dire pour te faire oublier un problème rencontré durant ta journée. N’est-ce pas merveilleux ? Alors oui, bien évidement, tu avais un peu d’appréhension, c’était assez rare venant de toi, de faire ce genre de chose. Quitter ton traintrain habituel, sortir de ta zone de confort et te perdre au milieu de cette foule pour passer un peu de temps avec elle. Mais pour elle, t’avais accepté de le faire sans une hésitation, trouvant un jour qui correspondait bien entre son planning et le tient. Deux travail bien différent, mais très prenant, elle était passionnée et ça se voyait, un peu moins de ton côté. Tu faisais avec, tu n’avais jamais réellement eu le choix de ta vie, ni même le contrôle de celle-ci. Vivant toujours dans l’ombre de ton père et ce, jusqu’à sa mort, tu le savais d’avance. Bref, tu chassas rapidement ces pensées négatives, ce n’était ni le moment et ni le lieu pour penser à tout ça. Tu avais allumé cette cigarette, le temps de pouvoir trouver cette jeune femme. Endroit simple, qui se faisait bien au vu du mois de l’année. Le marché de Noël, était un lieu bien agréable pour une première rencontre, mais tu n’avais pas pensé qu’il y aurait autant de monde à cet endroit. Pas évident pour retrouver une personne que tu n’avais jamais réellement vu, mis à part sur ces photos. La fumée qui s’engouffrait dans ton corps, ressortant en un simple petit nuage de ta bouche, le regard qui se promenait de tête en tête, pour s’arrêter sur elle. Un léger sourire sur tes lèvres, tu écrasas rapidement ta cigarette dans le cendrier mis en place par la ville. « Bonsoir Carolina. ». Elle était sublime, comme sur les photos, heureusement qu’elle ne t’avait pas berné, comment aurais-tu fait, pour t’échapper à ça ? « Non, je viens d’arriver. » finissais-tu par avouer. Une femme se faisait toujours désirer, ce n’était pas une nouveauté. Tu rigolais à ses paroles « Enchanté ma Reine » petite révérence à son tour. « Comment vas-tu ? » prenant la discussion comme elle semblait venir, commençant à marcher à ses côtés.
@Carolina Lena Corzo
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Merry christmas.
@Raphaël Dumas
Elle avait prévu d’avoir ce mardi comme jour de congé, mais évidemment, ça n’a pas été le cas. Son statu de cheffe, elle peine encore à l’assurer et à l'assumer, mais avec le temps, les jours et semaines qui défilent, Carolina s’y fait de plus en plus. Bien sûr, elle est bien plus éreintée qu’auparavant, mais elle commence à se trouver un rythme de croisière, si bien qu’elle a accepté de rencontrer un homme avec qui elle discute sur le réseau social de la ville de Boston. Aisément, les discussions se sont enchainées entre eux et cela la ravie. Car il n’est pas évident de trouver un homme avec qui tout semble si bien fonctionné, et pour cause, elle sait comme une relation peu dégénérée, au vu de son passé en Espagne. C’est d’ailleurs aussi pour cela qu’elle a souhaité se retirer, partir loin de son pays natal, puisqu’enfin, elle peut respirer. Autrefois, la brune étouffait, mais ce n’est plus le cas, à présent.
Un sourire radieux présent sur son visage de poupée, elle rejoint Raphaël avec qui tout se déroule naturellement. Heureuse de l’apercevoir, elle lui offre une révérence une fois à sa hauteur pour se retenir de rire. Malgré ce qu’elle a vécu, sa joie est communicative.
— « Mon roi. » Elle ajoute pour émettre un léger rire avant de l’interroger, puisque ne souhaite pas l’avoir fait attendre. À ses mots, la belle se sent plus sereine, mais se voit tout de même justifier son léger retard. « J’ai dû me rendre à l’hôpital pour une urgence. Elle a duré toute la journée. » La psychiatre ne peut faire autrement que de se rendre à son travail, dès lors qu’on lui fait savoir qu’on a besoin d’elle, même si elle se trouve en congé. « Je vais bien. Et toi ? » Elle répond, un sourire perpétuellement présent sur son visage, lorsqu’elle lui demande, quelque peu intimidé, soudainement : « Est-ce que je peux prendre ton bras ? » Ainsi, ils se fondront mieux dans la foule sans se perdre et puis, cela lui évitera une quelconque chute, elle l’espère tout du moins. « Il y a tellement de monde. Je ne m’y fais pas. » Puisqu’elle est déjà venue afin de trouver un cadeau pour sa chère mère. « Tu vas voir, il y a de superbes stands. Notamment ceux avec des gâteaux et du chocolat chaud. » Gourmande, elle l’est et le fait savoir, sans crainte que l’on puisse s’imaginer qu’elle est un ventre sur pattes. « Sachez, mon seigneur, que vous êtes plus attirant encore qu’en photos. » La belle désire qu’il sache ce qu’elle pense, notamment le fait qu’il lui plaît.


