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break the rules ☽ sierran

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break the rules
@Sierra Brekker
jeudi 14 septembre 2022

Cette fille me rend fou. Elle me retourne le bide, le plus profond de mes tripes. Elle a encore cette espèce d’emprise sur moi, Sierra. Je pensais l’avoir oublié définitivement, avoir tourné la page pour de bon. Être capable de juste la croiser dans les couloirs du poste, d’être professionnel et juste ça. Mais non. On est bien loin de la relation purement professionnelle, de collègues lointains. Lui parler, quotidiennement, ça a raviver ce que j’avais enfoui, ni plus ni moins. Elle sait pas elle, l’effet qu’elle me fait. Mais elle sait pas non plus ce qu’elle attend de moi, ce qu’elle veut de moi ni ce qu’elle veut d'elle-même finalement. Alors ça complique tout et ce soir est la preuve de son indécision. Elle veut me voir mais elle hésite. Oui puis non. Je sais pas sur quel pied danser, j’voudrais pas la brusquer, j’voudrais pas que ça se passe mal entre nous. J’ai envie d’elle, mais pas que. Le problème est qu’on est tous les deux un peu flippé de se voir ailleurs, de se voir tous les deux. Sauf que moi, j’suis impulsif, irréfléchi même parfois. J’fais, j’fonce et après j’vois. J’attend son top départ, qu’elle finit par me lancer. Déjà dans ma voiture, je me lance directement sur le chemin de son appartement. En chemin, j'ai plein de questions qui me traversent l’esprit. Allume-toi une clope, ça ira mieux. J’ai pas bu, je suis sobre. Même un peu trop à mon goût pour faire ce que je m'apprête à faire. Devant la porte de chez elle, je prends une grande inspiration et alors que j’allais sonner, elle ouvre la porte. On est l’un en face de l’autre, sans dire un mot, sans bouger. Mon regard plongé dans le sien, je sais pas quoi faire, comme un ado de quinze ans. Pourquoi y’a rien qui me vient? Pourquoi j’ai pas un mot intelligent qui sort? Merde alors, faut briser la glace là, vite Ilan, une idée. J’suis venu les mains vides, c’est mal poli. Hein? Elle t’as pas invité à faire des crêpes idiot. Est-ce qu’elle va m’inviter à entrer? Je peux passer la soirée sur le palier si elle ne le fait pas.
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@Ilan Vanderbilt
jeudi 14 septembre 2022

complètement perdue, complètement à la ramasse, je me demande encore ce qui ne tourne pas rond chez moi. je suis incapable de prendre une décision que je ne regretterais pas. j'ai peur de ta venue, peur de ce qui pourrait se passer entre nous et qui risquerait de tout gâcher, de tout précipiter. d'un autre côté je suis effrayée à l'idée de rester bloquée sur Alec et de ne pas voir que mon avenir peut-être ailleurs. mais surtout je suis fatiguée de tanguer et d'avoir tout ces choix qui se bousculent dans ma tête. je voudrais que la vie soit plus simple, plus douce. avec le boulot qu'on fait, des complications et des souffrances, on en voit assez, alors pourquoi se les imposer à soi-même. je tourne en rond comme un lion en cage. termine ma dernière gorgée de whisky avant d'entendre le moteur d'une voiture se garer en bas de chez moi. quand je jette un coup d'oeil par la fenêtre, c'est toi que je vois sortir, pour te diriger d'un pas décidé vers la porte de mon immeuble. c'est le moment où je me mets à trembler. il est passionnant le corps humain, elles sont passionnantes les réactions du coeur. parce que je ne tremble jamais lors qu'une intervention où ma vie et celles de mes coéquipiers sont en dangers, quand on essuie les balles qui siffle mais je suis tétanisée à l'idée de me retrouver seule avec toi. au delà du mal être que mon ex mari me fait vivre, je suis aussi et surtout enivrée par ta présence. parce que même si toi et moi c'est terminé et que les raisons de cette rupture étaient importantes, tu laisses quand même en moi les braises d'un amour qui ne sait visiblement jamais éteint. j'ai toujours envie de toi, de tes mains sur mon corps, de ton souffle sur ma peau. et je me déteste de vouloir tout et rien à la fois.

