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(théaya) i hâte you, i love you.

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I HÂTE YOU, I LOVE YOU.À
@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

A quel moment t’as changé Naya ? À quel moment tu t’es éteinte comme ça ? T’as juste passé tout ton temps derrière ton bureau à travailler encore et encore. T’as pas prit le temps de t’amuser depuis quelques temps maintenant et tu as mit de la distance avec toutes les personnes qui t’entourent. Peut-être que c’est un simple coup de blues, une mauvaise période. Ouais t’as pas trop envie de te prendre la tête avec ça. Enfin ça c’était avant le message de Théodore. Lui. Toujours lui. L’idée de le perdre ça a été comme un électrochoc pour toi. T’as pas envie qu’il soit loin de toi. Le manque est immense pourtant. Tu as ses sentiments que jamais il ne croira. Tu ne peux pas assumer ce que tu éprouves quand il est si près de toi. Bien sûr que tu as fini par réaliser que c’était allé trop loin entre vous. Tout les deux vous vous êtes juste laissé prendre au piège et maintenant tu ne sais plus quoi faire. Chaque fois qu’il est avec une autre ça te tue un peu plus, pourtant vous ne savez pas vous aimez. La carte la plus facile c’est de vous faire du mal toujours plus. Pourtant, tu pousses la porte de son appartement pour le rejoindre et pour avoir à affronter cette discussion que vous vous refusez depuis trop longtemps. Tu le cherches et le trouve sur le canapé du salon. — " Bonsoir Théodore. " que tu lâches, avant de te laisser tomber près de lui.


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I HATE YOU, I LOVE YOU.À
@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

Il est curieux comme, capable de tant souffrir Théodore, tu puisses infliger aux autres tant de souffrances. Invaincu et indomptable, c’est contre la cruauté la plus appétant que tu t’élances. Encore et toujours. L’obscurité nocturne pénètre par des fenêtres grandes ouvertes, le froid ne parvenant pas même à faire frissonner ta chair bien trop éprouvée par une consommation excessive d’alcool. Chaleur factice et vertige vaporeux. Le salon vacille dans tes orbites fatiguées. Qu’est-ce que cette lueur ? Une lampe restée allumée ou simplement l’aurore d’une nouvelle journée ? Tu as souhaité dilater la nuit et y faire entrer sans cesse de plus en plus de minutes, fuir le temps pesant. Néanmoins, c’est une lutte vaine avec laquelle tu t’amuses. Quelques messages échangés et une distance grandissante entre vous. Naya. Tu es incapable d’exprimer pourquoi une nouvelle blessure s’inscrit dans ton cœur lorsque tu la vois. Est-ce simplement parce que tu réalises toujours combien tu as besoin d’elle ? Parce que tu te demandes sans cesse ce que vous auriez pu être si tu n’étais pas une ruine continuelle ? Maintenant que tes verres et tes sentiments se mélangent, cadavres de bouteilles vides sur le plancher et pochons perdus dans le canapé, ton regard creux l’attend. Tu désires si ardemment sa présence en ne supportant cependant pas la conversation que vous vous apprêtez à commencer. La porte de ton capharnaüm se referme et rapidement elle s’effondre dans le canapé près de toi. « Bonsoir Théodore. » Tu aimerais cacher ton visage contre sa peau, te réfugier comme un enfant devant un vilain monstre. Surprise, c’est toi le monstre idiot. Tu te redresses difficilement dans le canapé, repoussant ton verre sur la table basse. Il n’existe pas de vide plus grand dans l’âme que l’irruption d’un individu dans une vie. « Je peux te serrer contre moi avant que nous ne parlions ? »

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