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Les originesTurque.
feat. Aslihan Malbora
Meryana a vu le jour dans un hôpital public de New-York le 1 mars de l'année 1993 . Elle a aujourd'hui 30 ans , en 2022.
Ana se dit
Mademoiselle Hutton ne possédait rien , à proprement parler. Ayant grandi dans un orphelinat après avoir été ballotté dans deux familles d'accueil , elle n'a pu croire qu'en elle ainsi qu'en son haut potentiel intellectuel afin de percevoir une bourse pour financer ses études dans une prestigieuse université de New York. Venant par la suite continuer ses études de médecine à Harvard, elle a commencé à faire les maisons d'édition pour que l'on sorte les romans qu'elle a commencé à écrire lorsqu'elle vivait là-bas avec ses nombreux frères et sœurs, puisque les autres orphelins étaient sa famille. Grâce à son talent, elle a publié trois ouvrages policiers avec des termes techniques en médecine , ce qui les a rendus très réaliste et grâce à cela, elle a pu payer ses études. Continuant à écrire à un rythme bien moins soutenu, elle est aujourd'hui médecin urgentiste spécialisé en traumatologie . Personne ne sait que c'est elle qui a écrit ses best-sellers et personne ne connait son parcours chaotique . Ana préfère tout garder pour elle, peu désireuse que l'on s'intéresse à elle pour son argent.
Aujourd'hui, elle vit confortablement à Boston, dans un superbe quartier. On peut dire qu'elle fait partie dela classe sociale aisée , étant donné qu'elle possède son bien et qu'elle a achevé de payer ses études .
Aujourd'hui, elle vit confortablement à Boston, dans un superbe quartier. On peut dire qu'elle fait partie de
Le caractère
Maryana est : impulsive - déterminée - très intelligente (HPI) - bornée - perfectionniste - caractérielle - colérique - brillante - créative - émotive (bien qu'elle le cache) - froide voir glaciale - semble prétentieuse parfois - pompeuse - impétueuse - solitaire - mystérieuse - torturée - brisée - possède un véritable franc-parler - coriace - lunatique - secrète - menteuse .
Les anecdotes
- ( 01 )Un père absent lors de l’accouchement. Une mère qui se sait dépasser alors même qu’elle n’a pas encore vu son nourrisson. Un bébé innocent qui ne s’imagine pas qu’il va être abandonné tandis qu'il n’a que quelques de mois. Une famille d’ores et déjà brisée, à cause d’un accident de la route et d’une peur d’être une mauvaise mère.
- ( 02 )Un grand classique : l’abandon d’un bébé devant les portes d’un hôpital. C’est ce qu’à fait la mère de Meryana qui s’est vu refusé d’être aidé par qui que ce soit pour affronter sa maternité. "Au-dessus de ses forces", de ses capacités, c’est ainsi qu’elle a décrit les choses lors de son accouchement sans lui. Préférant attendre son époux, elle a finalement dû accoucher quand, on lui a appris (après ce dernier) qu’il était décédé aux urgences, à cause d’un fichu accident. Durant trois mois, elle s’est essayé à devenir une bonne mère, seulement, elle n’y est pas parvenue. Elle en était tout bonnement incapable, trop jeune à son goût, puis seule, sans l’homme de sa vie qu’elle avait perdu, elle en était incapable. Lorsqu’elle a délaissé sa petite fille dans son landau, elle était certaine qu’elle ne regretterait jamais son choix.
- ( 03 )Un nourrisson est davantage adopté qu’un enfant de huit ou neuf ans. Seulement, Ana, une petite brune au caractère bien trempée, ne semblait pas être née sous une bonne étoile. Car malgré son regard clair et sa beauté flagrante, elle n’a pas été choisi lors de sa première année d’existence. Mais la chance allait forcément lui sourire, non ? C’est ce qu’imaginaient les personnes qui s’occupaient d’elles. Seulement, il faut savoir sourire à la chance et non pas la refuser.
- ( 04 )Un premier couple a été choisi comme famille d’accueil pour Meryana-Caterina alors qu’elle n’avait que cinq ans et demi passé. Une véritable poupée, c’est ce que l’époux avait dit à sa femme au sujet d’Ana qui ne voulait pas quitter l’orphelinat. Elle n'avait certes aucun parent, mais elle refusait de quitter les jupes de la femme qui y travaillait et veillait à ce qu’elle s’en aille avec ceux qui s’apparenteraient à son nouveau foyer. Des mots rassurants, c’est ce qu’elle lui avait chuchoté au creux de son oreille tandis qu’elle hurlait de toutes ses forces tout en pleurant, mais rien n’y faisait. Anna devait s’en aller et tandis que l’épouse l’a prise dans ses bras, la petiote lui a griffé la joue.