pendant que j'essaie de chasser toutes ces pensées, je me retrouve par aller automatiquement ouvrir la porte, alors que j'entends tes pas se presser dans l'entrée. tu es là, devant chez moi, comme je l'ai parfois silencieusement imaginé. les sensations qui se mélangent à l'alcool, me font soupirer. « c'est pas grave. c'est toi que je voulais.. enfin c'était toi qui était plus important » je passe ma main sur mon visage avant de me décaler et de te laisser entrer. l'appartement est plongé dans la pénombre, la télévision comme seule source de lumière. « tu veux boire quelque chose ? » idiote. « j'ai du sans alcool » est-ce une bonne idée que moi je sois presque bourrée et que toi tu sois maître de tes moyens ? « tu sais quoi ? si tu veux du whisky sers toi » après tout je ne suis pas ta mère. et je te tourne de dos pour récupérer mon verre et m'en servir un nouveau. oubliant totalement que je suis uniquement vêtue d'un débardeur presque transparent et d'une culotte noir. quand je dis que je n'avais absolument pas prévu ton arrivée.
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@Sierra Brekker
jeudi 14 septembre 2022

Je doute que me jeter dans la gueule du loup dès la première occasion soit la meilleure idée que j’ai eu. Mais je suis fidèle à moi même à ce sujet; les coups de tête sans réfléchir c’est mon truc. C’est seulement quand c’est trop tard que je me dis que j’aurais peut-être dû réfléchir. Sierra elle a comme un pouvoir sur moi. Elle a toujours eu cet impact d’ailleurs, c’est loin d’être une nouveauté. J’aurais dû me douter que lui reparler nous mènerait forcément à ce jour. Devant la porte, qu’elle ouvre à l’instant même où je m’apprête à sonner, j’ai l’air d’un con. Parce que j’ai rappliqué à l’instant même où elle m’a donné son autorisation, parce je ne sais même pas quoi lui dire vraiment. Mais aussi parce que je suis venu en lui disant que je ne franchirais pas les limites du raisonnable. Sauf que là, en la voyant, je sais que ce challenge va être des plus compliqué. Sa phrase me fait tiquer mais je préfère ne pas y rebondir. Il faut se contenir, se canaliser, se contrôler. Elle me laisse entrer et je m’engouffre dans cette merde sans nom. Ouais parce qu’en entrant, je sais que je peux craquer à tout moment, on est bien loin du poste de police, des yeux des collègues un peu partout et de la posture professionnelle que l’on tient tous les deux. Elle est belle, c’est tout ce que je me dis alors qu’elle me parle de boire. Mon regard suit ses gestes lorsqu’elle se sert un verre de whisky. Ouais non, j’ai pas soif pour l’instant, merci. je voudrais pas provoquer une énième dispute comme on en a déjà eu auparavant sur la question de l’alcool. Je fixe la bouteille qu’elle a reposée sur la table, quelques secondes d’hésitation, mais très vite je me dis que non, c’est pas ce que je veux. J’en viendrais presque à être gêné qu’elle soit dans cet état second et pas moi. Mais c’est elle, c’est Sierra, et rien qu’elle puisse faire ne peut me déranger. J’essaye de ne pas avoir un regard trop insistant, sa tenue n’aide pas à ce qu’aucune pensée ne traverse mon esprit. Pourquoi t’as bu autant? lançais-je avec une once d’inquiétude dans la voix. Ça ne lui ressemble pas, du moins, pas à la Sierra que je connais. Ça arrive à tous d’être bourré, de trop boire quand on fait la fête. Mais boire seul, c’est déjà une autre histoire. Et c’est dire que je m’y connais sur le sujet. Alors, j’imagine bien qu’elle n’est pas dans son assiette. J’suis peut-être pas la personne à qui tu veux en parler mais.. j’aime pas te voir comme ça, t’as pas l’air bien. Au risque qu’elle m’envoie chier, je préfère jouer la carte de l’honnêteté.
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@Ilan Vanderbilt
jeudi 14 septembre 2022

