DESMOND HOSHINO-POWELL ► luke ishikawa plowden

naissance
Bébé pas vraiment voulu. mais pas le choix, au japon l'avortement est interdit. Hayami n'a pas pu le cacher très longtemps à ses parents alors voilà, tu voyais le jour une belle soirée de septembre 2000. Le 13, apportant de la chance pour certains et du malheur pour d'autres. tu ne te rappelles pas du visage de ta mère, mais tu es persuadée qu'elle n'était pas franchement heureuse que tu sois là.

nom(s) & prénom(s)
Comme si deux noms de famille ne suffisaient pas, tu as aussi hérité de deux prénoms. Desmond pour le premier, rappelant sûrement à sa mère le rêve américain, un territoire qu'elle a toujours voulu visiter. Akitsuki pour le deuxième, souvent utilisé pour les petites filles d'habitude, les kanjis veulent dire "automne" ainsi que "lune". C'est comme si ce prénom était fait pour toi, né un jour de septembre au soir. Quant à ses noms de famille, ils témoignent parfaitement de la dualité de ton héritage. Si au début tu n'avais que Hoshino, provenant de ta mère et signifiant "champ d'étoiles", tu as fini par accepter Powell, celui de sa figure paternelle. Ne voulant dissocier l'un de l'autre, tu as préféré joindre les deux comme pour lui rappeler qu'il provenait de deux mondes différents.

nationalité(s)
Maintenant que tu es sur le territoire américain depuis quelques années, tu as la double nationalité américano-japonaise.

origine(s)
Japonaise du côté de ta mère et américaine du côté de ton père.

orientation sexuelle
C'est quelque chose de très peu naturel pour toi, ayant vécu et vivant dans deux mondes diamétralement opposés qui n'ont pas du tout les mêmes valeurs. Si depuis petit tu rêves de vivre le grand amour avec une fille, en grandissant tu t'es rendu compte qu'il y a une diversité infime de possibilités. Alors, honnêtement, tu ne sais même plus. Mais si on te pose la question, tu es définitivement plus attiré par les femmes que par tout autre genre.

statut amoureux
Célibataire, tu n'as jamais vraiment eu de relation et as une peur bleue de faire quoi que ce soit avec quelqu'un. On dirait même que tu fais exprès de faire fuir les gens pour ne pas à avoir à aligner deux mots sans bégayer.

études
Etudiant en quatrième année de médecine, tu espères pouvoir travailler auprès des sportifs de haut niveau, palier que tu n'as jamais pu atteindre. Tu te dis que ce qui t'es arrivé peut se produire n'importe quand et que tu as envie d'être là et d'aider comme tes médecins l'ont fait.

bourse
Avec le salaire de tes parents, tu n'as vraiment pas à t'en faire niveau argent et donc tu n'as pas besoin d'une bourse mais tu avoues ne pas franchement être ravi à l'idée de dépendre d'eux.

statut social
Tu es considéré comme aisé, mais tu n'aimes pas particulièrement l'étaler. Au contraire, moins tu en parles mieux tu te portes.

job étudiant
Même si tu sais qu'en un coup de fil ton père ou ta mère peuvent renflouer ton compte en un clin d'œil, tu préfères te débrouiller par toi-même...à peu près. Tu aides ta mère quand elle a besoin de quelqu'un à son agence et tu as un peu l'impression de vivre comme un agent secret. Tu ne l'avoueras jamais, mais c'est assez excitant d'être un mannequin pour des petites entreprises. Au moins tu es sûr de ne pas devenir populaire et de pouvoir t'exprimer à travers les poses sans avoir à parler.

maison
Tu aurais pu aller à la Adams House ou bien la Kirkland House, mais les projets de tes parents sont tout autres. Déjà que de base ils sont peu ravis que tu ne fasses pas du management, de l'économie ou encore du marketing pour reprendre l'une des entreprises familiales, alors tu as intérêt à réussir dans la médecine. Tu n'as pas vraiment d'autres choix que d'intégrer la Pforzheimer House finalement.

