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Ô douce vengeance quand tu nous tiens | Kaleigh

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La soirée qui, dès le début avait battu son plein s’était soldée par un cuisant affront envers ma personne. En effet, mon outrageante et sensuellement séduisante partenaire s’était vue offensée par une pimbêche inconnue de mes neurones. Outre le fait de m’évincer littéralement de notre soirée, ma belle avait fui en compagnie de l’autre diablesse pour, soit disant, nettoyer sa robe. Si j’avais été moins naïf, j’aurai dû relever le subterfuge. Hélas, quand il s’agit de comprendre le théorème de l’énergie cinétique, j’y mets toutes mes tripes mais les sentiments humains…ce n’est guère pour moi. Ainsi, je m’étais retrouvé seul au milieu de tous ces couples. Kal’ me le payerait, d’un moyen ou d’un autre. Je me vengerai en la privant de quelque chose qui lui tient à cœur, peut-être jouer avec mon corps d’apollon serait une formidable punition ? Hélas j’étais trop faible. Cette nana me rendait dingue, elle me bouffait jusqu’à la moelle pour laisser ressortir le côté gnangnan des mecs. Oui, j’attendais de passer la fin de la soirée en sa compagnie mais non je ne lui avais pas encore pardonné sa traîtrise. De ce fait, à la suite du bal, j’avais innocemment recouvert ses épaules de son délicat manteau et bandé les yeux pour la conduire en un lieu dont je le réservais la surprise. L’Eliot s’était laissée faire, sûrement enivrée par ce jeu auquel nous nous adonnions souvent.

« Je t’emmène là où tu pourras combler le plus charnel de tes désirs.»

Je n’avais point fait attention au fait que sa robe soit tâchée, s’était-elle changée ? Mes yeux ayant à peine balayé sa tenue, je n’en étais point sûr. Mais, peu importe, ce que je lui réservais n’impliquait pas quel soit en beauté. Nos pas s’engagèrent donc vers Charles River. Avant la bassesse que cette attachante garce m’avait faite, j’avais pour idée de nous réserver une somptueuse suite dans un des palaces du coin, mais, dès lors, les choses avaient changé. Je m’apprêtais à la plus douce des vengeances et, comme beaucoup le savent, ce plat se délecte froid. Je m’en léchais d’avance les babines. Bientôt, nous longions la rive, la légère brise environnante s’engouffrant dans nos cheveux. J’avais ôté mon masque qui siégeait désormais dans l’une des poches de mon costume. Ma veste de sportif dont Kaleigh n’avait pu me priver trônait sur mes épaules désormais. Tel un fier conquérant, j’avançais entre les touffes d’herbe rase sous mes pieds. Nous arrivâmes dans un coin qui me semblait alors adéquat. Un ponton se dressait devant nous et, j’attirais ma belle vers celui-ci. La serrant amoureusement entre mes épaules, je glissais ma main sous ses jambes pour la soulever du sol. Là, son reflet se dessinait dans l’eau simplement éclairée par la lune scintillante. Mes lèvres parcoururent sa joue, sous ce bandeau que je n’avais pas ôté, elle ne pouvait me voir seulement me sentir. L’instant d’après, je lâchais prise et laissait la prétentieuse s’enfoncer joyeusement au milieu de la rivière. A cet endroit-là, nous avions pied, je le savais. Mon visage s’étira en un immense sourire, je croisai les bras et attendais la réaction de l’insubordonnée.

« Je vais t’apprendre à m’abandonner ma puce. Ce comportement n’est pas digne de toi, voila de quoi te faire retrouver tes esprits. »

