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just gonna stand there and watch me burn × Lali

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just gonna stand there and watch me burn ★ ─
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« Pourquoi vous ne laissez jamais les autres apercevoir vos bons côtés Monsieur Hawthorne ? » Un profond silence répondit à la question du thérapeute. En effet Théodore, pourquoi les seuls aspects de ta personnalité que tu daignes montrer ne sont que les pires ? À nouveau, la séance ne s’était pas dirigée vers… l’évènement mais plutôt sur tes dernières prouesses sociales. Ces vacances n’avaient été qu’une suite ininterrompue de soirées dûment alcoolisées, de rencontres sans lendemain et de bagarres idiotes. Elle n’était pas présente. Pas une seule fois tu n’avais croisé son regard ou même entendu son prénom. Bien sûr, ta réputation de sale enfoiré ne s’était pas arrangée à croire qu’elle ne prenait même plus la peine de prononcer ton prénom, mais ce bien sympathique sobriquet. Apparemment, elle n’était pas sur le campus. Où était-elle ? Chez sa famille ? En vacances sur une plage idyllique ? Avec qui ? L’idée même qu’elle puisse être en compagnie de quelqu’un autre que ta singulière personne Théodore te faisait durement serrer la mâchoire. Bien sûr, tu aurais pu questionner vos ami.e.s pour obtenir des informations. Pourquoi ne pas l’avoir fait ? L’orgueil. La lâcheté. Il est toujours préférable d’ignorer le pire non ? Elle ne restera pas seule toute sa vie et quelle meilleure période que l’été pour s’adonner aux plaisirs de l’existence ? Tes phalanges ecchymosées et blanchies par la colère, le thérapeute attend patiemment une réponse. Il te fixe du regard et tu finis enfin par bredouiller une réponse. « J’imagine que je ne veux plus décevoir les autres. » Tu passes ta main dans ta nuque, gêné par ton honnêteté. « Quand les autres voient mes bonnes facettes, ils se créent des attentes. Que je fasse les choses correctement. J’en suis incapable et je ne veux plus me sentir dans l’obligation de me montrer à la hauteur de leurs espoirs. C’est plus simple ainsi. » Pourquoi répondre à leurs attentes quand tu n’as même pas su répondre aux siennes ? La masse d’individus t’indiffère complètement, ton être entier n’appelle qu’elle. Tu l’attends et chaque journée où tu patientes en vain devient une journée supplémentaire qu’elle passera loin de toi. Stupide ironie. La séance tournait en fond sonore, comme le grésillement d’une radio mal réglée tandis que tu pensais encore et toujours à Lali. Lali. Lali. Lali. Comme une boucle infinie dont il est impossible de s’échapper. Tu étais perdu et elle a disparu. Elle a tout emporté sur son passage, ne laissant derrière elle que son absence. Son amère absence. Lali. Lali. Lali. D’une plaie béante dans ta poitrine s’écoule un goudron nauséabond infectant les moindres parcelles de ton être. Tu souffres encore et toujours. Depuis cette fameuse nuit du bal de promo, depuis ta tromperie, depuis la rupture. « Au revoir Monsieur Hawthorne. Nous nous revoyons bientôt. Faites attention à vous » La fin de la séance enfin… Dans ta poche, ton téléphone ne cesse de vibrer. Tu t’enfuis du cabinet sans un regard en arrière, ravi de quitter ce bureau des tortures. Plusieurs messages t’informent qu’une soirée est organisée à son adresse. C’est une mauvaise idée, très mauvaise idée que tu y ailles Théodore. Affreuse idée. Et là est le pire n’est-ce pas ? Savoir qu’elle est si proche, de retour, que tu vas enfin pouvoir l’apercevoir mais également savoir que ta présence n’est pas désirée et pas désirable... Un sourire narquois vient se dessiner sur ton visage. Peu importe, tu iras à cette soirée.