- ( 05 )Meryana a été à l’image d’une tornade dans ce foyer qui s’est fracturé à son passage. Colérique, hargneuse, elle n’a pas mené une vie facile à ceux qui désiraient s’en occuper et qui ont fait des pieds et des mains afin qu’elle se sente aimer, choyer. Seulement, ce n’a pas été le cas. Déjà brisé par ce qui s’est produit à sa naissance, comme si un fragment de la souffrance ainsi que la douleur de sa mère s’était imprégnée en elle, la petite brune a fait vivre un véritable enfer à ceux qui se sont essayés de la faire intégrer leur fratrie. Objets jetés au sol, crises de colère, hurlements à n’importe quelle heure, la petite brune n’a fait que communiquer son mal-être. Seulement, lorsque leur propre fille a vu le jour, le couple n’a pu tenir la cadence. C’est à l’orphelinat dans lequel Ana a vécu qu'ils l'ont ramené, afin qu’elle retourne y vivre, malgré la souffrance qu’ils ont ressenti en la délaissant à leur tour.
- ( 06 )Une nouvelle année s’est quasiment écoulée entre ses deux familles d’accueil. Assagie, c’est ainsi qu’ils pensaient qu’elle était, Ana, mais la réalité était tout autre. Une bombe à retardement, c’était davantage à cela qu’elle ressemblait puisqu’il y avait eu des accidents au sein même de l’orphelinat, mais ils souhaitaient lui donner une seconde et dernière chance.
- ( 07 )Lorsqu’elle est arrivée dans cette nouvelle maison, la petite fille âgée de huit ans n’a pas prononcé le moindre mot. Silencieuse, comme elle ne l’a jamais été, c’est studieuse et sage, qu’ils l’ont perçu, mais ce n’était qu’un mensonge. Sa fureur allait rapidement se réveiller et ceux qui l’avaient attendu si longtemps allaient être dépassé. Des gifles, des mots inqualifiables, ce fut son quotidien durant le laps de temps où elle est restée dans cette maisonnette. Ses joues rougies à cause des coups qu’elle prenait, les services sociaux en ont eu vent par le biais de l’école dans laquelle elle était scolarisée et ils leur ont retiré Ana, qui est retournée à sa case départ : l’orphelinat.
- ( 08 )Suite aux sévices qu’elle a subis, il a été décidé qu’elle ne serait plus placée. Car même si Ana pouvait se démontrer dure avec les autres, notamment quand elle se pensait punie injustement, elle n’était qu’une enfant et cette période l’avait traumatisée. Craignant que l’on la frappe dès lors que le ton montait à l’une de ses bêtises, ils ont jugé préférable qu’elle ne soit plus envoyer dans le moindre foyer. Avec son âge avancé, ayant dix ans à présent, presque onze, plus aucun couple n’allait l’adopté alors, elle resterait à l’orphelinat jusqu’à sa majorité.
- ( 09 )Faire de nouveau confiance à qui que ce soit n’a pas été des plus évidents pour la jolie petite brune qui entrait dans les prémices de l’adolescence. Craignant les coups de tous, elle se cachait le visage des adultes, se repliait sur elle-même tandis qu’elle donnait les premiers coups aux autres orphelins, préférant n’être plus celle qui recevait. Méfiante, toujours sur ses gardes, il lui arrivait de ne pas dormir de la nuit lorsqu’elle percevait un son, à cause de potentielles représailles.
- ( 10 )Il n’y a qu’étudier qui lui permettait de s’évader, mais aussi de s’épanouir. Caterina excellait dans chacune des matières qu’elle étudiait, si bien qu’elle pouvait se permettre de crâner. Seulement, elle ne le faisait pas, préférant, et de loin, rester silencieuse au sujet de ses capacités. N’étant pas appréciée par la majorité des autres orphelins à cause de son mauvais caractère, Anna n’en avait que faire. De toute manière, il n’y avait que ceux qui la connaissaient et avaient grandi avec elle qui l’appréciaient réellement, à sa juste valeur. La brunette ne faisait, par conséquent, pas le moindre effort afin que cela change. À quoi bon, de toute façon ? C’est ce qu’elle prononçait toujours, lorsqu’on lui demandait d’être plus agréable avec autrui.
- ( 11 )Apprenant seule, prenant de l’avance sur ses camarades de classe, Ana a fini par passer une classe dans son apprentissage. Il faut dire qu’il suffisait qu’elle écoute avec attention pour retenir ce que les professeurs prononçaient. Son avantage était donc indéniable, si bien, qu’il a été décidé qu’elle passerait des tests afin de savoir si elle était plus intelligente que la moyenne.