Cependant, en gentil homme que je suis, je m’approchais de la rive, m’accroupissant afin qu’elle puisse se cramponner à ma main tendue pour se sortir de là. Je lui prêterai sûrement ma veste qu’elle détestait pour qu’elle se réchauffe puis ensuite mon corps.
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J'étais tombée amoureuse d'elle. Et le jour où je l'avais compris était celui ou elle avait rompu. Je suis loin d'être une sainte, j'en ai bien conscience. En revanche, je peux affirmer n'avoir rien fait de mal ce soir. Elie-Sara, par simple jalousie avait décidé de mettre un terme à notre relation. J'étais blessée, vexée et furieuse. Mon égo en avait pris en coup. Je ne réalisais pas très bien, je crois. Car la seule chose qui importait à ce moment était non pas le fait que nous étions séparées mais bel et bien la manière dont elle m'avait jeté. Je lui ai prononcé deux mots, un simple je t'aime que je ne pensais pas venir aussi tôt et elle était partie quand même, me laissant dehors avec pour seule compagnie le bruit de ses pas me fuyant, sa douce silhouette disparaissant dans l'obscurité et l'amertume sur le coin de mes lèvres. Je l'ai haï de tout mon être, rêvant de la faire souffrir, de lui faire regretter son acte et puis j'avais compris, lors d'une danse avec Sasha à quel point Elie avait été raisonnée, intelligente, bien plus que je ne l'avais jamais été. C'est en plongeant dans les prunelles de mon doux que j'ai compris que les choses pouvaient désormais être comme elles devaient être. La culpabilité d'avoir commis un adultère me rongeait certes depuis longtemps, je n'étais cependant pas assez stupide pour me confesser auprès de mon valentin. Nous n'avions pas besoin de ça. Nous pouvions être heureux. Je devais être heureuse. Pourquoi diable n'y arrivais-je pas ? Comment Elie pouvait-elle occuper mes pensées alors que j'évoluais dans les bras de Sasha ? Comment son visage pouvait-il s'imposer lors de nos œillades amoureuses ?

« Je t’emmène là où tu pourras combler le plus charnel de tes désirs. » « Si tu enlèves cet affreux blouson, rien ne pourrait être plus parfait... » Répondis-je, yeux bandés, le sourire au coin des lèvres.

Sasha savait pertinemment qu'il s'agissait d'un compliment, que c'était là notre façon de communiquer, nous aimions nous provoquer, semble t-il. Ou alors ma franchise prenait le pas sur le reste. J'avais beau critiquer son blouson dès que l'occasion s'en présentait, il n'empêchait point que je le lui réclame du regard dès que j'avais un peu froid et surtout lorsque je portais fièrement ma tenue de pom-pom girl, trop légère pour me permettre d'affronter l'hiver. J'adorais la spontanéité de Sasha, c'est une qualité que j'appréciais chez lui, il me surprenait toujours et je savais dans ces moments que subsistait encore la flamme qui nous avait réunis à nos tous débuts, celle dont je doutais un peu plus, jour après jour. Néanmoins, lorsque je sentis le froid environnant et mes talons s'enfoncer dans la terre, je me mis à soupirer.

« Qu'ai-je encore fait ? » Il y avait un truc, un piège, quelque chose derrière ce visage parfaitement asymétrique et ses traits d’Apollon. Son esprit tordu avait manigancé quelque chose que j'essayais de découvrir. « Ma robe est déjà foutue alors si je dois aussi enterrer mes chaussures, je te le ferais payer. » Et puis, entendant des bruits d'eau, je fronçais les sourcils, totalement perdue. « Qu'est-ce que... » Ajoutais-je en entendant le bruit de mes talons sur ce qui semblait être du bois. Ou pouvions nous être ? Sasha savait que je détestais être prise de court, que je voulais tout contrôler et qu'à défaut de le faire, me laisser au moins voir était la moindre des choses. Comment contrôler mes réactions et mes émotions si je ne peux rien distinguer ? Les bras de mon cher et tendre me soulevèrent alors et je pris soudainement peur, ne pouvant voir ne serait-ce qu'un peu ce qui se passait aux alentours. Je me sentis alors lâchée dans le vide et hurlais jusqu'à m'engouffrer dans l'eau et je me mis à paniquer, essayant d'arracher le bandeau qui me couvrais les yeux, bénissant le fait d'avoir retiré mon masque avant d'avoir accepté cette idée stupide. Pourquoi n'avais-je tout simplement pas décidé de fermer les yeux, tout simplement ? Il faut toujours qu'on fasse nos excentriques... la main tendue de mon petit-ami m'attendait gentiment alors qu'il me dévisageait, visiblement ravi de son acte.

