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FLASHBACK Emrys & Ocyllie ♠ « Only Hate The Road When You're Missin' Home, Only Know You Love her When You Let Her Go ... »

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" Only hate the road when you’re missin' home, only know you love her when you let her go ..."
— feat. emrys —

Premier jour à Harvard. Toute première fois que je viens en Amérique. J’aurais très bien pu retourner chez moi, en Angleterre, mais non j’ai voulu aller plus loin, beaucoup plus loin, être certaine qu’il ne pourrait jamais me retrouver. De toute façon, j’aimais bien trop mon indépendance pour accepter de retourner vivre avec mes parents. Je n’étais plus une enfant. Je pouvais me débrouiller toute seule et puis j’avais envie de tenter ma chance aux Etats-Unis, de voir si je pouvais ajouter à mon cv un tout autre diplôme aussi prestigieux que celui que je possédais déjà. Si certaine personne me prenait pour une intello, pour la première de la classe, j’étais en réalité une véritable tête brulée. Je n’avais pas pour habitude de reculer devant quelque chose, devant quelqu’un. J’ai un caractère de merde et je l’assume totalement. Les gens qui ne me prennent pas pour une petite fille à papa, pensent tous que je suis une camé qui ne pense qu’à s’enfiler une ligne de coke, qu’à baiser à droite à gauche. Ils n’ont pas vraiment tort et rien qu’en y pensant j’ai envie de rire. Je ne me souciais pas des regards qui se posent sur moi. J’étais à la recherche de ma salle de classe, mes affaires à la main. Alors que je passais devant un groupe de nana, voilà que la voix de l’une d’elle me parvenait aux oreilles. Allo Houston, nous avons un problème là. Un mince sourire espiègle, hypocrite se dessinait sur mes lèvres. Je m’arrêtais avant de me tourner vers elle. Je faisais un pas en avant, lui jetant un regard mutin. Je n’avais même pas besoin de réfléchir pour savoir quoi répondre à cette pétasse. « La jalousie est un très vilain défaut ma belle, mais bon je te comprends vu l’état de ta gueule tu ne peux que jalouser toutes les nanas que tu croises. Non, sérieusement, tu as déjà pensé à aller voir un chirurgien esthétique parce que là franchement ce n’est pas vraiment jolie jolie à voir. » Je m’approchais d’elle, tournait autour d’elle pour pouvoir mieux l’observer. « A première vu t’as de la cellulite, tes nichons pendent comme ceux d’une ancienne prostituée, ta bouche ressemble à celle d’un mérou, tu louche comme une mongole et ton nez me fait penser à celui de Cyrano, sans parler de ton style vestimentaire à vomir. » Un sourire provocateur sur les lèvres, voilà que je m’arrêtais pile poil devant elle, lui jetant un sourire hypocrite. « Finalement t’es un cas désespère ma pauvre, tu ferais mieux de te suicider, cela irait dix fois plus vite et sauverait la vue d’un bon nombre de personne. » Toujours souriante, je ponctuais le tout par un petit baiser que je venais poser sur l’une de ses joues. Oh, mais pourquoi avait-elle les larmes aux yeux ? Je venais de la froisser. Tant mieux, a victoire était plus belle comme ça. Sans même me répondre, avec sa bande de copine, elle tournait les talons pour se trouver un coin où aller se cacher.
