MERGUI DE BORBON ► jared celma

naissance

( 21 novembre 2002, Madrid ) ❛ scorpio.

nom(s) & prénom(s)

( Mergui ) prénom insolite roula sur les langues d’un peuple en haleine, suspendu aux minutes incandescentes qui clouèrent les pupilles aux écrans et amassèrent les journalistes aux portes d’un monde prêt à l'accueillir d’une frénésie qui lézarda les rues de chants traditionnels. ( De Borbón ) nom enraciné dans la monarchie, existence alors ébranlée dès le premier soupir sifflé à l’univers par les flashs, la cacophonie nationale, le fils du Roi vit naître sa deuxième progéniture sous l’artifice des projecteurs.

nationalité(s)

( Espagnol ) ❛ Papiers européens, ce fut dans cette parcelle infinie qu’il eut grandit et s’eut déconstruit pour, finalement, voguer vers la grande puissance mondiale où prison dorée cueillit solennellement son visa étudiant, prête à se voir souillée par les frasques incorruptibles d’une âme aux travers conquérants.

origine(s)

( Hispanique ) ❛  Joyau brut d’une nation pittoresque, fruit de deux parents au sang couleur saphir, son existence originelle demeura hier, aujourd’hui et demain, dans les limbes ibériques.

orientation sexuelle

Désirs ( versatiles ), le coeur volage, rouillé par l’amer inaptitude à s’attacher, entaché par la cruauté carnassière à briser ses semblables, prince corrompu par les péchés se ficha du genre, du pronom, de l’allure ⎯ rien n’eut plus d’importance que de détenir l’écorce d’un instant une peau à embraser par l’ardeur velours des baisers et la caresse satinée des lèvres insatiables.

statut amoureux

Solitude imparable, vestige du ( célibataire ) incorruptible, convaincu que l’Humain fut conçu pour s’en aller quoi qu’il en coûte, la ferraille forgea le coeur inaccessible au vice d’autrui et empêcha le muscle putréfié de s’accrocher à quiconque ⎯ au grand dam de ses procréateurs.

études

Décrété par le monarque, les ( sciences politiques ) ne furent pas un choix mais bel et bien une contrainte soumise tel un devoir à remplir, un impératif nécessaire que ses parents espérèrent cette fois, sans débordements, en vain.

bourse

Non.

statut social

Noblesse satinée - quand on aime on ne compte pas, parut-il, pourtant cette ( fortune colossale ) demeura la raison première de son infime intérêt pour la couronne.

job étudiant

Délinquance à peine déguisée, voyou camouflé de ruses espiègles, petit prince fut dompté par les mots récurrents - tes loyaux services doivent rester fidèles au royaume, parole siffla sans arrêt tel un vieux disque rayé, Mergui opéra alors dans l’ombre. Toutefois légalement et officiellement, il ne fut en aucun cas détenteur d’un quelconque emploi, étudiant ou pas.

maison
( Student ) ❛ incapable de s’adapter à la vie en communauté, en inadéquation avec les codes de fraternité, ce fut indépendamment de ces cocons de coton qu’il préféra manoeuvrer, fauve intraitable, ce fut en solitaire que le loup décida de se fondre dans la masse effervescente d’Harvard.

Si pour certains il fut délicat de pénétrer les portes sélectives du prestige offert par Harvard, Mergui n’eut pas cette difficulté. Nul besoin d’exploiter son rang social pour s’affranchir d’une réussite écrasante, pas lorsqu'on détient mieux qu’un statut - un don naturel, cependant jusqu’alors insoupçonné pour la manipulation. L’entretien fut dès lors un franc succès, tout comme put l’être chacune des étapes décisives à l’admission, sans doute l’essay fut un tant soit peu plus complexe puisque toujours épineux pour lui de parler de soi. Et si aujourd’hui on lui demandait pourquoi Harvard, il s’habillerait de toute la sournoiserie dont il put faire preuve et répondrait seulement - pourquoi pas ?

