EMIR ASLAN ► hakan adali

naissance

nom(s) & prénom(s)
« N’oublie jamais, Aslan signifie lion, redresse tes épaules et montre-leur qui est le roi de la jungle, » un père conscient de l’élitisme à l’université, il sait que son nom en impose, tout le monde est au courant : il dirige des banques, l’argent coule à flots, les regards sont dirigés sur cette famille aux airs supérieurs. Toutefois, Emir aurait aimé ne pas partager ce patronyme. Haine viscérale qui ne le lâche pas, dissimulée derrière un masque de fils parfait, il lève la tête fièrement et rêve du jour où il détruira le patriarche Aslan.  


nationalité(s)

origine(s)
Pays qu’il ne connaît peu, faute du père qui a préféré occidentaliser sa mentalité, distant avec ses racines, il a alors empêché ses enfants d’apprendre la langue, leur imposant l’anglais dès le jeune âge. C’est leur mère, Deniz, qui, elle, aimante de sa culture, leur a tout appris en secret. Le patriarche a fini par le savoir, mais c’est avec un soupir las qu’il a fini par céder face à son plan éducatif.


orientation sexuelle
Attirance moyenne pour les relations sexuelles, pourtant non loin d’apprécier les courbes, qu’elles soient féminines, masculines, androgynes ; il le sait Emir, les caresses lascives sont le meilleur moyen pour faire parler l’autre, l’information est ce qu’il désire, le summum du plaisir l’intéresse bien moins en comparaison  

statut amoureux
Bagues échangées, statut en carton pour nourrir le patriarche avare de bonne réputation, il faut se lier à une famille riche, n’est-ce pas ? Emir a accepté, après mûres réflexions. De ce fait, il cache toutes relations sexuelles, car un homme qui se fait avoir dans son « infidélité » n’est que le début d’une descente en enfer.


études
LAW SCHOOL – 5ème année dans le but d’être avocat

bourse

statut social

job étudiant
Pas de job d’étudiant officiel, pas besoin de ça. Cependant, derrière les rideaux, derrière tout ce cinéma orchestré minutieusement, se trouve le vrai Emir, véritable panthère aux crocs acérés, prêt à déchiqueter la moindre occasion qui se présente à lui. Impitoyable, il sert de cerveau à un gang, n’agit jamais sous les projecteurs, non, lui il préfère manigancer, jouer les informateurs, user de son statut de riche pour être un espion. Peut-être est-ce là la pure contradiction à son propos, il agit contre l’injustice en se servant de vices.

maison
Parce qu’il recherche la perfection à travers l’ambition, monte les échelons jusqu’à ce qu’il ne reste plus que les cendres de son passé.

1/ LE DOSSIER D’ADMISSION : son nom de famille a aidé, selon lui. Après tout, ses parents ont été de brillants étudiants à Harvard, il le sait que dans le fond, c’est un bonus. S’en est suivi alors des lettres de recommandations, obtenues par ses professeurs. Élève qui participe, serviable, à l’écoute, studieux, ambitieux, il vise la réussite et il l’aura, j’en suis persuadé.
2/ RÉSULTATS AUX SATS : un bon 1500. Emir est peut-être perfectionniste, mais il n’est pas un génie, tout demande du travail acharné, jamais il n’aurait eu ces points s’il n’avait rien entretenu. Les enfants qui se proclament prodiges sans se bouger le petit doigt, il les appelle des imposteurs.
3/ STUDENT’S ESSAY : là où il a déversé le plus d’encre, il a écrit jusqu’à en perdre son souffle, a noté son envie de changer le monde avec une détermination infaillible. L’humain doit cesser de ne voir que par lui-même, l’injustice le répulse, les riches ne sont qu’un monde qu’il abhorre de mille et une façons : évidemment, il n’aura pas écrit ces mots de cette façon bien évidemment, apportant toujours une neutralité pour ne pas passer pour un timbré – même s’il est pertinemment au courant que tous viendraient à poser cette étiquette sur lui, un jour ou l’autre.

