KOACE ► Détruisons-nous, il n'y a que de cette manière là que nous nous aimons.

❝KOACE❞
feat Grace & Konrad ✖ Cette semaine avait été un petit peu cahotique pour toi. Tu venais de passer une semaine sans regarder, voir ou même parler à Konrad une seule fois. Lorsque vous vous croisiez dans les couloirs tu devenais froide, glaciale, plus aucunes émotions ne traversaient ton visage. Après tout qu'il reste avec sa pouffe d'Elysia ou de tu ne sais pas qui. Toi tout ce qui te motivait en ce moment c'était l'alcool, la drogue et la baise. En effet, depuis une semaine tu les enchaînés. Jamais une seule fois le même, toujours un différent pour chaque soir et autant dire qu'Harvard parlait assez de tes petites conquêtes. Après être passé pour la droguer, la folle, l'alcoolique, tu passais pour la pouffe, la pute même. Un statut qui te convenait bien, cela te faisait même rire. Tu en jouais même mais un statut qui risquait de faire très rapidement péter un câble à ton cher et tendre frère. Justement, une main se resserrait autour de ton bras pour te tirer dans les toilettes des mecs. « Eden, tu me lâches tout de suite ! Si c'est pour me parler de ma petite réputation, je fais ce que je veux. St-James est une salope c'est tout ! Maintenant, tu me laisses aller en cours et tu arrêtes de me les briser. » Ton petit monologue n'allait en aucun cas le faire changer d'avis mais voilà que surprise ! Ce n'étais pas ton grand frère de deux ans ton aîné mais Konrad qui se tenait devant toi la main autour de ton bras. « Toi tu me lâches de suite ! Je t'ai dit de garder tes distances avec moi tu ne comprends pas ? Qu'est ce qui se passe Elysia est malade donc il te faut une autre pouffe ? Désolée, mon planning est chargé en ce moment. » Tu t'apprêtais à repartir mais le jeune homme n'étais pas décidé à te lâcher.

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† Koace †

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Putain je n'en revenais toujours pas, je me revoyais encore avec elle dans mon appart, elle avait voulu faire comme si de rien était, comme si on pouvaient reconstruire quelque chose en se fichant du passé, elle s'est acharnée sur moi intentionnellement pour se venger car elle en ressentait le besoin après ce que je lui ai fais subir, normal mais aussi involontaire en parlant d'Elysia car je sais qu'elle la déteste ou en m'agressant directement car elle ne sait plus où elle en est. Je me remémore toutes ces scènes de cette soirée qu'on a passés ensemble, elle avait si mal débutée au cinéma puis après elle s'était calmée chez moi mais elle avait décidée de partir, de m'avouer qu'elle ne pouvait pas faire comme si de rien était, elle ne pouvait pas, moi si mais pas elle, elle n'était pas aussi coriace, depuis, une semaine s'est écoulée et en cette semaine, aucune paroles échangée entre nous, des regards oui, mais froids et agressifs de sa part, dès qu'on se croisaient s'était comme ça, comme si j'étais le mec qu'elle détestait le plus au monde, c'est surement ça. Durant cette petite semaine j'avais entendu parler de ces enchainements, elle voulait s'occuper avec un mec, un différent chaque soir, une vraie salope quoi, tout ça pour essayer de m'oublier j'en étais sur, et ça me foutait légèrement en rogne qu'elle est cette réputation de pute, elle était garce et salope par son caractère pas par ses agissements enfin si mais là, elle allait juste trop loin, et j'aimais pas ça. Je venais de l'apercevoir et sans me faire prier, je venais lui attraper le bras, le serrer comme il fallait pour pas qu'elle s'échappe, ça se passait très vite et en peu de temps elle était passé, du couloir aux chiottes des mecs, j'avais refermé la porte à clé, histoire d'être tranquille donc les mecs vos bites attendront de se soulager. Elle m'avait prit pour son grand frère, désolé pour elle, ce n'était que moi, Konrad, le seul et l'unique connard de service Quel language... disais-je sur le ton de l'ironie, je souriais même presque puis elle réalisait enfin qu'il s'agissait de moi et son regard devenait encore plus noir et le ton qu'elle prenait changeait aussi radicalement. J'te lâcherai pas St-James. Crois moi j'aurais gardé mes distances avec toi mais disons que quelque chose ne me plait pas. elle essayait de se débattre mais je serrais suffisamment son bras pour qu'elle comprenne qu'elle n'allait pas partir de si tôt. Elysia va très bien merci de t’inquiéter pour elle.. non c'est plutôt justement ton planning que j'aime pas... je plantais mon regard dans le sien J'aime pas qu'il y est parqué "pute" sur ton front.. voilà j'avais été droit au but.

