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Une séance de sport avec son meilleur ami. Thor VS Batman.

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Aujourd’hui, en début de journée. Je l’ai passé avec ma nouvelle petite amie ça, c’est très bien passer. Je me sens bien avec elle. J’avais organisé ce petit-déjeuner. J’aimerais bien passer tout un week-end avec elle ainsi que sa fille. Je m’entends également très bien avec elle. Pour une fois, je me sens bien dans une relation de couple et ça fait vraiment du bien. Je suis optimiste pour l’avenir, le futur s’annonce radieux. Je ne pouvais plus être dans cette bulle négative, j’avais besoin de sauter ce pas d’aller en avant. Je fais beaucoup de sport. Notamment en salle, c’est important pour moi d’entretenir mon physique de plaire aux yeux des femmes. Même si je suis en couple, c’est toujours plaisant de se sentir admiré. En cette fin de journée, j’ai convié mon ami Thomas à venir avec moi faire du sport. Il est tout maigrichon, je voulais absolument l’embarquer avec moi, soulever des haltères. Bon, on va commencer doucement avec lui, les débutants ne doivent pas trop faire d’effort dans les premières séances, mais ça va monté crescendo dans les semaines à venir. Je suis rentré chez moi avant de me rendre en salle, j’ai pris une douche rapidement, puis je me suis mis en tenue de sport. J’ai enfilé un maillot de l’Australie, puis je sors de l’appartement. Une fois, cela fait, j’envoie un message à Thomas pour lui indiquer que j’arrive, quelques minutes de marche mon suffi pour arriver devant la salle de sport. J’entre à l’intérieur. Je pose mes affaires avant de les rangés dans mon casier puis je commence à m’échauffer, j’aperçois mon ami Thomas avec un large sourire qui s’affiche sur mon visage. Salut poto, j’espère que t’es prêt pour cette première séance. Je prends une bouteille, d’eau à côté de moi avant de boire une gorgée. Tu vas bien ? Tu as passé une bonne journée ? Dis-je en attendant une réponse de sa part. La salle commence à se remplir petit à petit. Les sportifs du week-end sont de sortie.

@Thomas Hemingway
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@Bruce Gallo
TW : référence à la guerre en Ukraine
Putain de weekend. Thomas avait décidé d’se remettre au sport, mais il avait pas pensé aux répercussions de ses insomnies dues notamment à son travail. Du coup, à cinq heures du mat’, il était toujours dans son bureau, chez lui, en train de dessiner, si bien que deux heures plus tard, il a pas entendu son réveil sonné.
- « MERDE. » Il prononce dans son oreiller, hurle plutôt, pour se doucher et enfiler une tenue appropriée afin de se tremper, un peu. Le fait est qu’il a mal au crâne et qu’il sait pas à quoi s’attendre, l’architecte. Alors, avec sa tasse de café fumante en mains, il pense à de la course, des haltères, quand les informations le distrait, si bien qu’il se concentre sur c’te maudite guerre en Ukraine. En retard, il prend un rapide sac qu’il a préparé la veille pour pénétrer dans l’un de ses bolides. Jouant du volant, zigzaguant entre les voitures, il arrive devant la salle de sport et déjà, rien qu’à l’apercevoir, il est épuisé.
- « Putain. » Est le seul mot qui passe ses lèvres quand il verrouille sa voiture pour se demander s’il devrait pas se griller une clope avant de commencer. « Fausse bonne idée. » Qu’il se dit, pour passer la lourde porte et chercher du regard son meilleur ami, celui qui l’a invité à se joindre à lui. « Ça aussi, c’était une putain de fausse bonne idée. » Il prononce dans sa barbe, capuche sur sa tête quand il le voit enfin et le rejoint, un large sourire présent sur son visage. « A fait aller et toi ? » Il demande, en haussant des épaules, avant de s’apercevoir qu’il va y avoir foule pour sa séance d’humiliation. « J’te préviens, j’ai arrêté l’sport y’a un moment. J’suis plus qu’un cornichon. » Vaut mieux connaître ses bases, pour pas qu’il le tue en une séance non plus. « Et j’tiens à ma vie. » Il ajoute pour sourire davantage, bien qu’il le réalise qu’à présent, qu’il tient vraiment à rester vivant.


