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BASUNA ❥ bby, i'm so mad of you.

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Lundi 03 Octobre, 12h15.

J'ai l'impression de ne pas m'être reposée ce week-end. Avec tous les soucis qui me collent aux basques, je ne dors pas beaucoup. Parce que je passe mon temps à me questionner : je ne sais plus où donner de la tête. Alors je décide de m'enfuir à la maison des Pforzheimer pour la pause du midi. Quand j'arrive à la cantine, je prends de quoi grignoter et me glisse dans un coin avec mes écouteurs et mes notes de cours. Presque avachie dans le canapé, je remarque au loin un visage qui m'est familier. Même si la maison est grande, on se croise enfin ici. A vrai dire, je le fixe longuement. L'homme que je suis sensée regarder est Bastille Byers. Président de la Pforzheimer. Et frère jumeau d'Aloïs ? Alors que quand je le regarde, j'y vois Aloïs en personne. l'homme avec qui ma relation était intense, tendue, électrique. pour qui je rêverais de crever les yeux autant que je voudrais dévorer ces lèvres. putain. Encore un problème qui refait surface. Je l'ai agressé oralement. Il a protesté mais depuis, pas de nouvelles. je me sens sans réponse et ça me fait tourner la tête. J'ai du mal à comprendre comment je n'ai jamais pu croiser tous les deux ? pourquoi personne n'est capable de me parler d'Aloïs ? Il faut que je parle à Bastille. Je dois en avoir le coeur net et si vraiment, ils sont deux personnes différentes, j'envisagerais d'admettre mon erreur. mais quand même. ça me rend dingue. c'est pas clair. Je range mes affaires dans mon sac à dos et à une certaine distance, je suis Bastille. J'attends d'être sûre qu'il n'y a pas trop de monde pour réduire la distance, prendre son poignet et le tirer vers moi. De mon autre main, je le retiens pour ne pas le faire chuter contre moi, ça serait dommage d'avoir des soucis avec l'administration de la fraternité. Je plonge mon regard dans celui de Bastille. - Des jumeaux parfaitement identiques... mes yeux se ferment quand je me prends son odeur corporelle de plein fouet. Ils s'ouvrent aussitôt mais ça me perturbe encore plus. Cette tension avec Aloïs, je la ressens avec Bastille. J'ai cette sensation d'être sous tension à chaque seconde que je respire près de lui. - Tu ne mentais pas ? Tu le jures ? Qu'il n'est pas Aloïs, qu'on ne m'a jamais menti. Qu'on ne s'est jamais moqué de moi ?

@Bastille Byers
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@Luna Westbury
― pforzheimer house. 03.10.22.
tu t'étais levé de bonne heure ce matin pour aller travailler et te voilà à présent en train de remonter les marches te conduisant à l'intérieur de la confrérie. ton nouveau statut t'imposait des allers-retours plus fréquents entre boston et le campus, que tu allais finir par décider de t'installer ici toute l'année. tu chassas cette éventualité de ton esprit, tu n'avais pas de temps à perdre pour commencer cette nouvelle semaine. il y avait cette histoire de malédiction qui te rendait nerveux alors que tu n'y croyais pas une seule seconde. sûrement une mauvaise farce des autres maisons. même si ton poste suscitait des jalousies ou que tu avais maintes fois rendu des personnes envieux de toi, tu n'y pensais plus. t'en avais même strictement rien à cirer et cela te redonna le sourire. mais, au milieu de tes pas, tu ne vis pas la personne derrière toi qui te suivait. il lui suffisait d'attendre que tu t'arrêtas pour fouiller dans tes affaires pour te confronter. tu détestais être pris au dépourvu, t'as été tellement surpris que la seule chose que tu reconnus, c'étaient ses yeux. qui demeuraient, d'ailleurs, trop proches de ta personne et qui te fixaient d'une manière étrange. en eux tu discernas un appel à l'aide, de parfaits reflets de son âme perturbée. jumeaux ? tu restas parfaitement silencieux, imperturbable. mur de glace que tu dressais à chaque obstacle avant d'élever ta voix, une voix ferme. — tu me tutoies maintenant alors que l'on se connaît pas ? drôle de manière aussi de faire connaissance avec ton président. est-ce que tu te moquais d'elle ? parfaitement et ce n'était pas aujourd'hui que tu allais faire tomber ton masque. — je n'ai pas à jurer quoi que ce soit face à une inconnue. tu te fis violence pour ne pas sourire, elle avait été une bonne distraction cet été ça oui.
