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Xsan Jim Stradivari fiche;terminée C'est le 29 février 1972 à Glasgow, que la famille Stradivari m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé Xsan Jim. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale pauvre. Depuis maintenant 8 ans je travaille comme maître de conférence, tuteur, écrivain, activiste dans l'économie souterraine. Et pour terminer, je fais partie des citizens. |
Études Doté du QI d’Einstein, de l'esprit d'Hemingway et d'une touche de folie à la Poe, je ne pouvais qu'être aduler par mes professeurs. Adieu cliché qui veut que tout les grands criminels aient été des cancres en classe. Je suis intelligent ça il n'y'a aucun doute et les gens intelligents se sont les gens qui ne se font jamais chopper. Donc oui mon dossier scolaire ait vierge de toute mauvaise remarque. Seul les : Élève brillant, prometteur, doté de capacités étonnantes, original, excellent, géniale orne ce dernier. C'est ça qui m'a fait entrer à Harvard à l'époque, même si je venais d'un lycée de banlieue Écossaise mes capacités m'ont permis d'avoir une bourse pour faire mes études. Et non, je ne suis pas de ces abrutis qui ruinent leur chance pour vivre l'American Way of Life. Esprit libre mais futé, j'ai entamé un triple cursus Droit-Littérature-Mathématique j'ai fini major de ma promo en mathématique et en droit, la littérature n'étant au fond qu'une passion. Après oui, j'ai eu une brève carrière d'avocat qui m'a juste servi à tisser ma toile ( puisqu'il me fallait des chiens de garde et qu'il n'y'a pas meilleurs moyen de les attirer que par un os bien juteux ) j'ai monté mon business. Non je ne suis pas un mafieux, non je ne suis pas un tueur, non je ne suis pas un dealer de drogue, non, moi je suis le nom qu'on murmure quand on veut quelque chose, la double face de Janus, je travaille le jour en tant que conférencier à Harvard, écrivain ou encore tuteur quand je viens à m'ennuyer – ce qui arrive très très souvent. - Mais c'est la nuit que je deviens bien plus intéressant, véritable homme de l'ombre c'est une armée de criminel que j'ai à mes pieds, je connais chacun d'entre eux, je les surveilles tous, et oui, je sais comment me faire respecter sans jamais avoir à me salir les mains. Comme je l'ai dit, les gens intelligents ne se font jamais prendre puisqu'ils sont trop futés pour laisser des traces. | Caractère Janus. Divinité Grecque. Janus. Double face. Pile ou face. Volte face. L'homme aux deux visages. Surnoms et autres diminutifs desquelles j'ai pu être affubler tout au long de ma vie. Jamais il ne m'est venu à l'idée de les contester, du moins jusqu'à aujourd'hui. Aujourd'hui je refuse que ma part de sombre soit à la vue de tous. Mon problème vient de mon ego vous voyez. Mon ego … Cet entité invisible m'a sorti de mon trou de la pire des façons qui soit. La plus belle aussi, mon esprit continu de tergiverser sur le bien fondé d'avoir un ego aussi développé. Et c'est bien ça le problème. Je tergiverse beaucoup trop. Divinité du changement. Janus a une tête mais deux visages opposés. La Commedia dell'arte dicte ma vie, je suis une marionnette au service de la pantomime qu'est ce monde. Mouton parmi tant d'autre je ne cherche pas à me faire remarquer, ma silhouette est l'ombre de votre ombre. Du grand méchant loup on n'entend que le souffle, la queue dépasse parfois de temps en temps, elle se trémousse pour attirer la proie qui, stupide, pensera avoir affaire à un beau toutou et ne se méfiera des crocs qu'au dernier instant. Oui, voilà, je suis le Pierrot déguisait en Arlequin. Mon sourire vous faire sourire, mes yeux vous vous en foutez après tout je n'existe que pour vous plaire en aucune cas pour être plains. Cabotiner avec moi mes amis. Ne vous a-t-on jamais dis qu'il était dangereux de danser avec le diable au clair de lune ? Gardien des passages et des croisements. Il exerce son pouvoir sur le ciel, sur la mer comme sur la terre Il est aussi ancien que le monde ; tout s'ouvre ou se ferme à sa volonté. Lui seul gouverne la vaste étendue de l'univers. Il préside aux portes du ciel, et les garde de concert avec les Heures. Il observe en même temps l'orient et l'occident. Oui nous vivons dans un monde étrange, un monde où les gens ne s’étonnent plus de grand chose où le fun a pris le pas sur le reste... Oui désolé de vous apprendre que rire tue. Et moi, moi... Je