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Les nouvelles vont vites lorsque la principale intéressée est une influenceuse... @Elia Gucci
Ainsi, malgré la distance établie entre lui, et Elia, et la discrétion dont elle a fait preuve vis à vis de lui depuis, l’information parvint aux oreilles du brun. Inquiet malgré lui, presque offusqué, qu’elle ne l’en ait pas informé. Après tout, s’il avait compris et accepté pendant un temps d’être gardé à l’abri, loin des projecteurs et même du simple entourage de la riche héritière. Longtemps. Trop, à son humble avis. C’est ce qui l’avait finalement poussé à mettre un terme à la relation sans nom qu’ils entretenaient depuis des années.
Mais, une fois de plus, Elia l’avait tenu à l’écart. Déception. Le coeur se fissure, un peu plus. Et, il secoue la tête. Elle ne changera pas. Marcus ne pourra jamais réellement faire partie de sa vie. Elle ne veut, ou ne sait pas comment lui faire une place, ou alors, celle-ci n’est qu’illusion.
Pourtant, il est là, à sa porte. Un mini-bouquet avec une carte de prompt rétablissement en main, à laquelle il avait joint une vieille photo polaroid de lui, accompagné d’une Elia en meilleure forme. Un sac en papier dans l’autre, refermant quelques uns de ses péchés mignons alimentaires, à savoir du maïs soufflé au chocolat et caramel salé. Des macarons. Des framboises. De la gelato. Et dans son sac à dos, les essentiels : du baume à lèvre, quelques magazines féminins, des vernis pour ses ongles d’orteils et quelques marqueurs pastels indélébiles pour que ses copines puissent signer son plâtre si ce n’est déjà fait.... Et le nécessaire pour que la fêtarde puisse se préparer un cosmopolitain framboise litchi comme elle l’aime, d’ici à ce qu’elle puisse à nouveau sortir danser.
Il sonne à la porte, vêtu de son uniforme. « Salut. C’est moi... C’est Marcus. » Il se racle la gorge. « J’suis désolé de débarquer comme ça. C’est juste que j’viens de finir de travailler... J’ai appris que t’avais été blessé... Alors, j’ai fais quelques courses pour toi, pour qu’tu puisses te changer un peu les idées, si jamais... »
Ainsi, malgré la distance établie entre lui, et Elia, et la discrétion dont elle a fait preuve vis à vis de lui depuis, l’information parvint aux oreilles du brun. Inquiet malgré lui, presque offusqué, qu’elle ne l’en ait pas informé. Après tout, s’il avait compris et accepté pendant un temps d’être gardé à l’abri, loin des projecteurs et même du simple entourage de la riche héritière. Longtemps. Trop, à son humble avis. C’est ce qui l’avait finalement poussé à mettre un terme à la relation sans nom qu’ils entretenaient depuis des années.
Mais, une fois de plus, Elia l’avait tenu à l’écart. Déception. Le coeur se fissure, un peu plus. Et, il secoue la tête. Elle ne changera pas. Marcus ne pourra jamais réellement faire partie de sa vie. Elle ne veut, ou ne sait pas comment lui faire une place, ou alors, celle-ci n’est qu’illusion.
Pourtant, il est là, à sa porte. Un mini-bouquet avec une carte de prompt rétablissement en main, à laquelle il avait joint une vieille photo polaroid de lui, accompagné d’une Elia en meilleure forme. Un sac en papier dans l’autre, refermant quelques uns de ses péchés mignons alimentaires, à savoir du maïs soufflé au chocolat et caramel salé. Des macarons. Des framboises. De la gelato. Et dans son sac à dos, les essentiels : du baume à lèvre, quelques magazines féminins, des vernis pour ses ongles d’orteils et quelques marqueurs pastels indélébiles pour que ses copines puissent signer son plâtre si ce n’est déjà fait.... Et le nécessaire pour que la fêtarde puisse se préparer un cosmopolitain framboise litchi comme elle l’aime, d’ici à ce qu’elle puisse à nouveau sortir danser.
Il sonne à la porte, vêtu de son uniforme. « Salut. C’est moi... C’est Marcus. » Il se racle la gorge. « J’suis désolé de débarquer comme ça. C’est juste que j’viens de finir de travailler... J’ai appris que t’avais été blessé... Alors, j’ai fais quelques courses pour toi, pour qu’tu puisses te changer un peu les idées, si jamais... »
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