Tu as toujours été un élève studieux depuis ton plus jeune âge alors cela n'a pas été si difficile. Enfin, entre autre, parce que tu as persévéré toutes ces années afin d'être sûr de pouvoir atteindre tes objectifs. On peut dire que tu étais dans la bonne moitié de la classe et que tu l'es toujours. Tu essayes du moins, parce qu'il y a beaucoup plus d'étudiants à Harvard que n'importe où d'autre.  Tu aimerais avoir les meilleures notes, mais ce n'est pas aussi facile, encore plus dans la médecine. Tes anciens profs ont pu en témoigner pour être sûr que tu sois accepté à Harvard. Tes résultats aux SATs sont dans la moyenne, peut-être un peu plus au-dessus. Quant à ton essay, tu as fait en sorte de le faire sur un sujet qui te passionne : l'importance d'un suivi médical pour les sportifs de haut niveau. Simple mais efficace puisque cela a porté ses fruits. Pour ce qui est de l'entretien, cela n'a pas été aussi facile. Grand timide, tu savais ce que tu voulais dire, ce que tu voulais poser comme questions, mais il a fallu au moins une bonne minute pour que tu te remettes les idées en place afin de combler les gros blancs. Au final, malgré l'oral qui a été, selon toi, catastrophique, le reste a démontré que tu en voulais.

Solitaire ► Timide ► Bosseur ► Perfectionniste ► Anxieux ► Empathique ► Casanier ► Curieux ► Sûr de lui (seulement derrière un  appareil photo) ► Froid de prime abord ► Soucieux du bonheur et de la santé des autres ► Proche de sa famille ► Persévérent ► Jaloux ► Pudique ► Maniaque ► Sensible ► Rêveur ► Indépendant

