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ETHAN & JUNE ♞ Pour résumer la vie de June : êtreuneidiote.com

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J'ai été fiancée à la tristesse, mariée à la solitude et même divorcée du bonheur... Mais Dieu merci, aujourd'hui je suis veuve du pire.
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On dit que les gens peuvent changer, je ne croyais pas en ce genre de truc stupide, je pensais simplement que les épreuves nous faisait grandir, mûrir, pour se révéler, se confirmer. Jamais je n’aurais pensé qu’on pouvait devenir vraiment quelqu’un d’autre, devenir quelqu’un d’autre…c’était un bien grand mot pour moi. Je n’étais pas devenue franchement différente, j’avais changé, juste de comportement, au fond de moi j’avais toujours le cœur pure et innocent mais en apparence rien de toute cela…J’avais passé une période trouble, vraiment trouble. J’avais connu l’amour puis il m’avait été si violement arraché, j’étais si blessé que j’avais fait n’importe quoi pour guérir mais bien sûr, cela n’avait pas marché. L’estime que j’avais de moi-même étant vraiment, vraiment très basse, j’avais couché avec plusieurs mecs que je connaissais à peine mais…mais comment j’avais pu faire ça ? Qu’est ce qu’allait penser les autres ? C’était vraiment pas une bonne idée ! Surtout que sur mon tableau de chasse il y avait les plus gros baiseurs d’Harvard comme Aleksei et Alexandre…Je me sentais si seule et si mal à cette époque et j’avais eu besoin de m’amuser, j’en avais pris l’habitude je crois car j’avais couché avec quelques garçons comme ça que je n’avais pas revu. Je n’avais pas de quoi me faire la réputation d’une mather non plus, est ce que quand on avait eu 4 ou 5 coup d’un soir on était forcément une salope ? Toutes ces choses me passaient par la tête comme des énigmes auxquelles je devais trouver des réponses sans aucun indice. J’avais oublié le fait le plus marquant de ma pathétique existence, le fait d’avoir couché avec Ethan. Dis comme ça, ce n’était pas vraiment pathétique mais moi j’avais eu l’impression d’être pathétique quand il m’avait appelé par le prénom de son ex. C’était assez choquant et inattendu, d’accord j’avais compris qu’il n’avait aucune sorte de sentiment pour moi mais il aurait pu être quand même un peu plus impliqué, parce que dire le prénom de son ex en pleine action c’était vraiment LE truc à ne pas faire. Enfin bref, cet évènement m’avait marqué et j’avais vraiment pris la décision que le prochain mec avec qui je coucherais ne serait pas celui que j’avais rencontré dix minutes plus tôt…Si Ethan m’avait fait prendre conscience de cela c’était déjà une bonne chose. De toute façon en ce moment ce n’était pas trop le moment d’aller m’amuser avec n’importe quel mec que ce soit, mon opération qui m’avait fait rester une semaine à l’hôpital m’avait considérablement affaiblie, je souffrais énormément. Le kyste étant plus gros que prévue j’avais très peur pour ma vie future. Il me paraissait déjà difficile de trouver quelqu’un pour avoir une relation sérieuse mais si en plus je devais être stérile, ça n’allait pas arranger les choses. Pour éviter de louper complètement mon année et d’être virée d’Harvard j’avais apporté mon certificat médical d’une durée d’une semaine, ce temps me paraissait vraiment très court car la douleur que je ressentais était si vive que j’avais du mal à croire qu’en quelques jours tout reviendrait dans l’ordre. Après être passé à Harvard j’avais décidé de faire quelques emplettes, même si je ne mangeais plus beaucoup et que j’avais perdu mon ventre rond qui me tenait compagnie depuis quelques mois il fallait quand même que j’aille chercher quelques ingrédients de base comme des pâtes et du riz. Je passais alors entre les rayons habillée d’un jogging et pas maquiller, je crois que je n’étais pas sortie comme cela depuis mon arrivée, je voulais prendre une bouteille de lait seulement il y avait quelqu’un devant entrain de se décider. Il n’était pas très difficile à reconnaitre, brun avec ses cheveux ondulés même de dos j’avais vu que c’était Ethan Barnes mais comme il semblait vouloir agir comme un enfant je n’allais pas insister, pour une fois j’allais le laisser tranquille, je n’étais pas vraiment d’humeur de toute façon, je murmurais seulement : « Laisse moi passer j’ai besoin d’un truc dans le rayon… ». Pas du tout reconnaissable…
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Ce n'est pas le mal, mais le bien, qui engendre la culpabilité.
