(aurea&wil) it's beginning to look a lot like christmas

it's beginning to look a lot like christmas

«  Te déguiser pour moi ? J’pensais pas qu’on pouvait continuer les jeux coquins tous les deux. » Comment dire que c’est impossible que t’es eu c’genre d’accord avec ta sangsue. C’est déjà exceptionnel qu’on arrive à passer quelques heures ensemble. Enfin non, j’suis mauvaise langue, ces derniers temps, étrangement, j’arrive à t’voir un peu plus. J’fini par lever les yeux au ciel à l’évocation qu’on puisse s’apprécier. «  J’crois pas au miracle. » Aussi froide que l’pôle nord en répondant. J’en ai pas l’envie, même pour toi. J’suis déjà au max de mes efforts à son égard. J’reprends ton bras pour avancer vers cette fameuse grande roue. «  Merde, j’suis dévoilée. J’espère qu’tu vas accepter que j’te piège tout de même. » Je n’y avais même pas penser, mais j’suis surprise que toi, tu y penses. Cela m’fait même sourire. Ce sourire taquin et coquin, celui que tu as si bien connu cet été. Voyant le stand, j’imagine m’poser pour faire un petit maquillage, mais t’en décide autrement avec une fessée, au milieu des gens qui gravitent autour de nous. Un petit cri d’surprise s’échappe de mes lèvres. «  Tu vas m’faire sortir les griffes attention. » Réveillez la tigresse en moi, c’est pas bon signe. Puis t’es devenu mon meilleur pote avec le temps. J’te traine jusqu’à la grande roue, s’installant dans sur le siège.

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« Je n’arrête pas de vivre ma chérie. » Mais au fond, elle avait raison. Les jeux coquins entre nous c’était terminé. Bien qu’en parler, en rire, était autorisé. Tant qu’on ne passait pas à l’action, je ne voyais pas où était le problème. Et j’espérais réellement qu’un jour elles puissent s’entendre. C’est dur d’avoir sa copine et sa meilleure amie qui ne s’entendent pas. « J’y crois pour tous les deux alors. » Parce qu’au fond, elles ne se connaissant pas. Il s’agit juste de jalousie mal placée entre les deux. Une petite discussion et ça ira mieux, j’en suis sûr.  Et tout en continuant notre petite sortie à travers ce marché de noël, ma main se retrouva à lui claquer une petite fessée. Juste pour rire. « Ces fameuses griffes… » Et je partis dans mes souvenirs de cet été. Quand elle me marquait, avec ces griffes. Quels bons souvenirs. Nous rentrions enfin dans la cabine de la grande roue. L’un à côté de l’autre, je la regardais et souris. Je ne me souvenais pas quand était la dernière fois que j’avais pu faire une telle chose. Une fois là-haut, je sortis mon portable, prêt à faire un petit selfie. Avec ma meilleure amie, et nous souvenir de cette journée. « Merci d’être passée, ça faisait longtemps. » Puis tout en me rapprochant d’elle, je mis le téléphone à bout de bras pour prendre un selfie. Puis je lui posais un baiser sur la joue aussi.

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