anecdote une Fils de deux parents propriétaires de leur propre entreprise, tu n'as jamais eu à te plaindre de manquer de quoi que ce soit en grandissant. Ta mère est directrice d'une célèbre agence de mannequinat. Quant à ton père, il est l'un des grands barons dans l'industrie de la pub. anecdote deux C'est justement grâce à cet immense domaine que sont les médias que tes parents se sont rencontrés au Japon, ils étaient encore très jeune à cette époque. Alors que ton père était déjà l'héritier de sa propre boîte en voyage d'affaires, ta mère était native japonaise et ils se sont croisés sur les bancs de la fac alors qu'elle assistait à une conférence sur l'importance des médias visuels pour le mannequinat. Et là, un coup de foudre respectif comme on en voit que dans les films à l'eau de rose. C'était son premier amour et lui sa relation la plus intense. Mais qui dit intense dit pas forcément dans le bon sens, la chute n'en est que pire. Monsieur Powell disparaît du jour au lendemain, laissant une Hayami sans nouvelle pendant de longs mois. Elle finit par tomber malade, étant persuadée que ce n'était dû qu'à son chagrin d'amour. Elle n'était pas au bout de ses peines, tu étais prêt à lui mener la vie dure dès ta naissance imprévue. C'en fût trop pour elle, très clairement pas prête à laisser tomber ses études pour s'occuper d'un enfant dont elle ne voulait pas à la base. Elle aura essayé près de cinq ans, en vain. Te confiant à tes grands-parents, elle finira par aller vivre le rêve américain à New-York. Ne laissant rien d'autre qu'un vide immense à combler après son départ. anecdote trois Tu fus élevé par tes grands-parents, purs traditionnalistes japonais. Ils détestaient l'étranger, l'américain qui avait mis enceinte leur fille et qui lui avait mis dans la tête que partir aux Etats-Unis était la meilleure décision de sa vie. Ils sont tellement énervés juste à l'idée d'y penser qu'ils ont même coupés tous les ponts avec leur fille, enfin surtout le père d'Hayami. anecdote quatre Quand tu avais à peine 7 ans, vous avez eu un accident de voiture avec tes grands-parents. Plus de peur que de mal, mais depuis tu n'arrives plus à fermer l'œil quand il y a de la pluie ou de l'orage, quitte à te réfugier sous ton lit. Ne parlons même pas de conduire en temps d'averse. anecdote cinq Durant tes jeunes années scolaires, l'école fut compliquée. En primaire, on se moquait de toi pour ton poids, ta petite taille et ta timidité qui te valait de te faire marcher sur les pieds très souvent. Au collège, c'était à cause de ton acné, tes bagues et, évidemment, toujours ta timidité maladive. Tu n'osais pas le dire à tes grands-parents mais quand tu es revenu en pleurs avec des bleus sur les bras en plus de tes lunettes cassées, ils se sont bien doutés que quelque chose n'allait pas. Ils ont pris les mesures nécessaires, en parlant au proviseur pour qu'il fasse en sorte de punir les agissements de tes harceleurs. Evidemment, cela ne s'est pas totalement arrêté, mais tu étais quand même content de voir que cela diminuait peu à peu. anecdote six Peu après cet épisode, une chose inattendue se produisit : des inconnus, clamant être tes parents, venaient de sonner chez tes grands-parents. S'en suivit des cris, des larmes et de très longues discussions. Oui, tes parents s'étaient retrouvés depuis quelques années déjà, ton père ayant créé un énorme quiproquo qui s'avérait être un décès de famille très important. Oui les retrouvailles furent difficiles, pour toi tes seuls parents étaient ceux qui s'étaient occupé de toi depuis ton plus jeune âge. Oui tu as fini par les pardonner, difficilement mais tu as réussi. Néanmoins, ce fut encore plus dur de savoir que depuis la famille s'était agrandie, que tu avais une petite sœur et qu'elle, ils ne l'avaient pas abandonné. Au début, tu l'as très mal pris au point de faire la tête de jour comme de nuit. Quand tu l'as rencontré, tu es tombé amoureux. Jamais tu n'avais ressenti ce sentiment si beau, celui de vouloir protéger, celui d'être grand frère. Parce qu'effectivement, après pas mal de mois passés avec tes parents et la pèse des pours et des contres, tu as fini par les rejoindre à New-York. Total changement, dans tous les sens du terme. Bizarre, mais pas déplaisant. anecdote sept Nouvelle ville, nouveau lycée. Le tennis que tu pratiquais déjà depuis quelques années en tant qu'étudiant semi-professionnel - ainsi qu'un peu de boxe thaï - t'a permis de maigrir mais aussi et surtout de te dépenser, mais cela ne changeait rien au harcèlement que tu continuais à subir. Si au Japon c'était à cause de ton poids, ici c'était à cause de tes origines évidentes et du fait que tu avais encore du mal à bien parler anglais. Sauf que tu ne voulais plus te laisser faire après ce qui était arrivé, tu n'avais plus envie de te laisser marcher sur les pieds. Alors soit tu les envoyais balader, soit tu les laissais geindre dans leur coin, selon ton humeur. C'est aussi à cette époque que tu voyais les choses changer autour de toi. Tu te faisais plus d'amis et quelques filles s'intéressaient à toi de temps en temps, mais en réalité c'était surtout pour choper les réponses des devoirs. Les