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feat Grace & Konrad ✖ Lui. C'était lui qui venait de te serrer le bras si voir que tu pensais ne jamais le récupérer. C'était lui qui t'avait traîner ici de force et tout ça pour te dire que tu étais une pute, une salope, une garce mais tu le savais déjà ça non ? Tu n'as pas attendu que monsieur Sheffield débarque pour le découvrir. Te débattant une dernière fois en vain tu répliquais. « Lâche moi putain ! Qu'est-ce que tu en as à foutre Konrad ? Tu m'expliques ? Qu'est-ce que ça peut te foutre que je sois une pute ou quoi ? Tu veux que je change de trottoir dès que je te croise parce que tu as honte ? » Tu riais brièvement. « Arrête, monsieur est en couple. Monsieur s'est posé donc monsieur est devenu irréprochable ? Tant mieux pour toi, je suis heureuse pour toi et l'autre. Je vous souhaite que du bonheur mais laisse-moi vivre ma vie. Je vais vraiment commencer par croire que je t'attire. » Passant un doigt sur le torse de Konrad tu t'apprêtais à repartir, roulant du cul pour l'occasion mais la pression qu'il mettait sur ton bras s'accentuait à chaque mouvement que tu pouvais faire. C'est donc en soupirant doucement, que tu montais sur le plan de travail pour t'asseoir afin d'écouter le monologue de ce type qui te lâchait peu de temps après lui avoir lancé un regard froid, glacial, polaire. Tu voulais qu'il comprenne bien que tu n'en avais plus rien à foutre de lui.

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J'avais réussis à la croiser, je lui tenais le bras, fermement histoire que l'idée qu'elle puisse s'envoler lui lui passe par la tête ne puisse malheureusement pas se produire. Il fallait qu'on parlent, sans qu'elle comprenne pourquoi, et en quelques secondes elle était passé du couloir aux toilettes pour mecs, j'avais réussis à fermer la porte à clé et lui tenant toujours le bras lui dire clairement qu'entendre par presque tout le campus qu'elle joue les putes, j'aime pas du tout. Elle essayait de se débattre mais je ne lâchais pas, je serrais suffisamment pour qu'elle ne puisse pas se barrer, je m'en fou si je lui faisais mal ou non, je voulais qu'on s'expliquent, point barre Non c'est pas au programme que j'te lâche. Écoute tu fais ta petite salope si tu veux mais tu sais pas rester discrète, presque tout le campus est au courant, et je crois qu'ils s'en battent un peu tous les couilles que tu enchaine les mecs chaque soir, et un de différent en plus, ta chatte aime bien les bites, on l'a tous compris. je voyais un petit sourire apparaitre sur ses lèvres et elle lâchait un petit rire en parlant avec ce prétexte que je sois en couple mais ça n'avait rien à voir, pas du tout. On s'en fou que je sois en couple là, j'vois pas pourquoi t'ouvres ta gueule là-dessus ? Et pour ton information, le jour où tu m'attirera, crois-moi tu le sauras.... je souriais discrètement alors que son doigts parcourait mon torse, elle voulait une fois de plus se casser mais je serrais un peu plus pour lui faire comprendre que c'était une mauvaise idée, elle soupirait, j'men fou, elle posait son cul sur le plan de travail au milieu des chiottes des mecs, bah voilà, je finissais par lui lâcher le bras et même ses regards froids ou autre ne me faisait rien. Bien... maintenant que t'as compris que t'étais pas prête de te casser, on peut baisser d'un ton et parler tranquillement j'avais ce sourire mesquin, celui qu'elle détestait tant, mais elle me détestait alors il n'y avait pas de problème.

