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le 29 septembre 2022
Ton regard se pose sur l'écran de ton téléphone. T'es agacée, mais tu tentes quand même de faire bonne figure devant les autres étudiants. Tu te demandes bien ce que t'as pu lui faire à ce Salvador Ferrer pour qu'il te pose encore et encore des lapins sans cesse. Homme qui manque de parole, qui fait poireauté une fille à plusieurs reprises. T'es limites certaines que cette fois encore il ne viendra pas au rendez-vous alors, t'as décidé cette fois-ci de te pointer en retard pour pas encore attendre comme une idiote pendant des minutes bien trop longue pour au final, rien. Le prof t'as affirmé que cette fois il viendrait, mais t'en a aucune certitude et sincèrement, juste croire des paroles, t'as pas envie de le faire surtout quand ça risque d'être la troisième fois. Comme on dit, jamais deux sans trois. Ton thé à la menthe en main, tu sors donc de la cafétaria pour prendre la direction de la salle commune des étudiants de droit. Lieu sacré dont tu as foulé le sol quelque temps plus tôt pour justement cette histoire de parrainage. Après tout, tu le sais qu'en droit, tu risques de morflés plus qu'en littérature et histoire, alors t'avais opté pour cette solution, avoir les échos d'un étudiant plus âgé qui pourrait peut-être te donner quelque conseil... Enfin, à condition qu'il daigne venir cette fois. Tu t'arrêtes alors rapidement dans le couloir pour sortir ton téléphone et envoyer un rapide message à Manny. Parce que c'est clair que tu risques d'être agacée que ce Salvador arrive ou non, alors lui proposer de le voir ce soir, te semble une bonne idée, surtout que tu lui as pas encore dit que tu étais de nouveau à la fac... Tu te demandes d'ailleurs si il ne serait pas temps de lui dire la vérité sur ton compte... Mais tu redoutes sa réaction et de le voir s'éloigner de toi ensuite... Il t'est devenu bien trop important et tu le sais, que tu ne peux pas lui dire toute la vérité...

Ton texto envoyé, tu remets ton téléphone en poche pour finalement rentrer dans la salle commune et laisser ton regard trainé sur la salle, cherchant qui pourrait bien être ce fameux Salvator... Parce qu'on t'a pas donné de photo de lui et il y a personne pour te diriger vers lui, comme ça aurait été le cas lors la première rencontre qu'il y aurait du y avoir.

@S. Manny Ferrer
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« Monsieur Ferrer, vous vous êtes engagé. » D’un plissement de paupières, il montre à quoi point il est dubitatif à ce sujet. Vraiment, à deux doigts de lui demander s’il y a un témoin pour le lui rappeler. Après tout, il serait même capable de jurer qu’il n’a rien signé, alors qu’il la voit bien entre les doigts de son professeur référent, ce gribouillage qui ressemble de loin à sa façon de griffonner la dernière page d’un contrat. Du coup, il se demande surtout ce qu’il lui a pris ce jour là. « On m’a rapporté que vous aviez été absent deux fois. » Deux fois… De son point de vue ce n’est pas aussi dramatique ça. « Mademoiselle… » il se redresse sur le fauteuil afin d’attraper la fiche d’identité ; « Reynolds s’en sortira très bien sans moi. » Qu’on se le dise, Manny, il n’a pas besoin d’une gamine à ses côtés, d’un boulet à trainer. « Je ferais en sorte de vous bloquer pour l’examen du barreau. » Et juste là, il sait qu’il n’aura pas de cadeau. Car il a beau s’amuser à jouer au plus malin, il est clair qu’il ne se voit pas repasser une année à Harvard ou bien louper son examen. Dans sa bouche le Fait chier, il le retient, pour se contenter de cracher un « Très bien. » et de s’éclipser, le point positif restant qu’il a encore quelques heures devant lui afin de se préparer.