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Je reprenais petit à petit goût à la vie. Cette dernière n'avait pas été clémente envers moi depuis mon retour et de toute façon je l'avais mérité. J'avais encore commis quelques dérapages à cause de ma stupide impulsivité cependant une rencontre toute fraîche avait mis de l'eau dans mon vin. Je me sentais pousser des ailes, tentant d'effacer les actes regrettables que j'avais perpétré. C'était une journée comme une autre, je m'étais levé plutôt serein, quasiment heureux. Ça ne m'étais pas arrivé depuis des lustres. J'avais eu en prime un petit déjeuner préparé par ma colocataire, que demander de plus ? Malheureusement elle m'avait fait savoir que nous allions être à court de nourriture dans très peu de temps et que je devais réagir car elle était trop occupée pour se rendre à l'épicerie du coin. J'avais bien entendu ronchonner, je ne supportais pas perdre mon temps dans ces endroits, je me sentais efféminé et faible une fois dans ces rayons. J'avais trainé des pieds jusque la salle de bain, me faisant fouetter les fesses à coup de balai par Presley. Nous n'arrêtions pas de nous amuser comme des gosses ça faisait énormément de bien. Elle me motivait à avancer nuit et jour, un soutien de folie. Je m'étais douché à contre coeur, marmonnant à tout bout de champ. Puis j'avais enfilé mes vêtements en deux trois temps mouvements et m'enfuyais en direction du supermarché afin de nous ravitailler. Je n'arrêtais pas de bidouiller mon téléphone portable, ne regardant pas spécialement en face de moi. J'avais d'ailleurs failli me faire écrabouiller, créant de surcroît le bazar à un carrefour. Je reprenais mon chemin, mon coeur battait drôlement vite, j'avais en même temps croisé la mort. Tout ça pour du lait, des céréales et des pâtes ! Presley allait le regretter.

J'entrais enfin dans l'établissement, n'enlevant pas spécialement mes lunettes de soleil, je ne voulais pas rencontrer des regards familiers. Je me munissais de la liste préétablie par ma meilleure amie dans ma poche arrière avant d'attraper un panier à l'accueil Je commençais à enchainer les rayons. Je n’y connaissais rien, la plupart du temps je commandais directement à manger. Je me perdais alors rapidement dans ce dédale de produits. Par miracle j'avais pu récolter tout ce qu'il nous fallait il me manquait plus qu'un élément, le lait ! Le lait où pouvait-il bien se cacher… Je tapais des sprints dans les allées, et grâce à ma taille avantageuse j’avais repéré ces fameuses bouteilles, je m’y rendais donc le sourire aux lèvres. J’avais l’embarras du choix j’ignorais cependant qu’il existait tant de laits différents. J’avais attrapé mes lèvres du bout de mes doigts, réfléchissant à ce que je devais choisir. Une petite voix nerveuse me réveilla alors, on me demandait de me pousser, je ne m’étais pas rendu compte à quel point je monopolisais les lieux. Je me retournais brièvement pour voir d’où sortait la voix, JUNE ?! C’était elle ?! Sans son attirail certes, elle était au naturel et semblait irritée. J’avais sur le coup fait un bond sur le côté. Je me donnais un mal fou à l’esquiver depuis que nous avions… couchés ensemble ! Je m’en voulais, je me sentais honteux d’avoir pu mentionner le nom de mon ex en pleine action. Bref, ma journée se dégradait au fil des heures. Je n’allais pas jouer au con et l’ignorer, je commençais à la connaître, ce n’était plus une simple inconnue. « Hey salut toi, toi aussi t’es à court de lait ? » ce n’était pas la réflexion du siècle mais ça permettrait d’engager la conversation. Je redoutais sa réaction car je ne l’avais pas recontacté depuis ce misérable incident. Et puis elle avait aussi dû se faire opérer, une étape cruciale qui j’espérais ce soit bien déroulée.Je gratouillais l'arrière de ma nuque et n'osais pas lui faire face, je restais face à l'étalage, le regard dans le vide.
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J'ai été fiancée à la tristesse, mariée à la solitude et même divorcée du bonheur... Mais Dieu merci, aujourd'hui je suis veuve du pire.