une petite voix qui continue de me dire que ta venue ici n'est pas du tout une bonne idée. ma vie sentimentale est déjà actuellement un champ de bataille, et rappeler un soldat comme toi, c'est refuser la paix et chercher le conflit. à croire que j'aime le chaos, parce que mes doigts tapent rapidement sur le clavier pour t'inviter à venir me rejoindre chez moi. je sais que je n'aurais pas dû, la petite voix ne fait que me le répéter. elle me dit que c'est se compliquer les choses, que c'est prendre des risques de souffrir encore une fois, que la meilleure décision serait de reprendre mon quotidien comme à l'époque où on se croisait et qu'on se saluait à peine. sauf que cette petite voix, ce n'est pas la mienne. comme si ce que j'entendais c'était le "comportement acceptable" que je devrais m'imposer. alors que ce que mon coeur, mon corps et mes tripes appellent, c'est ta présence. j'aime toujours mon mari, même s'il m'a brisé. mais plus les heures, les jours passent à apprécier tes mots, plus je me rends compte que ce que je ressentais pour toi n'a pas totalement disparu. j'ai juste enfoui la douleur et les sentiments dans une nouvelle relation, dans mon travail. j'ai compartimenté mes émotions pour pouvoir continuer d'avancer. parce qu'être potentiellement capable de reprendre Alec dans ma vie ce n'était pas suffisant, il fallait en plus que je te laisse une porte d'entrée pour refaire partie de mon monde. et le pire, c'est qu'au moment où je vois ton visage dans l'encadrement de ma porte, je ne le regrette même pas.

je fais un signe de tête pour te signaler que tu fais ce que tu veux concernant la boisson, tu peux te servir de ce que tu veux, je m'en moque. « j'ai pas bu tant que ça » que je te réponds en me retournant face à toi, le verre entre les mains, le liquide brun qui vient immédiatement bruler ma trachée. je suis pas bourrée, je suis même pas joyeuse. je suis juste.. perdue dans mes pensées, apte à me laisser aller à faire des choix que je n'aurais jamais osé faire en étant à jeun ? « je vais bien, promis » des promesses en l'air, des mots que je ne suis pas sur de réellement mesurer. je vais mal et t'en es une partie de la cause et en même temps t'es une raison pour lesquels je tiens encore la route. « t'es venu » ouais t'es venu, t'as pas hésité et je ne sais pas si je suis réellement étonnée. « j'ai juste besoin d'évacuer parfois » comme toi, tout les soirs où t'en avais besoin.
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@Sierra Brekker
jeudi 14 septembre 2022

Qu'est-ce que je fou au milieu du salon de Sierra? A part chercher la merde, j'ai pas d'autres réponses. J'ai une part de moi qui me dit de me barrer avant que les emmerdes me tombent dessus, qu'elle m'attrape dans ses filets dont je ne saurais me défaire. Et j'ai une autre part qui me dit de foncer et de pas réfléchir aux conséquences. Bien-sûr, je préfère foncer. Je penserais demain aux conséquences. Je suis planté comme un con, juste à la regarder se servir un nouveau verre, comme si l'alcool ne l'avait pas déjà bien enivrée. Si elle veut boire, qu'elle boive. Je ne suis pas le mieux placé pour lui reprocher. Et pourtant.. quelques jours que j'ai réduis considérablement ma consommation. Comme si j'étais chez moi, je me dirige vers le réfrigérateur afin de voir si elle n'a pas autre chose à boire que du whisky. Je déplace quelques produits frais et je fini par trouver une bière. J'me permet dis-je en refermant le frigo. J'suis venu. T'en doutais ou t'as changé d'avis et tu veux me voir repartir? Quelques gorgées avalées pour me donner le courage d'être face à cette fille qui me rend fébrile et je me laisse tomber dans un fauteuil. Evacuer quoi ? Je pensais pas me retrouver avec Sierra ce soir, et encore moins à lui demander pourquoi elle avait cette envie de boire, ce besoin "d'évacuer". J'ai beau réfléchir et j'ai de rares souvenirs d'elle dans un état pareil. Les seules fois seraient peut-être sur la fin de notre relation. Quand les disputes étaient plus présentes que tout le reste. Quand les disputes rythmaient nos émotions. Chasses ces mauvais souvenirs et concentre toi sur elle Ilan. Elle fait les cent pas Sierra. Sans s'arrêter. En long, en large, en travers, elle parcours la pièce principale. Presque fatigante à regarder. Oh ! Tu veux pas te calmer et te poser deux minutes? J'aurais pu rajouter qu'elle était flippante, mais elle m'aurait sûrement giflé. Avec elle en ce moment, ses humeurs changeantes sont un risque à prendre lorsqu'on se permet de lui dire quelque chose. Je ne suis pas là pour qu'on se dispute ou qu'elle me mette à la porte. En fait, je sais pas vraiment pourquoi je suis là. Les signaux qu'elle m'envoie sont pas assez clair pour que j'arrive à les décrypter.
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@Ilan Vanderbilt
jeudi 14 septembre 2022