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Premier jour d'une nouvelle année, la cinquième pour ma part et je dois dire que je la commençais très mal. ça venait de se finir avec Eliah, enfin il y a déjà quelques semaines, mais ça n’empêche pas que maintenant si une nana compte m'avoir, elle se le mettra où je pense son kiff d'adolescente. Ouais, elle m'a un peu brisé, je peux l'avouer, mais a personne d'autres que moi-même. Je pense que le destin s'acharne bien que je ne poserais pas en victime ; Thalya, mon père, mon frère qui me tourne le dos et maintenant, je perd ma copine alors qu'on avait des projets et le pire, c'est qu'on a aucune raison apparente. Bref, je ne laisse rien paraitre, je traverse les couloirs, fier sans montrer ne serais-ce qu'un indice de ma tristesse encore présente. Mes potes, je suis heureux de les retrouver mais je ne les avais pas vraiment quitté parce qu'on a, comme chaque année, fait des formidables soirées durant l'été. Je marche dans les couloirs de l'école quand soudain, je tombe sur une scène assez ... à mon gout. Une fille qui semble être assez jeune, venait -surement- de se faire insulter par le groupe de peste. Alors que certaine serait parti sans rien dire, je l'aperçois qui vient faire face au groupe. Je me recule un peu, m'appuyant en spectateur contre un mur. L'inconnue se met alors à régler le compte de l'autre fille du groupe qui semble vraiment l'avoir énervé et manqué de respect vu ses paroles. Elle ne se laisse pas démonter. Je suis étonné et rigole limite de ses paroles : ça c'est une fille ! Je ne peux pas m’arrêter de la regarder, non pas, que je veuille me la faire, non, là, je la regarde admiratif et j'avoue que cela est bien dure dans mon cas d’être admiratif de quelqu'un a part mes frères par exemple ou mes deux meilleurs amis. Je ne me sens pas mieux que les autres, mais je refuse juste de donner trop à des personnes. Enfin, elle continue à la démonter et moi, j'éclate de rire, mais elle est tellement dans son truc qu'elle entend pas, de toute évidence. Même dans son regard, tout allait parfaitement dans son jeu pour sa "vengeance" face à la petite saloperie qui lui avait fait du tord et même si elle faisait ça sans raison, ça restait impressionnant ! La victime de la jeune fille ne riposta même pas, ça l'avait cloué, si bien qu'elle partait sans perde de temps avec son groupe de grognasse. Elle regarde partir la fille en souriant, un sourire limite diabolique, je m'avance vers elle doucement et me permet de prendre la parole : Bien joué Mademoiselle ... ? Je souriais, d'un regard bienveillant, montrant un peu que son numéro avait fait impression mais gardant ma fierté dans ma façon de me tenir. Ou as-tu appris à être aussi bonne niveau destruction des petites connes ? Avais-je dit en riant.
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Etre douce et tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler ? Je ne l’avais jamais fait. Pourquoi devrais-je le faire maintenant ? Je n’étais pas du genre à me dégonfler. Je n’étais pas le style de nana qui pleure devant un film romantique et qui se laisser marcher sur les pieds par une bande de conasses en chaleur. D’ailleurs, je ne me démontais pas une seule seconde lorsque j’entendais des remarques désobligeantes à mon égard dans les couloirs de la plus prestigieuse université du monde. Une grande asperge blonde s’amusait à jouer la maligne devant ses copines et si elle pensait s’en tirer comme ça et bien elle se fourrait le doigt dans l’œil la petite poule. Et voilà, une fois que j’avais terminé de lui régler son compte et qu’elle venait de prendre la fuite les larmes aux yeux. Je l’observais, un sourire aux lèvres. C’était à ce moment-là qu’une voix masculine attirait mon attention. Bien joué Mademoiselle ... ? Sa phrase restait en suspens, attendant très certainement une réponse comme mon prénom ou mon nom de famille. « Nicolson. Mademoiselle Nicolson. » Je me tournais, un sourire provocateur sur les bords, pour apercevoir le visage de mon interlocuteur. J’arquais un sourcil. Mignon, mais plus âgé que moi. Dommage. Quoi que, ce n’était pas vraiment un souci la différence d’âge. Ou as-tu appris à être aussi bonne niveau destruction des petites connes ? Soit il était en train d’essayer de me charmer, soit il était exactement comme moi. Je répondais alors du tac au tac. « Au même endroit où j’ai appris à envoyer bouler les gros lourds. » Et BAM de nouveau un sourire provocateur.