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J’étais là dans ses rayons, je me sentais seule, vide, mon apparence n’y arrangeait rien. Je me trouvais pas toujours très attirante mais sans maquillage et dans une tenue pareille c’était pire que tout mais je m’en fichais, je me fichais de tout, c’est comme si le reste du monde n’avait plus d’importance. J’étais venu dans une ville où je connaissais personne et je me rendais compte que les rares relations que j’avais construire ne m’avait pas aidé, Elia m’avait soutenue en venant me voir à l’hôpital et Blueberry était tellement déprimé en ce moment qu’elle ne pouvait pas m’aider davantage. J’aurais voulu rentrer chez moi, j’en avais eu l’idée mais il n’y avait plus personne à Paris. Ma mère était morte du sida, mon père était en hôpital psychiatrique…Je ne pouvais plus compter sur personne. Je m’étais toujours demandé si j’avais eu des frères et des sœurs, on m’avait toujours dit non mais je doutais de tout à présent. Ma mère m’avait caché jusqu'à ce que mon père m’agresse de quoi il souffrait alors il pouvait y avoir beaucoup d’autre chose que j’ignorais. Je me posais des questions sur tout, comme si je remettais ma vie en jeu, comme si j’essayais de repartir de zéro mais j’avais l’impression d’être un terrain brûlé sur lequel on ne pouvait pas reconstruire grand-chose. Alors que j’avais repéré la présence d’Ethan depuis un petit moment il semblait ne pas m’avoir vu, il ne m’avait pas vu ou alors il m’ignorait, j’en aurais voulu qu’il m’ignore. Je ne sais pas pourquoi j’avais toujours eu pour lui une certaine affection, dès que je l’avais rencontré j’avais trouvé qu’il était adorable, il avait un physique très attirant et je m’étais attaché à lui. J’avais compris très vite que ce n’était pas réciproque alors je m’étais amusé à l’embêter, il me faisait rire quand il avait son air gêné sur son visage. J’avais adoré passé du temps avec Ethan et même si j’avais mal pris ce qui c’était passé je n’avais pas regretté d’avoir couché avec lui. J’étais certaine qu’il avait raison, que je méritais mieux qu’un coup d’un soir et j’étais d’ailleurs vacciné de ce type de relation mais ce n’est pas pour ça que j’étais gênée. Je ne m’en voulais pas, j’en voulais un peu à lui mais par pour ce qu’on avait fait, je partais du principe qu’on aurait pu faire comme si de rien n’était même si ça aurait été étrange pourtant Ethan n’avait pas été de cet avis. Il n’avait pas donné signe de vie alors que j’avais besoin d’un ami pour me tenir la main, j’étais entrain de perdre le bébé que j’avais cru portait, il le savait mais il n’a rien fait pour m’aider et c’était pire que de dire le nom de quelqu’un d’autre alors qu’il était entrain de coucher avec moi, bien pire. Je ressentais de la haine mais en même temps j’aimais bien Ethan, je savais qu’il n’était pas méchant mais je lui en voulais pour tout ça. Moi qui avais étais si peiné quand il était mort, je me rendais compte que j’aurais pu mourir à mon tour, ça ne l’aurait pas ému pour un sous. Lorsqu’il m’adressa la parole je le regardais avec le même regard noir que la dernière fois, je le fixai avec insistance. J’avais vraiment envie de lui répondre quelque chose de méchant mais…mais j’arrivais même pas à être méchante, j’étais vraiment nulle ! Pour ça aussi je m’en voulais, je grognais simplement : « Tu sais, le lait à vrai dire c’est pas le truc dont j’ai le plus besoin en ce moment… ». C’est vrai qu’on pouvait facilement vivre sans lait, sans famille et avec un maigre soutien c’était un peu plus compliqué. Habituellement j’aurais certainement fait comme de rien n’était, j’aurais parlé de tout et de rien le pardonnant pour ses maladresses mais là franchement, j’avais envie de faire aucun effort…Je souffrais trop pour pardonner aux autres le mal qu’ils me faisaient…Je répondis par pure politesse, le saluant à mon tour : : « Bonjour Barnes ».
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C'était clair et net, June n'était plus aussi enchantée qu'à l'époque de me croiser. L'atmosphère était tendue, si jamais je me frottais à elle, ça piquerait probablement. Je n'aventurais pas mon regard plus loin que le bout de mes pieds. J'attrapais enfin deux bouteilles au hasard et les déposer au fond du panier avec le reste. Elle m'avait appelé Barnes, je pouvais confirmé quelque chose s'était réellement brisé. Je n'avais jamais eu un mauvais fond, et bien qu'elle avait pu me mettre plus que mal à l'aise dans le passé, elle restait une femme, avec des sentiments, je devais ravaler ma honte et tenter de savoir ce qui la chagriner. " Barnes ? Vraiment ? " l'interrogeais-je en inclinant ma tête pour que je puisse la voir sans mes verres fumés. Soit je tentais la blague de mauvais goût et je me servais de ce que nous avions vécus pour dédramatiser soit je passais à autre chose. J'avais vraiment eu beaucoup de mal à digérer mon dérapage, savoir qu'elle connaissait à présent ce qu'il se cacher en dessous de ces bouts de tissus m'embarrasser. Cependant il était peut être temps de se détacher de mes ruminations et d'en jouer avec beaucoup d'autodérision. J'esquissais un sourire, je ne supportais pas voir les gens auxquels je tenais avec un masque aussi déprimant. " Après ce que nous avons fait tu peux m'appeler Ethan " je le sentais mal, bien évidemment qu'elle allait répliquer. J'avais murmurer le nom de mon ex durant notre partie de jambes en l'air, ce n'était pas passé inaperçu. Elle devait m'en vouloir terriblement. Je voulais toutefois me rattraper et ne pas rester indéfiniment en froid avec elle. Je l'adorais au fond, je ne voulais pas que ce qui ce soit passé entre nous puisse nous nuire, et surtout me nuire dans le futur. Depuis la rencontre que j'avais fait je m'en voudrais considérablement si mes actions passées pourrissaient le bonheur que je vivais actuellement.