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feat Grace & Konrad ✖ Tu te débats. Tu essayes une nouvelle fois de t'échapper de lui, de son regard, de ses paroles mais rien n'y fait. Tu t'étais résigné à posait ton cul sur ce plan de travail, étant prête à écouter ce qu'il avait à te dire enfin plutôt à te reprocher. Ton regard était fixé sur ses chaussures lorsqu'il te disait que tu étais une petite salope, une chose qui aimait la bite. A cet instant tes dents se serrèrent, tes yeux lancer des éclairs et ta main vint s'aplatir violemment sur la joue de Konrad. « Ta gueule ! Garde juste dans ton esprit que je suis une abrutie qui s'est laissé avoir par ses sentiments. » Tu soupirais doucement avant de laisser glisser ta main sur le torse de Konrad avant de la laisser tomber lourdement sur ton genou. Tes yeux repassaient le sol à la loupe. Une seule et unique chose d'interloquer vraiment. Pourquoi Konrad s'intéressait tant à toi ? « Mais, attend juste une chose. Pourquoi portes-tu encore de l'intérêt pour ma personne ? Si, c'est juste parce que tu veux encore passer entre mes cuisses, tu as juste à me le dire en ce moment j'ai un petit moment de libre disons maintenant. » Un regard de braise, une jambe qui se glissait avec sensualité sur l'entre-jambe de Konrad, une main qui passait son torse en détail. Tu savais vraiment comment le faire succomber et puis Konrad reste un homme et tout homme ne résiste pas aux femmes qui font des avances à pars les gays évidemment. Enfin bref, la situation était vraiment étrange, bizarre, glacial et en même temps tellement tendre. Son regard était haineux mais au fond de toi tu continuais à croire qu'il n'y avait pas que cela entre vous. Vous ne pouvez pas vous résoudre qu'à la haine et au désaccord. Pas après deux ans d'amitié.

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Non Grace, tu restes, j'en ai pas finis avec toi, t'as beau te débattre, tu t'épuise pour rien, je lâcherais pas sauf si je vois que t'as compris que je veux des explications et là oui je te lâcherais. Je voulais qu'elle comprenne cela dans mon regard, froid et sérieux et je pense qu'elle venait de saisir en posant ses belles petites fesses sur le plan de travail au milieu des chiottes, je lâche son bras mais je reste sur mes gardes, avec une fille comme elle tout est possible, tout. Je lui disais cash, je m'en foutais des conséquences mais fallait que ça sorte, elle avait jouait sa pute, sa salope, enchainer les mecs, un différent chaque soir, pire pour essayer de m'oublier, avoir une bite dans la bouche ou en elle pour effacer ma gueule de sa tête, original. Elle n'osait pas me regarder dans les yeux, mes chaussures semblaient beaucoup plus intéressantes puis lorsque elle a comprit ce que je voulais réellement dire, elle ne perdit pas de temps pour me foutre sa main en pleine gueule et me dire après qu'elle s'était juste laisser avoir par ses sentiments, quelle classe ! Vraiment ? Original ta méthode pour m'oublier en tout cas ! j'étais en colère en l'ayant vu dans le couloir mais là, avec sa gifle, c'était pas du tout le moment de hausser le ton avec moi, pas du tout. Sa main venait se reposer sur mon torse et glisser lentement avant de retomber sur ses genoux, je la sentais partagée bizarrement, son regard était froid mais il y avait quelque chose d'autre, mais je ne savais pas quoi. Ca m'aurait tenté mais j'ai déjà un cul qui m'appartiens sorry.. ouais j'étais en couple maintenant, grande surprise, stupéfaction même, moi en couple ? J'aime trop les chattes pour ça, je peux pas m'en contenter d'une sauf que depuis une semaine c'est le cas. Elle glisse sa jambe de façon sensuelle sur mon entrejambe, elle veut vraiment qu'on baisent putain, une de ses mains vient se poser sur mon torse et le parcourir en détail, je ne la comprend pas.

