Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI'll be catching fire. - Judiel.
Le deal à ne pas rater :
Code promo Nike : -25% dès 50€ d’achats sur tout le site Nike
Voir le deal


I'll be catching fire. - Judiel.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je reçois un message de Yanis. Ce soir, nous avons un invité. Sur le principe, ça ne me dérange pas, j'avais déjà une idée de ce que je voulais cuisiner et une personne en plus, ce n'est pas un problème. Mais quand je vois le prénom de celle-ci sur l'écran de mon téléphone, je marque une petite pause. La dernière fois qu'il est venu, j'ai cru que je perdrais mon calme à cause de détails qui peuvent être insignifiants pour certains. Mais pour d'autres, ça devient compliqué. Je me souviens encore de la seule fois, ce jour-là, ou je me suis sentie faiblir. Il passait derrière moi pour rejoindre Yanis dans le salon, et je me suis laissée envouter par l'odeur de son parfum. Des images qui se sont créés dans ma tête alors que je tenais mon verre de vin. Il m'a échappé. Comme la situation. J'ai encore l'image du verre qui tombe, du regard échangé avec Ezekiel qui avouait presque "pourquoi" et mes balbutiements quand Yanis est entré dans la cuisine pour me demander ce qu'il se passait. Je ne dois plus me laisser emporter par mes émotions. ni mes désirs. Ezekiel est un ami de Yanis et je sais très bien que la moindre incartade lui sera reportée. Je ne me vois pas perdre la vie que je mène actuellement. Gâcher tant d'années de cette manière.
Toute la journée, je me suis martelée l'esprit pour me motiver. J'ai terminé la journée relativement tôt pour pouvoir faire les courses sur le chemin et préparer un délicieux repas. Même si je ne mange pas de viande, j'ai récupéré de quoi faire plaisir à ces messieurs. Je m'attèle au repas. Message de Yanis : J'ai un peu de retard, mais je me dépêche. Urgence à l'hôpital. ça commence bien... Quand le repas est prêt, j'enfile une tenue plus appropriée. Et quand ça sonne à la porte, je remarque mon reflet dans la porte d'entrée. * mince * on avait dit plus d'erreurs et je me rends compte que la robe est peut-être longue mais moulante. Que mon chemisier est peut-être simple mais un peu transparent, un peu ouvert. Je n'ai pas le temps. Je décide de me décoiffer, désorganisant ma masse capillaire pour ne pas paraitre trop apprêtée et je referme un bouton supplémentaire pour cacher la naissance de ma poitrine. J'ouvre la porte. J'ai l'impression que l'air me manque. - Bonsoir, Ezekiel. Grand sourire. Je suis ravie, ça, c'est certain. - Entres, vasy. Yanis ne va pas tarder, il a eu une urgence à l'hôpital. que je m'empresse de lui dire alors que je recueille sa veste pour l'installer sur le porte manteau.
Je ne perds pas de temps dans le vestibule et marque une distance raisonnable en allant en direction de la salle à manger. Occupons l'espace. nos esprits. - Tu veux prendre un verre de vin ?