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Je suis perdue. Face à Bastille, j'ai l'impression de voir Aloïs. Cette sensation que si je venais à me jeter sur lui, c'est Aloïs qui va me serrer dans ses bras. Est-ce qu'il me tourmente au point de ne pas ouvrir les yeux sur la réalité ? Est-ce cette réalité où Aloïs et Bastille sont deux personnes différentes ? La froideur de Bastille ne m'atteint pas. - On est dans la même maison, ça devrait être le cas. Nous sommes une même unité, une fraternité. même si elle représente beaucoup d'étudiants. Je voulais juste savoir ce qu'il en retournait avec lui. Il refuse de promettre. Ce qui me rend encore plus mal. - Je veux juste retrouver Aloïs. S'il te plait. En réalité, j'ai tellement besoin de lui que ça en devient douloureux. - En ce moment, j'ai besoin de le retrouver. Et je n'ai pas les idées claires. Je ne peux plus démêler le vrai du faux. Et s'il est là, je veux pouvoir le retrouver... Bastille. Perdre pied. C'est la sensation que je ressens. Et même si notre relation avec Aloïs est houleuse, elle m'apportait cette folie. cette légèreté. C'était à la fois vital de le provoquer pour ne pas dire que la vie serait ennuyante si je ne le mordais pas une ou deux fois à chaque fois que je le voyais. Je me rapproche de "Bastille", ressentant le frisson d'Aloïs mais je m'y refuse en pensant que c'est leur ressemblance qui me perturbe. - Est-ce que tu as son numéro, s'il te plait ? On a jamais... pris le temps de ces... formalités. les souvenirs de l'avion remontent en moi. je n'aurais pas pu lui demander. mon âme était trop préoccupée à se déchainer.

@Bastille Byers
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@Luna Westbury
― pforzheimer house. 03.10.22.
tu ne l'avais pas oublié. même si tu lui donnais parfaitement l'illusion du contraire et c'était là une de tes facultés, faire abstraction d'une histoire ou d'un événement passé, à ta guise. une manière pour toi de compartimenter certaines choses, certaines émotions, une bien piètre façon pour survivre et de ne dépendre de personne. alors oui, il n'était pas surprenant de te voir intransigeant en pareille condition. et insensible, voire complètement barjo pour te faire passer pour ton jumeau inexistant. — peut-être mais je t'ai jamais vue avant... tu te rapprochas instinctivement d'elle parce qu'elle semblait au bord de la crise de larmes, bon sang que lui arrivait-il ? désespérait-elle à ce point de ne pas voir aloïs ? ce qu'elle ne comprenait pas encore, elle l'avait sous ses yeux et toute cette situation t'amusait grandement. bastille ou aloïs, quelque soit ton nom, tu demeurais toujours celui qui était parvenu à briser toutes ses défenses. qui la rendait folle lorsque tu te retrouvais à respirer le même air qu'elle. tu voulais l'entendre dire. qu'elle était folle de lui. d'aloïs. — s'il était là...? qu'est-ce que tu aurais envie de lui dire ? ouais tu savais aussi que t'avais un charme fou et qu'il était difficile d'y résister, te délectant de cette distance qu'elle réduisait malgré elle. sens aiguisés, tu humas discrètement son parfum corporel. — ah bon ? t'as pas eu le temps... je peux savoir pourquoi ? jouer à cache-cache se révélait plus que plaisant, ainsi que lire la détresse dans ses opales profondes que tu te retins à chaque fois de ne pas fixer trop longtemps. te penchant vers son oreille, tu ajoutas plus faiblement : — peut-être que moi aussi, je voudrais te faire la même chose que lui. couperet qui tomba, net comme ta langue acérée, t'étais de celleux qui adoraient encore plus créer des noeuds dans l'encéphale des gens, pour les transformer en de parfaites marionnettes que tu dirigeais au gré de tes envies.