vous l'ai déjà dit je réfléchis trop. Je suis un homme dont le cerveau ne s'arrête jamais, l'ennuie m'attaque beaucoup plus vite que vous mes chères compatriote, et sachez que l'ennuie chez un type comme moi c'est jamais jamais jamais bon. Comme je le disais nous vivons dans un monde étrange, un monde de porte fermé, mais qu'est ce qu'il se passe si quelqu'un soudainement trouve le passe partout ? Ouais, cet homme devient un sorte de demi-dieu. Vous avez été prévenu, j'ai un petit problème d'ego oui. C'est le petit problème de la marionnette qui devient marionnettiste, elle se rend compte de son pouvoir mais elle s'éparpille. Je ne sais pas si c'est rassurant pour vous de savoir que j'ai dépasser ce stade. Je suis une araignée au centre d'une toile dont je connais le moindre fil, la moindre vibration, je contrôle tout autour de moi et gare à l'idiot qui essayera de me déloger. Vous savez ce qu'on dit après pour vous accordez les faveurs d'un dieu il suffit souvent de quelques prière ... Dear Jim … Can you fix it for me ? Et d'un certain nombre de sacrifices. Xsan Jim Stradivari, pour vous servir. |
Everyone Has Their Own Story
Xsan. Un nom peu commun pour un gamin encore plus étrange. Mes parents ont été inspiré quand ils ont décidé de me prénommer ainsi, faut dire qu'en 1972 chacun planer plus ou moins dans ce pays de merde qu'est l'Ecosse. Oui je pense qu'il est bon pour vous de savoir que je déteste mon pays, l'Ecosse et les écossais c'est la sous-merde des sous-merde, y'a qu'à voir qui nous a colonisé, ces bouffons d'anglais. Même pas nous avons été capable de nous faire coloniser par un peuple à peu près décent nan, les anglais... Ouais je déteste aussi les anglais. Pas plus que je déteste les américains non, mais les américains au moins ils sont marrant. Et stupide aussi, surtout stupide. Ce qui en fait les proies idéals pour le type que je suis devenu au fil du temps.
Enfin bref, tout ça pour dire qu'absolument rien ne me prédestiné à l'avenir que j'avais décidé de me forger. Fils de Sinéad & Eoghan Stradivari, j'étais leur 5ème et dernier enfants. Le seul garçon aussi. Non pas que j’eus à me plaindre de ce statue, en temps que seul héritier mâle j'étais traiter comme un roi. Toutes les femelles étaient en quelques sortes à mes pieds, et après on s’étonne que je sois devenu misogyne. Elles étaient toute plus ou moins stupide, plus ou moins crasseuse, plus ou moins capricieuse mais aucune ne faisait preuve d'ambition. Mon père quant à lui n'était qu'un ivrogne sans le moindre intérêt. Donc oui, j'ai été élevé par des femmes sans autre modèle mâle que celui de l'homme qui fuit ces responsabilité, avec de tel handicap je pense mériter une médaille pour m'en être sorti aussi bien. Il est vrai que sans mon brillant intellect de base mon corps et mon esprit aurait suivi la devise familial « Vis tel un parasite au dépens des autres. », à la place d'être devenu un de ces nuisibles je suis devenu l’araignée capable d'absolument tout.
A l'école j'ai rapidement pris la place qui me revenait de droit, celle de petit monarque des bacs à sable. Brillant j'avais les profs dans la poche et au lieu de me faire taper dessus par les autres élèves jaloux j'ai appris à les manipuler, tout ces abrutis courber l'échine devant moi. J'étais leur dieu vivant. Celui qui dictait les lois dans la cours de récré, celui vers qui ont aller lorsqu'un conflit ne pouvait se régler avec les professeurs, dame Justice m'avait léguer sa balance et son épée au grès de mes envies tel gamin devenait ou non populaire. Quelques adultes plus clairvoyant que les autres voulaient m'envoyer chez une psychologue pour enfant, mes yeux noir et mon comportement de quasi dictateur les terroriser, le fait que je puisse lever la foule d'élève encore plus. En faite c'était ça, j'étais un dictateur avant l'heure. Sans rien connaître de l'histoire de l'Europe je savais déjà comment utiliser les outils de propagande, à mon échelle bien entendu, devant le refus de mes parents le directeur a fini par prendre la décision de me faire sauter une classe quasiment chaque années et parfois même en cours de route. Le surdoué que j'étais ne s'en plaignait pas même si je comprenais au fond le but de cette manœuvre. Sûrement pensait-il qu'en m'envoyant très jeune au collège, en particulier celui de Glasgow, je me ferais broyer par les cas sociaux avant d'avoir pu dire ouf.