@M. Ezekiel Emerson
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

I'll be catching fire.
@Judith Mizrahi

TW : aucun
Un dîner chez les Mizrahi. Ce n’était pas la mer à boire, d’autant que Yanis - l’époux - est un ami proche. Seulement, son épouse est… Attirante. Accompagner à cela le fait qu’elle soit divine, ravissante, ainsi qu’intelligente et spirituelle. Également à l’écoute et divertissante. Le fait est qu’il y a un attrait chez elle plus envoutant que tous les autres : son indéniable charme, et cela, Ezekiel ne peut le nier. Poussant un soupir devant son immense glace sur pieds, l’homme, aux origines italiennes, se jauge pour se demander s’il doit s’embarrasser d’une cravate.
- « Non. » Il termine de décider pour la dénouer et la jeter au sol, ce que Drizzle ne manque pour rien au monde puisque déjà, elle s’en va avec cette dernière en bouche. « Dri… » Mais la voici déjà partie, sans doute afin de rejoindre son panier, juste au côté de celui de Nana. « Mesdemoiselles… » Il prononce, en levant les yeux au ciel avant d’aller ouvrir la porte à la "pet sitter" qui s’occupe de son cavalier king charles ainsi que de son chaton, toutes deux femelles. « Elles sont insupportables ce soir. Entrez, je vais achever de me préparer. » Retrouvant ses appartements, le bellâtre renonce à la cravate et préfère enfiler une veste de costume, allant avec son pantalon. Le tout étant griffé de la maison Burberry, à l’exception de sa monture de vue Prada, le professeur de politique à Harvard enfile une de ses paires de souliers italiennes pour finalement retrouver l’entrer et donner ses dernières directives : « Ne les laissez pas pénétrer mon dressing et couchez-les tôt. Elles ont déjà en leur possession certains de mes vêtements alors, elles s’endormiront avec. » Caressant les têtes de chacune, Ezekiel les laisse derrière lui pour se rendre au domicile de ses hôtes : les Mizrahi.
Lorsqu’il sonne à la porte, Ezekiel se guinde. Ancien étudiant puis professeur d’Oxford, il sait sans le moindre mal agir tel un parfait British et ainsi, il ne laissera rien paraître quant à son attirance pour madame répondant au doux prénom de Judith.
- « Bonsoir, Judith. » Il prononce à sa suite, pour noter à quel point elle se trouve éblouissante, même avec sa chevelure décoiffée. « Oh. » Est le premier mot qui s’extirpe d’entre ses lèvres charnues lorsqu’elle parle du retard de son vieil ami Yanis, qui n’est point encore rentré. « J’espère qu’il arrivera promptement. » Il ajoute pour délaisser sa veste de costume griffée avant de suivre la nymphe jusqu’à la salle à manger. « Pour mes hôtes. » Il lui tend une bouteille de vin en provenance d’Italie. « C’est une très ancienne bouteille. Elle est issue d’une excellente année, j’espère qu’elle vous conviendra à tous deux. » Il prononce à l’intention de Judith tandis qu’il se rapproche d’elle et la lui tend, son regard saphir planté dans ses iris. « Et avec plaisir pour le verre de vin. » Il ajoute, sans délaisser la bouteille, ni même le regard de la beauté présente face à lui. « Sauras-tu la déposer dans la cuisine sans qu’elle ne t’échappe des mains ? » Il ajoute tout bas, son regard empreint de malice puisqu’il fait référence à leur dernière soirée passée ensemble.


formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'était trop me demander de l'accueillir seule. Dans cette intimité qui se trouve temporaire, j'ai l'impression que je pourrais être une autre femme. Celle libre. Que je pourrais ouvrir ce bouton de chemise et le laisser admirer le nombre de grains de beauté qui sillonne ma peau. Mais ça, c'est avant que la raison me rappelle à l'ordre. moi. Madame Mizrahi. Femme de Yanis. Mon sourire ne laisse pas transparaitre ce combat intérieur. - Il ne devrait pas tarder. je parviens à affirmer alors que je viens ranger sa veste dans le placard. Lorsque j'arrive auprès de lui, je suis ravie par la surprise qu'il apporte. - Oh... Ezekiel... je prends la bouteille entre mes mains, admirant l'étiquette alors qu'il me donnait l'importance de celle-ci. de sa qualité. - ouh... ah oui ? Je porte mon regard sur Ezekiel, impressionnée, taquine. - Tu nous gâtes. Je suppose que ça vient de ton dernier voyage là-bas ? je me permets de prolonger le plaisir de ce rapprochement. iris qui brillent, peut-être un peu trop. car un peu trop libre. - Merci pour cette attention. Mon sourire s'illumine, alors qu'il accepte de boire un verre. Mes doigts trahissent la tension de mon corps, en se perdant sur le verre de la bouteille, frôlant par moment ceux d'Ezekiel. Nerveuse. A tel point que mon rire s'échappe trop facilement. - Alors, tu n'as qu'à venir avec dans la cuisine. Tu n'auras qu'à la poser sur le plan de travail pendant que je nous ouvrirais une bouteille de vin. Je m'assure qu'il tienne lui-même la bouteille avant de marquer de moi-même une distance. L'air me semble plus frais à présent, plus léger. Dans ma tête, il se passe une idée. un délire, certainement. parmi mes livres de psychologie, se glissent parfois des romans. du romantisme. de la séduction. dans l'un d'eux, la jeune femme a toujours le principe de devancer les hommes qui l'accompagne. deux ou trois pas. suffisant pour qu'il puisse rester derrière et admirer ses courbes. et c'est ainsi que je marque cette distance, lui tournant le dos alors que je prends la direction de la cuisine. J'aurais bien aimé savoir s'il remarquait ma silhouette. S'il voyait la femme que je suis. Mais la raison, encore une fois, me rappelle à l'ordre. On ne regarde pas une femme mariée. pas même son mari au bout de quelques années. J'arrive dans la cuisine, prenant la bouteille que j'avais préparé. - Ce vin est parfait pour le repas que je nous ai préparé. Le sommelier m'a dit que c'était parfait avec. Quand je cherche le tire-bouchon, une idée me vient en tête. Je me sens un peu rougissante. Un fond, honteuse. Comme une adolescente. Lèvre qui se mordille. j'essaie de me convaincre que c'est mieux de ne pas lui demander son aide. que je ne suis pas là pour .... jouer. Maladroitement, je dépose le tire-bouchon pour ouvrir la bouteille. - Du coup... je tente de meubler la conversation. mon esprit. - Tu fais quoi de beau ces temps-ci ? Yanis ne me tient pas vraiment aux nouvelles, alors... je me demande ce qu'il devient. où il en est. à part son retour d'Italie, je n'ai pas su grand-chose.