jouer avec le feu, c'est une passion beaucoup trop présente chez moi. être flic et flirter avec l'interdit, c'est un peu cliché non ? pourtant c'est ce que j'ai fais, en connaissance de cause quand je t'ai dis de venir me rejoindre chez moi ce soir. est-ce que je le regrette ? pas le moins du monde pour le moment. faut dire qu'on est à une distance de sécurité significative pour le moment. faudrait pas qu'un de nous deux approche l'autre de trop près. faut dire que ma tenue n'était pas non plus la mieux pensée pour ce genre de retrouvaille. j'aurais pu enfiler un pull ou mettre un pantalon. non. au lieu de ça, je me promène en culotte et débardeur transparent à la porté de tes yeux.. de tes mains.. je secoue la tête. ne pas penser à tes mains sur mon corps, ne pas penser à tes mains sur mon corps. putain mais qu'est-ce qui ne va pas chez moi. je sais pas ce que je veux, je veux un truc que je pense ne pas pouvoir avoir et au lieu de m'en éloigner je l'invite chez moi un soir où j'ai bu. je te laisse faire comme chez toi, je préfère me concentrer sur mon verre de whisky et la vue de la baie vitrée du salon. parce que si je pose mes yeux sur toi.. putain. « j'pensais pas que tu viendrais » ouais elle est là la vérité, c'est que je pensais pas que tu serais capable de te ramener jusqu'à chez moi. j'ai oublié avec qui je jouais visiblement. « évacuer la frustration » que je lâche sans trop réfléchir. les cents pas que je commence à faire, comme si marcher ça allait changer les choses. comme si avancer ça me permettrait de perdre des petits bouts de frustration en route. connerie ouais. j'use le parquet et je me calme pas. en fait me focaliser sur mon verre, me déplacer, te tourner le dos ça m'aide. « j'peux pas » que je lâche. je dois pas m'arrêter. macher, te tourner le dos, regarder mon verre. allez continue Sierra t'arrête pas, t'arrête pas.. je me tourne face à toi et je plante mes iris dans les tiennes. « j'dois pas m'arrêter » le souffle qui se fait de plus en plus lourd, qui soulève ma poitrine comme si un fil transparent faisait de moi sa marionnette. « si je m'arrête, si j'te regarde trop longtemps » je me mords la lèvre. « j'vais avoir envie de t'embrasser » que je siffle dans un dernier effort. c'est pas une bonne idée hein. avoue le Ilan.
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@Sierra Brekker
jeudi 14 septembre 2022

elle est forte sierra. particulièrement douée pour que je cède à ses caprices ou à n'importe laquelle de ses envies. je sais pas si elle le sait. je sais pas si elle le fait exprès. mais ça fonctionne bien. un claquement de doigt et je débarque. quel con. incapable de résister à son ex. pitoyable. l'énergie dépensée à essayer de l'oublier, gâché en l'espace de si peu de temps. y'a une raison à tout ça. c'est que sierra, elle a le truc que les autres n'ont pas. elle a eu mon amour, tout mon amour. j'ai jamais aimé une fille comme j'ai aimé sierra. et c'est me foutre dans la merde que de la côtoyer à nouveau. un risque qu'elle joue avec moi, qu'elle se serve de moi pour oublier son ex mari. un risque qu'elle me fasse espérer et que la chute, ma chute, soit fatale. l'issue douloureuse une fois ne m'empêche cependant pas d'y retourner. ouais non, pas du tout même puisque je suis assis au fond d'un des fauteuils de son appartement. elle pensait pas que je viendrais, c'est ça le pire, c'est qu'en fait elle le sait pas qu'elle a cette emprise sur moi. j'hausse les épaules. y'a rien à répondre, j'ai rien à dire sur le fait que je sois peut-être un putain de canard, près à tout pour la voir. elle se met à me parler de frustration, à faire des pas encore plus rapide dans la pièce, à s'angoisser et à m'angoisser par la même occasion. putain, ce qu'elle peut être compliquée et difficile à suivre parfois. je la suis du regard, sans bouger de ma place, juste mes billes qui vont de gauche à droite. elle peut pas s'arrêter qu'elle répète. ok, et donc, je suis venu pour la regarder fouler le sol. j'pense que ça me dérangerait même pas en y réfléchissant de rester là comme un con à ne faire que ça de la soirée. mes pensées se perdent quelques secondes mais je suis vite rappelé à la raison lorsque je l'entend souffler ses dernières paroles. la justification. le pourquoi du comment. merde sierra, tu fais chier. je porte la bouteille de bière à mes lèvres. sans boire, je marque un arrêt, assez long, alors qu'elle marche toujours, avec le goulot contre mes lèvres. et je crois que la leçon est comprise pour ce soir. pas d'alcool. pas cette haleine qu'elle connait, pas ces vieilles habitudes qui nous ont bouffés. je me lève, pose la bière sur la table et je fonce vers elle. elle tend le bâton pour se faire battre. une perche bien trop importante pour que je ne l'a saisisse pas. je réfléchi même pas aux conséquences ou à sa réaction. planté devant elle lorsqu'elle se retourne pour refouler la pièce dans l'autre sens, de façon à lui barrer la route, on se retrouve face à face. comme l'autre jour où on s'est revu au poste. sauf que cette fois, il n'y a rien derrière elle et qu'elle peut s'échapper. deux corps trop proches. mais son envie qu'elle a verbalisé. y'a un temps de latence et on se regarde mais aucun de nous ne bouge. j'ai eu l'impression que ça avait duré des heures, mais en réalité je crois que ça n'a duré que de minuscules secondes. allez fonce, réfléchi plus, comme tu fais toujours. je pose mes mains sur ses joues pour attraper son visage, je rapproche le mien et nos lèvres s'effleurer. timidement. comme si c'était la première fois qu'elles entraient en contact. est-ce que c'est un instant d'égarement? elle va sûrement me repousser avec violence, je l'aurais sûrement mérité. j'en sais rien là. ce que je sais, c'est que ses lèvres m'avaient manqués. qu'elles vont parfaitement avec les miennes. que leur douceur, leur goût, il m'envoute encore plus et ça me confirme que sierra, elle aura toujours cette place si particulière. malgré tout.
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@Ilan Vanderbilt
jeudi 14 septembre 2022