Mais à l’instant désigné, c’est accompagné d’une bande de copains – des crétins – qu’il se point dans la salle commune de sa filière, un café à la main, la chemise déboutonnée, à articuler un « En deux minutes c’est plié. » Extravagant qui se permet de balancer afin d’identifier cette fille qu’on veut absolument, dans les pattes, lui coller, « ALEXANE REYNOLDS S’IL VOUS PLAIT. » et les cons à côté qui se mettent à rigoler. Les joies d’être dans l’élite et en dernière année. Allez, Alexane, montres-toi, paraît que Salvador Manolo Ferrer est destiné à s’occuper de toi.

@Lex Reynolds
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Tu balaies du regard alors la salle, mais tu ne vois aucune pancarte aucun signe distinctif qui pourrait indiqué qui est Salvador Ferrer, tu tentes alors de faire un tour entre les élèves et fini par t'approcher d'un gars un peu reclus en espérant qu'il répondra oui à la question que tu comptes lui poser... Sauf qu'à peine tu as balancer un excuse moi que t'entends sa voix. Celle de Manny et tu te figes avant de finalement t'accroupir comme une demoiselle prise en flagrant délit priant dans ta tête pour ne pas qu'il te voit. Qu'est-ce qu'il fout là ? Tu peux pas t'empêcher de pester alors que tu l'entends avec ses potes parler. Mais le pire... C'est quand il crie ton prénom. Ton sang ne fait qu'un tour. Le mec à côté de toi te fixe alors, cherchant à comprendre pourquoi tu lui as parlé avant de finalement te cacher. "Laisse tomber." Souffles-tu alors au type tout en cherchant ce que tu devais faire... Partir et lui poser un lapin ? Sauf que c'est Manny, tu peux pas... Mais tu peux pas non plus lui dire Hello, je suis Alexane, je te mens depuis des mois en disant m'appeler Bernadette.... Bien que... Toi t'attends Salvador... Mais peut-être que c'est juste un surnom Manny, par ses potes, par sa fiancée même. Tu grimaces alors à l'idée de le surnommer de la même façon que sa chere et tendre fiancée. Mais tu le sais, que ce S dans son pseudo Meetsa c'est pas pour rien, qu'il doit avoir une signification que t'as au final, jamas demandé...

Tu prends alors une respiration avant de finalement te lever le plus naturellement du monde. "Tu t'es cru à la boucherie à m'appeler comme ça ou quoi ?" Lances-tu alors en t'approchant de lui et de ses potes, ton regard ne le quittant pas, attendant de voir sa réaction, mais surtout la redoutant. Mensonge qui se dévoile sans que tu le veuilles. Vérité qui lui arrive en pleine face. "T'es Salvador Ferrer c'est ça ?" Le questionne-tu alors parce que toi, tu le connais que sous Manny, pour lui faire comprendre que l'un comme l'autre vous ne saviez au final, pas l'identité de l'autre. La vraie, l'officielle, celle que tout les papiers d'Harvard semblent vouloir trahir. Puis toi, tu tentes surtout de te raccrocher au branche parce que t'es bien plus fautive que lui, t'as jamais posé de question sur son véritable prénom alors que lui... Il t'a demandé si tu t'appelais réellement Bernadette et tu lui as assuré que oui... Mensonge qui se dévoile à lui, monsieur l'infidèle qui pourtant semble plus droit dans ses bottes que toi à cet instant précis.
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Il compte les secondes, se dit mentalement que si ladite Alexane ne se manifeste pas avant le chiffre dix, il repartira d’où il vient. Continuera sa journée, l’air de rien. Se galvanisant de l’idée de ne pas avoir de gamine en travers de son chemin. Mais voilà, au moment où il murmure quasiment le numéro huit, elle sort de sa cachette, pour le coup, il a l’impression de prendre une claque, capable de lui retourner la tête. Car oui, il la connait cette silhouette. "Tu t'es cru à la boucherie à m'appeler comme ça ou quoi ?" Alors c’est elle celle qu'il a appelé. Il en perd son sourire, les doigts lamentablement crispés sur le gobelet de son foutu café. Pour peu, il en a des envies de l’éclater sur le sol tant il est agacé par ce qui est en train de se passer.