Épitomé du royaume, pourtant égérie de la bâtardise, âme égoïste, abîme de débauche, écume du givre, l’écorce est faite de pierre, de désinvolture et d’insociabilité. Parcelle d’humanité désarticulée sur laquelle s’étend témérité, imprudence et grossièreté. Ébauche inachevée sur laquelle se peint une tendance à l’indifférence imperturbable, dans ses veines froides l’adrénaline n’existe pas, la clémence et le pardon non plus. Caricature hachurée du nogitsune qui sous la chair, s’épanouit et trouve renaissance dans le chaos, Mergui s’habille de faux semblants, trompe, triche et dérobe avant de s’en aller. Derrière le masque fissuré du renard, là où personne ne regarde, plane les faiblesses déguisées de sournoiserie, de cynisme et d’entêtement.

Excessif, l’âme ne laisse jamais place au répit, lorsque l’attention est délivrée tel un secret, ses cellules s’accrochent, quémande et épuise l’attention jusqu’à ce que lassitude s’ensuive et l’attire dans l’oubli. Rien n’est jamais définitif, le “pour toujours et à jamais” n’est que mythe, il remplace aussi vite qu’il s'essouffle et l’appui toujours d’une franchise aiguisée. Le vice du détail, c’est sous l’aile du diable que réside ses plus vastes travers, génie du mal trouvera toujours le moyen de renverser les cartes, un as dans la manche, deux autres sous la table, impossible d’assurer sa loyauté bancale, si la mise l’attire ailleurs, il s’en ira sans remords pour faire tapis, parce qu’aussi complexe soit-il de le comprendre, une chose reste limpide - il ne doit rien à personne.

Impulsivité incontrôlable l’enrôle dans la décadence barbare de la violence, les poings pleuvent quand s’arrêtent d’éblouir les flashs, capable de tout, surtout du pire, dans l’ombre Mergui se fiche du monde, des principes, des lois, la conscience juvénile endoctriné par un entourage à la toxicité abusive, il trouve bonheur que lorsque le frigide des barreaux se ferment sous ses pupilles esseulées, lorsqu’au loin chantent les sirènes et sous la cacophonie environnante, l’anarchie se répand massivement. Trop longtemps auditeur des horreurs parentales, désormais source de conflit perpétuel, gamin du fléau trouve refuge dans un danger qu’il perçoit comme sanctuaire de vie. Pour lui, le risque n’existe pas et l’extrême est un domaine dans lequel il excelle - mettre sa vie à l’épreuve du hasard, tel est son quotidien, là où chaque seconde de chaque minute est un péril corrosif qui le noie dans la folie du encore, du toujours plus.

LES FONDAMENTAUX.

UNO ❛ Né à Madrid en novembre 2002, il est le fils de Felipe VI et de son épouse, Letizia, roi et reine d’Espagne, ils sont également les parents d’Alejo, Leonor et Sofía.

DOS ❛ Alejo, de trois ans son aîné, fut comme la tradition le désira, prince hériter de la couronne. Toutefois, décédé d’un accident de voiture qui frappa le pays d’un deuil national, Mergui se vit recevoir ce privilège empoisonné à sa place.  

TRES ❛ À l'antipode de la copie parfaite de son frère, il se vit comparé à outrance à ce dernier, pointé du doigt à la moindre faute - caméras, flashs et projecteurs braqués sur le regard qui n’aspira rien de monarchique eurent raison de lui. Dès lors, son Altesse transmuta pour devenir l’ébauche de ce que le peuple eut construit de lui-même, une bête insaisissable.

CUATRO ❛ Loin des contes de fées peint par disney, dans son royaume disloqué, rien ne fut plus jamais pareil. Après le décès brutal de son aîné, son seul ami jusqu’alors, la lucidité vacilla, le sourire et les bonnes manières chancelèrent, réduite à néant par les rumeurs plus vraies que nature - le petit prince fut-il réellement devenu le petit caïd insatiable de rébellion, soulignèrent les médias.

CINCO ❛ La goutte qui fit déborder le vase royal fut la fuite inopinée d’une vidéo dans laquelle Mergui, éméché et débraillé, cogna violemment un citoyen. Quand bien même il eût désiré exprimer la sortie du contexte évidente pour nuire à sa réputation déjà peu glorieuse, ses procréateurs n’eurent rien voulu entendre et après une déclaration forcée pour s’excuser publiquement d’un pareil comportement, il eut été contraint d’accepter les conséquences de ses actes - s’envoler pour Harvard, là où sa majesté espéra pour lui, un cadre meilleur pour mûrir et s’octroyer l’excellence avant la succession suprême.