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C’est bientôt l’anniversaire de la fille de ma nouvelle petite amie. Je ne sais pas quoi lui acheter, c’est compliqué, je ne la connais pas bien. Je sais qu’elle aime les films Disney, mais le problème, c’est que je n’y connais rien. Bien sûr, je connais des classiques comme Bambi par exemple, mais le monde de Disney a changé, aujourd’hui. Les dessins animés ne sont plus les mêmes. Disney, il a changé, dis-je en pensant dans ma tête en rigolant avec la citation d’un footballeur français. Je pense faire les magasins dans les prochains jours, à chaque fois que je dois faire un cadeau à une personne, je reste bloqué durant des heures, je suis ainsi. Je suis compliqué dans mes choix, ça a toujours et comme ça. Pour mon ami Thomas, j’avais quelque chose de prévu avant de débuter les choses sérieuses avec lui. En effet, je veux qu’il mesure sa force dans une machine à coup-de-poing pour voir. Je pense qu’il peut me surprendre, j’ai hâte qu’il essaye ça. Pour ma part, j’y repense chacun sa génération, moi, c’était les manges quand j’étais petit, surtout la saga dragon ball. Encore aujourd’hui, c’est culte, aucune anime ne lui arrive à la cheville. Comme toutes les petites filles de son âge, elle est fan de la reine des neiges, je pense qu’il y a plein de peluche dans les rayons, je pense que je serais largement servi. Je veux la plus chère évidemment, il lui faut un cadeau de qualité. Je regarde mon meilleur pote avant de lui répondre. Je vais plutôt bien merci. Dis-je en souriant. Y a un moment ? Dis-je en m’interrogeant, ta phrase me fait un peu peur, dis-je en rigolant. T’en fait pas, on va y aller doucement poto. Dis-je en le mettant en confiance, d’ailleurs, j’aimerais connaître ta force. Dis-je lui pointant du doigt la machine à coup de poing. Quand j’étais petit, j’adorais essayer cet exercice dans les fêtes foraines. Bon quand j’étais enfant, mon score était très moyen, heureusement mon corps a changer, ma musculature est devenue impressionnante, je suis fier de mon apparence physique.

@Thomas Hemingway
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@Bruce Gallo
TW : référence à la guerre en Ukraine - langage familier - insultes
Les humiliations, il les connait. Le truc, c’est qu’il pensait en avoir fini avec ça, puisque ça soi-disant tante là, est décédée. *Putain, j’déteste penser à cette garce !* Il songe tandis que son visage se déforme sous son accès de colère et que ses poings se serrent dans ses poches. *J’suis pas là pour me r’mettre à penser à c’te connasse dont j’suis débarrassé pour de bon.* Il termine, avant d’rouvrir les yeux et de retrouver un semblant de maîtrise de soi, ou plutôt, usant de son faux flegme British, puisqu’à l’évidence, il est pas tant que ça, impassible à ce qu’il a pu vivre et ressentir.
- « Heureux d’te voir et que t’ailles bien, évidemment. » Offrant un sourire à son ami, Thomas garde sa capuche sur sa tête et se rend compte que ses poings sont toujours serrés. « Ouais, y’a un moment. » Il répète, appuie même ses mots dans plusieurs hochements de tête pour se dire qu’il a de la chance d’avoir Bruce comme meilleur ami, puisqu’il a la faculté de l’faire penser à autre chose, mais aussi d’amener une conversation. « Tu peux avoir peur, j’le crains. » Il continue pour observer les personnes autour de lui et fort heureusement, y’a pas de gosses. Ils se payeront ainsi pas sa tronche ! « J’espère bien qu’on va y aller mollo. J’te l’ai dis, j’veux pas crever. » Et là, il affiche une grimace, l’air de dire qu’il est mort pour laisser s’échapper un rire quand son regard clair suit ce qu’il lui indique. « Attends. Qu’est-ce que ça fout là ça ? ! » L’architecte est surpris à un tel point qu’il comprend pas directement ce qu’il va devoir faire. « Attends, attends, attends. » Il agite ses mains devant lui, l’air de demander de l’aide. « T’es sérieux, j’dois aller là-bas et frapper dans le bidule ? » Il en passe une main dans sa chevelure pour la décoiffer. « T’es sûr de toi ? Genre, j’risque pas de frapper dans le mur derrière et d’me casser la main ? Parce que j’en ai besoin pour dessiner, tu sais. » L’est sérieux, le British a soudainement les chocottes, parce qu’il est droitier et qu’il va devoir frapper avec son poing droit, en toute logique. « Tu m’payes mes frais médicaux si j’me loupe et m’blesse ! » Il le prévient pour s’rendre malgré tout jusqu’à la machine, car les défis, il les compte plus et surtout, il les relève toujours. C’est une tête-brûlée, le cornichon provenant d’Angleterre.