@M. Ezekiel Emerson
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

I'll be catching fire.
@Judith Mizrahi

TW : aucun
Lorsqu’il la voit, Ezekiel désire promptement lui faire un compliment quant à sa tenue, ainsi que sa beauté, mais il n’en fait rien. Épouse de Yanis, son meilleur-ami, elle n’a que faire de ce genre de phrases que l’on dit toute faite, mais qui aurait résonné comme une simple vérité si elles avaient passé la barrière de ses lèvres. Seulement, peu désireux de passer pour un homme qui séduit la femme de son ami, le professeur de politique ne pipe mot. Il se contente de saluer Judith, pour réagir à ses dires au sujet de l’absence de son époux, qui ne tardera pas à les rejoindre. Une bouteille d’un vin - fameux - italien en mains, l’homme brun l’offre à son hôtesse en la lui tendant, sans pour autant la lui laisser. Ses prunelles saphir s’accrochent dans les siennes et ils conversent, tandis qu’une sorte de champ électrique gagne l’air. Faisant bien plus chaud, l’adonis ne réagit pas, bien qu’il se doute que c’est à cause de l’attraction qu’elle provoque autour d’elle. Judith est le soleil et les hommes, de simples étoiles lui tournant autour.
- « Exact. Je m’y suis rendu il y a peu. » Il prononce, pour toute réponse, son regard incandescent. « Je t’en prie. Ce n’est pas grand-chose. » Il conclut, pour accepter de boire un verre avant de la taquiner gentiment, si bien qu’un ravissant rire s’extirpe d’entre ses lippes charnues, qui lui paraissent délicieuses. « Très bien. Je te suis. » Lui faisant signe de le précéder, Ezekiel garde la bouteille en sa possession pour déposer son regard sur sa silhouette durant une fraction de seconde. S’il avait continué, elle aurait senti ses prunelles incendièrent sur elle et l’instant en serait devenu, on ne peut plus gênant. Alors, il préfère déposer son regard sur les murs, ou encore la bouteille qu’il tient toujours, mais aussi sur ses souliers, histoire de ne point flancher. Une fois dans la cuisine, il dépose ladite bouteille sur le plan de travail et il se cale contre celui-ci avant de croiser les jambes, ainsi que les bras, toujours debout.
- « Hm… » Il se pince les lèvres à sa déclaration, concernant le repas et le vin choisi. « Qu’as-tu cuisiné d’absolument divin ? » Il l’interroge, un mince sourire ornant son visage anguleux. Son regard transperce bien trop longtemps le sien après son questionnement, si bien qu’il préfère regarder ailleurs, fixant un point sur le mur lui faisant face. « Hm… » Il est comme désarçonné, mais va rapidement se reprendre. « J’ai dû me rendre à Oxford, afin d’aller à la maison d’édition avec laquelle j’ai publié mon premier ouvrage sur la politique. J’en ai préparé un second et ils voulaient que je sois sur place, dans le but de communiquer le mieux possible. » La vérité est tout autre, puisque son éditrice n’a aimé le fait qu’il déménage à Boston et a tout bonnement désiré le lui faire payer. Si c’était dans cette perspective qu’il l’avait, lui aussi, envisagé - au début - cela n’a point été le cas une fois sur place, puis une fois à Rome. « N’ayant pas de divergences au sujet de mon second livre, j’ai pu prendre un vol pour l’Italie afin d’en profiter durant deux jours. » Cela l’a enchanté et tandis qu’il y songe à nouveau, son sourire s’épanouit sur son visage. « Cela m’a ressourcé, en quelque sorte. » Il conclut avant de déposer ses iris sur Judith, de nouveau, pour la questionner à son tour : « Et toi, le travail. Tout se passe bien ? » Il sait qu’elle s'est établie à Harvard, tout comme lui et l’idée de la croiser souvent par inadvertance le ravi, ce qui est bien évidemment on ne peut plus déplacer. Avalant avec mal sa salive en y songeant, l’italien se meut afin de lui tendre l’un des verres pour qu’elle y serve du vin. « Sais-tu comment t’y prendre afin qu’aucune goûte ne t’échappent ? » Il prononce, sa voix se trouvant plus rauque qu’il ne l’aurait souhaité. « Je suis légèrement enrhumé. » Est son excuse pour expliquer l’intonation soudaine de sa voix, alors qu’il n’en est rien.


formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La tension me rend toute chose et je sens que mon "pokerface" habituel en sa présence risque de sauter à tout moment. Je maintiens mon rôle de maitresse de maison, tout sourire. - J'ai préparé un risotto aux morilles avec des légumes. Et en accompagnement, je vous ferais cuire une belle pièce de boeuf. parce que j'ai mes convictions mais je ne voulais pas imposer à mon mari et mon ami. Malice dans mes yeux, j'essaye de percevoir s'il est content. s'il se plait de ce moment. Sa réaction semble différente. Qu'il est perturbé. Mais au fond de moi, je ne m'autorise pas à espérer que ce soit le cas. Encore moins pour moi. Je l'écoute pieusement, admirant le récit dont il me narre. - Je vois. La visioconférence, c'est limité. ou peut amener à des incompréhensions, des conflits. Peut-être qu'il y en a déjà mais ce n'est pas à moi de soulever cela. Mes lèvres forment un "O" admiratif quand il me parle de l'Italie. Je suis ravie de l'entendre, de voir qu'il s'épanouie. - ça se voit, tu es radieux. je me permets le compliment, pouvant le placer innocemment pour lui dire à quel point il est plaisant. Je ne sais pas si mon regard brille trop mais la présence d'Ezekiel me ravit. Peut-être trop ? Quand il me retourne la question, je repense au fait que je suis à Harvard maintenant. De retour en tant qu'employée. J'acquiesce, ne le quittant pas du regard. - C'est un début. J'ai déjà rencontré quelques étudiants, ça a permis de les aider. mais je n'ai pas encore eu le plaisir de le croiser là-bas. Les lieux sont immenses, je ne pouvais pas m'imaginer que ce soit possible dès le début. Pourtant, j'aimerais avoir ce moment où il viendrait... que pour moi. Mes yeux s'abaissent vers le verre de vin qu'il me tend. Je viens glisser mes doigts, frôlant exprès les siens pour permettre de profiter un peu. pour ressentir ces frissons qui viennent parcourir ma peau. pour sentir mon souffle monter crescendo alors que j'ai la sensation de manquer d'air. - Merci... Quand je tiens le verre, à nouveau, je le regarde. plus proche physiquement qu'il y a quelques secondes. Je peux humer son parfum. A sa question, je dois avouer que mon esprit n'a pas pensé à quelque chose de normal. J'ai immédiatement pensé à quelque chose de sensuel. C'est bien pour ça que mon cerveau se déconnecte. Combien même il apporte l'excuse d'un rhume. - Ah oui ? Tu devrais prendre des médicaments. J'ai ce qu'il faut dans la salle de bain si tu veux. De ma main libre, je viens la déposer sur le haut de son bras. L'atmosphère me semble plus chargée, plus intense. Et pourtant, je suis obligée de ne rien transparaitre. Ce n'est que moi qui ressent ça. Il m'attire mais est-ce réciproque ? Ezekiel est un homme droit et je me doute qu'il ne me regarde pas plus que ça. - Dis moi ce que je peux faire si tu as besoin. Une voix douce mais mêlée d'un ambiguïté évidente pour une personne extérieure. Quand mon regard se pose sur ses lèvres, j'en oublie tout. Où nous sommes. Ce qu'on attends. Il y a lui, ses lèvres et mes lèvres qui forment une moue faussement innocente.

