(TW) Burn our minds. - Styrán

Bordel. Ce petit con me réponds plus à cause des sentiments qu'il a pour moi ? Il pouvait pas en parler avant ? Ça me rend dingue. Tout est compliqué avec lui. Je pensais que mon statut princier me faisait défaut mais au final, c'est pas que ça qui bloque dans notre relation. Une discussion s'impose entre nous deux. Même si j'aurais préféré venir le voir pour une soirée plus chill, plus câline, c'est certain. Là, je sais que je vais devoir faire face à une ambiance tendue. Si ce n'est pas pire. Je gare la voiture près de la porte principale. J'observe les lieux car je n'y avais pas mis les pieds depuis que je connais Styx. Un nouvel endroit certainement. Les lieux semblent calmes et le style assez ancien. Je sonne et à l'interphone, on m'ouvre directement. Je montre instinctivement jusqu'à la porte où est indiqué le nom de Styx. Sonnerie retentis, j'ai le palpitant qui bouscule ma poitrine. Je ne suis pas friand des discussions tendues. Je suis adulte alors je dois y faire face. Quand il apparait dans l'embrasure de la porte, je sens mes épaules désirées le rejoindre pour l'enlacer contre moi. Trop de temps sans se parler, sans se câliner, sans l'embrasser. Je me contiens. Je tente un sourire, un doux. - Hey... Salut. Ma main finit par dépasser ma volonté, à se poser sur la hanche de @Styx Cardena pour le rapprocher de moi et déposer un tendre baiser sur sa joue. Juste ça. Mon coeur voudrait le dévorer sur place, lui arracher ses vêtements pour lui montrer à qui il appartient. Mais la retenue a toujours été de mise. J'avance un peu et observe la décoration. C'est un style qui lui convient très bien. Je continue de faire quelques pas. - C'est très joli chez toi. Tu as bon goût. faire durer le suspens. reporter un petit peu cette discussion qui brûle nos esprits.

@Ciarán Black
― styx's loft. 10.10.22.
ce n'était pas par pur hasard que tu avais choisi l'après-midi pour l'inviter à passer chez toi, à l'heure où t'étais censé te retrouver devant une toile vierge ou d'avancer dans tes devoirs. tu désirais conserver cette distance qui s'était installée entre lui et toi, ni bousculer tes nouvelles habitudes. l'été dernier avait été particulièrement mouvementé mais c'était l'automne à présent, la rentrée était passée et tu n'avais plus réellement de place pour de nouveaux tracas à venir. quelque part, cela te rassurait. de te tenir loin de ce bonheur imaginaire, douce caresse de tes pensées qui devaient rester telle quelle, dans le champ des choses irréalisables. t'avais beau laisser vagabonder ton esprit lorsque tu te retrouvais dans ses bras, te sentir sur un nuage tout court lorsqu'il était à tes côtés, tout cela n'était que parenthèse enchantée, un fantasme qui avait peu de chances de se renouveler. tant qu'il demeurait toujours loin, tu pouvais mieux lui résister. tu connaissais tes faiblesses et l'inviter chez toi en faisait partie. tu l'avais durement regretté après vos échanges mais il avait raison sur un point, vous deviez discuter. la sonnerie retentit, bon point, il semblait ponctuel. plus tôt il partirait, plus vite le myocarde pourrait respirer. tu lui avais avoué qu'il faisait battre ton coeur et tu ignorais sa réaction là-dessus, mis à part le désir de te revoir. encore une fois, cela te semblait facile. facile était le mot, car tu ne voulais juste pas qu'il les ignore. qu'il t'ignore tout court. tu allas ouvrir la porte et t'esquissas un sourire en découvrant sa haute silhouette et qu'il te salua. sans un mot, tu te plaças immédiatement sur le côté, ta main remettant en ordre tes cheveux mais il s'avança vers toi. la surprise se lit sur tes traits mais tu te laissas faire, tendre baiser sur la joue plutôt agréable avant de le laisser se diriger au milieu de ton nouveau repaire. il complimenta ta déco alors que tu l'observais près de la porte, tu te forçais à rester distant et c'était tout sauf agréable. — ciarán, je t'arrête tout de suite, t'es pas venu ici pour que je te montre tout ça ou qu'on enfile ensemble des perles...  vas-y, je t'écoute. je suis enfin là et ton temps est compté. tu avais clairement donné le ton de ces retrouvailles au goût plutôt amer, il t'avait manqué plus que tu ne le croyais.