Âme glaciale, carapace fissurée par les ravages d’une colère destructrice, retenue docilement par les chaînes qu’il s’est imposé lui-même ; il le sait Emir, s’il en venait à desserrer le moindre verrou alors se déferlera une rage encagée depuis bien trop longtemps. Rares sont les sourires, encore faudrait-il qu’ils soient sincères, le regard pétille de fourberie, tout autant que ses paroles, toujours teintées d’hypocrisie pourtant à peine percevables. Néanmoins il lui est impossible de feinter la gentillesse, l’austérité est ce qu’il connaît de mieux, il est l’étudiant studieux dans les travaux de groupes, celui dont on redoute lors de ses inspections. Il demande la perfection, l’excellence, dans le cas contraire, il n’offre qu’une sévérité sanglante, langue acérée qui s’avère blessante par moments. Difficile de l’imaginer user de grossièreté et contre toute attente, ce sont les insultes qui fusent lorsque la fureur devient compliquée à minimiser. Impitoyable quand il endosse son masque de gangster, il se montre carnassier, fonctionne de façon méthodique et peine à comprendre qu’il y a des limites : il serait prêt à beaucoup de choses pour atteindre ses objectifs. Répulsé par son propre monde, celui des riches, il est obligé de se fondre dans la masse, joue son rôle de fils à papa comme il se doit, il le faut et ne laissera personne en travers de son chemin.

Pratique du judo en secret, frôle parfois les syncopes – a un chien noir qu’il a appelé Hayati, « ma vie » en arabe, parce qu’il aime cette langue – parle le turc, a des bases en arabe et désire apprendre le français – il habite seul dans une penthouse – son frère fait partie du SWAT, ce qui le rend mal à l’aise, compte tenu de ses activités illégales – il est tatoué, au grand malheur de son père – il ne boit pas et ne fume pas

naissance de Yusuf, son frère aîné
naissance d’Emir
naissance des jumelles Esin et Elif
et le blabla ici
entrée dans le judo, il y prend goût et s’entraîne avec acharnement
lors d’une compétition, Emir s’effondre et est emmené à l’hôpital d’urgence, on lui diagnostique une maladie du cœur, la cardiomyopathie hypertrophique, une difficulté pour l’organe de pomper le sang, qui se traduit par des fatigues, des douleurs, une intolérance à l’effort intense
ses parents divorcent, la raison : le patriarche ne supporte pas que son épouse, Deniz, passe tout son temps avec Emir, une peur extrême de le perdre l’incite à se focaliser souvent uniquement sur lui, jusqu’au point d’en oublier le reste de sa famille, les disputes s’enchaînent, l’inévitable arrive, c’est impossible pour eux de vivre ensemble. Par ailleurs, Emir et sa mère découvrent le vrai visage de son père, un pervers narcissique et s’ensuit une descente en enfer pour Deniz, elle ne reçoit pas d’aides financières et se retrouve obligée de demander de l’aide à des amis, elle devient une gouvernante et dans les coulisses, elle gère des enchères illégales de tableaux et à ce jour, Emir n’en est pas au courant. Ce dernier, en voyant le comportement de son géniteur ainsi que de ses grands-parents face au désespoir de sa mère, développe une rage envers eux et leur monde de privilégiés
entrée dans l’illégalité
cinquième année qui débute pour Emir, les mains de plus en plus salies par les vices

pseudo nath
âge 28 ans, hahahaha...ha...ha  
nationalité belge
forum connu par... j'y étais avant sous Luhan Deauclaire, mais je suis revenue !!!!
ILH, j'en pense quoi ? j'aime bien, je suis un peu timide face à tout ce monde, mais un jour j'arriverai à m'intégrer  
autres comptes ? nope
avatar utilisé hakan adali
crédits images sinki  
nombre de mots par rp mhh ça dépend mon partenaire, je m'adapte, je peux aller de 100 à 1200
type personnage inventé
code bottin

Code:

<span class="pris">HAKAN ADALI</span> <g1>-pris-</g1> @"Emir Aslan"