@M. Ezekiel Emerson
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

I'll be catching fire.
@Judith Mizrahi

TW : désir - attraction interdite
L’italien aimerait ne ressentir aucune attirance à l’égard de Judith. Ce serait bien plus simple, dans ce genre de situation par exemple. Car Yanis n’est guère présent et que l’électricité dans l’air ne fait que croître, ainsi que son désir ardent, il le sait, le ressent. Toutefois, il préfère que ce soit uniquement son cas, puisque madame Mizrahi ne doit en aucun cas se douter qu’il meurt d’envie de l’embrasser et bien plus encore. *Arrête !* Il s’intime dans son esprit, car il se voyait déjà l’attraper par la taille afin de l’attirer contre lui avant de sceller ses lèvres contre les siennes. Mais cette idée est on ne peut plus stupide et surtout, elle annihilerait sa précieuse amitié avec l’époux de cette dernière. C’est pour cette unique raison que le professeur en politique et économie internationale fait bonne figure, bien que si elle prenait soin de le détailler davantage, elle se rendrait compte à quel point il aimerait qu’elle s’offre à lui. S’il y a bien une chose chez les hommes qu’on ne peut cacher est l’attirance et celle-ci se perçoit sous sa ceinture, car son entrejambe le trahit.
- « Un risotto. » Un bref sourire naît sur son visage de coutume, impassible. « Tu sais comment rendre heureux un Italien. » Il ajoute, avant de la taquiner : « Du moins, s’il se trouve être bon, mais cela, je te le dirais une fois que je l’aurais gouté. » Parler de nourriture est bien plus sain que de se perdre dans son esprit, Ezekiel le sait. « N’es-tu végétarienne ? » Cette interrogation passe la barrière de ses lèvres alors que ses sourcils se froncent. « Tu ne devrais cuisiner de la viande pour nous. » Sérieux, il l’est et il prendrait les ustensiles de cuisine afin de le faire à sa place si elle le souhaitait. Seulement, elle reprend au sujet de son déplacement à Londres et une grimace apparaît sur ses traits. « En réalité, mon éditrice m’en veut affreusement d’être venu m’installer à Boston. » Le brun pousse un soupir, croise ses jambes et se cale contre l’îlot de cuisine. Faisant de même avec ses bras, il reprend : « Je ne sais ce qu’elle avait envisagé, mais mon exil aux États-Unis l’a rendu tout particulièrement détestable. Heureusement pour moi, une fois face à elle, tout s'est bien déroulé. » En même temps, il n’aurait pu en être autrement. Ezekiel n’est le genre d’homme à se laisser faire, et cela, avec qui que ce soit. Puis, il parle de l’Italie et des étoiles sont perceptibles dans son regard couleur saphir. Il faut dire que son pays de naissance lui donne toujours du baume au cœur. « Hm… » Son compliment le met mal à l’aise, puisqu’il ne souhaite comprendre le moindre sous-entendu de la part de Judith, s’il y en a. « Merci. » Il se contente par conséquent de souffler, son regard se posant sur les verres de vins qu’elle doit remplir. S’en approchant, il l’interroge quant à son poste à l’université d’Harvard et il acquiesce dans quelques mouvements de tête à ses propos. « Je ne sais où se situe ton bureau. » Cette phrase s’extirpe de ses lèvres pleines sans même qu’il n’y réfléchisse et il termine de lui tendre un verre. Leurs doigts se frôlent, se rencontrent, et immédiatement, il ressent un courant électrique passé entre eux, si bien que son pouls s’accélère, tandis que sa respiration s’arrête. Retrouvant ses iris, il pénètre en profondeur son regard pour proférer une excuse peu légitime quant au changement du timbre de sa voix. « Non… Merci. » Ses mots se suspendent dans l’air, tout comme le temps qui semble également l’être. « Ça ira. » Il rompt leur contact visuel, dépose le verre rempli sur le plan de travail et lui propose le second, alors que ses doigts longilignes se sont déplacés sur le pied du verre, afin qu’aucun contact physique puisse à présent être possible. C'est sans compter sur la beauté brune qui dépose une main sur son avant-braset il lui devient difficile de se montrer impassible. « Hm… » Il clôt ses prunelles claires et secoue imperceptiblement son visage, avant de les rouvrir. « Je n’ai besoin de rien, je te remercie. » Son entrejambe se gonfle quand il décide de se saisir de la bouteille ainsi que du verre vide pour contourner le plan de travail. Ainsi, il fait barrière à leurs deux corps et il penche le verre ainsi que la bouteille pour en verser une partie de son contenu à l'intérieur de celui-ci. Ensuite, il effectue un léger mouvement de poignet qui lui permet de tourner légèrement le goulot de ladite bouteille afin qu’aucune goutte n’en découle, ne soit perdue et il dépose les deux sur le plan de travail. « Tout est dans le mouvement de poignet. » Il se contente de prononcer, pour prendre une grande inspiration puis expirer avant de la rejoindre et de lui tendre un verre, tout en restant à une distance respectueuse. « Goûtons. » Il propose, avant d’en humer le contenu, pour s’humecter les lèvres avec le vin et en apprécier les multiples saveurs. Cela lui permet de se changer les idées et ainsi, de ne plus penser à elle, son attraction, puisque Judith représente un réel danger à ses yeux.