C'est bien ce qui a failli arriver, j'avais 8 ans quand je suis entré au collège, la première semaine je n'ai fait qu'observer, plusieurs abrutis m'avait aussi pas mal emmerder, après tout j'étais le plus petit, le plus faible physiquement, de surcrois j'étais plus intelligent qu'eux or à l'adolescence un ado est en pleine phase de « moi-maitre-du-monde », mais ils était aussi fort heureusement extrêmement influençable. Au collège j'ai appris le pouvoir de l'argent. Si t'as l'argent tu as les filles, si t'as les filles t'as la réputation, si t'as la réputation tu deviens intouchable. A peine 3 mois après mon entré au collège j'étais donc à la tête d'un petit business se basant sur la pyramide de Ponzi, très risqué mais tout aussi efficace. Personne n'a jamais cherché à comprendre mon manège, tout le monde au fond y trouvait son compte. Moi je redevenais puissant, eux ils pensaient devenir riche. Ma famille n'étant pas non plus au tréfonds de l’imbécillité mon père a souvent essayer de me prendre mes revenus, l'idiot ne comprenant visiblement pas le principe de Ponzi. C'est là que ma force physique m'a fait défaut et que j'ai compris que pour être vraiment puissant il fallait être protéger sans pour autant se salir les mains. Alors oui. J'ai tué mon père. Enfin j'ai. Non. J'ai commandité son assassinat. Ce poivrot a été tabassé à la sortie de son bar par un soi disant bande d'Holligans toujours en fuite, seul la dite bande et moi-même savons vraiment ce qui a pu se passer cet nuit là. Étrangement non, je n'ai ressenti aucun remord. Si toute mes sœurs pleuraient à l'enterrement je restais stoïque. C'est ça qui a poussé ma mère a me faire voir un psychologue. Psy que je pensais avoir fait tourner en bourrique, mais qui a finalement déceler mon anomalie. La sociopathie. J'étais tout bonnement incapable de différencier le bien ou mal, ou même d'avoir des regrets. J'avais 14 ans, et ma mère était terrifier par le nouvel homme de la maison, comme la plupart de mes sœurs d'ailleurs, seule l'une d'entre elle continuait de me parler comme si de rien était. Elizabeth, ma douce Lizzie, elle était magnifique, quand je me réveillais avec une érection c'est à elle que je pensais. Malsain ? Sûrement oui, c'est pas comme si c'était un problème vu toutes les saloperies dont j'étais capable. A 15 ans je suis titulaire d'une bourse et je pars pour Harvard, Lizzie me suit, c'est la seule d'ailleurs. Pour le reste, je n'ai plus jamais eu de nouvelle du reste de ma famille, déjà que je les ai laissé en vie je ne tolérerais pas que leur présence me ralentisse.
Lizzie étant majeur nous avons droit à un appartement dans Cambridge. Mes bourses nous permettent de vivre plutôt correctement, mon petit cerveau de génie couplé à mon charisme avait complètement séduit les professeurs et le doyen d'Harvard. Ces hommes – et femmes – forment des requins, et si bien souvent ce sont des poissons rouge qui franchissent les barrières de l'université c'était pas mon cas, j'étais un foutu requin prêt à tout dévorer sur son passage. 3 licences, c'est ce que j'entame. Le doyen n'en attendait pas moins de moi. Ma sœur quant à elle se trouve un boulot, côtoie des gens, ramène des garçons. Je n'aime pas ça du tout, une violente dispute éclate entre nous, dispute qui se terminera par un viol. Étant son frère elle n'a jamais porté plainte contre moi, je n'ai jamais regretté mon geste pour autant, j'avais 18 ans,et quelque temps plus tard elle m'apprenait être enceinte de son petit ami de l'époque. Nous savions tous les deux qu'il y avait un risque que le bâtard qu'elle portait en elle soit de moi, n'acceptant pas cette contrariété je l'ai foutue à la porte, elle, son futur môme et son abruti de petit ami. Tranquillement j'ai continué mes études, sans faire le moindre écart, ayant déjà pu tester mon aura en Écosse, je n'avais pas envie de ruiner mes chances au USA, tout vient à point à qui sait attende après tout. Depuis Lizzie je n'ai plus chercher à vraiment coucher, cet acte purement mécanique ne m’intéressant guère, bien sur comme dans tout le reste j'excellais dans cette activité mais elle m'ennuyait. L’ennuie. La malédiction des génie. En 5 ans à Harvard, j'étais, sans avoir forcé, devenu une espèce de légende. Non seulement grâce à mon jeune âge mais aussi à cause de ma beauté physique et l'avenir pavé d'or qui s'ouvrait devant moi. Alors oui, les filles se pressaient à ma porte, normal dirons nous, pourtant qu'elles soient mannequin, actrice, gymnaste ou pom pom girl la porte claquait souvent devant leur nez. Je me surpris moi-même à avoir le goût du monsieur. Les femmes n'étaient que des idiotes bonne à enfanter, un homme lui au contraire pouvait non seulement baiser comme un dieu mais en plus être intéressant malgré tout. Oui à l'époque, la rumeur comme quoi j'étais gay à bien failli me coûter ma réputation, en 92 c'était toujours très tabou de parler d'homosexualité, de plus le SIDA venait à peine d’apparaître et on ne tarda pas à m'envoyer des lettres de menace et de promesse de mort si j'osais tremper mon biscuit d'abomination malade du cancer gay dans le saint vagin des filles de pasteur. Bien entendu je n'en ai eu rien à foutre, pourtant le cancer gay – comme on l’appelait à l'époque - me terrorisait, et c'est sans vrai regret que j'ai banni le sexe de ma vie jusqu'à la fin de mes études universitaire. Alors oui non, Jim n'a pas connu l'amour mais Jim a connu le succès, n'ayant aucun boulet accroché à ma cheville mon ambition était sans limite et il était hors de question que je laisse passer ma chance.
