C'EST KLOUG
Dans la continuité de ce mois de décembre sous le thème, évidemment, des fêtes de fin d’année, quand à son travail on lui a demandé de préparer une bûche de Noël faite maison pour le repas qu’ils ont organisé. C’est spontanément qu’elle a songé à Sheng pour s’entraîner. Lier l’utile à l’agréable, toujours. Et parce qu’il est particulièrement de bonne humeur en ce moment, enclin à avec elle, passer du temps, elle n’a pas hésité à lui envoyer un message afin de lui proposer de confectionner les pâtisseries durant la soirée… Et plus si affinités. C’est un étrange compte à rebours, lorsqu’elle y réfléchit vraiment. A croire qu’elle met volontairement de côté le sujet compliqué du voyage chez ses parents.
Alors à la suite des quelques messages échangés, elle a quitté sa chambre de la Adams pour passer rapidement acheter les ingrédients nécessaires à la conception de leurs gâteaux. Tout du moins ceux qui figuraient sur la liste de la recette que sur le net, elle a trouvé. Une fois armée de sacs remplis de sucre et autres farines, elle a alpagué un taxi, balancé son adresse et laisser le chauffeur pour elle guider, la course de ses pensées. Les prunelles naturellement posées sur les lumières de Boston à la nuit tombée. Le trajet s’achève, et elle s’extirpe de la voiture, s’avance vers son bâtiment, si elle avait l’intention de sonner à son interphone, elle profite de la sortie d’un de ses voisins pour s’engouffrer dans l’entrée de l’immeuble. Dans l’ascenseur, elle grimace, toujours aussi peu à l’aise dans cet appareil, elle ne reprend sa respiration que lorsqu’elle touche à sa fin, son ascension. Une fois libérée, elle va écraser son index sur le bouton visant à signaler sa présence, elle l’avoue, à l’idée de le voir, elle sourit d’avance. Et elle exulte un soupir quand il ouvre et que de son regard il la couve. « Je pensais te trouver en tablier. » A la future compétition, déjà prêt.
Alors à la suite des quelques messages échangés, elle a quitté sa chambre de la Adams pour passer rapidement acheter les ingrédients nécessaires à la conception de leurs gâteaux. Tout du moins ceux qui figuraient sur la liste de la recette que sur le net, elle a trouvé. Une fois armée de sacs remplis de sucre et autres farines, elle a alpagué un taxi, balancé son adresse et laisser le chauffeur pour elle guider, la course de ses pensées. Les prunelles naturellement posées sur les lumières de Boston à la nuit tombée. Le trajet s’achève, et elle s’extirpe de la voiture, s’avance vers son bâtiment, si elle avait l’intention de sonner à son interphone, elle profite de la sortie d’un de ses voisins pour s’engouffrer dans l’entrée de l’immeuble. Dans l’ascenseur, elle grimace, toujours aussi peu à l’aise dans cet appareil, elle ne reprend sa respiration que lorsqu’elle touche à sa fin, son ascension. Une fois libérée, elle va écraser son index sur le bouton visant à signaler sa présence, elle l’avoue, à l’idée de le voir, elle sourit d’avance. Et elle exulte un soupir quand il ouvre et que de son regard il la couve. « Je pensais te trouver en tablier. » A la future compétition, déjà prêt.
MADE BY @ICE AND FIRE.
(Haiwee Wind River)