SEIS ❛ Libérer un fauve trop longtemps enfermé put avoir des effets que personne n'eût jamais soupçonné. Le nouvel étudiant qu’il eût promit d’être se fit l’ami de personnalités peu fréquentables et s’ensuivit ainsi, une anarchie inévitable, une décente rocambolesque dans l’abîme d’une inégalité qui lui ouvrit des portes sur un monde qui enfin, le fit se sentir en vie.

SIETE ❛ Désormais, à mille lieues d’un pays natif qui sembla lui avoir tourné le dos, Mergui redécouvrit ce que l'indépendance, la liberté et les plaisirs ultimes signifièrent vraiment. Bien que médiatisé même à des milliers de kilomètres de chez lui, il tenta de vivre sa vie tel un étudiant de son âge - cigarettes, alcool et luxure, maîtres d'un dôme où le péché devint la devise.


LES SECONDAIRES ❛ Il n’eut jamais été le genre de personne dont on put souhaiter devenir l’ami et il est ok avec ça ❛ Peur de rien ni de personne mais méfiant de tout et de tout le monde ❛ Il n’eut jamais appelé ses parents papa et maman ❛ Atteint du trouble explosif intermittent, il dût suivre une thérapie à laquelle il mit un terme en arrivant à Boston, en somme il n’eut aucune maîtrise de sa colère et des réactions qu’elle put engendrer ❛ Rares furent les fois où il eut réellement laisser quelqu’un entrer dans sa vie ❛ Fondamentalement mauvais, souvent involontairement, il lui arrive de faire le bien, une histoire de karma, qu’il dira ❛ Il n’eut de respect que pour ceux qui l’eurent mérité par la vaillance de l’acte ❛ Aucun filtre, il eut toujours dit tout ce qu’il pensa d’une vulgarité qui ne connut aucune limite ❛ En décalage avec le monde autour, il ne comprit pas toujours quand et comment son comportement put s’avérer blessant pour ses congénères ❛ Une règle d’or - ne jamais dormir dans le lit de ses conquêtes et ne jamais laisser l’une d’elles dormir dans le sien - le canapé c’est le minimum acceptable, encore fallut-il avoir une excuse valable ❛ Au cours des dernières années, il eut développé une phobie de l’abandon qui, scellée à son âme désarticulée, ne parut pas vouloir s’en détacher, désormais difficile à chasser ❛ L’aquarium, un vieux pont et les rails d’un quai abîmés par le temps sont les trois endroits clés où se réfugie Mergui lorsque gronde le ciel et sur sa vie de marionnette, abattit ses foudres ❛ Dans son désordre environnant, il eut déjà rencontré l’amour, sa flamme jumelle, son âme-soeur, d’une beauté à pousser le coeur au naufrage, la voix à faire chavirer les sens et les attraits psychiques d’une déesse tout droit descendu des cieux pour lui dérober le peu qu’il put lui rester. Idylle adolescente succomba à la tragédie lorsque sa douce se suicida du haut d’un pont alors qu’il eut tout tenté pour l’en empêcher - dans sa chute, elle emporta avec elle la lumière, la raison et le cœur encore chaud de son Roméo.

pseudo sinki.
âge plus très loin des 24 ans…
nationalité Française.
forum connu par... je l’ai connu y’a super longtemps par le biais de
Milla (morning rain), j’ai déjà été présente ici sous plusieurs pseudos, “jonah kim” était
le dernier en date si j’me souviens bien, sait-on jamais, peut-être que j’vais retrouver des p’tits chats de cette époque-là.
ILH, j'en pense quoi ? suffisamment addictif pour qu’on y revienne des années après l’avoir quitté. ilh a toujours eu une place particulière dans mon tit coeur, c’est pourquoi me revoilà dans les rangs.
autres comptes ? nop.
avatar utilisé jared celma.
crédits images moi-même.
nombre de mots par rp ça dépends des attentes du partenaire, je m’adapte facilement donc généralement entre 400 et 4000.
type personnage inventé.
code bottin

Code:

<span class="pris">JARED CELMA</span> <g1>-pris-</g1> @"Mergui De Borbon"