Après un rapide passage à la résidence des Adams, tu te présentes devant chez elle. La musique s’échappe allégrement des fenêtres ouvertes, diverses personnes discutent à l’extérieur. Discrètement, tu te faufiles à l’extérieur. Tes cheveux sont encore humides de ta douche et tu recherches sa chevelure blonde dans la foule. Rien. Théodore, ne soit pas impatient, il est certain qu’elle est présente. Un verre de bière à la main, tu t’adosses à un mur regardant tous ses gens heureux de se retrouver. Sont-iels tous ami.e.s avec elle ou les étudiant.e.s se sont-iels tous inviter à la soirée comme toi ? Tu souris derrière la fumée de cigarette alors qu’une femme rencontrée durant l’été s’approche pour discuter avec toi. Tu t’enivres lentement et les minutes passent. Loin d’oublier l’objectif de la soirée, tu rentres néanmoins petit à petit dans le jeu de ta partenaire. La fête bat son plein, le volume de la musique augmente et vous vous rapprochez pour mieux vous entendre. Tu cherches à comprendre ce qu’elle fait ici, connaît-elle Lali ? Votre petit théâtre doit bien ressembler à une scénette de séduction pour les spectateurs extérieurs néanmoins derrière tes sourires se cachent uniquement ton désir de prendre des nouvelles de Lali et non pas cette pâle figure qui te touche le bras et mordille ses lèvres… Non tu ne vois pas tous les signaux qu’elle t’envoie, non. « Lali ? Non je ne connais pas Lali, je suis venue avec des amis. » L’intérêt que tu éprouves pour la demoiselle s’évanouit aussitôt. Elle n’est qu’une perte de temps. « Excuse-moi, je vais chercher à boire. Tu veux quelque chose ? » Il n’existe aucun meilleur moyen pour s’extirper d’une conversation ennuyeuse en soirée. Elle sourit, se rapproche de ton visage pour te chuchoter « Tu pourrais me servir un verre et me rejoindre dehors ? Je t’attends » Tu hoches la tête distraitement en t’échappant en direction de la cuisine. Où pouvait bien se trouver ta meilleure amie ? Elle au moins aurait pu aider. Elle aurait compris… Tes pensées se bousculent alors que tu rempli les deux verres par automatisme. Théodore, ton agacement est une nébuleuse émanant de toi plus puissamment que l’eau de Cologne de la plupart des étudiants en ruts ne cherchant qu’une personne à mettre dans leur lit de toute urgence. Nauséabond. Tu redresses ta tête, les deux verres enfin servis quand enfin tu croises son regard. Lali.


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w/ @Théodore Hawthorne

Elle est enfin de retour à Boston. Ça lui avait fait un grand bien la SC, même si elle n'avait pas été une très bonne candidate. Lali doit encore une fois de prendre son courage à 2 mains pour suivre une thérapie de groupe. Elle écoute les personnes autour d'elle qui raconte leurs histoires. Légèrement similaires à la sienne. Une overdose qui a failli lui coûter la vie. Parfois, elle aurait aimé ne pas se réveiller, mais sa mère est arrivée à temps. Surtout ce n'était pas volontaire. Elle en avait marre d'entendre la même chose, mais c'est la seule façon de ne pas replonger dans ses vieux démons. Lali. Dit le formateur. Elle n'avait pas le choix de parler de cette histoire. Ça va fait deux ans. Je me dis au fond de moi que j'aimerais bien me mettre minable pour oublier les cicatrices de mon passé… Je sais que c'est mal… Mais je tiens le coup. Des paroles très rudes pour la blonde, mais c'est la vérité. Est-ce qu'un jour, elle passera à l'action ? Seul l'avenir le dira. C'est à cet instant qu'elle se dit qu'elle ne doit pas ruiner son bronzage de fin de vacances… Elle doit organiser une fête dans la demeure de ses parents. Lali avait pris la peine de déménager auprès de ses copines. Elle sort de sa séance avant d'appeler ses parents pour avoir leur accord. Pour une fois, qu'elle demande une faveur. Ils acceptent vu qu'ils doivent partir sur New-York pour les affaires. Un sourire se dessine sur le visage de Lili comme si elle avait réussi un pari vu que leur relation est compliqué. Elle envoie un message à tous ses contacts afin de prévenir de la fête sauf à Théodore. C'est sûr qu'elle ne veut pas l'inviter même s'il fait partie de la même bande d'amis. Après ce qui sait passer, il n'est pas la personne qu'elle aimerait voir à sa soirée. Pourtant, au fond d'elle-même, Lala sait qu'il est le seul à prendre son cœur. Il ne faut pas oublier, il est l'enfoiré qui l'a trompé avec une inconnue. Elle ne pourra jamais lui pardonner. Même s'il lui dit quelque chose à ce sujet, elle l'enverrait balader une bonne foi. Au cas où, elle enfile une robe noire sexy pour qu'il la remarque… Elle adore le mener en bateau… Parfois ça marche, parfois ce n'est pas le cas. Cependant, elle voudrait tellement tourner cette page. Il est vraiment dans sa peau… Mais il fait ressortir le pire en elle. La blonde ne sera jamais heureuse dans ses bras vu qu'il l'a fait souffrir.