« T'es con ou tu l'fais exprès ?! Vas te faire foutre ! » Je regagnais la rive par moi-même, sentant l'eau dégouliner sur mes épaules et le froid faisant claquer mes dents. « Ramène-moi au campus. » Aboyais-je, séchant mes cheveux tant bien que mal.
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J'avais eu ma vengeance, cependant, je n'arrivais point à la savourer. Pourquoi avais-je voulu manger Kaleigh à cette sauce ? L'eau ça mouille, c'était sûrement mieux que ma première idée, l'immoler, elle en serait ressortie beaucoup moins sexy. De plus, je n'avais aucune envie de lui faire du mal car je l'appréciais, énormément. Cette fille, je l'avais dans la peau. elle m'avait marquée au fer de ses forts somptueux ongles et je ne pouvais m'en détacher. J'étais hypnotisé, littéralement. Peut-être m'avait-elle jeté un sort pour que finisse aussi bas que terre ? Jamais je n'avais été de la sorte dépendant d'une nana, ô grand jamais ! Quelle honte pour moi. Et, même si notre relation n'était pas la plus saine qu'il soit, elle restait chère à mon coeur, elle me collait aux entrailles. Je ne pouvais m'en faire, elle s'était indubitablement infiltrée en moi comme si je ne pouvais jamais m'en défaire. A vie, j'étais hapé par la force de cette déesse que j'avais malencontreusement mouillée. Ainsi, je voyais assez bien à travers ses vêtements mais mon regard se porta sur son visage effarouché de colère. Je n'avais pas fait ce qu'il fallait...J'étais un gros joueur mais un mauvais manipulateur, mes plans étaient voués à l'échec car, je l'avais humilié et faire pareil tort à l'une de mes copines, notamment à l'Eliot ce n'était pas mon genre. J'observai de ce fait mon chienne (xD) toute penaude et trempée qui me renvoya de cinglantes remarques en pleine tronche. Je le méritais, j'en étais conscient. Cependant, j'avais choisi une autre voie par la suite, elle ne pouvait se tirer aussi dignement à cet instant. Car, j'avais imaginé tout un stratagème pour me faire pardonner.

Un sourire aux lèvres, je ne répondais pas à ma promise mais laissais faire la magie du décor qui s'offrit à nous. J'avais imaginé un plan qui ne laisserait pas la belle de marbre. Pour me faire pardonner, pour qu'on oublie nos querelles, nos tromperies. J'avais envie d'être parfait ce soir-là, alors, j'avais sorti le grand jeu. Caché derrière la rangée d'arbres qui nous bordait se dressait notre soirée. Une table avait été mise, munie de grands chandeliers, d'assiettes bon chic bon genre et de mets plus délectables les uns des autres. J'avais convié le champagne à notre table avec de joyeux musiciens nous ravissant de notes de violons et de flutes. J'aurai préféré du bon vieux métal mais je ne voulais pas offusquer ma princesse en cette belle nuit. Non loin, une cabine de fortune trônait ainsi qu'une somptueuse tenue dans laquelle j'avais dépensé pas mal de mes économies. Heureusement que je n'étais point pauvre. Elle brillait de mille feux et ravirait Miss Reagan de part sa prestance, mettant un peu plus en valeur sa beauté naturelle et qui vous hypnotise à tel point qu'on ne peut s'en détacher. « Tu veux toujours m'abandonner Kal' de mon coeur ? » ajoutai-je l'air malheureux. « Excuse-moi chérie mais je voulais tellement être original pour une fois. J'avais envie que tu sois heureuse et de te prouver que je peux être autre chose que ton sex toy personnel »

Je n'avais jamais été doué pour retranscrire oralement mes émotions bien que là, elles me cernaient, je ne pouvais les semer. Ainsi, je m'avançais vers la donzelle, lui tendait la toilette. Je lui ouvrais ensuite la porte de la cabine de fortune intimant aux musiciens de s'éloigner. Je ne savais si elle serait mienne et s'approcherait mais, même si ma surprise manquait de ce brin de folie qui caractérise les hommes romantiques, je m'étais admirablement creusé le ciboulot.

