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Le monde est petit • Carolina

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Le monde est petit

Le monde est petit • Carolina Glass-10 with @Carolina Lena Corzo & @Zéphyr Appleby
Le monde est petit • Carolina Megaph10 warning : //
Le monde est petit • Carolina Calend10 the 12.10.2022 Le monde est petit • Carolina Marker10 CambridgeSide, Boston Faire les magasins ce n’étais clairement pas ton activité favorite, mais tu avais plus de facilité à les faires quand les filles n’étaient pas avec toi, leur curiosité leur poussait toujours à les faire aller à droite ou à gauche, à rentrer dans tous les magasins et lorsqu’un magasin de vêtement se profilait devant elles, les petites était incontrôlable et face à leurs petites têtes tu étais obligé de céder. Pendant des heures elle pouvait défiler dans le magasin sous les yeux des vendeuses qui était en joie de les voir s’approprier plein de vêtement, pensant naïvement que le papa allait forcément craquer pour tout prendre, mais non tu étais solide de ce côté-là, tu mettais un point d’honneur à ne pas les pourrir gâter, à ne pas céder à leurs caprices elles le savaient, mais ça ne les empêchait pas de tenter pour autant, on ne sait jamais sur un malentendu ça pouvait marcher. Aujourd’hui pas de vêtement pour tes petites princesses, tu devais t’acheter quelques trucs pour toi et ensuite faire les courses de la semaine. Tu rentres dans le centre commercial fouillant dans tes poches à la recherche de la liste que tu avais pris soin de faire avec Summer et tu souffle un coup constatant que tu l’avais oublié sur le frigo tu peste contre toi-même avant d’envoyer un message à ta colocataire pour qu’elle puisse t’envoyer une photo. Tu range ton téléphone dans la poche en attendant, si elle ne répond pas tant pis tu improviseras et tu seras obligé de revenir. Perdus dans tes pensées tu ne fais pas attention où tu marches et au moment où tu relèves les yeux t’es à deux doigt de foncer sur quelqu’un, tu stop net pour éviter de bousculer la demoiselle face à toi bredouillant un “Pardon” prêt à repartir, mais tu fronce les sourcils en regardant la brune face à toi “Excusez-moi je sais à quoi ça va ressembler, mais ce n’est pas une méthode de drague pourris, mais on se connait non ?” cherchant dans ta mémoire, ce visage tu l’as déjà vu, c’est certain. Le sourire s’agrandit “Madrid”

Hj; J'espère que ça te va, n'hésite pas à me le dire si ce n'est pas le cas Le monde est petit • Carolina 1365124802 La date as été mis au pif, si jamais ca t'importe on peut la changer sans problème :heaart:
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LE MONDE EST PETIT.
@Zéphyr Appleby
TW : crise de panique
Carolina se retrouve à désespérer. Depuis qu’elle est devenue cheffe du service de psychiatrie de l’hôpital, elle ne compte plus ses heures et à cause de cela, elle ne parvient pas toujours à entreprendre ce qu’elle souhaite faire dans une journée. C’est ce qui l’amène à se retrouver assez souvent dans ce genre de situation : où elle n’a plus rien dans ses placards. Poussant un soupir, une main placée durant une fraction de seconde sur son front, elle s’interroge sur ce qu’elle doit acheter en urgence.
— « Du café. » Elle pense en premier, car elle manque de sommeil. Et quand bien même cela ne se reflète pas sur son visage grâce à la magie de ses crèmes, ainsi que de son fond de teint, elle sait qu’elle va devoir prendre quelques jours de repos, afin de recharger ses batteries. « Pas tout de suite. » Elle prononce tout bas, dans un murmure, pour elle-même avant de faire ses courses.
Rapidement, en passant les rayons, elle remplit son caddie et cette facilité déconcertante à le faire la stoppe net, dans ses emplettes. Car Lina n’a jamais eu pour habitude d’agir ainsi. Elle n’a jamais réellement été dépassé jusqu’à ces derniers temps et bien que ses proches sur Boston croient en elle, l’espagnole commence à paniquer. Étant depuis son enfance sujette aux crises d’angoisse, elle clôt ses prunelles pour se concentrer sur son souffle et uniquement sur ce dernier, quand, on lui rentre dedans.
— « Seigneur ! » Elle prononce l'une de ses mains se posant sur sa poitrine tandis que l’homme qui l’a bousculé s’excuse, pour repartir presque aussitôt, quand il s’arrête et lui fait face. *Encore un goujat.* Elle songe son cœur battant à tout rompre dans sa poitrine alors que ses sourcils sont froncés et qu’elle s’apprête à lui passer une soufflante, lorsqu’elle le reconnait. Ne sachant plus que dire, ni même que faire, elle reste plantée sous ses yeux, hébétée. « Je sais. » Elle prononce à son intention, ses iris se posant sur ses chaussures tandis qu’il se remémore d’où ils se connaissent et elle manque de défaillir. S’accrochant férocement à son caddie, elle acquiesce dans un hochement de tête pour ravaler sa salive et se demander si elle va parvenir à articuler le moindre mot. « C’est bien à Madrid que nous nous sommes rencontrés. » Ouf ! Elle se sent mieux, bien que cela lui rappelle les raisons pour lesquelles elle vit ici. *N’y pense pas.* Carolina se dit à elle-même, avant de lui remémorer son prénom : « Carolina. Mon prénom est Carolina. »

