Les originesmexicaine par papa, allemande et colombienne par maman.
feat. CIERRA RAMIREZ
treize novembre quatre-vingt-dix-huit à stuttgart en allemagne
allemande
le palpitant piétiné, molesté, broyé. passé trop instable, trop déstructuré. pansexuelle.
sixième année d'astrophysique, serveuse en boîte de nuit
bonne réputation, belle allure, belle famille. aisée.
Le caractère
but she loves trouble,
she's drawn to the danger,
you bet you could change her.
le caractère est volcanique, l’âme est insolente. sur fond de violence, t’embrases les corps autour de toi, ton existence tout entière offerte à l’obscur, les leurs comme offrandes sous tes divins baisers. les caresses assassines, de belles paroles tu les bassines. le cœur pourtant souvent s’embrase, les pensées à trop rêver s’évadent. le palpitant menace d’exploser, la raison a envie de tout cramer. perdue en toi, perdue pour toi, tu te laisses entraîner dans cette valse endiablée pour te sentir vivre sans trop réfléchir. goût du danger trop prononcé, le frisson qui parcourt l’épiderme, l’excitation au creux des tripes ; tête baissée tu fonces dans le mur sans prendre le temps de te retourner, qu’importe ce qui demain pourrait arriver.
she's drawn to the danger,
you bet you could change her.
le caractère est volcanique, l’âme est insolente. sur fond de violence, t’embrases les corps autour de toi, ton existence tout entière offerte à l’obscur, les leurs comme offrandes sous tes divins baisers. les caresses assassines, de belles paroles tu les bassines. le cœur pourtant souvent s’embrase, les pensées à trop rêver s’évadent. le palpitant menace d’exploser, la raison a envie de tout cramer. perdue en toi, perdue pour toi, tu te laisses entraîner dans cette valse endiablée pour te sentir vivre sans trop réfléchir. goût du danger trop prononcé, le frisson qui parcourt l’épiderme, l’excitation au creux des tripes ; tête baissée tu fonces dans le mur sans prendre le temps de te retourner, qu’importe ce qui demain pourrait arriver.
Les anecdotes
ce foutu kidnapping,
et cette putain d’histoire d’amour.
le corps a morflé, abordé par ces pirates des terres, souillé par leurs immondes carcasses. ta mère a trimé. trimé sans l’avoir voulu, faite prisonnière en plein cœur du mexique, sous les coups de ses bourreaux. prostitution comme finalité de vie, elle qui rêvait de grandeur, de beauté, d’art. danseuse de ballet qui a mal tourné sans le vouloir, à jamais écorchée, mille fois elle a espéré y rester.
mais le bourreau s’est transformé en sauveteur. prince charmant sous couvert, le cœur a ses raisons que la raison ignore. perdu dans le regard azur de la douce allemande, le mexicain pour elle remuerait ciel et terre. des mois à planifier leur départ, leur fuite vers le pays germanique dont elle est originaire, avant de filer à la vitesse de la lumière vers de nouveaux horizons. oublier le passé, vivre d’amour, là-bas, loin des trafics, loin de cette mort qui lui était promise.
t’as jamais trop su en grandissant ce que tu devais en penser ; admirer ton père d’avoir eu le courage de tout plaquer pour la sauver ou le détester de l’avoir offerte la gueule ouverte à ces violeurs ? et plus les années sont passées, plus tu t’es perdue dans les pensées. parce qu’après tout, tout ce que tu peux en retenir, c’est que vous êtes là, ta sœur et toi, saines et sauves, et vos parents aussi.
et cette sœur, t’aurais voulu l’aimer à en crever ; t’aurais voulu la prendre en exemple, avoir des étoiles pleins les yeux en la regardant, l’avoir comme un véritable pilier dans ta vie. t’aurais voulu, mais c’est pas arrivé. jamais. parce que plus elle a grandi, plus t’as trouvé ses choix pitoyables. tomber enceinte, accoucher et tout plaquer. son mec, son fils. elle qui avait un avenir radieux au creux des bras, elle s’est défilée, embrassée par sa fragilité.
le rire a glissé à ses oreilles un millier de fois, les moqueries aussi. jamais tendre en sa présence, tu la maudis parfois de les avoir laissés. parce que toi, au moins, t’es restée. restée aux côtés de xavi et de côme, restée là sans t’enfuir, permettre à ce môme d’avoir une bribe de pedraza à ses côtés, une infime partie de l’adn maternel. le seul avec qui tu sois capable d’une tendresse exemplaire et d’un calme remarquable, le seul pour qui tu retournerais le monde tout entier s’il le fallait.
mais le bourreau s’est transformé en sauveteur. prince charmant sous couvert, le cœur a ses raisons que la raison ignore. perdu dans le regard azur de la douce allemande, le mexicain pour elle remuerait ciel et terre. des mois à planifier leur départ, leur fuite vers le pays germanique dont elle est originaire, avant de filer à la vitesse de la lumière vers de nouveaux horizons. oublier le passé, vivre d’amour, là-bas, loin des trafics, loin de cette mort qui lui était promise.
t’as jamais trop su en grandissant ce que tu devais en penser ; admirer ton père d’avoir eu le courage de tout plaquer pour la sauver ou le détester de l’avoir offerte la gueule ouverte à ces violeurs ? et plus les années sont passées, plus tu t’es perdue dans les pensées. parce qu’après tout, tout ce que tu peux en retenir, c’est que vous êtes là, ta sœur et toi, saines et sauves, et vos parents aussi.
et cette sœur, t’aurais voulu l’aimer à en crever ; t’aurais voulu la prendre en exemple, avoir des étoiles pleins les yeux en la regardant, l’avoir comme un véritable pilier dans ta vie. t’aurais voulu, mais c’est pas arrivé. jamais. parce que plus elle a grandi, plus t’as trouvé ses choix pitoyables. tomber enceinte, accoucher et tout plaquer. son mec, son fils. elle qui avait un avenir radieux au creux des bras, elle s’est défilée, embrassée par sa fragilité.
le rire a glissé à ses oreilles un millier de fois, les moqueries aussi. jamais tendre en sa présence, tu la maudis parfois de les avoir laissés. parce que toi, au moins, t’es restée. restée aux côtés de xavi et de côme, restée là sans t’enfuir, permettre à ce môme d’avoir une bribe de pedraza à ses côtés, une infime partie de l’adn maternel. le seul avec qui tu sois capable d’une tendresse exemplaire et d’un calme remarquable, le seul pour qui tu retournerais le monde tout entier s’il le fallait.
- Code:
<div class="card-user-bottin-dudley"><dudley class="text-s-bebas text-upper">CIERRA RAMIREZ</dudley><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Vega Pedraza"</span></div>
(Anthea Oppenheimer)
— you'll be the ruin of me, won't you ?
— yes. does that scare you ?
— yes. does that scare you ?