Can you feel my happiness when you're here with me ? / PRIAM /

Can you feel my happiness when you're here with me ?

@Priam Lubbers

TW : aucun pour ce premier poste
Emanuela avait passé une journée excessivement longue, car elle travaillait sur un dossier, et cela, au bureau, afin de recouper toutes les informations d’une récente scène de crime. Comprendre le mode opératoire de l’assassin, commencer à voir se dessiner un profil psychologique, elle s’y attelait avec acharnement, jusqu’à se tirer les cheveux, pour réfléchir plus vite, ou encore mieux. Puisque malgré ses heures à lire et relire les dossiers, elle ne savait pas à qui ils avaient affaire, pour le moment du moins. Une fois rentrée dans les alentours de dix-huit heures trente, l’italienne d’origine a passé une tenue de sport afin d’aller courir, comme à son habitude. Elle a ce besoin de se défouler après une pareille journée à n’être restée qu’assise pour faire travailler ses méninges. Et c’est dans les alentours de dix-neuf heures trente - une heure plus tard - qu’elle émerge chez elle, dans le but de prendre une douche et de s’habiller pour recevoir Priam. Qui est-il réellement ? Que fait-il ? La blonde n’a aucune certitude et elle se demande même si elle l’a déjà interrogé à ce propos. De plus, il n’y a qu’une seule chose qui compte à ses yeux : leur relation qui lui convient parfaitement. Il n’y a aucune prise de tête entre eux, ni le moindre engagement. Ils se contentent de passer du bon temps ensemble.
Sa douche prise, son corps à présent sec, elle ne prend pas le luxe de s’occuper de ses cheveux encore mouillés, bien qu’ils ne dégoulinent plus sur son corps recouvert d’un t-shirt accompagné d’un short court, idéal pour se sentir à l’aise chez soi. Dans la cuisine, elle farfouille dans son frigo, puis ses placards afin de débusquer quelque chose à manger, quand elle se rend compte qu’il est vingt heures et qu’il va arriver, puisqu’il est déjà venu à son domicile.
— « Merde. Je suis en retard. » Elle se dit à elle-même quand on frappe à sa porte et qu’un sourire se dessine sur son visage. Accourant jusqu’à son entrée, elle l'ouvre tandis que son dit sourire s’élargit sur son visage dès qu’elle l’aperçoit. « Salut beau mec. Entre. » Elle fait un pas de côté pour qu’il avance puis ferme derrière eux, avant de lui demander : « As-tu dîné ? Je meurs de faim. » Après tout, il n’est pas près de s’en aller et par ailleurs, elle pourrait commander, plutôt que de mettre quelque chose à réchauffer dans le micro-ondes.