(Hj - pardon, c'est beaucoup trop long. I'll be catching fire. - Judiel.  1629110976 )


formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Rendre heureux un italien. Ou le rendre heureux, lui. Je me rends compte que j'ai peut-être choisi le repas de ce soir pour lui plaire. Cette idée me vient et à nouveau, je me sens honteuse. J'essaie de penser à autre chose, me concentrant sur les paroles d'Ezekiel. J'acquiesce faiblement. - Oui, je suis végétarienne mais je ne veux pas empêcher les autres de vivre comme bon ils leur semblent. Ne t'en fais pas. je le rassure, je n'ai pas envie qu'il s'en veuille. [...] je l'écoute attentivement lorsqu'il vient à parler de son éditrice. Je comprends mieux ses déplacements là-bas même si j'ai du mal à saisir le comportement de son éditrice. Une réflexion me vient, me mettant à place de mon oeil peu objectif. - Peut-être qu'elle est attirée par toi ? Voir même a développé des sentiments pour toi ? Et le fait que tu viennes à Boston... elle apprécie pas que tu t'éloignes. Moi aussi, ça me mettrait en colère... si l'homme qui me plait ne pouvait plus apporter son attention sur moi. mais ne la connaissant pas, je ne fais que des suppositions. je me dis qu'il doit plaire aux femmes mais qu'il ne le voit peut-être pas. et moi, je sais qu'il ne risque pas de le voir. [...] Sa remarque au sujet de mon bureau me surprends et en même temps, nous n'avons pas encore eu la possibilité de se croiser encore. - C'est juste à côté de l'infirmerie. Sur la gauche, vers le fond du couloir. N'hésites pas à venir me voir, ça me ferait énormément plaisir. c'est une bouteille à la mer que je lance. Je me doute bien qu'il a autre chose à faire. Une part de moi rêve d'avoir son attention, qu'il se décide à faire un pas qui pourrait me faire croire que je plais. Mais de l'autre, je sais à quel point cela n'est pas possible. Il est ami avec Yanis et n'a certainement jamais eu ce désir à mon égard. Une part de moi l'espère tandis que l'autre veut faire face à la réalité. Alors quand il s'éloigne, c'est un peu le coeur gros pour moi. Je reste studieuse et acquiesce lorsqu'il me montre comment il fait. - Tu es très agile. de tes poignets. Dans ma tête, c'est le feu. Mon âme s'embrase et quand je prends le verre qu'il me tends. - Merci, Ezekiel. Je porte le vin à mes lèvres, savoure une longue gorgée et apprécie longuement le vin. Qu'il soit servi par Ezekiel, le rendait encore plus savoureux à mon goût. - J'aime beaucoup. Il laisse une saveur en bouche très appréciable. Il va se marier parfaitement avec le repas. Tu ne trouves pas ? j'ajoute alors que je me rapproche de lui. il m'attire. mais quand je retrouve enfin cette chaleur des plus addictives, j'entends la porte qui claque et mon prénom qui résonne dans le salon. - Oh, c'est Yanis. Je reviens. Je dépose mon verre sur le plan de travail et m'éloigne vers l'entrée pour accueillir mon mari. Baiser sur la joue, il s'éloigne en blâmant le manque de moyen à l'hôpital avant de rejoindre Ezekiel. Il le salue chaleureusement. - Allez vous mettre à table, je vais vous servir. Tandis qu'ils s'éloignent, je vais faire cuire la viande et réchauffer un peu plus le risotto. Je dépose les assiettes pour tout le monde avant de m'asseoir en face de Yanis, à côté aussi d'Ezekiel. Je savoure mon repas, ne m'imisçant dans la conversation qu'à certains moments. Lorsque le repas se termine, je propose : - Allez boire un verre devant la télévision, je vais m'occuper de la vaisselle. éreinté de sa journée, Yanis me remercie avec tendresse, déposant un nouveau baiser sur ma joue. Je lui offre un regard tendre qui lui rend avant de m'éloigner avec les assiettes vides. Juste avant cela, mon regard a croisé celui d'Ezekiel, déçue de ne pas pouvoir en profiter moi aussi, de sa présence.