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J'étais vexée et en colère, comment Sasha osait-il me faire ça ? Comment osait-il me mettre dans une telle situation, me faire un tel affront ? L'avais-je mérité ? Sûrement pas. Notre jeu de pouvoir allait beaucoup trop loin, c'était de mal en pis. Nous aimions avoir raison, dominer l'autre. Sasha désirait récupérer sa place d'homme dans notre couple, il voulait être le décisionnaire de mes actes et n'avait visiblement pas apprécié que je le laisse une dizaine de minutes au bal, ce que je trouvais particulièrement injuste et exagéré. Les cheveux trempés, je fulminais de rage avec l'envie folle de lui en coller une et pourquoi pas de le pousser dans l'eau dans son magnifique costume à son tour et observer son visage déconfit face à cela. Pouvait-il au moins feindre le regret ou la compassion ? Un mince sourire s'étendait sur ses lèvres, provoquant et arrogant, tout comme l'image qu'il projetait de l'extérieur. Essayant de m'avoir par les sentiments, je brûlais d'envie de lui claquer au nez ma liaison avec la jeune femme, même si nous venions présentement de rompre à la soirée de la Saint Valentin une demi-heure plus tôt. Néanmoins, je me retournais, Sasha ayant attisé ma curiosité. Il avait parfois l'esprit tordu, ce brin, cet éclat de folie qui le caractérisait tant, cet œil plein de malice qui ferait fondre n'importe qui. Arquant un sourcil, je le vis s'avancer vers moi, me tendre ma toilette et me désigner du regard avant de me l'ouvrir, une cabine, sortie de nulle part et je remarquais à cet instant un point de lumière qui attira de nouveau mon attention, éclairant une magnifique petite clairière dans laquelle se dressait une table et des musiciens en costume que mon petit-ami priait de s'éloigner. Je me demandais immédiatement si j'avais bu, me disant qu'une telle scène n'avait lieu que dans les films romantiques qui ennuyaient tant Sasha mais dont il avait du s'inspirer quelques temps plus tôt afin de préparer cette incroyable surprise. Il avait le don de retourner toutes les situations à son avantage et je fus immédiatement sous le charme de mon étonnant petit-ami, ce qui me rappela pourquoi j'en étais tombée folle et ce qui m'avait poussé à rester dans ses bras tout ce temps alors que mon cœur s'était tourné vers une jeune et jolie jeune femme qui m'avait plaqué dans la soirée et qui visiblement ne se souciait pas autant de moi que lui.

Je me sentis vraiment à l'étroit dans cette cabine de fortune et respirais bruyamment, ayant peur de me changer dans un tel endroit, peur d'attraper des microbes et de toucher des insectes. Je frissonnais à l'idée de me salir encore plus que l'eau m'avait trempée. Je me calmais à la vue d'une pochette dans laquelle trônait visiblement ma tenue de rechange. Allumant alors la lumière (comment était-elle alimentée?), je me pressais de l'ouvrir et découvris, bouche-bée une magnifique robe pendue à un cintre. Cette robe était mille fois plus belle que celle que je portais et je me sentis soudainement laide comme un pou, enrobée d'un tissu informe qui accentuait mes poignées d'amour. Dans mes affaires de toilette, j'attrapais mes sous-vêtements et me demandais si Sasha avait eu l'audace de fouiller dans mes tiroirs. J'arrêtais de me torturer l'esprit et enfilais ma tenue et me maquillait. Les courbes du tissu tombaient à merveille sur mes reins, soulignant ma fine taille et la finesse de ma poitrine. J'en tombais immédiatement amoureuse et restais quelques instants dans l'espace confiné pour m'admirer, sourire et le réprimer aussitôt pour sortir de la cabine sous les yeux ébahis d'un Sasha visiblement ravi d'avoir su trouver la robe parfaite. « Dis tout de suite que l'autre ne te plaisais pas. » Dis-je, en levant les yeux au ciel, les cheveux brossés et attachés, commençant à sécher, mettant en valeur ma nuque et ma douce clavicule. « C'est la Saint-Valentin. » Dis-je, plongeant dans ses douces prunelles illuminées par la découverte de son présent sur sa petite-amie. « J'te ferais la tête plus tard. Rattrapes-toi maintenant mon doux et tendre serviteur. » J'attrapais son bras dans le but de rejoindre le puits de lumière et admirais la table dressée sur laquelle trônait des flutes que les serveurs s'empressèrent de remplir. « Tu me surprendras toujours. » Murmurais-je, rendant les armes, le complimentant sans aucune ironie, ce qui était rare de ma part en sa compagnie.
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La soirée avait mal débuté, pourtant, j'avais l'impression de redorer mon blason. Kal' ne semblait pas s'attendre à ce genre de surprise venant de ma part. A vrai dire, je n'étais ce genre de mec là. J'étais le pire chien qui puisse exister mais un romantique petit ami bien dressé qui tendrait à satisfaire les désirs les plus certains de sa chère et tendre, ça, ça ne me ressemblait pas. Je pensais avoir envie de vomir et croire que j'allais partir en courant avant de dévoiler la scène qui illuminait les yeux de ma belle. Finalement, j'étais resté. Un miracle venait de s'orchestrer sous mes yeux, j'étais capable de faire des choses pour ma copine. Attention, pas pour qu'ensuite elle satisfasse mes fantasmes mais pour lui faire plaisir, sans arrières pensées. Mon égoïsme venait de laisser place à un certain altruisme et désintéressement de ma part. Certes, j'avais un léger intérêt dans cette histoire, celui qu'elle soit heureuse. Elle le méritait, je l'aimais. Forte petite femme de caractère qui fait chavirer mon coeur. Quand avais-je franchi la barrière qui me séparait de mon addiction pour ses formes ? Désormais, j'étais épris de son essence. Cette aura âpre et vivifiante se dégageant de ce petit brin de lady. Très affriolante, elle émoustillait mes sens, déjà bien en éveil depuis que j'avais plongé mes yeux au sein (note le jeu de mot xD) de son décolleté lorsque cette pimbêche avait renversé sa boisson sur la saillante robe de ma précieuse. J'aimais beaucoup son ancienne tenue mais, lorsque j'avais choisi la nouvelle afin de lui faire plaisir, j'avais choisi en l'imaginant sur une scène, maîtrisant un quelconque instrument et ravissant le public de son concert. Elle faisait vibrer l'assemblée et recevait les plus grandes ovations. Là, je la retrouvais, cette image n'arrivait à partir de ma mémoire, elle y restait imprégnée, surtout lorsqu'elle parla, avec son aisance et sa prestance naturelle. Un léger clin d'oeil enflamma mon visage alors que je m'apprêtais à lui répondre. « Celle-ci te ressemble plus et c'est un de mes cadeaux. C'est une preuve que tu m'appartiens, même si nos corps peuvent parfois être parasités par l'intervention de tierce personnes, nous nous restons fidèles en sens. » Si j'avais su, elle me cachait des choses, la petite vicieuse. Mais, en grand nigaud, je ne voyais rien. Il valait mieux car j'aurai désiré casser la gueule à cette nana essayant de me chiper ma superbe petite amie. Qu'elle fut une fille m'aurait probablement arrêté, m'enfin, j'aurai trouvé autre chose afin de la faire payer. Je n'avais pas mon pareil pour humilier les autres. Bref, là n'est pas la question puisque je n'en savais rien. J'étais trop occupé à reluquer les formes généreuses de ma déesse pour oser penser à autre chose.