Le regarder pourrait être un de mes passe-temps favori, si tenté il me laissait devenir le peintre et lui mon modèle. Mais je ressens bien cette tension entre nous, depuis la fin de l'été, ce n'était plus comme avant entre nous deux. Du moins, de son côté, car du mien, mon attirance pour l'étudiant n'avait pas changée. Il me plaisait mais je n'étais pas convaincu de la réciprocité alors j'ai préféré profiter de l'instant présent. Sans penser que les mots qu'il a éclaté par message sonneraient dans ce sens. J'ai besoin de comprendre. Est-ce réel ? Ou simple coup de colère ? Je voudrais connaitre la réponse mais en même temps, elle m'inquiète. Et puis... j'ai trop envie de jouer avec son tempérament. Avec lui. Comme ce baiser que je rêvais décaler de quelques centimètres. Comme ce commentaire qui vient prolonger le jeu. Sa réflexion résonne dans la pièce et m'arrache un petit rire discret. Je me contiens mais bordel, j'ai tellement envie de le pousser à bout. De le rendre fou. Et pas que de l'énerver. - Pourtant, tu te plaignais pas de la manière dont j'enfilais les perles. Mains en évidence pour rendre faussement les armes tout en me rapprochant de lui. - Bien. Changement de ton dans ma voix pour lui signifier que je passais aux choses sérieuses. Je voulais mettre cette pression sur lui pour qu'il ne se cache pas de ses mots. Qu'il les assume. Je me rapproche de lui à tel point que nos souffles se mélangent et que je puisse poser ma main sur son cou. - Pourquoi tu ne m'as jamais dit que tu avais des sentiments pour moi, Styx ? Tourner autour du pot ? Clairement pas mon intention. Je voulais savoir ce qu'il ressentait. Et surtout, je voulais savoir ce qu'on allait devenir de nous deux. Parce qu'il me suffisait d'un mot, d'une demande, pour venir l'embrasser à nouveau. pour l'enlacer. Ce petit con ne s'enfuira pas.

@Ciarán Black
― styx's loft. 10.10.22.
bien qu'heureux de le revoir, tu affichais ce visage impassible pour mieux te contrôler. au fond de toi, tu n'étais pas rassuré de le voir là, tu savais à quel point il pouvait obtenir tout d'un claquement de doigts. éducation princière qui dictait toujours sa conduite évidemment, que pouvait-il s'agir d'autre ? et ouais, tu n'aimais pas la sensation d'être choisi comme un divertissement. tu l'avais accepté durant les premiers moments partagés avec lui, moments plutôt plaisants d'ailleurs mais il fallait coûte que coûte l'oublier. et ces moments. oublier qu'il était entré dans ta vie, avant qu'il n'y mette le bordel. et tu te demandais une nouvelle fois, en l'observant, si t'allais réussir à lui faire entendre raison. même si cette voix au fond de toi te murmurait le contraire, qu'il était aussi indomptable qu'un lion et qu'il fallait mieux demeurer à la place qui te seyait le mieux. en somme, celle qui l'ignorait depuis la fin de l'été. tu l'observas toujours alors qu'il se rapprochait de toi, la bouche muette de paroles futiles. changement de ton dans sa voix. tu voyais qu'il laissait traîner les choses, faisant durer un peu plus le suspens, et qu'il aimait cela. avant d'enrouler sa main autour de ton cou et qu'il te fixa de ses grands yeux brillants, mais tu ne bougeas pas face à lui. inébranlable. mais son regard pénétrant te retournait le cerveau et ce fut plus dur de rester plus longtemps insensible, de lutter contre son souffle chaud qui te caressait le visage. tu glissas alors ta main au-dessus de la sienne, profitas de ce contact doux avant de l'enserrer et la retirer délicatement de ton cou. façon plus ou moins délicate de le repousser, à contrecoeur. finalement tu te détournas de ses yeux pour te libérer de son emprise. — pour quoi faire ? et un peu plus loin, tu rajoutas alors que tu pivotas vers lui. — on dirait que ça te surprend ciarán. ce qu'il s'est passé entre nous cet été, n'était rien de plus qu'une simple histoire, une distraction. tu mourrais d'envie de lui tourner le dos ou de baisser la tête pour qu'il disparaisse pour de bon, non pas que tu avais honte de ce que tu pouvais ressentir à son égard. tout simplement pour ne pas flancher devant lui. tout résistait dans le mental et ce n'était pas ciarán black qui rendrait la tâche plus difficile, tu en avais décidé ainsi.