Et quand elle approche afin d’oser lui demander, "T'es Salvador Ferrer c'est ça ?" il exulte un rire mauvais. Parce que c’est la sienne, qui est remise en cause, d’identité ? C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Mais dans un désir de garder la face auprès de ses compagnons, pour se présenter, il prend ses airs de charmeurs, sachant pertinemment qu’elle saura lire le vice dans sa voix, « Salvador Manolo Ferrer, dit Manny, pour vous servir. » Il en ressort le papier, de la poche arrière de son pantalon, défroisse les vestiges de la convocation, « Vous êtes bien mademoiselle Alexane Reynolds, dix-neuf ans, en première année ? » Oui, les derniers mots, il les a crachés. Les réflexions contraires fusent dans l’ouragan de ses pensées. Ca semble de plus en plus difficile l’aspiration de se contrôler. Les scènes, ce sont les genres de choses qu’il hait. Le rôle du connard populaire, il le prend volontiers, mais celui du mec à qui on ment depuis des mois, ne lui sied clairement pas.

@Lex Reynolds
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Rapidement il te confirme qui il est, ou plutôt qu'il est bien Salvador Ferrer, allant même jusqu'à te donner son deuxième prénom, expliquant ainsi le surnom que tu lui connais. Manny, surnom que tu as murmurer, gémit également dans des échanges charnels. Homme qui te plait, que tu as dans la tête bien trop souvent, en permanence même et tu le sais, tout ça, ça va pas passer. T'aurais du lui dire avant, mais avant tu pensais pas que tu te rapprocherais autant de lui, que tu viendrais à craindre de lui dire. T'avais plaisanté en disant à Luna que tu pourrais t'éloigner de lui rapidement et le chasser de ta vie en lui balançant la vérité. Cette vérité qui te sert le cœur à cet instant et te retournerait presque l'estomac alors qu'il sort le papier de sa poche pour te reciter tes informations. Tu restes immobiles, le regard rivé sur lui. T'as pas vraiment l'opportunité de fuir, de repousser la conversation ou simplement balancer un je voulais t'en parler. Il ne te croirait pas... Comment le pourrait-il aussi ? Puis t'as pas envie d'en parler devant ses potes qui semblent soudainement très intéressé par la scène qui se joue entre vous. Tu déglutis alors. "Née le 6 décembre 2002, a effectué une première année en littérature et histoire." Tu termines le petit récital, pour pas juste balancer un oui, pour tenter de faire passer un peu plus la pillule, même si tu le sais qu'elle est difficile à avalée. "Je voulais t'en parler." Finis-tu alors par lui souffler avant de te corriger. "Je comptais t'en parler..." Mais tu savais pas encore quand, ni même comment. Mais c'est clair que ça aurait été mieux pris que de le découvrir comme ça, devant ses potes. T'esquisse alors un mouvement vers lui, pour venir lui toucher l'avant-bras, mais tu te stoppes toute seule, parce que tu redoutes un mouvement de recule de sa part. Tu te contentes de relever ta main pour venir la poser sur ta nuque, geste tenter de masquer ce mouvement que tu voulais avoir envers lui. "J'ai des raisons d'avoir fait ça." Te justifies-tu alors... Même si tu te doutes que pour lui, tout cela sera bancale, que tu as une explication pour le début, la rencontre, mais pas la suite, quand t'as commencé à lui faire confiance... Et lui avouer qu'il te plait plus qu'il ne le devrait. Tu ne peux pas lui dire. Tu t'y refuses parce que tu sais que cela le fera encore plus fuir.