Elle était donc sortie de la cabine et portait avec élégance sa toilette. A partir de ce moment, je fis signe aux joyeux lurons de musiciens de s'approcher de nous afin d'entamer une ballade des plus délectables. Dès lors, je fis glisser ma princesse entre mes grandes mains pour venir ramener ses bras autour de mon cou. Je balançai quelque peu cette pérenelle tandis que la musique jouait derrière nous. J'étais ailleurs au paradis, pourrais-je dire. Lorsque je sentis mon estomac faire des loopings, je choisis d'écourter notre valse. De plus, mes pieds me brûlaient un peu suite à ma soirée danse. Ainsi, j'attirais Kal' près de la table en tirant avec élégance sa chaise. J'attendais qu'elle s'asseoit et, en parfait gentleman, j'avais même pris soin de munir les sièges de moelleux coussins. Son royal postérieur (xD) devait avoir le plus confortable des sièges pour trôner. Mes lèvres entrouvertes, je déposais un doux baiser au creux du cou de ma chérie. « Alors, tu m'en veux toujours, j'ai choisi ce que tu préférais. Je ne sais pas si le repas sera à la hauteur de tes attentes, mais je me suis donné à fond. »
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Sa musculature de dieu grec se dessinait à travers son costume, sa chemise révélant ses atouts, épousant ses mouvements et la forme de son corps alors que nous dansions, Sasha révélant une seconde fois son agilité corporelle au sein d'une tendre et lente valse rythmée par des musiciens qui jouaient en acoustique, en intimité, rien que pour nous, pour mon plus grand plaisir. « [...] C'est une preuve que tu m'appartiens, même si nos corps peuvent parfois être parasités par l'intervention de tierce personnes... » Arquant un sourcil, je ne relevais même pas la première partie de sa phrase, trop intriguée par la seconde. Savait-il ? Était-il au courant de mon infidélité ? Dans un excès de jalousie, Elie l'avait-elle informé de mon adultère ? Aurait-elle risqué sa colère ? S'étaient-ils rencontrés sans que je le sache ? Avaient-ils manigancés tout cela ? Mille et une questions me trottaient dans la tête, me retournant l'esprit, m'empêchant de profiter du moment présent et d'un Sasha étrangement attentif à mes envies et besoins. Et puis, je retournais sa phrase dans l'autre sens, peut-être parlait-il de lui ? Me trompait-il ? Celui-ci arrêta notre danse dans le but de nous emmener à une table qui n'attendait visiblement que nous, me tirant la chaise, faisant apparaître un rembourrage sur le dossier. Incrédule, je m’exécutais, ayant peur d'une autre farce et déclarais. « Sensible à mon confort qui plus est. Qu'avez-vous donc fait de Sasha et qui êtes-vous ? » Demandais-je, un sourire aux lèvres alors qu'il déposait un tendre baiser sur mon cou. Sasha savait pertinemment que le camping et moi n'étions pas amis et que la perspective de porter une robe de couture dans les bois ne pouvait que me rendre réticente. Néanmoins il avait su, transformer un cauchemar en une vision tout à fait charmante, romantique mais aussi magique. L'avait-il lu quelque part dans un quelconque magazine féminin ? Ou dans un film à l'eau de rose que je l'avais obligé à regarder uniquement dans le but de l'embêter, préférant de loin les films d'horreurs ? « J'apprécie ce que tu as fait Sasha... vraiment. C'est... magnifique. » Finis-je par dire, une lueur d'émerveillement dans les yeux, baladant mon regard sur les bougies, la table, les musiciens qui jouaient à merveille et qui devaient sûrement mourir de froid et d'envie de ré-accorder leurs instruments dont les cordes perturbés par le climat devaient se détendre.