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@Emanuela Reina Pucci

Je venais de finir ma petite journée, différente de celle d'hier. C'est ce que j'aime principalement dans ma vie. Mes journées sont longues mais sont rythmées de différentes manières. Ce matin je me suis réveillé pour aller à la salle de boxe. J'ai passé deux bonnes heures à préparer le matériel avant de recevoir certains nouveaux clients puis des habitués que j'entraine quotidiennement, comme de grands boxeurs professionnels. Puis à 17h après avoir laissé ma place au second coach de la salle, j'ai fais mes petites livraisons. J'ai vu des femmes, j'ai bu des verres avec elles mais je ne me suis aucunement drogué. Ce soir j'ai rendez-vous avec Emanuela, enquêtrice, bref une flic quoi. Rien que de me dire que j'avais rendez-vous avec elle, sans même savoir qui elle a en face d'elle me faisait saliver. Bien évidemment le but c'est qu'elle ne le découvre jamais, de toute façon je sais protéger ce qui m'appartient de droit. Ce règne je l'ai construit seul à la sueur de mon front. Une fois ma petite après-midi terminée, je rentre chez moi pour me prendre une douche. Je m'habille, me coiffe, me parfume avant de prendre ma veste et de quitter mon appartement. Cette fois-ci direction l'appartement d'Emanuela. Cette femme au-delà de son métier semblait mystérieuse et incroyablement belle. Sur le chemin, je m'arrête à une épicerie prendre une bouteille de fin. Perdu dans mes pensées je m'avance jusqu'à chez elle. Une fois devant son appartement, je n'ai pas besoin de sonner à l'interphone car la porte d'en bas semble déjà ouverte. Je m'introduis dans la cage d'escalier avant de monter à son appartement. Lorsque je sonne à sa porte elle semble s'activer derrière celle-ci. Lorsqu'elle m'ouvre la porte de chez elle, je la voit complètement naturelle. Habillée d'un t-shirt long et d'un short assez court, les cheveux encore partiellement mouillé, elle est divine. J'ai toujours eu un grand faible pour les femmes naturelles, sans artifices, sans maquillage et qui ne font pas de ma venue un graal.
Salut, j'adore les cheveux mouillés. Je continue de m'avancer à l'intérieur de son appartement, sans même dire cette phrase de manière moqueuse. Bien au contraire, je semble très franc. Je t'avoue que je n'ai pas encore diné, et j'ai très faim aussi ça tombe bien. Je respecte pour l'instant le diné qu'elle souhaite nous préparer. Je couche avec beaucoup de femmes, mais je ne suis pas le genre de gars à baiser puis détaler après. Les discussions font aussi parties du jeu de ces dames. Je décide d'enlever ma veste pour la garder sur le bras, dévoilant le haut de mon corps entièrement tatoué du cou jusqu'aux mains. Tu veux peut-être que je t'aide, ce serai plus sympa. Je m'avance vers sa cuisine d'un pas confiant, en me mettant légèrement en retrait en attendant son autorisation, un sourire en coin.

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@Priam Lubbers

TW : aucun pour ce premier poste
L’enquêtrice n’est pas nerveuse, seulement un peu à la bourre, car elle ne pensait pas ouvrir sa porte d’entrée sans être un minimum préparé : c’est-à-dire avoir ses cheveux secs et coiffés. Le maquillage, il l’importe peu et elle n’en met que lors d’événements, de soirées auxquelles elle est invitée. Autrement, c’est naturel qu’elle se rend au travail, que cela plaise ou non à ceux qui l’entourent. Un sourire présent sur son visage de poupée, ses iris emplis de scintillements, la blonde sourit davantage au compliment de Priam quant à sa chevelure. Cela lui fait plaisir tandis qu’elle cale une mèche folle derrière son oreille tout en fermant la porte à clé. Elle en a fait de même plutôt, avec celle de son bureau puisqu’il s’y trouve des dossiers confidentiels : ceux qui appartiennent à la police et ainsi, ne doivent être vu ou lu par personne.
— « Merci. Ravi de te plaire sans artifice. » Elle prononce, enjouée, alors qu’elle se trouve dans son dos et le scrute. Sa musculature est parfaite, comme elle se l’est remémoré toute la journée. Priam est beau, musclé ainsi que tatoué et il discute sans mal, sans la moindre réserve pour passer immédiatement à des activités sexuelles et cela lui plait. Bien sûr, parfois, elle aime lui sauter à la nuque dès qu’il passe la porte, mais aujourd’hui, elle n’a pas encore dîné alors, elle lui propose qu’ils mangent ensemble. « Super. Je t’invite. » La belle répond, souriant toujours pour le fixer tandis qu’il garde sa veste sur son bras. « Je peux te débarrasser, tu sais, ou tu peux la déposer sur le canapé. » Elle s’arrête durant une fraction de seconde, puis ajoute : « Fais comme chez toi. » Avant de rejoindre la cuisine. Soupirant, elle se dit qu’il vaudrait mieux qu’ils commandent, mais l’idée qu’ils cuisinent ensemble lui semble être une superbe idée. « OK. Je pensais commander des pizzas ou autre, mais je suis certaine qu’on va trouver de quoi faire dans mes placards, ainsi que mon frigo. » Sans que cela soit périmé, elle devrait l’ajouter, puisqu’elle cuisine peu et se contente de réchauffer des plats. « Est-ce que tu aimes les défis ? » Elle l’interroge, son regard empreint de malice, tandis qu’elle s’appuie sur l’évier de la cuisine à l’aide de ses deux mains, son regard ancré dans le sien. « J’ai du riz en sachet, des œufs, du thon aussi, des pâtes… » Elle se stoppe et réfléchit, les lèvres pincées tandis qu’elle fixe le plafond. « … Et il doit y avoir de quoi faire dans le frigo, si on veut préparer une sauce pour manger des pâtes. Tu aimes cuisiner ? » Emanuela l’interroge pour lui tourner le dos et se laver les mains. « Ce n’est pas une de mes passions, car je n’en ai jamais le temps. » Elle se confie à lui, sans que ce soit réellement personnel. La belle flic adore que ce soit fluide entre eux, simple et sans conséquence et étrangement, elle lui fait confiance, à Priam.