Soit nous continuions à nous dévisager au milieu du rayon "produits laitiers" soit nous décidions de nous comporter en adulte et alors nous nous expliquerions à l'extérieur. De toute façon j'avais terminé mes emplettes, et voyant la façade figée de June même face à mes plaisanteries, je devais réagir. " Faut qu'on parle, je t'attends dehors " déclarais-je avant de lui passer devant et de frôler son épaule. Je ne savais toujours pas comment j'allais pouvoir me sortir de ce bourbier, mon regard de séducteur et mon sourire captivant n'avait plus aucun effet sur la belle brune. J'allais simplement parler avec mon coeur, je le faisais si bien en ce moment et ça fonctionner. Au pire j'aurais essayé de dénouer cette tension peu importe le résultat. Je déposais ma marchandise sur le tapis roulant et les ranger dans quelques sacs avant de régler le montant et de fuir à l'extérieur. Je m'étais assis sur un banc en face de l'échoppe, attendant patiemment la frenchy. Je tapais nerveusement un de mes pieds contre le bitume. Je commençais à stresser tout naturellement, je n'étais pas doué avec les mots, c'était plus facile sur le papier qu'à l'oral. Là voilà qui sortait, apparemment toujours furax, cette allure qu'elle avait adopté ne lui ressemblait pas elle était vraiment méconnaissable, son visage était fatigué. Son opération avait du l'achever.

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De mon côté je n’en voulais pas à Ethan, je ne m’en voulais pas non plus d’avoir couché avec lui, pour moi on avait passé un bon moment et même si je n’étais pas du genre à coucher avec le premier venu pour moi Ethan c’était pas un inconnu. Il avait un physique plutôt attirant et j’avais été ravie de passer un moment avec lui, bon le fait qu’il m’appelle Arwen avait un peu gâché l’ambiance ça c’est sûr mais le pire c’était qu’il avait agit comme un idiot en ne prenant pas de mes nouvelles alors que j’avais vraiment besoin de lui. Je n’avais pas digéré cet affront, je n’acceptais pas non plus qu’il ignore le peu d’amitié qu’on avait sous prétexte qu’il était gêné. Moi je n’étais jamais gênée et j’avais du mal à comprendre qu’on puisse l’être surtout pour cela, d’accord on avait couché sans sentiment, d’accord ce n’était pas une pratique commune pour lui mais je n’y pouvais rien, ce n’était pas de ma faute. Je le regardais alors, je l’avais appelé Barnes, ce n’était pas méchant, c’est juste que j’essayais de me détacher, je préférais faire comme si j’en avais rien à foutre de lui, c’était mieux ainsi. J’agissais comme lui en faite, comme si il n’existait pas, je n’aimais pas me rabaisser à ce que les autres faisaient mais franchement il m’avait tellement déçu et dégouté que je n’avais pas envie de faire des efforts pour lui. En faite j’avais envie de faire des efforts envers aucun autre homme. Je le toisais du regard avant de répondre avec mon sens de l’humour légendaire : « Estime toi heureux que je me rappelle au moins de ton nom, ce n’est pas ton cas on dirait… ». Oui je l’avais humilié publiquement mais j’avoue que ça me faisait du bien, ça enlevait un peu toute cette haine que j’avais contre lui. Le pire c’est que ça n’avait rien à voir avec le fait qu’on se soit envoyés en l’air mais plutôt le fait qu’il m’est ignoré alors que j’étais à l’hôpital, franchement quelque soit les circonstances, j’aurais jamais fait ça envers lui. Je soupirais lorsqu’il me demanda de parler avec lui à l’extérieur, je pense que c’était la meilleure solution mais je n’avais pas trop envie, j’étais sûre que j’allais craquer. La douleur était si vive et la fatigue si intense, j’étais déjà au bout du rouleau et je devrais me justifier envers lui. J’étais passé en caisse quelques minutes après lui puis j’avais mis mes courses dans mon sac à dos, il ne valait mieux pas porter de charge lourde à la main, de toute façon je n’en aurais pas la force. J’arrivais alors avec mon air toujours aussi fatigué, j’étais énervé par avance de ce qui