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I'm lost, you know ?
Travis s’était levé, avait pris une douche, avait laissé sa barbe de deux jours tranquille, comme d’habitude, avait enfilé des vêtements, s’était roulé quelques joints qu’il avait rangé dans son paquet de clope, et était sorti de sa chambre chez les Mather. Il devait voir Alicia, mais y allait plutôt à reculons ; cela faisait un moment qu’il était réticent à la voir sans vraiment savoir pourquoi, il avait toujours une boule au ventre, et cherchait à partir le plus tôt possible. Il se forçait, mais en même temps, il avait envie. C’était un sentiment étrange et nouveau pour lui.
C’est donc en début d’après midi qu’il quitta sa conférie pour se diriger vers le parc, où il devait rejoindre la jeune femme. Les mains dans les poches, il se demandait un peu ce qu’ils allaient pouvoir faire, et surtout, si aujourd’hui il allait réussir à lui parler normalement sans l’envoyer paître dès qu’elle essaierait de trop l’approcher. Sur le chemin, il alluma une cigarette, ce qui était plus sur pour se ballader, vu que ce n’était pas le moment de se faire arrêter ou même fouiller. Il la fuma, toujours aussi pensif.
Une fois arrivé dans le grand parc, il entreprit de rejoindre son amie. Cela faisait longtemps qu’il la connaissait, ils avaient couchés quelques fois ensemble, s’entendaient très bien, et étaient très proche, mais en ce moment, tout partait en vrille, et principalement à cause de lui : devant ses potes, il refusait qu’elle lui parle, et même quand ils étaient tout les deux, ca se passaient plutôt mal. Il ne voulait pas reconnaitre qu’elle lui plaisait plus qu’il ne l’admettait, et cela gâchait toute leur relation.
Un jeune homme en roller fonça droit sur Travis, qui ne le vit pas, et se fut la colision ; l’homme aux rollers tomba au sol sur les fesses, parce qu’un des reflexes de l’homme tatoué fut de le pousser à l’impact.
« Mais regarde où tu vas toi ! »
Il ne l’aida pas à se relever, jugeant que ce con pouvait le faire tout seul puisqu’il ne s’excusait pas, et que ce n’était pas à lui de le faire. Alors qu’il se retournait pour reprendre son chemin, il rentra directement dans Alicia, qui avait dul e voir de loin et s’approcher entre temps. Décidement, c’était le jour pour se rentrer dedans. Il la rattrapa à deux bras, puis la lâcha lorsqu’elle reprit son equilibre. Il ne savait pas vraiment comment débuter la conversation, la boule au ventre qui l’habitait se faisant plus forte face au sourire de son amie.
« Hum, Désolé.»
C’est donc en début d’après midi qu’il quitta sa conférie pour se diriger vers le parc, où il devait rejoindre la jeune femme. Les mains dans les poches, il se demandait un peu ce qu’ils allaient pouvoir faire, et surtout, si aujourd’hui il allait réussir à lui parler normalement sans l’envoyer paître dès qu’elle essaierait de trop l’approcher. Sur le chemin, il alluma une cigarette, ce qui était plus sur pour se ballader, vu que ce n’était pas le moment de se faire arrêter ou même fouiller. Il la fuma, toujours aussi pensif.
Une fois arrivé dans le grand parc, il entreprit de rejoindre son amie. Cela faisait longtemps qu’il la connaissait, ils avaient couchés quelques fois ensemble, s’entendaient très bien, et étaient très proche, mais en ce moment, tout partait en vrille, et principalement à cause de lui : devant ses potes, il refusait qu’elle lui parle, et même quand ils étaient tout les deux, ca se passaient plutôt mal. Il ne voulait pas reconnaitre qu’elle lui plaisait plus qu’il ne l’admettait, et cela gâchait toute leur relation.
Un jeune homme en roller fonça droit sur Travis, qui ne le vit pas, et se fut la colision ; l’homme aux rollers tomba au sol sur les fesses, parce qu’un des reflexes de l’homme tatoué fut de le pousser à l’impact.
« Mais regarde où tu vas toi ! »
Il ne l’aida pas à se relever, jugeant que ce con pouvait le faire tout seul puisqu’il ne s’excusait pas, et que ce n’était pas à lui de le faire. Alors qu’il se retournait pour reprendre son chemin, il rentra directement dans Alicia, qui avait dul e voir de loin et s’approcher entre temps. Décidement, c’était le jour pour se rentrer dedans. Il la rattrapa à deux bras, puis la lâcha lorsqu’elle reprit son equilibre. Il ne savait pas vraiment comment débuter la conversation, la boule au ventre qui l’habitait se faisant plus forte face au sourire de son amie.
« Hum, Désolé.»
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