seuls qui avaient de vraies intentions étaient trop timides pour te le dire, ou sinon c'est toi qui n'osait pas leur adresser la parole. Triste cercle vicieux. Tu préférais mettre le nez dans tes bouquins, dans tes jeux vidéos ou bien même aller à tes entraînements de tennis qui te prenaient tout de même pas mal de temps. anecdote huit Te débrouillant bien en tennis, tu étais promis à un grand avenir dans le monde des futurs tournois universitaires ou bien même les tournois mondialement connus. Mais il a fallu d'un mauvais pas pour te faire voir la vie d'une autre manière. D'un petit entraînement de rien du tout pour que ta cheville vrille, laissant des séquelles à vie. Les médecins étaient formels : plus de tennis à haut niveau. Ce fut la descente aux enfers. Tu avais tout perdu, plus rien n'avait de sens à tes yeux et tu ne savais même plus quoi faire de tes études. Malgré que tes parents veuillent chacun que tu reprennes la succession de leur entreprise, ce n'était pas du tout dans ta ligne de mire. Après mure réflexion, tu as décidé de te tourner vers la médecine. Les gens qui se sont occupés de toi ont tellement pris soin de ta blessure et de tout ce qui va avec que tu ne pouvais les remercier autant que tu voulais, alors tu as eu l'envie de leur rendre honneur autrement. Tu veux devenir médecin pour les sportifs de haut niveau et tu ne vas pas lâcher l'affaire maintenant que tu as un nouvel objectif dans la vie. C'est donc pour cela que tu as décidé de rejoindre la prestigieuse université d'Harvard, une des plus réputées du monde. anecdote neuf Depuis ta blessure, tu as repris le sport mais moins intensément et moins souvent surtout. Tu fais toujours du tennis, un peu de boxe et tu vas à la salle de musculation quand tu as le temps. anecdote dix Tu es aussi cinéphile que tu es sériephile. Tu dévores autant de livres que tu joues au jeux vidéos. Evidemment avec les études les seules choses que tu lis sont des livres de médecine et les seules choses que tu regardes sont des documentaires médicaux. Mais tu fais des petites exceptions de temps en temps. anecdote onze Tu portes souvent des lunettes et ne mets des lentilles qu'à de rares occasions, notamment quand tu travailles à l'agence de ta mère. anecdote douze Tu as le permis voiture et le permis moto, mais pas de moto pour le moment. La voiture, quant à elle, est restée chez tes parents à New York. Tu te déplaces donc principalement grâce aux transports en commun. anecdote treize Par souci du simplicité et de praticité, tu habites sur le campus à la Pforzheimer House. Etant la rentrée, tu ne sais pas si ta chambre est individuelle ou si tu as un colocataire. anecdote quatorze Tu es un peu trop addict au café et au thé, capable de te réveiller en pleine nuit pour te faire une tasse. Tu ne passes d'ailleurs pas une journée sans. anecdote quinze Tu n'es pas spécialement fan des rassemblements ou des fêtes en général, surtout sachant que tu n'es pas très grand buveur. Cependant, tu deviens une toute autre personne quand tu as un peu trop bu, sachant que tu ne tiens pas l'alcool. Beaucoup plus extraverti et tactile, même tes amis ont du mal à te reconnaître et se font un plaisir de se moquer de toi qui t'essayes à la piste de danse. anecdote seize Artiste dans l'âme, tu connais quelques morceaux de guitare. Et contre toute attente, tu as une petite préférence pour les guitares électriques. Tu dessines aussi de temps en temps. Pratique pour les schémas d'anatomie. anecdote dix-sept Tu es très proche de tes grands-parents même s'ils vivent à des milliers de kilomètres. Tu leurs envoies souvent des lettres et n'hésites pas à aller les voir quand ton emploi du temps le permet. anecdote dix-huit Tu adores les chats, ils ont cette prestance et cette assurance que tu admires chez eux. Et puis qu'est-ce qu'ils sont doux. anecdote dix-neuf Tu n'es pas trop nul en cuisine, tu te débrouilles. anecdote dix-neuf Ayant la double nationalité, tu parles parfaitement l'anglais et le japonais. Tu as quelques notions de thaïlandais car tu as eu des cours au collège et au lycée mais rien de très incroyable. anecdote vingt Tu n'as que quelques amis, préférant la qualité à la quantité et surtout au vue de ta grande timidité. anecdote vingt-et-un Tu es persuadé que tes parents ont engagé des gardes du corps car tu as souvent l'impression de te sentir surveillé. anecdote vingt-deux Tu as pas mal voyagé avec ta famille quand l'occasion se présentait. anecdote vingt-trois Tu détestes le tabac et encore plus la drogue. Rien que l'odeur te donne envie de vomir.

pseudo zachaidan.
âge la vingtaine.
nationalité française.
forum connu par... mon premier compte.
ILH, j'en pense quoi ? si j'ai fait un second compte, à votre avis ?  
autres comptes ? @Corban Hadley
avatar utilisé Luke Ishikawa Plowden
crédits images zachaidan (avatar) Grey Wind (signature).
nombre de mots par rp cela dépend de mon inspiration et aussi de la personne que j'ai en face mais ces derniers temps j'aime les rps concis et qui font avancer notre lien.
type personnage inventé.
code bottin

Code:

<span class="pris">LUKE ISHIKAWA PLOWDEN</span> <g1>-pris-</g1> @"Desmond Hoshino-Powell"