je me rends pas compte de l'impact que j'ai sur toi. par contre je me rends bien compte du mal qu'on pourrait se faire si on cédais à nos pulsions. t'es le premier homme dont je suis tombée amoureuse. t'es le premier que j'ai aimé de toutes mes forces jusqu'à en crever. t'es le premier pour qui j'étais prête à soulever des montagnes et t'es celui qui m'a brisé le coeur en premier. parce que te voir incapable de prendre soin de toi, te voir t'auto détruis, ça m'a complètement anéanti. j'ai fuis notre relation pour éviter de chuter avec toi, parce que j'avais plus la force de te maintenir à bout de bras. mais ne pense pas que je n'ai rien ressenti quand je t'ai dit que tout était fini. j'ai quitté celui que je pensais être l'amour de ma vie, je t'ai quitté alors que je t'aimais encore et j'ai vraiment cru que j'allais en crever Ilan. à l'heure actuelle, je me rassure encore dans le noir en me disant que j'ai fais le bon choix. alors si c'est réellement ce que j'ai fait pour moi, est-ce que ce soir, c'est encore une bonne idée de ma part de t'avoir fait venir ? j'en sais rien putain, j'arrive juste plus à réfléchir.

envahi par des tas de sentiments, de la frustration à la colère, de l'excitation à l'envie, je peine à entendre mes pensées. je galère à me raisonner. j'essaie tant bien que mal de prendre des décisions mais je suis incapable de faire autre chose que marcher pour t'éviter. je foule le parquet de mon salon en priant pour qu'une réponse, un signe apparaisse. mais rien. je sens la frustration de ne pas pouvoir perdre mon regard dans le tien, ne pas pouvoir te toucher sans te désirer si ardemment que ma peau me brûle à cet instant. et alors que j'entame un 16 ème retour dans mon salon, t'as quitté ton fauteuil pour venir te foutre sur mon chemin, m'empêcher d'avancer. t'es là debout, tu me bloques le passage. ouais je pourrais te contourner, mais ça voudrait dire quitter tes yeux, m'éloigner de ton corps et j'en suis incapable. est-ce que tu as seulement conscience de l'impact que tu as sur moi toi aussi ? est-ce que tu sais seulement à quel point je te désire et tout ce que tu me fais ressentir ? c'est tellement fort que quand tu viens poser tes mains sur mon visage, je te repousse pas. je ferme les yeux et je laisse tes lèvres frôler les miennes. je veux que ce moment ne s'arrête jamais. ma poitrine qui se soulève encore une fois, poussée par ma respiration qui se saccade, malgré moi. tu me fais perdre mon souffle putain. je crois qu'à cet instant, j'ai complètement oublié les pour ou contre de la situation. j'ai complètement zappé que quelques secondes auparavant je pensais que j'aurais jamais dû te dire de venir. t'es là et c'est tout ce qui me fait vibrer. nos lèvres qui se séparent. je pourrais saisir l'occasion et me décoller de toi. mais non. si ton addiction c'est l'alcool, la mienne c'est ta bouche. « embrasse moi encore. plus fort » que je souffle entre tes lèvres, avant de venir glisser ma langue jusqu'à la tienne, mes mains attrapent tes hanches, se glissent dans ton dos et t'attire contre moi.
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@Sierra Brekker
jeudi 14 septembre 2022