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J'avais été impressionné par sa fougue, son comportement, sa façon de répondre. Je l'avais donc complimenté en gardant toujours ma fierté, la regardant et tentant d'en savoir plus. Elle m'annonça son nom de famille et je souriais, inconnue, c'était le cas de le dire, je ne la connaissais pas et je n'en avais pas entendu parlé. Elle continuait, restant fière et limite au dessus de moi, c'était assez drôle à voir et malgré son jeune age, elle m'impressionnait beaucoup par ce coté là. Comme si je l'avais déjà attendu, elle me répondait qu'elle avait apprit tous cela au même endroit qu'elle avait appris à envoyer bouler les gros lourds. Je rigolais, un sourire non gêné, simple. Je me déplaçais un peu pour m'appuyer contre un mur en la regardant, d'un regard provocateur, du genre "je vais te répondre moi aussi tu vas voir". Ah ouais, comme ça je suis un gros lourd ... j'l'assume totalement ! Dis-je toujours sur de moi, lui montrant qu'il m'en fallait plus pour me faire avoir et partir en courant, largement plus. Je restais appuyé, d'une manière nonchalante contre le mur et lui reprenait ; Alors Nicolson, comme ça, ton genre c'est de te la jouer, je suis trop forte et même les gens qui sont sympas avec moi, j'leur pisse dessus ... ça marche pas avec moi, ma beauté ! Dis-je en riant de nouveau.
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Il était bien mignon avec ses réflexions à trois balles, mais je n’avais pas spécialement envie de faire du copinage avec lui après avoir eu l’occasion d’envoyer bouler une petite peste capricieuse qui me donnait envie de gerber. J’étais sur ma lancée. J’avais envie de continuer ce que je venais de commencer. Il s’agissait de mon premier jour à Harvard et j’avais envie de prouver qui j’étais et surtout que je n’étais pas le genre de nana à qui on pouvait marcher les pieds avec beaucoup de facilité. Ah ouais, comme ça je suis un gros lourd ... j'l'assume totalement ! C’était alors qu’un sourire hypocrite venait se dessiner sur mon visage, mes bras toujours croisaient sous ma poitrine, comme si je cherchais à me protéger de quelque chose, à rester dans ma carapace, dans mon monde. « Assumer, c’est déjà un premier pas vers une reconstruction de soi. Je pense que contrairement à l’autre baleine que j’ai renvoyé dans son océan, tu n’as pas besoin de te suicider, mais juste d’aller voir un psy ou un coach ou un truc dans l’genre quoi. » J’haussais les épaules, me tournant pour reprendre ma marche, mais il ne comptait pas en rester là apparemment. Alors Nicolson, comme ça, ton genre c'est de te la jouer, je suis trop forte et même les gens qui sont sympas avec moi, j'leur pisse dessus ... ça marche pas avec moi, ma beauté ! Tiens donc, en plus il avait du répondant. Intéressant. Je faisais volteface, me retrouvant ainsi à le regarder. « Qui me dit que tu veux être sympa avec moi ? » Ouai, j’avais du mal à faire confiance aux autres.
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Je la voyais venir. Elle voulait jouer à mon jeu avec moi ? impossible. J'étais incollable et je lui ferais pas ce plaisir, je la regardais limite de haut voulant montrer à présent que moi aussi, je savais le faire puis je l'écoutais dire ces quelques paroles faisant mine de m'en foutre. Je pouvais jouer, ouais, au final pour prouver que j'étais aussi doué, meme si c'était ridicule. Elle lançait des piques et je riais en rigolant d'elle précisément, je la regardais bien droit dans les yeux et quand elle me demanda en gros si je voulais etre sympa avec elle, je sentais une inaccessibilité installée, une ressemblance frappante entre nous meme si je ne l'avouerais jamais à haute voix. Je tournais autour d'elle comme un vautour l'admirant comme un maitre, s'occupe d'admirer sa proie avant de donner des ordres. Je m’arrêtais avant d'enfin reprendre ; Je ne dis pas que je veux être sympa, mais je te veux pas de mal ... Disons que je suis du genre à savoir aussi me faire respecter, ton numéro m'a bien plu alors je tenais à te le dire mais joue pas avec moi à la maline ... Je retournais contre mon mur, la provoquant du regard, les paroles n'étaient rien, l'attitude oui. Après si tu veux la jouer à l'associable avec les gens de ton espèce, c'est con, m'enfin !