allait se dire, je savais que nous allions nous prendre la tête et je n’aimais pas ça. Au fond Ethan était important pour moi, je ne savais pas comment le décrire mais maintenant qu’il était revenu je m’en voudrais de gâcher du temps avec lui. Je préférais lui dire quelque chose avant qu’il ne prenne la parole pour son long monologue : « Ethan, je vais pas parler longtemps, je vais te laisser parler je crois que c’est le mieux à faire. Mais avant je voudrais juste te dire un truc, même si tu penses que la moitié d’Harvard m’est passé dessus c’est pas le cas…Je suis pas la salope que tu penses… ». J’avais croisé les bras, prête à entendre ce qu’il voulait me dire, je n’avais pas peur de l’écouter. Peut être qu’il dédramatiser la situation, peut être qu’il finirait par comprendre qui j’étais vraiment un jour. Peut être qu’on aurait finalement une relation à peu près normale à un moment donné…Je murmurais alors : « Maintenant je t’écoute… »
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Je n'avais jamais pu penser ou pire considérer June comme la traînée du campus. Jamais. Elle était d'ailleurs une des femmes que je respectais le plus et pour qui au fond j'avais beaucoup d'admiration. June était une femme forte, qui ne se prenait pas forcément au sérieux ce qui était un bon point pour faire partie de mon cercle très restreint d'amis. Elle était à mon avis dans une mauvaise passe, elle se laissait couler sous le poids des évènements. Un peu comme j'avais fait, sauf que moi j'avais pris la fuite. C'était une solution beaucoup plus facile en apparence, bien plus tentante que de faire affront comme elle le faisait. J'ignorais encore ce qui l'avait conduit à agir ainsi, sa rupture inattendue avec son chéri de l'époque ajouté à sa fausse grossesse et à sa maladie ? Oui c'était sûrement ça. Pourtant une chose m'échappait chez elle, à toujours draguer les uns et les autres, moi y compris, j'avais toujours estimé June comme une femme fuyant l'amour. Je m'étais sûrement trompé, elle avait du complètement chavirer pour ce River si ma mémoire était bonne. Je l'observais du coin de l'oeil débiter son monologue avant qu'elle m'autorise à prendre la parole. C'était enfin à moi, j'y étais allé à l'improviste, j'avais demandé une discussion sans vraiment savoir quoi dire. " D'un je ne t'ai jamais pris pour une salope. De deux je voulais sincèrement m'excuser pour la dernière fois et si on pouvait passer à autre ça m'arrangerait vraiment. Je voudrais t'épauler dans ce que tu es entrain de vivre, regardes-toi tu es méconnaissable ! Ce n'est pas la June que je connais, non non. " finalement c'était sorti tout seul, je n'avais pas eu à réfléchir, les mots s'étaient juxtaposés les uns aux autres. Je remettais sur le tapis notre petite partie de jambes en l'air car j'avais vraiment peur que cette information puisse fuiter à un moment donné où je commencerais à être vraiment proche de la fameuse jeune femme que je venais à peine de rencontrer. Toutefois, j'avais envie de faire confiance à June, elle ne m'inspirait pas la trahison, elle semblait être une femme qui tenait parole, qui n'avait pas mauvais fond. Espérons que je voyais juste car si jamais elle osait me faire une entourloupe elle disparaitrait immédiatement de ma vie. Je n'étais plus aussi indécis qu'à l'époque, ma tête était bien vissée sur mes épaules, je ne laissais plus rien passer. Cependant nous n'en étions pas là, j'avais beaucoup de sympathie pour ce bout de femme et sur l'instant beaucoup d'empathie. " Ton opération... elle s'est bien déroulée racontes-moi " j'invitais ainsi la jeune femme à s'asseoir à mes côtés tout en tapant le banc. Elle comme moi, nous n'avions pas envie de nous crêper le chignon c'était évident. La fatigue avait une énorme emprise sur la jeune femme et moi je me sentais, certes encore honteux mais plutôt disposé à l'écouter. Et puis si jamais elle ne voulait pas se confier je l'accepterais, parfois seul la présence réconforte.