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Le mal être était présent dans mon âme. Déjà parce que je n'avais pas un état d'esprit très serein en ce moment. Mais de pouvoir retrouver Aloïs et de m'abreuver de notre folie, c'est tout à quoi je pensais. Faire face à son visage sans pouvoir le toucher, c'est encore plus frustrant. Parce qu'il ne se présente pas comme tel. Face à moi, c'est Bastille. Mon esprit est trop désordonné pour se rendre compte de ce qui est pourtant flagrant pour d'autres. Non, je me martèle l'âme de ce manque. Esprit chancelant plus que visible quand Bastille s'approche et fait vibrer mes signaux d'alerte. Alors la question de Bastille me semble encore plus douloureuse. Mon esprit imagine déjà la réponse sans que je puisse l'en empêcher. Sur mon visage, il se lit le désir, le manque, la passion. - Je parlerais pas. Je l'embrasserais. Et bien plus encore. de la manière la plus sauvage qui soit. parce que je perds toujours la tête et c'est masochiste de se dire que j'aime ça. Alors que je suis habituellement celle qui domine, celle qui joue. Avec Aloïs, c'est lui qui joue avec moi. Et j'aime ça. Même si je ne lui dirais jamais. A la question de Bastille, les raisons peuvent être nombreuses quant au fait que nous n'avons rien échangé. Mais au final, elles ont toutes la même origine. - C'est ... compliqué. Admettre qu'il me fait perdre la tête n'est pas chose aisée. Je suis un être ampli de mauvaise foi. Je dévore Bastille du regard, mourant sur place de voir ce clone parfait. J'aimerais tant qu'il me dise que je suis fatiguée, que je ne remarque pas que c'est bien Aloïs. Mais au fond, je sais que je lui en voudrais de me mentir. Je ne le voyais pas menteur. Je ne le vois pas comme ça. Au contraire, je le vois trop honnête et être cash. Vision biaisé ou non, je suis ébranlée par la proposition de Bastille. évidemment que je considère sa proposition. Mes yeux s'arrêtent sur ses lèvres, ses yeux, son cou. Je n'ose pas imaginer la sensation de ses mains. - Je peux pas. ça ne serait pas considéré Aloïs si je laisse son jumeau me toucher pour le remplacer. Et si c'est vraiment le cas, tu ne pourras pas compenser Aloïs. Si c'est vrai, vous êtes deux personnes différentes. Ce n'est pas... j'expire lourdement. - pareil... parce qu'il ne pourra pas me donner ce que j'ai vécu avec Aloïs. Il y a forcément des différences entre eux. - Je t'en supplie, donnes moi Aloïs. Donnes moi ce qu'il faut pour ne pas m'effondrer. Savoir que je peux le retrouver, ça me rend dingue. Je serre son tee-shirt, collée à lui avec ces yeux suppliants.

@Bastille Byers
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@Luna Westbury
― pforzheimer house. 03.10.22.
à ses mots, tu sourirais. imperceptiblement car tu continuais de faire comme si tu la connaissais pas, encore un de tes stupides jeux mais auxquels t'étais shooté, complètement accro. les états d'âme de la jeune westbury te perturbaient à peine, parce que tout ce qu'elle avait envie, c'était de l'embrasser, lui. toi. révélation qui t'emplissait de bonheur et d'une certaine fierté. fierté de devenir l'objet de ses désirs, fierté de l'avoir rendue folle de lui. toi. alors ce n'était pas sans raison aucune que tu te rapprochais d'elle, de ce visage dont les lèvres aimantaient ton esprit. lèvres qui, en dépit du brouillard qui régnait dans sa tête, criaient ton nom. aloïs. d'où cette proposition assez alléchante de faire comme lui, de le remplacer pendant son absence. tu aimais cette idée qu'elle puise s'imaginer faire face à deux jumeaux, qu'après avoir rendu fou le premier, elle ne résisterait pas au deuxième. après sa réponse, un petit rire s'échappa finalement de tes lippes. tu savais parfaitement ce qu'ils avaient fait, comment aloïs l'avait touchée. à vrai dire, sa résistance t'impressionnait. à ses yeux, tu restais son clone. — hum mais mon frère est du genre compliqué, je suis beaucoup moins prise de tête que lui... tu essayais de te libérer d'elle mais le spectacle était plutôt réjouissant, elle te suppliait presque, de lui donner le moyen de faire appel à lui. — luna c'est ça ? tu te retenais de ne pas toucher ses mains, de la rassurer alors tu les posas sur ses épaules. le contact t'électrisa malgré tout. — aloïs est parti... il a quitté harvard, c'est tout ce que je peux te dire. parfaitement conscient que ce mensonge partait trop loin, tu la tiras par le coude pour l'entraîner vers un coin et la plaquer contre le mur. tu la désirais tout aussi fortement, l'embrasser pour faire taire ses pensées. — écoute... ta main remontait son bras tandis que tu allas chercher son souffle, vos nez se frôlant presque. — faut que tu l'oublies... la tension te martelait le crâne et le souffle court, tu guidas ta main vers son long cou, que tu commençais à enserrer. — maintenant ! langue qui claquait, tel un ordre sorti d'entre tes dents. luna était ton jouet ou rien à présent.