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Tu es quelqu’un d’organisé, en tout cas le plus possible avec deux enfants en bas âge, père célibataire tu n’avais pas trop le choix de faire autrement, mais comme tout le monde tu as tes fails, tu fais des erreurs et oublier cette stupide liste de course sur la table du salon ça a le don de véritablement te mettre les nerfs. Tu sais garder ton calme avec tes filles, en toute situation, mais quand elles ne sont plus avec toi tu avoues avoir du mal à garder ton calme, surtout au travail bien des fois les producteurs doivent te recadrer parce que tu deviens vite insupportable. Tu souffle fort, la tête ailleurs tu manques de percuter quelqu’un, relevant la tête tu t’excuse, mais ce visage te dit quelque chose, alors tu oses prendre le risque de te faire envoyer balader, dans le doute tu comprendrais la jeune femme se faire aborder de la sorte doit lui arriver souvent, mais pour le coup ce n’est pas du tout une veine tentative “Je suis désolé, je ne voulais pas du tout vous faire peur” ajoute tu alors que tu cherches dans tes souvenirs où tu avais pu voir ce visage, un sourire traverse tes lèvres quand tu te souviens de la ville. Vous aviez fait connaissance lors d’une soirée, tu te souviens même que le courant était bien passé et que oui ce soir-là tu avais tenté de la séduire juste avant de savoir qu’elle était mariée et que son mari t’avait repéré de loin. Tu avais calmé le jeu tant bien que mal, préférant t’éloigner dans le respect “Exactement, je ne voulais pas écorcher votre prénom. Moi c’est Zéphyr” lui rappelas tu au cas où cela lui aurait échappé. Machinalement tu regardes autour, comme pour vérifier qu’elle était bien seule “Vous allez bien ? Vous êtes bien loin de chez vous”
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@Zéphyr Appleby
TW : crise de panique - évocation de maltraitance dans son passé, avec sa mère puis son époux
Les crises d’angoisse, elle les connait par cœur. Sans doute à cause de son mariage foireux. Mais il y a aussi sa chère mère, qui l’a rendu, ainsi ; "fragile". Il faut dire qu’elle n’a jamais été réellement épargné au sein du foyer, même si, avec le temps, les choses ont terminé par s’arranger. Le fait est que cela marque une enfant et Carolina, même si elle le cache excessivement bien, sera toujours relativement meurtrie par son vécu. Elle gardera éternellement un traumatisme par son enfance passée, ainsi que ses années où elle a été battu par celui qui est, à ce jour, toujours son époux.
Prête à exploser, à cause de l’individu qui lui est rentré dedans pour s’excuser brièvement en posant à peine ses yeux sur elle, Carolina serre les poings, pince ses lèvres et fronce ses sourcils, quand, soudain, il la voit. Désireuse de s’enfuir à l’image d’une petite souris dans un trou, elle ne prononce le moindre mot, au début, avant de parvenir à articuler un « je sais ». La psychiatre avait bien eu l’idée de feindre qu’ils ne se connaissent pas, seulement, elle n’y est pas parvenue. Car il se souvient de la ville dans laquelle ils se sont rencontrés et certainement des circonstances. Alors, elle s’essaie à souffler une phrase dans son intégralité tandis qu’il lui offre un sourire, toujours aussi charmant, ainsi que charmeur.
— « Ce n’est rien. Ça va mieux. » Elle répond en ôtant sa main positionné sur sa poitrine et continue : « J’étais dans mes pensées et vous m’avez surprise. » Ce genre de mensonge passe toujours, puisque banale et réaliste. « C’est très délicat, merci. » Elle ajoute au sujet qu’il puisse écorcher son prénom, puis reprend : « Je ne l’avais pas oublié. Il est assez unique. » Il faut bien le reconnaître, on ne rencontre pas des Zéphyr à chaque coin de rue, ni même dans chaque nouvelle ville que l’on visite. « Je suis surprise de vous revoir, Zéphyr. » Elle continue, quand, à sa façon de regarder autour d’eux, elle sent un frisson parcourir son échine. « Je vais bien, merci. Et vous ? » Elle lui demande pour se figer à sa seconde question. « Je ne vis plus en Espagne. » C’est vrai, aucun mensonge cette fois. « C’est à Boston que je réside à présent. Seule. » Elle conclut afin qu’il comprenne que son mari n’est pas présent. Il ne fait plus partie de l’équation et elle en est ravie, bien qu’elle soit toujours son épouse, à son plus grand désespoir !

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