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Je fixai Ethan droit dans les yeux en attendant sa réponse, j’avais très peur qu’il me prenne pour la fille que je n’étais pas car depuis quelques semaines je m’étais un peu perdu en route. J’avais peut être attendu trop de chose d’un homme, j’avais pensé que pour une fois cela pouvait vraiment marcher avec quelqu’un, que je pouvais avoir ma chance mais c’était encore une illusion. Une utopie mais j’avais tout quitté pour vivre ce doux rêve dans lequel j’avais été plongé. Venir aux Etats-Unis n’était pas la chose la plus simple du monde mais je l’avais fait pour River, parce que je l’aimais, je croyais qu’il était le bon pour moi. Je ne sais pas pourquoi j’avais cru ça, moi et les garçons cela n’avait jamais marché. Mon premier amour avait couché avec moi pour un pari alors que j’étais folle amoureuse de lui, mon second petit ami avait été avec moi parce que j’étais devenue une personne célèbre en France et le troisième m’avait quitté pour un homme alors que j’attendais, enfin je pensais attendre son enfant, ma vie amoureuse était vraiment pathétique pourtant…Pourtant je n’avais rien fait pour cela malgré mon caractère enjôleur assumée lorsque j’étais amoureuse j’étais prête à tout pour satisfaire l’homme que j’aimais. Enfin ça, c’était avant, je ne sais pas si je pourrais faire de nouveau confiance en un homme, j’avais tellement souffert. Je m’en voulais d’avoir était idiote au point de croire qu’un homme pourrait véritablement et durablement s’attacher à moi. Je regardais Ethan en fronçant les sourcils, j’avais bien compris le message, c’était quand même triste que je ne puisse pas l’embêter avec ça mais bon j’accepter. C’était son choix, je répondis simplement : « Je n’en parlerais plus si tu veux Ethan mais sache que j’assume tout ce que je fais. Les choses auraient pu se dérouler autrement, c’est tout…». Je préférais être claire avec lui, personnellement je n’étais pas honteuse de ce qui c’était passé, enfin si j’étais humilié par le comportement d’Ethan mais j’avais fait le choix de coucher avec lui et je ne regrettais pas mes choix. Il fit ensuite un commentaire quant à mon apparence, c’est vrai que je n’étais pas des plus séduisantes et j’avais une tête de malade mais…je n’avais pas envie de faire des efforts, pour qui les ferais-je de toute manière ? Je me sentais terriblement seule. Je m’assis alors sur le banc, je ne savais pas si je pouvais me confier à Ethan, je lui en voulais encore, je ne tardais pas à lui en faire part d’ailleurs, j’étais assez honnête comme fille : « Ethan, j’avais besoin de toi, j’avais besoin de mes amis pour me tenir la main…Je t’en veux de ne pas m’avoir tenu compagnie, si Elia n’avait pas été là, je ne sais pas comment j’aurais fait… ». Cela sonnait comme des reproches, c’était certainement cela mais je ne voulais pas faire de faux semblants, Ethan aurait pu faire un effort pour moi, j’étais mal durant mon hospitalisation. Je ne voulais pas craquer devant lui, je ne voulais pas montrer la fille qui se cachait en dessous de moi, la dernière fois que j’avais pleuré c’était déjà à cause de lui et je n’avais pas envie que ça recommence. Une larme coulait sur ma joue mais je ne faisais comme si de rien n’était, comme si j’avais eu juste une poussière dans l’œil. Je poursuivais alors : « Non, pas vraiment. J’ai perdu plus de sang que prévu et j’ai refusé la transfusion alors je suis restée plus longtemps, le kyste était plus gros que prévue, ça remue beaucoup de choses en moi… » . Pas la peine de dire plus que ça, un kyste à l’utérus il ne fallait pas avoir fait polytechnique pour comprendre les risques futurs. Quant à ma perte de sang, cela m’avait rappelé ma mère qui avait eu une transfusion après ma naissance et qui avait eu le sida à cause de cela. Bref, des souvenirs assez douloureux.
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J'ignorais vraiment faire parti du cercle d'amis de June, pour moi je n'étais qu'un vulgaire jouet avec lequel elle aimait manipuler. Peut être était-ce sa manière de me montrer qu'en fin de compte j'étais important pour elle. Pour la peine ses révélations semblaient le signifier. Bien entendu, Elia avait été la, je la remercierais à l'occasion. Cette fille était là pour n'importe qui, elle avait un coeur énorme, une sensibilité gigantesque. Tandis que moi, je vivais encore ma vie égoïstement, ne songeant qu'à mon petit plaisir et à l'évitement du déplaisir. J'aurais dû prendre sur moi et lui tenir la main. De surcroît son opération ne s'était pas déroulée comme prévu et je commençais à me sentir gêné, désolé. Mais qu'est-ce que j'aurais pu faire de plus, j'étais encore une fois impuissant. Quand il s'agissait de moi, je préférais au contraire me renfermer sur moi même et souffrir en silence. Je n'avais jamais compris les gens qui demander à être entouré face à la maladie, aux épreuves de la vie... Non, Face à ces difficultés, nous étions face à nous même. L'entourage