@M. Ezekiel Emerson (c'est compliqué de faire court I'll be catching fire. - Judiel.  1779901633 )
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I'll be catching fire. with @Judith Mizrahi & M. Ezekiel Emerson
TW :: désir - attirance interdite

Judith est belle à s’en damner. Le professeur en politique le sait pertinemment, mais déposer son regard sur sa silhouette est prohibé. Inutile d’imaginer une quelconque scène de rapprochement, n'y même de baiser enflammer. Ce n’est guère le moment, ni même le lieu, car ils sont seuls et que la situation pourrait promptement déraper. Cela serait dévastateur pour le foyer Mizrahi. D’autant que l’amitié qu’entretienne les deux hommes depuis de nombreuses années. Tout volerait en éclat pour un unique baiser dont il ne pourrait occulter la saveur, ni la fougue incontrôlée. * Même très âgé, si je venais à perdre la mémoire, je ne pourrais oublier cet instant où nos lèvres se serraient sceller *, songe l’adonis italien, qui pourtant, n’osera s’y aventurer. Trop à perdre et peu à gagner. De plus, qui peut lui assurer que son désir est partagé ? Personne. Bien sûr, il y aurait Judith, mais s’il advenait que la poursuivre de ses assiduités ne lui convienne pas, elle-même pourrait faire sonner le glas entre les époux Mizrahi et Ezekiel Emerson. Car oui, ils sont mariés et l’homme aux deux doctorats sait ce que cela signifie. Après tout, lui-même l’a été, jadis, bien que cela lui semble si lointain qu’il s’interroge quant au fait qu’il ait pu rencontrer Beth un jour. Méritait-il pareil amour ? Durant un temps imparti, oui. Seulement, il n’en avait connaissance et il s’est achevé bien plus rapidement qu’escompter. Inutile d’affirmer qu’il a tout perdu lorsqu’elle est partie pour rejoindre les cieux et assurément le paradis. Toutefois, son alliance fait office de symbole de cet amour passé qui fut réel, elle lui assure. Et si leur amour est aussi puissant que celui partagé avec sa douce et défunte épouse, Ezekiel n’a aucune chance de pouvoir l’approcher ; elle. Judith est à l’image d’une vision, celle d’Aphrodite : déesse de l’amour ainsi que de la beauté.
- « Très bien. » Le brun se content de souffler, bien qu’il aurait préféré insister. Mais se trouvant être l’hôtesse de ses lieux, il ne se l’est tout bonnement permis. Lorsqu’ils évoquent son éditrice ainsi que ses voyages répétés, la psychologue en vient à évoquer une possibilité qui ne lui convient guère, puisque cette femme le laisse indifférent, contrairement à d’autres. « Je n’en sais rien, et cela m'est égal. » Il prononce, avec une certaine sévérité à l’égard de ladite éditrice, quant au terme de ses mots, on peut percevoir un semblant d’espoir, fugace, dans ses prunelles couleur saphir. « Hm… » Il se racle la gorge et se permet d’éconduire son regard, afin de recouvrer un semblant d’impassibilité. « J’imagine que… Dans le même cas, cela me mettrait en rogne, moi aussi. » Toutefois, il n’ajoute rien de plus. Sentant l’atmosphère se charger en tension face à ses potentielles révélations, l’homme au regard de glace préfère changer de sujet et l’interroger sur l’emplacement de son bureau à l’université. Il ne sait où il se situe, ne l’a débusqué et désire savoir ; enfin. « Oh ! » Son étonnement est palpable. « Je connais très bien l’infirmerie. » Gêner face à cette révélation, il passe l’une de ses mains sur sa nuque pour reprendre : « Je veux dire par là que je sais très bien où elle se trouve. » Comme parfois, sa pathologie le rattrape et manque de le mettre à terre. Le personnel s’y trouvant à connaissance de son état de santé, puisque le secret médical est respecté. « Je passerai te voir, à l’occasion. » Il conclut, bien que ce serait sans nul doute inconvenant, étant donné qu’elle le séduit, sans même prononcer le moindre mot.