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@Emanuela Reina Pucci

En arrivant chez Emanuela je sentais déjà qu'elle me regardait en coin. Je sentais son regard sur moi et dieu sait que j'aimais beaucoup trop ça. J'avais l'habitude que les femmes qui me plaisent aient elles aussi de l'attirance pour moi en retour. Je venais à l'instar de toucher un bon point, mais fallait dire qu'emanuela été vraiment une femme somptueuse. Qu'elle soit maquillée, démaquillée, habillée, nue ou autre elle restait divine. J'écoutais ce qu'elle me disait tout en me mettant à l'aise. En l'écoutant parler je décide d'enlever ma veste doucement afin de laisser entrevoir toute ma musculature. Elle était déjà dans la cuisine, mais je savais qu'elle pouvait toujours me voir depuis son positionnement. Une fois, ma veste posée, elle était déjà entrain de fouiller dans le frigo enfin de trouver quelque chose de potable à manger. Tandis que moi, je réfléchissais déjà à comment je pouvais jouer avec ses nerfs, dans cette somptueuse cuisine. J'avais cette putain de tendance à aimer titiller les nerfs et la libido des femmes avec qui je passais d'agréable moments. La véritable question, c'est : qui n'aime pas les défis ma belle ? Je pense largement pouvoir faire quelque chose de potable, t'inquiètes pas pour moi ! Si je n'avais pas choisis professionnellement le côté sexy du bad boy, j'aurai été chef de cuisine. . Je me mis à rire tout seul, en me mettant à imaginer ce qu'elle pouvait croire dans sa tête que je fais comme métier. Je m'avança rapidement vers l'évier, pendant qu'elle était entrain de se laver les mains. Une fois vers elle, je décide de rapprocher mon corps afin de caler mon bassin contre ses fesses et de passer mes deux bras autour d'elle. Je remonte rapidement mes manches, laissant entrevoir tous mes tatouages, afin de glisser mes mains sous l'eau en même temps que les siennes. Ma tête posé sur son épaule droite, tout en la regardant du coin de l'oeil, je souris, me mordille la lèvre pour reculer une fois terminé. Je m'essuie rapidement les mains, afin de chopper tous les aliments du frigo dont nous aurons besoin.