n'était qu'un placebo pour nous soulager temporairement mais altérant la triste réalité. Cependant ce n'était pas ce que je devais dire à la jeune femme, là maintenant. Je devais faire preuve de tact et la rassurer du mieux que je pouvais. Et pour ça je n'étais pas le meilleur, les mots s'emmêlaient dans mon ciboulot, et ce qui sortait était la plupart du temps misérable. " J'aurais dû être là, je suis un individualiste je m'excuse June, tu es forte tu vas finir par t'en remettre j'en suis persuadé " je n'allais pas m'apitoyer sur son sort non plus, elle avait suffisamment du être prise en pitié. J'avais glissé ma main sur la sienne tout en plongeant mon regard brun dans le sien encore plus foncé que le mien. " Aller ce n'est pas la June que je connais ça " disais-je en secouant sa main, puis en remontant pour relever son menton. Je devais agir, la sortir de ce drame sans fin. Je m'emparais de son poignet pour la faire se lever. Pas question que l'on reste sur ce banc plus longtemps. " Oust, on va prendre du bon temps, au diable les courses ! " m'exclamais-je en tirant la belle brune à mes côtés. Je marchais un peu plus lentement que d'habitude, je ne voulais pas fatiguer encore plus la jeune femme. J'amenais la demoiselle dans un centre de relaxation où vous paraissez être un Dieu l'instant d'un massage, d'un masque décongestionnant. Sans oublier leur jaccuzzi de rêve qui vous pétrissez le dos. Après quelques minutes de marches tout de même intensive, je m'étais planté devant l'enseigne, serrant toujours légèrement le poignet de la belle. " Aller on y va ça va te faire du bien, et je vais en profiter par la même occasion " déclarais-je avec un franc sourire. Nous entrions dans l'espace lumineux, une petite musique d'ambiance résonné, c'était déjà décontractant, je m'avançais vers le comptoir et choisissais une formule complète pour deux personnes. Nous fûmes conduit aux vestiaires, nos chemins se séparèrent à ce moment là. Nous devions enfilés de plus petite tenue, et nous enrouler dans un peignoir. Je songeais à ce moment là à June espérant que son intervention ne soit pas un frein à cette après midi improvisée. Nous nous retrouvâmes en tête à tête emmitouflés dans nos peignoirs à la sortie des vestiaires. Chacun longeait un mur jusqu'à la salle de massage, nous ne prononcions pas un mot. Le silence était plus que lourd et comme à mon habitude j'adorais le rompre. " Tu me détestes toujours ? " demandais-je avec une bouille d'enfant. Je n'osais plus la bousculer au risque de lui faire involontairement du mal, c'était parfois dur de se contrôler.

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J'ai été fiancée à la tristesse, mariée à la solitude et même divorcée du bonheur... Mais Dieu merci, aujourd'hui je suis veuve du pire.
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Il acceptait ce que je disais sans broncher, il avait compris que je lui en voulais je crois, il savait que j’avais raison puisqu’il avait acquiescé ou alors il avait acquiescé simplement pour se faire pardonner. Je m’en fichais complètement des bêtises qu’on avait pu faire mais ce qui m’avait blessé ça avait été son absence. Ethan je ne pouvais pas lui en vouloir indéfiniment même si j’aurais voulu être plus forte et continuer de lui en vouloir, j’avais compris en le revoyant et après ses excuses que je ne pourrais que lui pardonner. J’avais préféré être honnête lorsqu’il me dit que j’allais forcément m’en sortir, il répétait que je n’étais pas la fille qu’il connaissait. Bien sûr que je savais cela, oui je n’étais pas celle qu’il avait connu mais je n’y pouvais rien ! Je prenais tous les jours sur moi mais je n’en pouvais plus. Je me mis à grimacer avant de répondre, une fois de plus énervée : « Arrête de dire ça Ethan, à chaque fois que je franchis un escalier je tombe en face d’un mur. J’en ai mare ! ». C’était la vérité que je disais, j’avais appris que j’étais enceinte et ça n’avait pas été une bonne nouvelle au départ, après je m’étais fait carrément plaqué, j’avais ensuite appris que mon petit ami était parti pour un homme, il avait finalement disparu de ma vie et j’avais du me faire opérer et perdre l’enfant que j’avais imaginé et construit pendant plusieurs mois. Je repris calmement, après m’être rendue compte que je m’étais un peu énervé : « J’aimerais que ça s’arrange Ethan mais…je sais pas… ». Combien de fois j’attendais de faire une belle rencontre, qu’il se passe quelque chose dans ma vie mais quand il se passait quelque chose je ne finissais pas être déçue et dégoutée. Ethan finit par me prendre le poignet et m’emmener dans un lieu inconnu, je ne savais pas où j’allais et ça me faisait stresser mais je me laisser faire. Oui de toute façon je n’avais plus rien à perdre avec lui, j’avais l’impression qu’il savait plus de chose que n’importe qui sur moi-même s’il en ignorait encore beaucoup. Nous étions arrivés devant un centre de détente et j’en étais contente, je me disais qu’une petite sortie