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Son frère... ? Vraiment ? Je le jurerais que ce Bastille soit Aloïs. Mais je suis fatiguée et je le sais. J'ai conscience que c'est ce qui ne m'aide pas. Je voudrais le croire mais en même temps... ce rapprochement entre lui et moi, me laisse penser que je suis avec lui. Mes lèvres tressaillent quand il me parle d'Aloïs. Vraiment ? Putain, je me perds. Je secoue légèrement la tête à sa question. Oui, Luna. Tu le sais, non ? J'ai envie de pleurer, de m'effondrer. Quand il continue à m'asséner d'informations. déplaisantes. douloureuses. ça me tuait tellement que je ne me rendais pas compter qu'il pouvait me diriger telle une poupée. J'étais perdue dans sa ressemblance avec ce qui semblerait être son frère. Je ne sais pas. ça me perds. mais je suis trop fatiguée. Je me grise sous la sensation de sa main. - Non ... je murmure en premier lieu. Les yeux larmoyants, il m'ordonne d'oublier Aloïs. - Je peux pas. J'en peux plus. J'ai besoin de lui. Qu'il me fasse vibrer, sortir de mes gonds. Ma main vient se glisser sur la bordure de son pantalon, pour l'attirer à moi. Je n'ai pas l'habitude d'être autant dominée par un homme. Mais là, j'ai besoin de lâcher prise. - Qu'il me donne du plaisir... Qu'il me goûte. Me baise... Enserres mes hanches de ses bras. Tu ne peux pas me donner ce qu'il m'a donné. Si tu n'es pas lui, tu ne peux pas me donner ce qu'il m'a enlevé en partant. Mon souffle se mélangeait au sien, mais ma langue vient frôler ses lèvres. - Je veux qu'Aloïs refasse de moi sienne. Qu'il me rende folle. Ramènes le moi, Bastille. Je t'en supplie.

@Bastille Byers
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tu tentas de rester toujours calme. impassible face à son déni. ce faux déni dans lequel tu l'avais entraînée de ton plein gré. face à elle, tu jubilais. la voir perdre ses moyens te donnait encore plus envie d'elle, de l'entraîner dans tes jeux tordus, dans ta folie tout court. folie où tout repère avait disparu, où tout acte défiait toute logique. l'illusion parfaite pour s'abandonner à toute pulsion. corps échoués dans ce coin, à l'abri des regards, tu te permis ce genre de rapprochement avec la westbury. de ceux des prédateurs qui sentaient la détresse de leur proie et jouant avec. semblant complètement démunie en ta présence, à cause de ta ressemblance avec aloïs, tu lui demandas expressément de l'oublier. sans concession. la voix traînante, tu tourmentais ses nerfs. mais c'était sans compter sur son obstination, qui t'en avait fait voir des vertes et des pas mûres cet été. tu ne pus que compter sur ton aplomb pour te contenir en pareille situation. même si tu l'écoutas, elle rapprocha ton corps pour le coller au sien. ce contact te fit sourire mais tu essayais encore de comprendre son état d'esprit du moment. peu importe finalement, elle semblait aussi désemparée que tu le voulais. — je t'entends. persuadé qu'elle ne t'écouterait pas, tu la secouas un peu, sauf qu'elle continuait ses jérémiades. tu recommenças plus fort cette fois avant de la lâcher. tu ne voulais pas lui faire mal et t'attendis qu'elle croise ton regard perçant, limite dur pour la dominer d'une tête. sonder son âme aussi et distiller ce pouvoir que tu ressentais avec elle. — j'ai dit, je t'entends ! j'entends tout ce que tu veux. tout ce que tu veux retrouver... quand j'étais avec toi. tu te plaquas contre le mur avec elle, remettant ta main sous son cou délicat avant de franchir la barrière de ses lèvres avec ta langue. petit besoin qui, une fois assouvi, te fit doucement rire. de tout ce délicieux manège. puis tu la regardas à nouveau, toujours avec ce sourire presque mauvais. — c'est moi qui vais te baiser, t'as pas idée... moi qui vais te redonner ce que je t'ai volé, et cette folie que t'avais en toi, je VEUX la retrouver... supplie-moi encore, comme tu m'avais supplié... dans l'avion, à moi ton président dorénavant... moi, bastille... aloïs... byers !
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