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feat Grace & Konrad ✖ Tu discutais, ton bras te faisait mal ce n'était que Konrad qui avait de la haine envers toi, envers ton comportement. Vous étiez dans les toilettes et là une claque partie. Tu te sentais coupable, coupable de lui avoir envoyé une baigne alors qu'il n'avait strictement rien fait a pars briser le coeur et maintenant tu avais envie de lui, envie de lui prouver qu'Emma n'était pas celle qu'il voulait. Envie de lui montrer que c'était toi, toi qui lui fallait et de toi qu'il avait envie. Mais lorsqu'il refusait ta proposition tu en fus choqué. Konrad serait donc devenue fidèle, après tout peut-être qu'il l'aime vraiment. Non, non ce n'était pas possible. Konrad était à toi ma belle et il fallait lui prouver qu'Emma n'était qu'un prétexte à la noix. Un fin rire sortait alors de tes lèvres, alors que ta main remontait dans la nuque du jeune homme lui laissant une vu exemplaire sur ton décolleté. « Et alors ? Ne me dis pas que le grand Sheffield, le grand tombeur de ces dames serait devenue fidèle parce que là j'aurais peur d'avoir loupé un épisode. » Tes lèvres venaient se poser avec sensualité sur la peau blanche de Konrad. Il fallait, il fallait qu'il succombe. Il fallait qu'il te tombe dans les bras un peu comme une mouche, tu le voulais, tu avais besoin de ça mais tu avais surtout horriblement envie de lui. « Laisse-toi faire, on est que tous les deux. Personne ne peut nous déranger. »Tes baisers descendaient sur son cou alors que tes mains venaient se posait sur son bas ventre, sous son t-shirt histoire de bien lui prouver que ce n'était pas des paroles en l'air.

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J'étais en colère contre elle, ce qu'elle avait fait cette semaine, ça lui ressemblait certes mais c'était beaucoup trop et j’aimais pas du tout ça. Je venais de recevoir une gifle, j'avais juste été réaliste mais à croire qu'elle n'acceptait pas la dureté de la chose, elle avait jouer les salopes et la voilà m'en foutre une et à me dire qu'elle avait juste été abruti par ses sentiments, connerie oui, tout ça pour m'oublier. Je voyais toute la haine et la colère qu'elle me portait dans ses yeux mais il y avait autre chose qui se manifestait, sa jambe sur mon entrejambe ne tardait pas à me le faire comprendre, elle avait autant envie de moi que de me tuer. J'étais en couple, j'avais Emma, je me devais de lui être fidèle, je savais que ça serait dur, elle le sait aussi, mais j'ai pris ce risque car ça en valait la peine et là avec Grace je sais plus quoi penser même si je ne la comprend pas elle non plus, enfin bref. Sa main passait dans ma nuque et elle se rapprochait légèrement, j'avais une vue sur son décolleté, putain de tentation de merde, pourquoi j'ai autant envie d'elle ? Fais chier Fais ta mise à jour... je me contente que du beau cul d'Emma c'est ce que je voulais, mais avec Grace j'étais complètement perdu, je savais plus quoi penser et là, lorsque ses lèvres venaient se poser sur ma peau, je frissonnais direct, je fermais les yeux un instant me laissant envahir par cette douceur, cette sensation si agréable, je devais me laisser faire, c'est vrai la porte était fermée à clé, il n'y avait que nous, ses lèvres venaient dans mon cou et ses main se glisser sous mon t-shirt, je fermais les yeux, je grimaçais à moitié, désolé Emma Grace... je.. je peux p.. je fus couper par un de ses doigts sur ma bouche, elle ne voulait plus que je parle, elle le faisait glisser puis de son sourire malicieux elle venait rapprocher ses lèvres des miennes Je devrais pas....

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feat Grace & Konrad ✖

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