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Comment ne pas craquer devant une telle beauté ? En surfant sur ce réseau social, tu étais tombé sur son profil. Que demander de plus ? En plus d’être merveilleuse, elle était brillante dans son métier. Très assidue, volontaire, elle voulait y arriver et tu l’avais directement remarqué. Tu appréciais ce type de personne, et c’est d’ailleurs un peu pour tout ça, que tu voulais apprendre à la connaitre davantage. Tu te demandais, comment une aussi belle femme pouvait être encore seule à l’heure actuelle. Sans hésiter plus longtemps, un rendez-vous s’était lancé et installé ce jour, pendant son repos. Tu avais fait en sorte d’arranger ton planning pour te libérer et pouvoir passer quelques heures avec elle. Tu l’avais attendu quelques minutes sous cette grande arche, rien de bien long. Tu avais fini rapidement ta cigarette, tu savais très bien que l’odeur pouvait déranger plus d’une personne. Lors de la discussion, des surnoms s’étaient invités, devant Reine et Roi, les deux perfections de Boston. Un petit côté enfantin, qui collait au tient, au moins une personne qui ne se prenait pas la tête et qui appréciait déconner, tout en conservant son côté sérieuse. « Je comprends, ce n’est jamais simple, surtout dans ton métier. » les aléas du travail, il t’arrivait souvent d’être dérangé pendant tes repos, des appels, des e-mails importants et tu repartais pour le bureau. « Je vais plutôt bien également. » un léger sourire sur tes lèvres, ton regard posé sur la jeune femme, tu tendais ton bras à sa demande « Il n’y a pas de soucis. » premier contact entre elle et toi. Ça ne te dérangeait pas, ça t’éviterait de devoir la chercher partout et slalomer avec les personnes. « Tu n’aime pas la foule ? » simple question pour rebondir sur ses paroles. Tu n’avais pas cette sensation d’être oppressé quand il y avait du monde, mais tu pouvais comprendre que certain n’appréciait pas cette impression. « Je note que tu es très gourmande ! » tu rigoles un peu à tes paroles, tu n’étais pas contre un petit verre de chocolat chaud, ça ne pouvait que te servir. Ici, le froid était quand même plus violent qu’à Paris. « Oh, vous allez finir par me faire rougir ! » soufflais-tu à son oreille, avec un brin de malice. « Je vous remercie pour ce compliment, mais je devrais vous le retourner ! Déjà très séduisante en photo, mais encore plus en réel. » bien loin d’être déçu, bien au contraire !
@Carolina Lena Corzo
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MERRY CHRISTMAS. with @Raphaël Dumas & Carolina Lena Corzo
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C’est toujours ainsi. Carolina pense avoir une journée de congé, seulement, ça termine par ne plus être le cas. Car elle est cheffe de son service, bien qu’avant cela, elle répondait toujours présente, au moindre appel. Aime-t-elle trop son travail ? Sans doute, mais c’est également afin de ne pas penser à ses soucis personnels, aux raisons de son envol pour les États-Unis. Ne préférant pas y songer - étant en compagnie de son roi à présent - la brune est heureuse de l’avoir retrouvé, mais surtout d’enfin le rencontrer en personne. Il faut dire qu’elle avait hâte et ayant malgré tout, toujours l’esprit d’une « gamine », la belle ne sait réellement prendre son mal en patiente. Alors, aujourd’hui, elle n’a pas cessé de s’activer, s’occuper, espérant que les aiguilles des horloges se pressent. Ce qui n’a pas été le cas, mais cela ne compte plus en cet instant puisqu’ils sont enfin tous les deux.