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@Priam Lubbers

TW : désir sexuel - attirance - envie
Ses cheveux encore humides, Emanuela intime Priam de se mettre à l’aise. C’est ainsi qu’elle préfère leurs instants à deux et il n’hésite pas à déposer sa veste sur le canapé, comme elle le lui a proposé. Se trouvant dans sa cuisine ouverte, elle lui jette quelques regards lorsqu’il se trouve dans le salon pour également fouiller dans ses placards. Il y a de quoi faire, ce qui est encourageant, dans le fond. Puisqu’une telle activité avec lui donne des idées à la blonde dont le regard est empli de malice. Peut-être pourront-ils se titiller, se chercher tout en cuisinant, afin de rendre leurs retrouvailles physiques meilleures, c’est du moins ce qu’elle espère. Non, ce qu’elle croit. La belle ne doute pas du pouvoir de Priam quant à la faire se sentir toute chose, quant à le désirer, puisqu’il est évident que c’est aisé, pour lui, de la mettre dans un pareil état. Il faut dire qu’il a de quoi se faire reluquer et c’est d’ailleurs ce qu’elle fait constamment, lorsqu’ils sont ensemble. Ses mains déposées sur son évier, à l’invite à un défi : celui de leur préparer leur repas de ce soir. Seulement, ils vont devoir le faire conjointement et c’est cela qui l’émoustille. Rien qu’à cette simple idée, elle voudrait sautiller sur place, mais elle ne le fait pas et reste impassible.
— « C’est vrai que j’adore, à titre personnel, les défis. » Elle répond dans un doux sourire, son regard ne quittant à présent plus le sien. « Parce qu’être un bad boy avec un côté sexy est un travail, c’est vrai ça ? » Elle l’interroge, pour laisser éclater un rire, avant de s’interroger sur ce qu’il fait dans la vie de tous les jours. « Au vu de ton corps, de ta musculature, je pense que tu travailles dans le sport. Le fitness. » Puis, elle lève ses mains en l’air et lui assure : « Je n’ai rien recherché. Rien fouillé. Je préfère le deviner toute seule. Tu me diras si un jour, je tombe juste ? » Elle le questionne pour lui tourner le dos et se laver les mains. C’est un principe de base en cuisine. Et tandis qu’elle les frotte, elle sent son corps brûlant se caler contre le sien. Son bassin contre ses fesses la fait soupirer d’aise. Elle en clôt même ses prunelles claires avant de les rouvrir et de répondre à son sourire. Elle voudrait que cet instant perdure seulement, il rompt leur étreinte, retire son menton de son épaule et s’essuie les mains, pour se saisir de tout ce dont il a besoin. « Je vois que tu choisis le poste de chef, alors je suis ton commis. » La belle commence, pour poursuivre, usant de son regard incendiaire : « Je ferai absolument tout ce que tu me demandes. Je suis à tes ordres. À ta merci. » Puis, usant de sa voix suave, elle termine : « Je te suis presque soumise, chef. » L’affublant d’un clin d’œil complice, elle se saisit d’une spatule pour enrouler ses cheveux et ainsi, les avoir attachés, afin de cuisiner.

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@Emanuela Reina Pucci

Tw : Désir sexuel - Attirance - Envie

Elle venait de taper dans le mille, enfin ça c'est ce qu'elle croyait. Grand, musclé, j'étais donc forcément dans le sport. C'est vrai que ma musculature et mon corps m'ont toujours permis de ne pas me faire remarquer. Une si belle gueule, un beau regard bleu, autant de tatouage et a priori une bonne situation financière sans outrepasser les excès c'était forcément une bonne personne, pas quelqu'un qui pouvait traîner dans des univers illégaux. "Dis-moi ma belle, tu ne serai pas flic par hasard ? Juste en m'observant tu as trouvé mon métier, je te félicite. J'espère que c'était pas trop compliqué à trouver." 
J'aimais réellement me moquer d'elle, avec un regard et un ton dragueur et elle connaissait assez bien mon tempérament pour comprendre. Tout en lui parlant, je décide de me rapprocher d'elle petit à petit tout en gardant mon regard fixé au sien. En arrivant à sa hauteur, je me rendais compte que je la dépassait légèrement et je trouvais ça plutôt mignon. J'attrape au passage ses deux mains, pour les faire passer sous mon t-shirt. En serrant légèrement ses mains, je sentis ses ongles sur ma peau descendre jusqu'à mes obliques, proche de mon jean. En enlevant moi-même ses mains, je souris tout en arquant un sourcil, histoire de lui faire comprendre que je prenais en main ce petit jeu et que si elle aimait tant que ça les défis, ce soir nous allions jouer. "C'est bon pour toi ? Je suis assez musclé pour un coach sportif."
Tout en m'éloignant d'elle et en lui tournant le dos, j'arrivais à sentir son envie. Notre envie en réalité de nous sauter l'un sur l'autre. 
Lorsqu'elle me voit attraper tous les ingrédients elle comprend rapidement la répartition des tâches, mais elle décide surtout de me faire comprendre qu'elle sera à mon service. C'est à ce moment là que je me frotte les mains, dans ma tête mon cerveau saute dans tous les sens et un milliard d'idée me vient en tête, elle ne le sait pas encore mais elle va finir par me détester. J'ai cette facilité d'exciter les femmes sans jamais rien leur donner, jusqu'à qu'elles me supplient d'aller plus loin. 
Lorsqu'elle me dit cette fameuse phrase que je garderai en tête toute la soirée, je me rapproche d'elle. Je la recule contre son plan de travail, avant de la porter doucement pour qu'elle s'installe dessus. Une fois, emanuela assise je me mets entre ses deux cuisses, pour être le plus collé à elle possible. En soulevant ses cheveux à l'aide de mes mains, je viens souffler doucement dans son cou, une respiration lente, contrôlée et chaude. Une fois dans son cou, je remonte doucement jusqu'à son oreille avant de lui chuchoter, son premier défi vu que madame est joueuse. 
"Tu as envie de jouer avec moi ce soir ? Alors nous allons jouer. Tous les défis qu'on souhaite se donner, et on est dans l'obligation de les faire. Je commence : tu vas enlever tes vêtements et cuisiner en culotte." 
Tout en lui disant son défi, je l'embrasse légèrement dans le cou. Je lâche ses cheveux, pose mes mains sur ses cuisses pour venir former une pression sur celles-ci. "A toi de jouer, Em." 
Je m'enlève d'entre ses jambes, pour attraper une poêle et un couteau. Je souris en coin, tout en l'observant.  