courir des risques, j’adore ça. je suis pas rentré dans la police pour rien d’ailleurs. en ce moment le seul que j’encours c’est d’avoir été chez elle. celle qui sait comment tout faire avec moi. tout faire de moi. elle est belle sierra, intelligente, inspirante, et courageuse. elle me fait tourner la tête, rien qu’avec un regard échangé. elle sait ce qu’elle veut en général sierra, sauf avec moi. je crois qu’on s’est aimé autant qu’on s’est détruit. rien de sain sur la fin de notre relation. et pourtant, malgré que je sache tout ça, je fonce dans le tas. parce que c’est sierra et qu’elle m’attire inexplicablement. j’avais éteint la boîte à sentiments. refoulé la moindre chose à son égard. je voulais juste plus penser à elle, plus penser à nous. mais là voilà revenue dans ma vie. et la voilà devant moi. enfin non, me voilà devant elle. je me permet de faire ce que je n’aurais pas pensé. ses lèvres, les miennes, un mélange parfait. une perfection à laquelle je n’avais plus songé depuis longtemps. j’avais oublié cette sensation. et puis, l’embrasser elle ne me donne pas la même sensation qu’en embrasser une autre. j’attendais qu’elle me repousse, qu’elle me gifle, qu’elle regrette instantanément de m’avoir dit avait envie de m’embrasser mais au lieu de ça elle m’en demandait encore, plus fort. nos langues se mêlent, s’apprivoisent sans problème. une routine qui reprenait. un rouage bien connu. on oublie pas ce genre de choses, la mémoire des corps. j’entoure son corps de mes bras pour la presser un peu plus contre moi. putain elle m’a manqué. bien plus que je ne le pensais. j’ai envie d’elle. là tout de suite, histoire de ne pas regretter. je veux pas que ça traine, je veux pas qu’elle me dise non, qu’elle soit prise par élan de raison qui lui dirait de me refouler. s’il te plait sierra, fais pas ça, laisse moi parcourir ton corps de mille baisers, sentir ta peau chaude contre la mienne, admirer chaque parcelle de toi, comme avant. amer goût de nostalgie.
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@Ilan Vanderbilt
jeudi 14 septembre 2022

appelle-moi Icare, parce que je suis à deux doigts de me bruler les ailes. je sens la chaleur qui s'insinue dans ma veines, cours sur ma peau et pénètre chaque pore de mon derme. je suis un vrai brasier, brûle de l'intérieur pour un désir qui ne s'est jamais éteint. il était là, dormant, comme un volcan qui menace de se réveiller à tout moment. et envoyer ce message il y a trois semaines, c'était sûrement pas ma meilleure idée. deux ans que je réussissais à te tenir à l'écart de mes pensées. trop occupée avec le boulot, mon changement d'unité, passer de l'anti gang à la meilleure unité de la police : les renseignements c'est pas rien. je devais aussi gérer mon mariage puis ma séparation. toujours en mouvement pour éviter d'oublier mon premier amour. parce que te voir au commissariat c'était pas une partie de plaisir Ilan. si au débit on s'évitait et qu'après c'est devenu plus facile de collaborer, c'était toujours compliqué pour moi d'être à tes côtés. parce que ton odeur elle me renvoie des milliers de souvenirs dans les gueules. les bons, ceux où on s'aimait à en crever, où chaque regard, chaque sourire valait tout les je t'aime du monde. mais les mauvais aussi, les hurlements, les disputes, les verres brisés comme les morceaux de notre histoire. être avec toi ce soir dans la même pièce, ça me rappelle pourquoi j'ai toujours cherché à t'éviter : parce que tu me fais ressentir des trucs complètement insensé. t'attise un désir incontrôlable en moi, à chaque fois que tu t'approches de moi, mon coeur s'emballe et je suis inextricablement attirée par toi, par tout ce que tu dégages. un mélange d'innocence et de pureté, la douceur d'un agneau, le regard d'un petit chiot. et en un claquement de doigt tu t'assombris, tu deviens dangereux, tu dégages un truc presque sexuelle qui me donne chaud.

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