— « Ce n’est pas simple du tout en effet. Surtout que je suis la cheffe du service. » La brune se doutait qu’elle s’impliquerait davantage dans son travail, elle en avait conscience lorsqu’elle désirait avoir ce poste. « Je dois encore prendre mes marques, pour essayer d’alléger mes heures, je vais y parvenir. » Elle y croit dur comme fer, puisque lorsqu’elle désire quelque chose, Carolina fait tout afin de l’obtenir. « Heureuse de savoir que tu vas bien mon roi. » Doit-elle s’enquérir davantage au vu de son « plutôt » ? Elle s’imagine que non, c’est son métier qui lui donne l’envie d’en savoir plus : déformation professionnelle. « Quel honneur. » Elle répond un large sourire présent sur son visage de poupée tandis qu’elle attrape son bras, heureuse que ce soit déjà si naturel entre eux. « Ce n’est pas réellement un souci de personne. Plutôt la crainte de te perdre parmi la foule. » Elle sourit plus encore puisque oui, au vu de la période de l’année, il y a énormément de monde qui s’agglutine dans ce marché de noël. « Je pense que se serait pire encore si nous nous étions vus durant le weekend. » Comme personne ne travaille - hormis quelques cas - et qu’ainsi, plis de personnes s’amasseraient dans ce superbe marché. « Quand on travaille dans un hôpital, il ne faut pas craindre qu’il y ait du monde. Ni même trop de bruits. » Surtout dans son service qui est assez « compliqué », si elle peut dire, au vu des cas psychiatriques qu’elle accepte. « Tu ne te doutais pas que je puisse être gourmande ? » Lui donnant un petit coup de bras, Carolina émet un léger rire à la suite de ses propos. « Je suis une ogresse sur pattes, d’ailleurs. Sache-le. » Elle ajoute, le regard empreint de malice, quand elle admet le trouver très beau, son roi. « Vous êtes d’ores et déjà rouge, à cause du froid. » Elle n’a pas tort puisqu’il leur mord les joues. Frissonnant lorsqu’il se rapproche, la brune écoute attentivement ses propos et elle se met à rougir, elle aussi. « Merci, mon seigneur. Je vous offrirais bien une révérence, mais il y a foule et pour ce faire, j’aimerais que personne ne me rentre dedans. » Être épié ne la dérange nullement, puisqu’elle a gardé son âme d’enfant et répondre à des défis ne la gêne en rien, tant qu’on ne la ridiculise pas, s’entend.
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Tu avais l’impression de la connaitre depuis des années, alors que ça ne faisait que quelques semaines que tu lui parlais. Pourtant, un feeling s’était créé si rapidement entre elle et toi. Chose assez rare avec toi, préférant être toujours sur la réserve, mais avec elle, tu te laissais aller. Profitant de chaque message pour te divertir, et sortir un peu la tête de l’eau. Oui, elle arrivait à te faire sourire, même durant une réunion si ennuyante et longue. Elle savait quoi te dire pour te faire penser et imaginer à autre chose que ton travail. C’était une belle personne et tu étais fier de lui avoir envoyé cette invitation, tu ne regrettais pas, loin de là. « Madame la cheffe. » soufflais-tu avec ce petit sourire malicieux sur le bord de tes lèvres. Tu adorais la taquine et te moquer, en toute gentillesse bien évidement. « Un jour, ton corps ne te laissera plus le choix, tu devras prendre du temps pour toi et surtout te reposer et te vider la tête. » tu parlais en connaissance de cause. C’était pour ça que tu pratiquais du sport à côté de ton boulot et que tu tentais par tout les moyens de te trouver un peu de temps libre. « Je fais toujours en sorte d’aller bien, même si parfois ce n’est pas toujours simple. » le stress, la fatigue, ce n’était pas toujours évident d’être en pleine forme. Pourtant, tu essayais toujours de positiver et d’avancer. Ça ne servait à rien de rester sur le passé, de ronchonner sur des conneries. Elle attrapa ton bras, appréciant ce contact avec la jeune femme, l’avoir aussi près de toi, te faisait plaisir. « Tu ne pourras pas me perdre, dans tous les cas je te retrouverais ! » laissais-tu glisser entre tes lèvres, regardant les stands autour de toi. « Oui, je me doute bien qu’en plein week-end, ça doit être impossible d’approcher un stand. » heureusement que c’était en semaine, tu n’avais pas forcément la patience. Ce n’était pas un point fort chez toi, tu voulais tout, tout de suite. Il est vrai qu’elle travaillait dans un endroit bondé de personnes, des malades, des accompagnateurs ainsi que tout le personnel. C’était une grande fourmilière, un peu comme dans ton job, il y avait un nombre incalculable de salariés, des fournisseurs, des stagiaires, bref, tu connaissais aussi le monde. Ton regard balaya rapidement la silhouette de la jeune femme « Sincèrement, si tu es gourmande et que tu manges comme une ogresse, il va falloir m’expliquer où tu mets tout ça ? » tu rigolais légèrement. Elle avait une taille très fine, comme une guêpe, comment pouvait-elle manger autant ? Tu lui soufflas quelques mots à son oreille, quelques centimètres de sa peau, sentant son odeur, enivrante. Voyant une légère modification au niveau de la couleur de ses joues, te laissant ravie de tes paroles. Ça la touchait, comme elle avait réussit à te toucher auparavant. « Ça serait dommage qu’une personne te renverse son verre sur ton beau manteau. » tu rentrais dans son jeu.