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Dans la bouche de l’espagnol, il y a ce goût qui se rapproche de l’aigreur, plus il la regarde, et plus il a envie de lui cracher que pour une fois, ce n’est pas lui le menteur. Mais si encore il aurait pu passer sur le faux prénom, lui aussi utilisant un alias qui n’est pas son véritable baptême, il reste le détail de son âge. Et ça, dans son dos, ça lui fout un putain de coup de froid. Dix ans bordel, dix ans les sépare, ou quasiment, et ce n’est pas rien, dix ans. En dessous de vingt et un an, il ne les approche pas, et encore, c’est passé vingt-cinq qu’il les préfère, ou carrément experte en la matière. Bon dieu, elle n’est même pas autorisée à boire dans les bars. Sur elle, il ne parvient même pas à garder fixe son regard. Il n’en revient pas de sa propre connerie, aveuglé par les courbes et l’assurance de la femme qui se tient devant lui. "Née le 6 décembre 2002, a effectué une première année en littérature et histoire." Toujours ce même aplomb, d’ailleurs, lorsqu’elle prononce ses mots afin de parapher la tirade qu’il avait lui-même commencé. Et ce deux-milles-deux qui rend l’écart d’autant plus sérieux. "Je voulais t'en parler." Elle tente d’amorcer après avoir déglutit, malgré lui, de façon acerbe, il en sourit. "Je comptais t'en parler..." Mentalement, il tente de calculer depuis combien de temps il la connait. Combien de jours elle a eu à sa disposition afin de lui souffler la vérité. A quel moment elle comptait le faire dans ce cas ? Une fois qu’elle se serait à nouveau perdue dans ses draps ?

Quand elle ose tenter une approche en élançant sa main vers lui, il se force pour ne pas se transformer en connard qui se mettrait à rire de la voir autant patauger. "J'ai des raisons d'avoir fait ça." Elle articule, sa paume dans sa nuque avec nervosité, et bien qu’elle pique sa curiosité, c’est une œillade à la petite troupe qui l’entoure que de prime abord il se permet. Manny se donner en spectacle de cette façon ça n’a jamais fait partie de ses domaines de prédilection. Si elle, elle n’était pas allée jusqu’au bout de son geste, lui, pour lui attraper le bras ne demande pas son reste. Il l’attrape avec force, et s’amuse auprès des autres gars « Je vois pas de quoi tu parles, on se connait pas, » les mots sont secs, mais le sourire est de mise, il s’excuse auprès des autres, pour l’attirer vers la porte qu’il vient de passer, « Peut-être dix minutes les gars, » après tout, il avait annoncé qu’en deux c’était plié, ce n’est qu’une fois dans le couloir qu’il finit par la lâcher, et souffler à l’intention de la blonde, « Quinze secondes. » pour tenter de se justifier, même s’il n’a pas une grande envie de l’écouter.

@Lex Reynolds
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Mâchoire qui se crispe alors qu'il laisse entendre devant ses potes qu'il ne te connait pas et ce même s'il t'empoigne le poignet pour te tirer hors de la pièce. Tu le suis, parce que t'as pas le choix, alors qu'il laisse entendre un délai plus long à ses potes. Pour au final t'en donner un beaucoup plus court une fois la porte franchie et un pseudo tête à tête entre vous. T'es fautive, tu le sais et pas qu'un peu, sauf que t'es pas non plus du genre à te laisser faire, à te laisser malmené. Tu te libères de son emprise d'un geste sec. "Pourquoi je te donnerais des explications. On se connait pas." Siffles tu alors ayant en travers de la gorge son côté fanfaron parce qu'il était devant ses potes. Tu viens alors masser un peu ton poignet, là où il te tenait un peu plus tôt. Ton thé état resté abandonné sur l'une des tables à l'intérieur. Tu restes d'ailleurs silencieuse, comptant mentalement les quinze secondes pour voir si effectivement, il va te planter là ensuite ou si il va te laisser un peu plus de temps parce qu'il t'a traité d'inconnue, parce que tu comptes pas te livrer à lui dans ses conditions. Demoiselle trop têtue qui se devrait juste de lui donner des explications, mais toi et l'autorité mal placée, ça passe très mal, surtout quand le manque de respect s'en même. Tu le regarde alors que lui semble incapable de le faire maintenant, comme si tu étais devenue pestiféré, comme si les moments passés ensemble ne comptaient plus. Tu le savais que t'aurais pas dû t'accrocher à lui, te rapprocher encore plus. Luna t'avais prévenue que tu faisais une connerie, que tu allais être mal. Pour dire, tu sais même pas si t'as envie de disparaître dans le sol tant tu es mal ou si t'as pas plutôt envie de lui balancer ta déception en pleine figure pour tenter de le blesser comme toi tu l'es présentement, sauf que tu n'es pas elle, tu n'es pas sa fiancée, celle qu'il aime, alors en aucun cas tu ne pourrais réellement l'atteindre et tu le sais. Tu détournes alors la tête, la mâchoire toujours crispé. "Y a rien à dire en fait, t'as pas à savoir pourquoi. On est pas assez proche pour que je te parles de mes soucis. Va voir ta fiancée, oublie que tu m'as côtoyés et tout sera réglé pour toi." T'as pas pu t'en empêcher de parler de cette fille, de marqué de la jalousie alors que t'es déjà dans une merde profonde avec lui. Palpitant qui bat à tout rompre à cet instant et pas pour les bonnes raisons. Tristesses, colère, frustration tant de sentiments qui se mêlent et s'entremêlent. Tu te retiens de lui balancer un en deux minutes ses pliés, parce que de toute façon, lui rentrer encore plus dedans servirait à rien sauf à confirmer encore plus ce que tu sais déjà. T'as perdu la partie. Game Over complet. Il te reste plus qu'à partir maintenant.

