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JEZEQUIEL FRANCO
feat. Sen Mitsuji
sur le podium du
naissance
un certain 31 décembre 1992 selon l'acte de naissance. Osaka, au Japon. Mais t'y as jamais mis les pieds. Adopter à 3 ans, t'as acquis la nationalité Américaine, et depuis t'es coincé ici, Boston. Peut-être que c'est un mal pour un bien, dans l'fond : mais on n'sait même plus c'qu'il y a, au fond.
nom(s) & prénom(s)
Jezequiel, dixit Jez' depuis trop longtemps. Franco, du nom d'adoption. Le nom de naissance, y'en a pas : y'avait même pas d'prénom. L'enfant né sous X, sans identité, sans conviction d'vraiment vivre.
nationalité(s)
Japonaise. Américaine. Tout est écrit juste avant.
origine(s)
Japonais.
orientation sexuelle
hétérosexuel, jusqu'à preuve du contraire. T'as jamais été voir au-delà, n'a jamais ressenti le besoin quelconque de basculer de l'autre côté. Comme une évidence, depuis l'départ.
statut amoureux
ici, on préfère la solitude à la mauvaise compagnie. Peut-être que le lit n'est jamais longtemps vide, mais ça n'dure jamais plus que quelques heures.
statut social
Prof', ça paye bien. Pas des masses, mais on a la Reine Mère qui a percé dans l'Art. Alors on vit plutôt bien : elle tient absolument à participer à ta vie. Mais elle ne sait pas, qu'tout son argent va sur un compte bouclé. Qu'tu y as jamais touché. Qu'c'est à elle.
emploi
Professeur d'histoire de l'Art. Dans un musée pour l'instant. T'as posé ta candidature pour rentrer à Harvard. T'attends encore la réponse.
un certain 31 décembre 1992 selon l'acte de naissance. Osaka, au Japon. Mais t'y as jamais mis les pieds. Adopter à 3 ans, t'as acquis la nationalité Américaine, et depuis t'es coincé ici, Boston. Peut-être que c'est un mal pour un bien, dans l'fond : mais on n'sait même plus c'qu'il y a, au fond.
nom(s) & prénom(s)
Jezequiel, dixit Jez' depuis trop longtemps. Franco, du nom d'adoption. Le nom de naissance, y'en a pas : y'avait même pas d'prénom. L'enfant né sous X, sans identité, sans conviction d'vraiment vivre.
nationalité(s)
Japonaise. Américaine. Tout est écrit juste avant.
origine(s)
Japonais.
orientation sexuelle
hétérosexuel, jusqu'à preuve du contraire. T'as jamais été voir au-delà, n'a jamais ressenti le besoin quelconque de basculer de l'autre côté. Comme une évidence, depuis l'départ.
statut amoureux
ici, on préfère la solitude à la mauvaise compagnie. Peut-être que le lit n'est jamais longtemps vide, mais ça n'dure jamais plus que quelques heures.
statut social
Prof', ça paye bien. Pas des masses, mais on a la Reine Mère qui a percé dans l'Art. Alors on vit plutôt bien : elle tient absolument à participer à ta vie. Mais elle ne sait pas, qu'tout son argent va sur un compte bouclé. Qu'tu y as jamais touché. Qu'c'est à elle.
emploi
Professeur d'histoire de l'Art. Dans un musée pour l'instant. T'as posé ta candidature pour rentrer à Harvard. T'attends encore la réponse.
FIRE STARTER
T'as toujours décidé de la vie qu'tu mènerais. De c'que tu ferais. Et tu veux en faire toujours plus : jamais rassasié, t'en oublie qu't'es juste humain parfois, alors la corde, elle s'tend. T'sais pas trop quand elle cèdera, mais en attendant, t'en rajoutes. Tu réfléchis rarement aux conséquences : et quand tu l'fais, tu continues quand même. L'avantage quand on voit l'mur arrivé, c'est qu'on peut essayer de l'éviter. Ou d'limiter les dégâts : comment tu penserais, toi ?
caractère du personnage
« J’suis pas l’diable, mais en Prada j’suis habillé. »
Le monde et sa complexité : voilà c’qui te passionne. L’Homme et ses mille facettes, ses mille lunes et certainement autant d’étoiles, d’planètes qui viennent tout foutre en l’air. Toujours en train d’réfléchir, en train d’te nuir. T’as jamais été aussi bien qu’dans le noir. Personne. Personne n’te comprendra, personne. Parce que l’sourire aux lèvres s’échappent aussi vite qu’dans un big-bang : à bout d’souffle, à court d’maux ; tu n’sais pas trop comment t’décrire. T’as les névroses assorties à c’costard, qu’t’aime arborer au quotidien. Les yeux fixent sur le vide, l’âme collée au silence : et il suffit d’ça, souvent, pour l’avoir dans ton lit. Avant d’la jeter, au petit matin, parce que t’as rien promis, t’as rien dis d’spécial. Mais ça s’fait des films sur les mouvements d’bassins, sur les lèvres qui glissent sur la peau. Mais les mains attachées : faudrait pas s’toucher. Pas d’croyance, pas d’face, pas d’vie stable la nuit : mais l’jour, Jez, t’es qui l’jour ? Les doigts s’baladent sur tes lèvres, et l’esprit est déjà loin. Trop loin : la voie lactée sourit à ta venue.