Alors après mes études je suis devenu avocat. Un choix purement stratégique et clairement porté vers l'avenir. Devenir avocat me permettait de rencontrer les pires crapules des US et si j'arrivais à les sortir d'affaire, me les mettre dans la poche. Pour ça mon éloquence et mon charisme m'ont de nouveau grandement aidé, j'ai repris contact avec Lizzie entre deux au cas où elle avait besoin d'argent pour elle et son petit bâtard. Petit bâtard qui était atteint d'une leucémie. Elle n'a pas refusée quand j'lui ai proposé des milliers de dollars pour financer l'opération du gosse, non pas que j'en avais quelque chose à foutre, mais avoir une belle femme comme Lizzie à mes côté pourrait m'aider pour la suite des opérations, les mâles en rûte que sont les gangster adorent les belles femmes. Certes elle n'a pas apprécié que je le traite comme un faire valoir surtout après ce qui avait pu se passer entre nous. Mais son mari étant mort, elle avait besoin de moi et mon soutien financier, en contre partie elle me rendait quelque services avec la pègre du coin. En une dizaine d'année j'ai créé un véritable empire. Avocat à mes heures perdus, je ne faisais que sortir mes collaborateurs de la merde. Loin du cliché du parrain ou même du grand manitou, je suis l'entité invisible qui plane sur la côte est des USA. Tout passe par moi, du vol de musée, au braquage de banque, en passant par certains tueur en série. Je suis au courant de tout, je suis à la base de tout, mon revenu annuel atteint des sommets et pourtant … Je m'ennuie. Je n'avais jamais pensé à ce que je ferais une fois que je deviendrait une espèce de maître du monde, j'avais certes tout ce que je voulais mais ça ne suffisait pas à mon esprit de plus en plus dépité face à la connerie humaine. Alors j'ai abandonné mon job d'avocat qui ne me servait qu'à passer le temps pour revenir à Harvard où il m'arrive de donner des conférences sur les sujets dans lesquelles j'excelle – et ils sont plusieurs. -De nouveau je redeviens le roi de la basse cours, les étudiantes flash sur moi, les professeurs aussi, faut dire que je me suis encore plus embellis avec l'âge, et les voitures qui défilent sur ma place de parking laisse deviner que je ne suis pas un de ces artistes raté qui font la manche, tous ces abrutis pensent probablement que je me suis fait tout cette argent grâce au mafieux m'ayant grassement payer durant ma carrière d'avocat, ils ne sont pas tellement loin de la vérité, des mafieux au criminel de bas étages ils me doivent tous des comptes. Je suis l'un des plus grand cerveau criminel que les USA ait pu connaître et avec un peu de chance … Vous n'entendrez jamais parler de moi.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Voltaly. ↬ ÂGE - 20 Y-O. ↬ PAYS/RÉGIONS - Nord. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - ... J'ai pas envie de le dire pour la faire chier et qu'elle est pas ces points de parrainage Hihi tu lis ça bitch à rire à coté de moi comme une cruche :D. L'autre bitch qui d'ailleurs me fait chier depuis tout à l'heure. NAN MAIS T'AS PAS BIEN FAIT TON TITRE ! Vas y ta citation c'est dans description ! Met Oscar Wilde VOLEUSE DE CITATION ! Et met des guillemets ! Nyah nyah nyah. Bitch. ↬ TES IMPRESSIONS - Je kiffe !! Même que Jude fait une crise d’épilepsie là. ↬ CRÉDIT(S) - Tumblr & Barda. ↬ AVATAR - Robert Downey Jr. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - . |
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