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TW | Sexe / différence d'âge / infidélité

Lorsqu’elle se libère de l’emprise de Manny de cette manière si brute et franche, il réalise qu’il est probablement allé trop loin, que ça ne lui ressemble pas, mais il faut croire qu’il est pour l’instant, bon à rien. Ses pensées sont entremêlées, sa colère surdimensionnée. Et les choses qu’il éprouve pour elle, elles sont totalement biaisées. "Pourquoi je te donnerais des explications. On se connait pas." Parce qu’elle croyait qu’il allait se donner en spectacle devant toute sa promotion ? Avouer face à cette bande d’idiots qu’il l’a un peu  trop apprécié, ta peau ? Dix-neuf ans Alexane, bon sang, c’est tellement le bordel dans sa tête qu’il en vient à se persuader que c’est punissable dans certains états. Il a oublié les détails du consentement, du détournement, lui qui se vante tellement d’être un futur grand avocat. A cause d’elle, il ne sait plus rien, voilà.

Mais il se fait violence afin d’entendre ses explications, patiente en silence pour qu’elle lui souffle ses justifications. "Y a rien à dire en fait, t'as pas à savoir pourquoi. " Ca le met tellement hors de lui, qu’elle ose le défier une énième fois, alors qu’elle est en position de faiblesse, qu’elle se devrait de faire profil bas, "On est pas assez proche pour que je te parles de mes soucis. " Pas assez proches alors qu’ils ont partagé le même lit ? Elle ne peut pas réellement croire en ce qu’elle lui dit. "Va voir ta fiancée, oublie que tu m'as côtoyés et tout sera réglé pour toi." Alors c’est donc ça, le fond du problème ? Le fait qu’il soit fiancé ? Qu’il est honnête quand elle, elle ne l’a jamais été ? La situation, il se demande même si elle prend plaisir à la retourner. « Sérieusement ?! » il crache toujours enclin à ce putain d’énervement. Sans même réfléchir plus longuement, sans tergiverser. « T’as dix-neuf ans bordel ! » Et il espère qu’elle entend ce qu’il veut dire en rappelant son âge. « Ton prénom, passe encore. » Même s’il lui avait demandé, et qu’elle avait désiré garer ce foutu Bernadette, ridicule à souhait. Comment est-ce qu’il a pu seulement croire que c’était vraiment de cette manière que ses parents l’avaient baptisé ? Il en fout de côté tous les possibles soucis qui ont pu la mener à faire ça, à la faveur de cet adjectif qu’il ne contient. « Mais t’es une foutue gamine Alexane, putain. » Et ça le flingue d’avoir autant aimé se perdre dans le creux de ses reins.