Puis, je décidais de ne pas relever, ne voulant en rien gâcher la soirée qui, ayant mal commencé pouvait bien se terminer. J'aimais les happy ending et je voulais que cette nuit puisse en bénéficier. Ma mémoire d'éléphant retiendrait ce détail bien assez longtemps pour pouvoir le questionner à ma guise un peu plus tard. Bien que jalouse à l'idée qu'il puisse m'avoir trompée, je reportais mon attention sur la table, espérant que mon petit-ami ne m'ait pas fait faire une quelconque pièce de viande avec des pommes de terres. J'adorais les sushis mais il savait que je faisais particulièrement attention aux détails et que je préférais de loin de bons fruits de mer ou pourquoi pas un poisson doré pour notre repas de la Saint-Valentin. Nonobstant, je tendis la main pour attraper la sienne, de mes doigts glacés, plongeant dans son magnifique regard, oubliant un instant d'être en colère après qu'il m'ait jeté du haut d'un ponton pour se venger de l'avoir laissé quelques minutes à la soirée. Au moins, il me faisait savoir que je lui avais manqué, que je lui appartenais et cette jalousie, ce comportement de conquérant me plaisait chez lui puisqu'il me faisait comprendre à quel point il tenait à moi, à quel point ma place dans son cœur avait de l'importance.

Alors que les serveurs déposèrent dans nos assiettes le dîner que Sasha avait non pas cuisiné mais peut-être pensé ou approuvé sur une carte, je lâchais la main de celui-ci pour parcourir du bout de l'index les pans de la robe douce qui me caressaient le corps avec une douceur infime, ce qui n'était pas sans me rappeler les caresses qu'il me procurait avec sa paume, lorsqu'il pensait que j'étais endormie, lorsqu'il s'assurait que j'étais bien réveillée le matin. Admirant le plat, j'esquissais un sourire conquis et relevais la tête dans sa direction, intimant avec politesse aux serveurs de se retirer afin de nous laisser un peu plus d'intimité bien que les musiciens poursuivaient leur musique pour le plus grand plaisir de nos oreilles. « Tout est parfait Sasha. Tu es parfait. » Déclarais-je, un accent de tristesse dans la voix, presque imperceptible, aussi léger qu'un murmure, aussi discret qu'une brise d'été. Pourquoi avais-je cette impression dérangeante qu'il manquait quelque chose ? Que quelque chose clochait ? Pourquoi avais-je malgré tout le visage d'une autre ancré dans mon esprit...
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