- ( 12 )Le verdict a terminé de tomber : Meryana était ce que l’on nomme H.P.I. : un haut potentiel intellectuel. Cela expliquait sa facilité à tout assimiler, mais aussi son imagination débordante, en plus du reste. Étonner par ce résultat, la brune n’a su comment prendre la nouvelle dans un premier temps, puisqu’elle ne pensait pas que l’on puisse lui trouver quoi que ce soit qui ne soit pas péjoratif. Après tout, elle était peu appréciée et avait été giflé par sa dernière famille d’accueil.
- ( 13 )N’étant finalement pas une moins que rien, elle a su grâce à ce résultat qu’elle finirait par y arriver dans la vie. Ce fut une sorte de déclic pour la jeune fille et adorant plus que tous ses cours de dissertation littéraire, elle a commencé à écrire une histoire inspirée de sa propre existence par pur plaisir. Le gardant pour elle et elle seule, Ana s’est vu écrire durant la nuit, pour ne dormir que durant trois à quatre heures par nuit, ce qui semblait lui suffire amplement.
- ( 14 )Grâce à ses notes excellentes, Meryana postule dans de nombreuses universités dont une prestigieuse se situant à New York. Seulement, la brune sait dans quoi elle souhaite s’engager et sait (par conséquent) qu’elle va devoir trouver un moyen de se faire de l’argent pour payer ses frais de scolarité, malgré sa bourse d’études qui lui est proposée. Elle décide avec impulsivité de faire le tour de maison d’édition en laissant sous forme de format papier son tout premier roman. En ayant d’ores et déjà écrit trois, elle ruse, faisant croire qu’elle n’a que son premier script en sa possession, bien qu’elle résume l’idée de son second roman, qui en sera la suite. Avec l’avance qu’on lui offre, bien qu’elle doive réécrire certains passages et se relire, Anna décide de publier sous le pseudo de K. Hutton, et son premier roman parait tandis qu’elle se trouve en première année de médecine.
- ( 15 )Ayant déjà fait tout le travail pour son second et troisième roman, respectant les délais qu’on lui impose, la belle s’implique davantage encore dans ses études. C’est pour sa troisième année qu’elle postule à l'université d'Harvard et se trouvant être accepté, elle déménage à Boston.
- ( 16 )Lors de son passage en psychiatrie, Ana pense exceller. Seulement, c’est son égo qui parle à sa place, puisqu’elle souhaite démontrer à tous qu’elle peut parvenir à comprendre les relations humaines. Hors, ce n’est définitivement pas le cas. C’est une bien piètre expérience qu’elle essuie, quand elle s’embarque en traumatologie. Les urgences la grisent, lui insufflent l’adrénaline dont elle a indéniablement besoin, dans le cadre de son travail. Quant à la trauma, elle lui amène plus de satisfaction qu’elle ne l’aurait imaginé ! Lors de cette mise en bouche, l’étudiante en médecine comprend qu’elle est faite pour cela et qu’elle doit s’y spécialiser.
- ( 17 )Comme tout ce qu’elle aime, c’est avec entrain et beaucoup d’application qu’elle se lance corps et âme dans cette spécialité. Appréciant travailler en binôme avec son supérieur, urgentistes spécialisé en traumatologie qui s’avère être titulaire, Caterina se rend compte qu’elle ressent des sentiments à son égard et malgré le fait qu’il soit marié, elle ne résiste pas à la tentation lorsqu’ils se retrouvent seul, un soir. Leur relation se trouvant être secrète, elle ne s’imagine plus vivre sans lui, seulement, malgré qu’il tienne à elle, son professeur titulaire ne souhaite pas divorcer et abandonner sa famille, ses filles.
- ( 18 )Essuyant ce premier échec sentimental, Meryana décide que jamais plus, elle ne souffrira. Elle se contente d’entretenir une relation professionnelle avec celui qui était son amant quand enfin, elle se trouve titulariser. Heureuse, elle se jure également de ne jamais plus avoir de relations intimes avec qui que ce soit au sein de son travail. Ce qui prime est les urgences ainsi que sa spécialité et ses ouvrages. Car durant ses années d’études, elle publie le second et troisième romans de sa série policière.
- ( 19 )Aujourd’hui, Ana travaille toujours au Massachusetts general hospital (là où elle a fait son internat) et elle continue d’écrire, après avoir demandé un délai plus long à sa maison d’édition au vu de sa première fonction. Personne ne sait qu’elle est écrivaine à côté de son poste de titulaire aux urgences, spécialisée en traumatologie. Personne ne connait non plus son passé, puisqu’elle s’est inventé une histoire qu’elle raconte à tous, préférant cacher son parcours ainsi que d’où elle vient.
- Code:
<div class="card-user-bottin-iwantit"><fire class="text-s-bebas text-upper">ASLIHAN MALBORA</iwantit><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Meryana-C. Hutton"</span></div>
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