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@Raphaël Dumas ; Carolina Lena Corzo

C’est à la fois simple et enivrant d’être aux côtés de monsieur Dumas. C’est du moins ce que Carolina pense, tandis qu’elle se trouve à ses côtés, un immense sourire ornant son visage aux billes scintillantes.
— « C’est bel et bien moi. » Elle répond en retenant un petit rire, avant de secouer sa tête de gauche à droite, par leur facilité à communiquer ainsi en plaisantant, toujours avec bienveillance. « Hum… Tu n’as pas tort. Il faudra que je t’appelle à l’aide. » Ses lèvres sont pincées et étrangement, s’il lui arrivait quelque chose, la psychiatre a immédiatement songé à lui afin qu’il la rejoigne, ce qui la perturbe. Puisqu’après tout, ils se rencontrent seulement aujourd’hui, ayant passé tout leur temps à échanger via la messagerie du réseau social de la ville. « Je te promets de me reposer davantage. Je n’ai pas encore pris toutes mes marques au travail. » Être sincère avec lui n’est en aucun cas un problème, de toute façon, il sait par quoi elle passe. « C’est une jolie manière de vivre sa vie. Tu es positif et obstiné, tout comme ta reine. » Elle lui offre un clin d’œil complice, avant de se saisir de son bras, dans le but qu’ils avancent ensemble, sans se perdre l’un l’autre. « Ah oui ? Comment ferais-tu ? Je suis de taille moyenne, tu pourrais perdre ta reine dans la foule, prends garde. » De la malice s’installe dans son regard alors qu’ils avancent, cherchant le stand du chocolat chaud. « J’ai testé et j’ai détesté venir en plein weekend. » Un rictus s’affiche même sur son visage en y repensant. « Je crois que je suis restée dix minutes, histoire d’essayer de trouver quelque chose… » Fronçant les sourcils, elle reprend : « Ah ! Non. Une jeune étudiante m’a accosté et m’a proposé de m’aider afin de dénicher un cadeau pour ma mère. » Carolina en lève les yeux au ciel. « Ça n’a pas été un moment évident, mais j’essaye de brandir le drapeau blanc. J’en ai assez de lutter avec elle. » Raphaël connait les grandes lignes de sa relation avec cette dernière, du moins, il lui semble qu’ils en ont brièvement discuté via messages. « Où est-ce que je mets toute la nourriture que j’avale ? » La psychiatre se met à rire. « Je suppose que c’est grâce aux sports ainsi qu’au stress, dû au travail. » C’est moins amusant d’aborder cet aspect-là. Puis, elle rougit à ses mots, croise son regard et retient sa respiration tandis qu’elle sent son souffle chaud contre son visage. Son cœur à même un raté avant de se mettre à battre à la chamade dans sa poitrine. « Oui. Tu as raison. » La brune essaye de se ressaisir. « Aucune révérence mon roi, pas tout de suite en tout cas. » Tirant légèrement sur son bras en remarquant le stand, elle lui souffle : « Regarde là-bas, à droite. Il me semble que c’est celui aux chocolats chauds ! » Montrer du doigt est impoli, alors elle lui désigne dans un mouvement de tête afin qu’il regarde dans cette direction. « J’espère qu’ils en préparent toujours ou qu’il en reste. Autrement, je ne réponds plus de moi ! » Elle plaisante, se met à rire et l’incite à s’y rendre, puisqu’il s’agit du meilleur qu’elle n’ait jamais bu.  

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