de ce genre serait certainement une très bonne idée, quelque chose de très agréable. Je lui répondis simplement : « Merci… ». C’était tout ce qui me venait à l’esprit, moi qui parlait beaucoup j’avais un peu décidé de me taire. Enfin décider je ne sais pas, c’était peut être aussi la fatigue qui me jouait des tours. J’enlevais alors mes habits, je finissais par douter du choix d’Ethan, même si il souhaitait faire comme si de rien n’était nous voir en sous-vêtements étaient pas la chose la plus censée à mes yeux. En même temps j’étais tellement déprimé que je ne le regarderais certainement qu’à peine…Je m’étais mise en sous vêtement car de toute évidence je n’avais pas de maillot de bain, c’était ça les sorties à l’improviste mais j’aimais bien. J’avais toujours aimé faire des trucs décousues et pas calculé mais parfois cela rendait des situations improbables, comme se faire masser en petite culotte et soutien gorge. J’avais revêtis un peignoir et j’avais rejoint Ethan dans la salle de massage qui semblait déserte. Il n’y avait en effet aucun personnel destinés à nous masser mais Ethan lui était bien là et moi, je ne repris pas la parole, je le laissais parler et il finit par me demander si je le détestais toujours. Je lui répondis alors instinctivement : « Détester c’est trop faible…Je te hais… ». Je n’étais pas sérieuse mais je le fixai toujours avec ce mec regard de tueuse. Je finis par lui faire un sourire, certainement le premier depuis mon opération avec d’ajouter : « Ben non, imbécile…Je peux pas te détester, je t’aime trop pour ça… ». C’était peut être pas le truc que j’aurais du dire, mais je m’en fiche de toute façon je n’avais pas honte de l’apprécier. Je regardais alors la porte mais il n’y avait toujours personne pour faire notre super massage, je lui dis alors avec un sourire : . « Tu sais que je t’aimerais encore plus si tu me massais le dos ? ».Ben quoi, j’étais malade et lui en pleine forme, c’était bien à lui de me servir non ?
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Ce n'est pas le mal, mais le bien, qui engendre la culpabilité.
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Cette après midi je la consacrerais à June un point c'est tout. Et apparemment elle l'avait senti, elle profitait de l'opportunité que je lui offrais, retrouvant au passage son tempérament d'antan. Il ne m'en fallait pas plus pour que mes joues regagnent de la couleur. C'était pour me mettre mal à l'aise qu'elle avait glissé cette déclaration "d'amour" ? Était-ce pour me signaler que je n'étais à présent plus qu'une simple connaissance ? Je n'arrivais malheureusement pas à répliquer, j'étais stupéfait. Nous étions seuls dans la pièce, nous avions apparemment été oublié. Et alors que je m'apprêtais à signaler notre présence, June toujours à l'affût de telle aubaine m'avait demandé de la masser. C'était moi qui l'avait traîné ici, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même si je me retrouvais si embarrassé à l'heure actuelle. Je songeais alors à Evelyn qui m'attirait, si elle me voyait dans cette posture je pourrais dire adieu à ses beaux yeux. J'étais divisé, de toute façon nous ne formions pas un couple, elle m'attirait point. Et puis je n'allais pas coucher de nouveau avec June, non j'étais là en bon ami, un ami tentant de se faire pardonner comme il pouvait. Si c'était par ce massage alors tant mieux. La jolie brune s'était débarrassée de son peignoir, dévoilant ainsi ses courbes. J'attrapais le manteau de coton et le déposer sur un siège, prêt à m'exécuter.

June s'était allongée sur le ventre. J'avançais timidement vers son dos dégrafant son soutien gorge pour pouvoir glisser une de mes mains dans le creu de ses omoplates. Je dénouais comme je le pouvais les noeuds que je ressentais à différents endroits, je m'attardais au niveau de ses épaules puis au niveau de ses reins. " Ça fait du bien ? " demandais-je à demi mot. Ça oui j'étais mal à l'aise, mal à l'aise parce que j'avais déjà vu sa silhouette dans d'autres circonstances et ces mauvais souvenirs rejaillissaient à ma conscience. Il était tant de les affronter et de passer à autre chose, pour cela je décidais de m'intéresser davantage à la jolie brunette." Bon dis moi, malgré tes déboires il y a sûrement un gars qui te plais sur le campus non ? " espérons qu'avec son ex c'était de l'histoire ancienne et qu'elle n'en était plus amoureuse. Même moi je n'étais plus très sûre d'avoir fait table rase de mon passé, j'aimerais toujours mes précédentes conquêtes mais d'un amour beaucoup plus différent... " Et ne me parle pas de ton ex' celui là il t'a fait du mal j'espère que tu l'as oublié " m'ayant pas mal enfoncé dans ma dernière histoire aujourd'hui je ne laisserais pas une personne de plus se perdre pour quelqu'un qui s'en foutait royalement. Je terminais par la suite le massage, rattachant le sous vêtement de June avant de taper ses fesses pour la prévenir.

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