Laissant de côté les conversations, Ezekiel passe à l’action. Se saisissant de la bouteille de vin afin de remplir le second verre, il démontre à Judith le "savoir faire" à l’italienne en lui faisant connaître le secret d’un remplissage sans perdre la moindre goutte. Et comme il le précise si bien : tout en dans le poignet. Le lui offrant sans réagir à ses mots, puisqu’il ne l’est comme auparavant à cause de sa pathologie, le professeur ne peut rompre le contact visuel qui s’est à nouveau installé entre eux, quand enfin, ils en goutent la saveur. Ezekiel sait pertinemment que cet élixir est des plus délicieux, d’autant plus lorsqu’il est partagé en tête-à-tête avec une pareille beauté.
- « Je suis en parfait accord avec toi. » Il murmure presque, sa voix rauque se faisant présente une nouvelle fois. « Il est absolument divin. » Seulement, il ne fait référence au vin, ou presque, en arguant ses mots. Le temps semble d’ailleurs s’être suspendu après ces derniers, si bien qu’il pourrait rester planter là, ses iris présents dans les siens. Seulement, il ne fait que courir et Yanis arrive au plus grand désespoir de l’Italien. « Bien. » Il se contente de murmurer pour la regarder s’éloigner et disparaître avant de souffler. Il en a bien besoin au vu des circonstances et avalant plusieurs gorgées du vin, il clôt ses paupières afin de faire le vide. Car il doit retrouver son état habituel ainsi que son assurance naturelle et son élégance, à l’italienne. Grâce à tout ceci, son ami ne devrait se rendre compte de l’effet de son épouse sur lui, qui se perçoit sous sa ceinture. « Yanis ! Comment vas-tu ? » Il prononce, se démontrant enjoué, en lui serrant chaleureusement la main, un fin sourire présent sur son visage aux traits parfaits. « Es-tu certaine que tu n’as besoin d’aide ? » Ezekiel ne réfléchit avant de poser cette interrogation, quand il réalise que cela lui permettrait de grappiller quelques secondes voir, minutes à ses côtés. « Non, je t’en prie. Tu es notre invité ainsi qu’un de mes plus proches amis. De plus, nous sommes tous deux épuisés. Aller, viens. » Il l’encourage dans un mouvement de bras à le suivre et c’est en acceptant dans un mouvement de tête qu’il suit son cher ami, pour lancer un regard à la dérobée à Judith. Une fois à table, l’italien converse avec monsieur Mizrahi. Ils parlent de l’hôpital ainsi que de l’argent manquant dans le cadre de la médecine et lui, le professeur, évoque son travail à l’université, puisqu’il y a fait sa rentrée. Oxford lui manque assurément, il en convient, ainsi que les scones et le thé, typiquement anglais. Toutefois, il se plait à Boston et n’évoque en rien ses étudiants, préférant garder pour lui la relation qu’il tisse ou pensait tisser avec l’une d’entre eux. Par la suite, ils en viennent à la politique actuelle dans le pays, quand vient le dessert. Ayant bien mangé ainsi que bu, l’italien est prêt à aider l’hôtesse des lieux, mais déjà, elle les convie à boire un verre devant la télévision. Se pinçant les lèvres au point que seul un trait fin soit perceptible, Ezekiel lance un regard à Judith, avant de pousser un soupir. « Très bien. » Lui tournant le dos, il ajoute, avant de rejoindre Yanis : « C’était délicieux à tout point de vue, ma chère Judith. » Son prénom, il le caresse du bout de la langue chaque fois qu’il le prononce. Et une fois à la hauteur de son ami, il accepte volontiers un digestif, quand il se dit que conduire dans pareil état n’est recommandé. Heureusement pour lui, Ezekiel est venu en taxi… Ou du moins, il le croit. Est-il si enivré par les alcools avalés ? Sans doute. Alors, il se dit qu’il devrait rentrer et retrouver son lit, seulement, elle n’est guère apparue depuis un moment et il ne souhaite sans aller sans l’avoir une dernière fois remercié, ainsi qu’admirer.


(HJ - je sais. I'll be catching fire. - Judiel.  1946740601 J'ai encore fais long. I'll be catching fire. - Judiel.  1779901633 Est-ce qu'on conclut à ma réponse ou à la tienne, prochaine, pour ouvrir un nouveau sujet ? I'll be catching fire. - Judiel.  2474380249

FIN DE SUJET.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)