✰ cigarettes after sex (pao)

son caractère:

Petite fille de Gianni Versace, l’un des créateurs de la marque de luxe — italienne par son mère & américaine par sa mère — à vécu et grandit à Rome toute sa vie même si elle a beaucoup voyagé — à deux frères et trois soeurs — vingt-cinq ans — célibataire, libre d'aller là où elle veut — pao a fait deux ans en design de mode avant de tout plaquer — étudiante en 5ème année de médecine — elle a perdu sa mère il y a 7 ans et ressent un grand vide — un père qui s'est remarié avec une femme deux fois plus jeune et peu de temps après la perte de sa mère. Un mariage qu'elle n'a toujours pas digéré. — Pao a brûlé tout ses croquis, tout envoyé sur les roses. Elle a changé de cursus pour se tourner vers la médecine. Un moyen pour elle de montrer qu’elle est libre de choisir et aussi emmerder son père jusqu’au bout. — elle continue de dessiner, mais ne montre rien à personne — elle possède une imagination débordante, une folie contagieuse — Il lui arrive d'échanger sa place avec sa jumelle, juste pour faire tourner des têtes. Un petit jeu entre les jumelles — les paires de chaussures et les sacs à main, c’est son péché mignon — déteste le thé, mais adore la caféine — peut tuer pour un croissant au beurre — elle est très fêtarde, l’italienne et confond souvent sa baignoire avec son lit quand elle rentre d’une soirée trop arrosée — Pao, elle joue avec le feu. Elle charme, séduit, joue. Elle enchaîne les relations sans arriver à ses poser — mademoiselle veut un homme charismatique, avec du caractère, du tempérament et qui arrivera à la dompter. Oui, mademoiselle n’est pas facile à capturer. Elle est cette douce colombe qu’on a du mal à approcher sans y laisser quelques plumes. — Elle est écorchée l’italienne. Une cicatrice sur son myocarde qui s’ouvre à chaque fois que des sentiments se pointe devant elle. — Un incendie lors d’une fête qui a tout fait basculer sa vie. Les flammes qui ravagent la maison et son premier amour qui y perd la vie, coincé entre les murs. Pao s’en ai sorti avec quelques brûlures superficielles et une peur du feu — Elle aime le danger, l’italienne. Vivre comme si c’était son dernier jour. C’est sa façon de se sentir vivante dans ce monde. — Elle ne peut s’empêcher de monter sur les toits et contempler les étoiles. Ça lui rappelle les nombreuses nuits blanches sur les toits romains.

(Invité)