Même si j'ai tenté d'être évasif, je suis rapidement rentré dans le coeur du sujet. Lui. Moi. "Nous" ? Oui, il y a eu un "nous" même si la teneur est difficile à cerner. Je suis pas très romantique mais je suis capable de sentiments, comme ceux qui font battre ma poitrine à l'heure actuelle. Je ne sais pas pourquoi Styx est si distant. Quand je l'approchais, j'aurais voulu déceler la moindre faiblesse qui me laisserait penser que ces mots par message étaient vrais. Pourquoi il m'a dit ça que maintenant ? Pourquoi ne pas en avoir parler avant que ça s'envenime entre nous ? Je sens mes muscles se tendre quand il pose sa main sur la mienne, qu'il me repousse physiquement. J'ai ce tourni dans mon corps, bousculé par cette froideur que je ne voulais pas. mais je n'ai pas le choix. Et quand son regard vient à moi, que ses lèvres livrent un message douloureux. - Tu es sérieux quand tu dis ça, Styx ? Ce n'est pas une recherche de contact quand je viens serrer mes mains sur ses épaules. Ce n'est pas de la panique mais plutôt de la colère. Parce que je ne comprends pas qu'il puisse me dire ça après les messages que nous avons eu. - Tu viens de me balancer que tu avais eu des sentiments pour moi. Mais de l'autre, je ne suis qu'une aventure ? Rien que pour t'amuser ? Et la colère, elle explose parfois plus vite quand on est incapable de se contrôler. Comme maintenant. je le repousse contre le mur. Me rapprochant sans le toucher, mais j'ai besoin de me défouler alors je frappe le mur sur le côté, près de ses hanches. - Bon sang, c'est quoi ton problème, Styx ? T'as pas le droit de me dire ça alors que tu me disais que tu avais des sentiments. T'es qu'un putain de menteur !