Peut-être que les étoiles sont là pour toi.
anecdotes
Elle pleut. –
Décembre, c’est un peu frais hein ? Non, sérieux, en vrai : il caille un peu, en c’31 décembre 1992. C’est à s’demander comment elle est pas morte, celle qui agonise dans la rue, à faire sortir un mioche dans la noirceur d’une nouvelle année. Enfin, dans la majorité du globe c’est festif : ici, c’est bien connu. L’Japon, il fait rien comme les autres. C’est peut-être pour ça qu’t’as finalement résisté à ce désert glacial, et qu’t’as fini par t’faire adopter à l’aube du troisième âge. (Ou de la troisième année, c’est peut-être un peu plus sympa écrit comme ça.) La génitrice, elle, elle a pas eu d’couilles : peut-être pour ça aussi qu’t’en as pour tout l’monde. Qu’t’as peur de rien, qu’tu dis rien, qu’tu ressens rien. Qu’t’es le fait divers en hiver.
Solitude. –
Au début, ça perce. Le silence, j’veux dire : il perce ton cœur, puis ton âme, ton cerveau ; ça t’emmène dans des endroits, Petit. Des endroits qu’t’aurais jamais dû connaître, à ton si jeune âge. Mais c’est l’daron qui s’est taillé, après une énième bataille avec la Reine Mère. Et peut-être qu’il s’en prenait un peu à toi aussi. T’en sais rien : parce que même si tu t’rappelles du noir, l’cerveau est assez bien foutu pour t’protéger du reste. Mais t’as fais du silence une belle amie, si bien qu’aujourd’hui le bruit t’insupporte. Et peut-être d’autres choses.La vie, les rires, les discussions. Le soleil. La chaleur. Les autres.
Pour donner des coups, faut pas avoir peur d’en recevoir. -
Les premières peintures, après les premiers dessins. L’amour pour l’art et toutes ses déclinaisons. Peut-être grâce à la Reine Mère, artiste elle aussi. Il n’reste plus que vous deux, quand tu rentres dans ta quinzième année. Qu’tu apprends les rudiments d’l’amour, d’la haine, d’la déception et de l’hypocrisie. Et tout se met si vite en place, dans ta tête. Surtout quand tu sors d’cette morgue, à seulement 20 ans. Reine mère est toujours là.Mais toi, où es-tu ?
J’vais pas t’offrir de fleurs parce qu’elles sont vouées à être fânées. -
Les années passent. Ta vie s’met doucement en place. Peut-être que t’es pas seulement voué aux ténèbres. Tu passes des jours compliquées, des nuits encore plus sombres. Mais te voilà finalement fraîchement diplômé. Prêt à enseigner l’art. Enfin, l’histoire des Arts : l’truc qu’tu détestais au plus haut point. Peut-être pour essayer d’rendre la chose moins chiante. Les fantômes te suivent toujours : tu sombres, la nuit arrivant, pour devenir complètement différent quand les étoiles témoignent de la douleur. Tu espères, en silence, devenir quelqu’un d’bien.« Mais j’ai fini par être celui que je ne voulais pas être. »
Tu peux la deviner, sans même la regarder : elle te fixe, d’un regard de pitié. Et toi, tu effleures tes lèvres de tes doigts, les yeux déjà bien loin. Ton corps se lève. La tête se baisse respectueusement et tu files sans un mot : encore une séance que tu sais inutile. La peine est toujours profonde, et quand la pluie vient frapper ton visage, le sourire revient.
& irl, ça donne quoi ?
pseudo Lili
âge 26 ans
nationalité FR
forum connu par... l'âme soeur
ILH, j'en pense quoi ? c'est joli
autres comptes ? nope
avatar utilisé Sen Mitsuji
crédits images graphadament
nombre de mots par rp ça peut varier, mais au minimum 250.
type personnage inventé
code bottin
- Code:
<span class="pris">SEN MITSUJI</span> <g1>-pris-</g1> @"Jezequiel Franco"
i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard i love harvard
(Invité)