Invité
est en ligne
Invité
Les jours qui s'enchainent, se suivent les uns les autres. Les cours qui font de même te malmenant plus que de raison parce que tu te jettes dedans corps et âme. Tu cherches cette occupation de l'esprit, cette concentration sur tes cours pour ne pas penser à autres choses, pour ne pas penser à lui, pour l'oublier. Agissant comme si tu avais subit une rupture alors même que vous étier loin d'être ensemble. Tu le savais que tu te brûlerais en t'accrochant à lui, que tu souffrirais et ce n'est pas les mises en gardes de Luna qui t'avaient empêcher de continuer à le voir, à passer du temps avec l'espagnol. Ton amie ne l'aimait pas et elle avait bien raison de cela. Cruel est l'amour que tu peux éprouvé pour lui. Un homme fiancé, t'aurais pas pu faire pire choix, parce que depuis le début tout avait été clair pour lui, pour toi aussi, mais le temps avait fait son oeuvre et même si tu muselais ton coeur, il a fini par vaincre ta raison. Coeur émietté d'un amour avorté. Déclaration avortée, balancée comme une mal propre dans un message pour avoir la paix. Echange de texto déplaisant, blessant. Misérable que tu te sens. L'amour c'est pour les autres, mais pas pour toi, tu le savais déjà. Alors tu souris, demoiselle qui se veut lumineuse pour les autres, qui ment à la face du monde pour ne pas parler de ses maux, de cette peine de coeur qui n'aurait jamais du avoir lieu.@S. Manny Ferrer
Solitude que tu retrouves au milieu de ses livres que tu voulais tant fuir. Table du fond de cette grande bibliothèque universitaire, tu crées ta bulle comme tu le peux, étalant tes affaires sur le bois devant toi, les livres de droit trouvé venant s'empiler à côté de toi au rythme des heures qui défile. Les pauses qui se font courte juste pour prendre le temps de manger et de boire quelque gorgée de ta gourde. Tu t'attables rapidement ensuite, acharnée dans ton travail, ton père serait ravi de se portrait que tu dépeints actuellement, qui permet aux autres de te voir comme une demoiselle studieuse, désireuse de réellement réussir dans cette nouvelle branche. Mais l'acharnement dont tu fais preuves n'est pas forcément une bonne chose, pas alors que tes nuits de sommeil en pâtisse et que de ce fait, tes paupières deviennent lourde. Tu t'autorises une petite pause, pendant quelque seconde, tu fermes les yeux, car il te pique un peu, mais les quelques secondes ne suffisent pas et sans même t'en rendre compte, tu sombres tout bonnement dans le sommeil, avachi sur la table. La trace que le livre va laisser sur son visage risque d'être comique à voir.
(Invité)