@Ciarán Black
― styx's loft. 10.10.22.
— oui je suis sérieux ciarán, je ne veux plus te voir. il n'y a rien eu entre nous. la dernière phrase te déchira le coeur, oui tu lui mentais éhontément mais plus vite il sortirait de ta vie, plus vite tu pourrais passer à autre chose et arrêter de penser à lui. qu'il soit loin ou près de toi, il te faisait mal, continuait de piétiner ce coeur qui ne cessait de battre pour lui, parce que tu avais voulu masquer la réalité, cacher cette effusion de sentiments qui, pour toi, n'avait pas lieu d'être puisqu'il ne les partageait pas. il n'avait pas de place pour toi dans sa vie, tu le savais. tu voulus lui épargner en quelque sorte une histoire compliquée et tu le faisais pour toi également, pour te protéger de lui et de tout ce que tu ressentais. t'étais prêt à regretter de l'avoir rencontré mais tu n'y arrivais pas, il fallait donc mettre de la distance et continuer de la maintenir. en plus de le revoir, c'était cela aussi le plus dur. pour le coup, tu ne t'attendis pas à ce qu'il explose de la sorte, à ce qu'il te repousse contre le mur. grande était la surprise qui se lisait sur tes traits, tout de même choqué par son manque de retenue. sa réaction te semblait disproportionnée et tu voulus réagir avant qu'il n'aille trop loin, tu n'avais pas peur de lui. même si cela était la première fois que tu le voyais dans cet état, au point de frapper dans le mur à côté de toi. cette fois, c'était lui ton problème, et tu poussas son buste de toutes tes forces pour l'éloigner de toi. mais tu criais en te rapprochant de lui. — putain mais ciarán, qu'est-ce que ça change dans tout ça ? rien, mes sentiments ou de ce que je pense, rien. tu n'écoutes que toi, ciarán, il n'y a que ton petit plaisir qui compte. et c'est bien pour ça que tu m'as rappelé ? dis-moi que je me trompe. pas furibond encore, à deux doigts de l'être s'il continuait de ne pas t'écouter. et tu en avais lourd sur le coeur que tu ne t'arrêtas pas. — et je m'en fous que tu me traites de menteur, je suis un putain de lâche qui a des sentiments pour toi et qui veut t'oublier. tu décidas de le provoquer en le repoussant de nouveau. — place m'en une dans la gueule si tu l'oses. autant que ça finisse comme ça entre nous. pour que tu n'entendes plus parler de moi.

Rien eu ? Les mots me font mal et je me sens complètement déboussolé. Entendre ça de sa part, me fait du mal. Même si ça avait été qu'une aventure, je l'aurais mal pris. Sauf que c'est plus que ça pour moi. Je n'ai pas eu le courage d'aller plus loin, encore blessé par le passé. Cette distance, je me demande s'il l'a ressenti à ce point pour me mettre des barrières. Sauf que j'explose, je m'énerve. Je sature de cette discussion entre lui et moi. je n'arrive pas à comprendre la contradiction qu'il me fait vivre. Il a des sentiments mais on doit s'arrêter là ? Pourquoi ? Je suis trop énervé pour me laisser abattre, pour lâcher l'affaire. - Styx ! Putain ! je serre le poing. il y a aucune logique dans ce qu'il me dit ! il peut bien me provoquer, je ne le frapperais pas lui. je m'y refuse. par contre, je vais clairement le calmer. c'est mon souhait. Je lui rends sa provocation en le poussant à mon tour. Contre le mur. - J'pense qu'à mon petit plaisir ? Alors, oui, c'est ÉVIDENT de vouloir baiser quelqu'un qui nous plait. Et clairement, si je le fais, je te cache pas que je t'y mettrais sans aucune DOUCEUR je ponctue les mots tandis que je me rapproche de lui. Nos visages sont si proches que je pourrais l'embrasser. Et je ne cache pas mon envie de m'occuper de lui. Mais au lieu de ça, je m'évertue à établir une discussion. Enfin, je m'y essaie. - Mon petit plaisir ? Tu dis ? C'est qui qui parle que de CES sentiments à lui sans jamais se poser des questions sur l'autre ? C'est toi qui écoute que toi ! Sous la nervosité, je frappe contre le mur, à côté de lui. Je sursaute moi-même, mon regard se plonge dans celui de Styx. Je prends son visage entre mes mains, me moquant des éraflures sur les jointures de mes doigts et viens plaquer mes lèvres contre les siennes. je plaque mon corps contre le sien. Je ne sais pas comment lui dire qu'il me plait aussi. C'est trop difficile. Trop compliqué. Je voulais qu'il le ressente à travers ce "nous".