@Lex Reynolds
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TW: Violence physique
Démon que l'on nomme jalousie, qui ronge les entrailles. Jalousie mal-placé qui n'a pas lieu d'être. T'as jamais été unique pour lui, t'as jamais été plus qu'un vide couille, un passe temps, alors il devrait juste te laisser partir, au lieu de s'en prendre à toi de la sorte. Tu piges pas que vous êtes deux idiots à vous être amouraché de la mauvaise personne. Tu restes silencieuse, alors que tu le toisais il y a quelque secondes, que tu lui tenais tête. Le calme avec la tempête. Le silence qui s'installe juste assez pour donner plus d'impact à ton geste. Ce geste qui te blesse autant qu'il va probablement blesser son égo à lui. La main tendue, les doigts douloureux. L'impact contre sa joue fut plus forte que tu ne le pensais, que tu ne le voulais. Geste que tu regrettes déjà, mais t'excuser tu ne peux pas. Ego blessé, meurtri. Autant pour toi que pour lui, probablement. Tu le fixes alors, les sourcils froncé. "J'ai pas choisi d'avoir que dix neuf ans." Lui balances-tu alors, pour tenter de lui faire comprendre que c'est pas ton choix de n'être qu'une gamine comme il le dit, d'être sa cadette de bien trop d'années. Tu secoues un peu tes doigts. Douleurs physique qui peut-être fera un peu taire celle de ton myocarde. Tu le sais que probablement, tu viens juste de jeter de l'huile sur le feu, que si t'avais eu un meilleur contrôle sur tes émotions et les putains de sentiments que tu peux avoir pour lui, t'aurais pas régi comme ça. Tu lui aurais tenu tête, t'aurais pu te moquer de lui, mais au lieu de ça, t'as réagit de la façon la plus conne qui soit. Et t'excuser maintenant, il est trop tard. Les raisons qu'il a de t'en vouloir, ne cesseront donc pas maintenant de diminuer. Tu ne peux que t'en vouloir de lui dévoiler cette partie de toi. Cette fille capable de mentir et de faire preuve de violence quand les choses ne tournent pas en sa faveur. Manny a raison au final de te qualifier de gamine, car c'est bel et bien ce que tu es. Gamine capricieuse qui cache ses vices derrières une attitude solaire plus que mensongère.

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La dureté de ses paroles, il ne la réalise pas réellement, à dire vrai, il est tellement vexé de son manque d’honnêteté, qu’il ne calcule rien d’autre sur le moment. Bien sûr, s’il avait su son âge avant, jamais il n’aurait voulu vivre avec elle un instant d’égarement, mais vu la teneur de leur rencontre, il n’estime pas qu’à son mensonge, il y ait une quelconque justification. Après tout, au départ, ce n’était que d’une baise qu’il était question. Rien qui inclue une quelconque affection. Et il est persuadé, bien que ça lui fait chier de l’avouer, qu’un autre, n’importe qui, aurait pu prendre sans place sans bloqué sur son âge ou son prénom.

Et dans son énervement, le geste qu’elle s’apprête à avoir envers lui, il ne le voit pas arriver. Il ne le réalise que lorsque la baffe résonne dans ce couloir évidé. La mâchoire douloureuse, il écoute la nouvelle femme qui se trouve devant lui, cracher ; "J'ai pas choisi d'avoir que dix neuf ans." Avec une lenteur qu’il mesure, il va poser ses phalanges sur la joue qu’elle vient de heurter. Il malaxe doucement, comme si pour réaliser, il lui fallait un certain temps. Impulsif qu’il est, il a conscience qu’il pourrait à cause de son geste, vriller. Le poing de sa main libre si resserré que la couleur des jointures de ses mains a changé. Il lui faut trouver tout le self contrôle du monde, pour ne pas rejeter sur elle, la haine et le résultat de son égo écorché. C’est pour l’attachement qu’il ressent pour elle, qu’il ne bouge pas, et qu’il se contente d’articuler cela ; « T’as choisi de mentir. J’suis peut-être un connard, mais je suis un connard honnête. » Avec elle c’est indéniable, il l’a été. Et ça, c’est une évidence qu’il refuse catégorique de retirer de sa tête.

@Lex Reynolds
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