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@Priam Lubbers

TW : désir sexuel - attirance - envie
L’enquêtrice à la criminelle déteste cuisiner. Elle peine déjà à réchauffer quelque chose sans le brûler, alors, préparer un plat, même pas en rêve ! Seulement, avec Priam, c’est autre chose. Sans doute parce que qui dit ustensiles dit fouet et spatule, ou encore que cela signifie que Priam va lui démontrer ce qu’il est capable de faire. De plus, ne dit-on pas que les hommes sont sexy lorsqu’ils cuisinent ? Il paraît, où du moins, elle a déjà entendu cette expression à quelques reprises.
— « Hm… » La blonde plisse des yeux tandis qu’il se moque ostensiblement d’elle. « Je crois que je pourrais être détective privée. C’est encore mieux, vu qu’avec une simple observation, j’ai trouvé ce que tu faisais. » Puis, elle lui montre le bout de sa langue, la lui tirant. « Je finirais par savoir, ce que tu fais. » Elle en croise les bras et appuie ses propos dans quelques hochements positifs de tête, quand il arrive à sa hauteur et qu’ils se fixent, droit dans les yeux. Évidemment, il est plus grand qu’elle et c’est par ailleurs une des choses que la blonde apprécie. Alors ses iris clairs présents dans les siens, elle patiente pour sourire tandis qu’il se saisit de ses mains pour les placer sur ses abdominaux. Est-ce agréable de les avoir sur un homme aussi musclé ? Oh que oui ! D’ailleurs, elle en mordille sa lèvre inférieure, la policière, tandis qu’il les fait descendre sur lui, jusqu’à ce qu’elle sente la lisière de son jean. « Laisse-moi réfléchir. » Elle fait mine d'y songer. « Je crois qu’il te manque un peu de masse musculaire encore. Tu es à deux doigts de pouvoir devenir coach sportif. Si tu le veux, je te donnerai des conseils. » L’affublant d’un clin d’œil complice, elle sent une certaine chaleur envahir son être, se propager dans son corps quand il s’éloigne pour lui tourner le dos. Poussant un soupir, elle le reluque tandis qu’il se saisit des ingrédients et qu’elle, s’essaye à l’exciter avec ses mots, sa façon de se mouvoir. Car elle lui assure qu’elle sera sa commis et qu’elle fera tout ce qu’il souhaitera usant de termes qui lui font clairement comprendre son désir, son envie. Reculant alors qu’il s’approche à nouveau, elle se laisse porter sur le plan de travail pour écarter instinctivement ses cuisses. Ce faisant, elle frissonne aux contacts de son bassin contre le sien.