@Ciarán Black
― styx's loft. 10.10.22.
tu n'étais pas à l'aise avec les mensonges que tu lui avais craché à la figure. il le fallait, pour ton bien. tu ne méritais pas d'être désiré ni même d'être aimé, tu n'étais pas fier ce que tu étais devenu. même les bons moments avec lui n'avaient pas suffi pour te faire changer d'avis ou d'y croire à nouveau. à ce bonheur simple que tout le monde convoitait. une envie de clope te saisissait, grinçant soudain les dents car sa présence ne t'apaisait pas, au contraire. le voyait-il l'état dans lequel il te mettait ? évidemment que non et tu n'avais qu'une hâte, sentir l'odeur du sang sur la tronche. sentir la douleur à nouveau pour étouffer toutes tes pensées. tu le défiais alors du regard mais une fois encore, il choisit de ne pas t'écouter. — t'es fatigant, C ! complètement dépassé par la situation, tu te laissais faire, le corps meurtri par ses gestes. poussé contre ce mur, comme un sac de sable, tu n'eus pas d'autre choix que d'écouter sa tirade. toujours l'air indifférent, ses propos t'amusaient. — tu n'as pas changé, toujours aussi mélodramatique C... rien qu'une petite pique pour torturer ses nerfs alors que tu réduisais exprès la distance entre vos visages, faisant mine de chercher ses lèvres. c'était si plaisant d'entendre qu'il aurait trouvé son plaisir avec toi. tu percevais son envie dans l'air mais de nouveau, tu te rappelas la raison de sa présence, pour lui dire de sortir de ta vie. — vas-y, dis-le, que je suis fautif. ça te gêne que j'aie aussi... un coeur qui bat pour toi sans t'en parler ? tu n'eus pas le temps de connaître sa réponse qu'il colla ses lèvres aux tiennes. contact qui te fit presque fondre, si tu ne pensais plus à rien, tu te serais jeté dans ses bras mais tu profitas encore un peu avant de le repousser violemment. le plus loin possible. tandis que tu reprenais ton souffle, tu t'écrias : — dégage C ! sors de ma vie, pour de bon, définiti... tu n'y arrivais plus, à faire semblant, ça devenait trop dur. tu voulais ressentir la chaleur de ses mains, de son souffle. son corps qui te voulait. tout en lui te faisait vibrer, à tel point que t'en redemandas encore. — tu fais chier, tu peux...  tu saisis des deux mains son haut pour le pousser contre un meuble, soudainement vif. — pas m'abandonner comme ça... ta main se plaqua sur son visage, puis sur sa nuque, tandis que tu tiras sur son haut sans gêne. l'entraînant vers tes lippes qui n'avaient plus qu'une hâte, une seule envie : l'embrasser tout leur soûl. ses lèvres t'enflammaient que tu ne les quittais plus. ta langue le réclamait, lui, le prince des ténèbres.

@Ciarán Black
― styx's loft. 10.10.22.
toute résistance s'était évanoui lorsque tes paumes l'avaient attiré vers tes lèvres, l'heure n'était plus aux formalités. faire semblant n'était pas dans tes cordes, vaine avait été tes tentatives pour le repousser et le reléguer dans tes vieux souvenirs. dans cette espèce de coffre que tu contenais désespérément au fond de toi. passé qui ne voulait jamais s'effacer, juste espérer que demain tu ne le laisserais moins t'influencer. sa présence t'apaisait, sensation aussi vive que cet été qui revenait et chassait les soucis qui pouvaient te noircir l'âme. à l'inverse, il était devenu ton soleil, celui dont le souffle et la chaleur te rendirent vulnérable. qui éveillait la flamme que tu pensais définitivement éteinte. celle qui rendit à ton myocarde tout son éclat. celle qui coupa ta respiration plus qu'il n'en faut, t'étouffant dans cette complainte presque irréelle.