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Ma tante à des soucis de santé, en effet, elle a des problèmes de cœur. Je me sens mal pour elle, mais c’est une femme assez courageuse, qu’importe le danger qui parcourt sa vie, elle l’affronte toujours. C’est un caractère qui me plaît chez elle. Je me suis toujours senti proche d’elle, aujourd’hui ça n’a pas changé. Tous les dimanches, je vais partager un repas de famille avec elle et ses enfants, mais aussi son nouveau compagnon. Elle ne veut pas qu’on parle de sa maladie, elle ne veut pas être triste, elle ne veux que des sujets joyeux quand nous sommes réunis en famille. Elle a un traitement, j’espère que tout va bien se passer pour elle, je sais que des millions de personnes ont des soucis cardiaques, mais quand ça te touche au plus près forcément, ça fait mal. Je suis du genre anxieux, le genre à réfléchir toute la nuit quand quelque chose ne vas pas. Le genre de gars à me poser des millions de questions toutes les cinq minutes. Oui, je suis un homme qui ne sait pas se détendre, qui ne sais pas profité de la vie comme il se doit, je suis le genre à faire passer les autres avant moi. Ma tante, j’y pense sans arrêt, la pauvre d’ailleurs elle en a marre que je l’appelle tout le temps pour lui demander des nouvelles, je suis certain qu’un jour ou l’autre elle voudra me bloquer, mais pour l’instant, je suis en salle de sport avec mon ami. Je le regarde en souriant avant de lui répondre. Heureux de te voir également mon ami. Dis-je en souriant à nouveau. Rien de tel que remettre de l’eau dans son bain. Dis-je de nouveau en souriant. Pour se remettre au sport mentalement, c’est toujours bon d’avoir un bon ami pour t’aider et c’est ce que je vais faire en cette fin d’après-midi. Quand je le vois paniquer du fait qu’il faut frapper dans le sac à poing, je me mets à rire la situation était assez drôle, assez cocasse. Je le regarde avant de lui dire. No panique, dis-je avant de poursuivre, tu es capable. Dis-je avant d’en rajouter, t’inquiète pas si tu ne veux pas le faire, je comprends si tu veux préserver tes mains, c’est totalement compréhensible. Dis-je en reprenant mon sérieux en disant cela. Je ne supporte pas de forcer une personne à faire quelque chose, je n'aimerais pas qu’on m’impose une chose de la sorte. Si tu veux le tester, va doucement, je ne te force pas. Dis-je en riant à sa dernière phrase. Oui, je te payerais tout ça frérot. Dis-je en encourageant mon ami.

@Thomas Hemingway
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Thomas se demande bien ce qui l’a poussé à s’retrouver ici, dans cette salle de sport qui pue la sueur. C’est pas son truc à lui, d’être dans des endroits malodorants comme ça, mais il veut se remettre en forme le garenne. Ou plutôt, il le voulait, puisque totalement démotiver à présent. Il a même gardé sa capuche sur sa tête, pour passer incognito, bien qu’on le reconnaîtrait pas. Qui peut s’vanter de savoir à quoi ressemble le dernier architecte à la mode ? Bien qu’il soit pas ça, en définitive. Ça fait des années, qu’il est à la une de tous ses magasines d’architectures. Ouais, l’British est demandé dans l’monde entier et ça lui fait plaisir, mais ça l’crève aussi. D’où le fait qu’il ait pas le temps pour le sport, mais faut reconnaître qu’il trouve toujours le moyen de boire ou d’fumer, même au boulot. Alors, plus d’excuses. Il est là dans c’te salle et il commence par la base ; demander à son pote comment il va.
- « Et la famille, tout va bien ? » Questionnement banal, mais qui fait durer la conversation en longueur, et comme ça, il commence pas de suite à suer. « De l’eau dans mon bain. » Il sourit à son expression. « Y’en a ici, qui devraient en prendre des bains. » Sous-entendu que ça fouette, et c’est peu dire ! Puis il panique quand il lui propose c’te fichue machine où faut taper dedans. Déjà, il hallucine d’en trouver une dans un endroit pareil et en plus, il craint franchement de pas savoir taper dedans. Il aurait grave la honte s’il se loupait devant tous les bonhommes présents et du coup, il fait pas le malin. Il préférait se défiler et il y pense, argumente même à propos de ses mains qui sont ses outils de travail, mais sérieux, jamais, il ne pourrait autant déraper pour mettre un coup dans l’mur et se briser quoi que ce soit. C’est qu’une foutue piètre excuse et il le sait l'architecte. « Okay. J’vais essayer. » Qu’il prononce après avoir frotté ses cheveux sur sa tête, malgré la barrière de la capuche, puis il fait signe à Bruce de le suivre, pour se rendre jusqu’à l’appareil de torture. « Merci pour les frais, au cas où. » Il en esquisse un énième sourire et regarde autour de lui. L’imbécile se sent épier et ça l’aide vraiment pas. « On dirait qu’ils attendent tous que j’me foire. » Qu’il dit à Bruce en lui jetant un regard de biais pour se mettre en position, tel un boxeur avant de pousser un lourd soupir. « Ok. J’y vais. J’y vais. J’y vais. » Il se le répète, se le martèle et puis frappe de toutes ses forces avec son poing droit. « J’veux pas voir l’résultat, dis-moi ce qu’il en est. » Il supplie presque Bruce, alors que la machine fait un drôle de son, à l’image d’une sonnette qui arrête pas de retentir.


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