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Bon, la nana, plus besoin de m’en occuper. Le type ? J’allais lui régler son compte et il allait prendre les jambes à son cou, lui aussi, me laissant découvrir les lieux tranquillement. Je lui parlais sur un ton sec et froid. S’il pensait m’impressionner en se mettant à me tourner au tour et bien il se mettait le doigt dans l’œil et en plus de ça il pouvait tourner une bonne dizaine de fois pour s’écorcher la pupille. Un sourire hypocrite au bout des lévres, j’écoutais ses propos. Je ne dis pas que je veux être sympa, mais je te veux pas de mal ... Disons que je suis du genre à savoir aussi me faire respecter, ton numéro m'a bien plu alors je tenais à te le dire mais joue pas avec moi à la maline ... Il ne le disait pas, mais il me le faisait comprendre. Maintenant j’étais sympathique et je ne venais pas le lui faire remarquer. Tout de même, je n’allais pas lui mettre la honte au beau milieu d’un couloir du campus s’il avait une réputation de dur à cuire. Je n’étais que la petite nouvelle après tout. Enfin la petite nouvelle au caractère de merde. Il retournait s’installer contre son mur. Après si tu veux la jouer à l'associable avec les gens de ton espèce, c'est con, m'enfin ! Les gens de mon espèce ? Je n’avais rencontré que très peu de personne me ressemblant mentalement et il était presque impossible que dès mon premier jour je vienne à tomber sur ce genre de spécimen. Maintenant, il restait assez sûr de lui, plus ou moins impressionnant, même si, à moi, il ne me faisait aucun effet. Je me décidais enfin à tourner la tête vers lui, m’approchant d’un pas, attendant qu’il fasse le reste. « Ocyllie. Ocyllie Nicolson. Enchanté de faire ta connaissance. » Je venais de faire un premier pas et je n’avais aucune idée de l’endroit où cela allait pouvoir me mener.
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Je crois que je l'avais étonné et je ne montrais pas complètement qu'elle m'avait fait très bonne impression; fallait pas déconner et trop la flatter, elle semblait déjà bien sur d'elle .... quoique c'était surement une façade ou pas. Je restais collé contre mon mur, l'admirant toujours, la détaillant de haut en bas comme pour montrer mon coté sur de moi, montrer que j'étais maitre de la situation. Oui, je suis un con et je vous emmerde tous, vous et vos pensées. Je laissais quand meme paraitre un sourire presque malgré moi parce que ouais, je voulais découvrir cette personne, étrangement, elle avait ce truc en plus qui me plaisait. Comme pour plus coopérer, elle me regardais maintenant, tournant doucement sa tête vers moi, se rapprochant, liant presque un peu plus nos regards avant de se présenter plus dans les règles. Elle se nommait Ocyllie Nicolson. Je souriais et fit aussi un pas, tendant ma main, tout en lui faisant un clin d’œil ; Emrys Zacharias, je suis tout aussi enchanté que toi chère Ocyllie, avais-je dit avec charme. Je la bouffais des yeux parce qu'il fallait dire qu'elle était mignonne. Je ne savais néanmoins pas trop comment lancer la conversation alors je lançais nonchalamment : Euh ... j'entre en 5ème année d'histoire ! Que viens-tu faire chez nous ? je pense que tu es nouvelle, non ? sinon je t'aurai vu... Je gardais un sourire prévenant, oui, étonnamment très prévenant comme si en me reconnaissant en elle, en son caractère, j'avais décidé que ce serait une filleule, ou je ne sais quoi, là je ne savais pas.
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