Elle attend tranquillement que les invités arrivent… Très vite la maison est remplie comme si c'était projet x. Pourtant, ce n'est qu'une soirée, rien d'autre. La plupart des personnes, Lali n'a pas le souvenir de les avoir dans sa liste d'amis. Sûrement des gens ont parlé de ce qui était en train d'arriver. D'un coup tant mieux, mais d'un autre non vu qu'elle ne veut pas Théo. Elle regarde ses amis qui lui font un sourire. Elle est tellement heureuse de pouvoir enfin revivre vu que ce soir qu'elle va enfin tirer un trait sur sa relation avec monsieur qui occupe ses pensées jour et nuit. La honte après bientôt 7 ans après que celle-ci lui annonce qu'elle ne veut plus l'avoir dans sa vie. Normal, il sait jeter sur la 1ère venue dans son lit. Une douleur qu'elle n'oubliera jamais. Un verre à la main, entourée de garçons plutôt séduisants, elle oublie un peu le monde autour. Elle avait un beau sourire sur le visage quand celui disparaît en une fraction de secondes. Ses yeux clairs croisent ceux de celui qu'elle n'avait pas envie de voir. Elle sert la mâchoire vu qu'elle sent la colère l'envahir d'une façon qu'elle avait l'habitude. Qui l'a invité ? Elle regarde une amie avant de se diriger vers lui surtout qu'elle avait bien vu les verres dans ses mains. Dégage de chez mes parents… Pas des mots tendres pour la jolie demoiselle, mais bon, c'est son habitude quand elle doit dire quelque chose, elle préfère ne pas passer par 4 chemins, ça sort directement. La preuve, Alexei en avait fait les frais quand elle l'avait vue à une séance pour la consommation de drogue. Un gobelet de café dans la figure pour avoir trompé Olivia avec un homme. Lali ne supporte pas l'infidélité vu son parcours chaotique au niveau de sa vue sentimentale. Même si parfois, elle profite de la vie, ce n'est pas pour autant qu'elle ne rêve pas d'avoir un prince charmant à ses côtés. Romantique ? Non, réalise sur les personnes qui ne méritent pas d'avoir sur pardon Théodore en fait partie… C'est la plus grosse déception de sa vie, mais aussi la plus douloureuse.un regard noir s'installe chez la jeune West pour faire comprendre qu'il doit partir au plus vite.


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Il n’existe pas de petites souffrances. Non, toutes les myriades de la palette demeurent de la souffrance. Volcanique, à l’état pur, tordant et arrachant les entrailles du malheureux. Il est en de même pour les instruments de cette dite souffrance. Un large éventail s’ouvre, alignant sagement de la petite entaille au coup de marteau asséner sur un crâne, d’une vilaine réplique à l’absurde cercle autodestructeur. La torture est un art raffiné se déclinant infiniment. Une poignée d’individus en savourent les moindres aspects et Théodore, tu te révèles être particulièrement doué dans le domaine. Tu t’amuses allégrement à détruire chaque parcelle de ta personne. Défoncer, encore et toujours, les cellules de ta chaire par un abus volontaire de la boisson, par de violentes bagarres marquant ton corps, encore. Et encore. Tes phalanges gardent les marques bleutées de ta dernière rixe. Une côte douloureuse rappelle à ton souvenir cet instant. Une punition. C’est un délice bien étrange que tu te gardes de partager aux autres. La haine dans son regard est un supplice bien plus puissant que tout autre. Ton poing se fracturant sur une mâchoire ? Une simple caresse. Les souvenirs ? Une simple mélodie. Rien ne pourrait surpasser à cet instant sa colère et son dégoût à ton égard. Est-ce ceci que tu recherchais tant en venant ici Théodore ? Idiot. Le désespoir sourit ce soir, se nourrissant de ton esprit tordu… Pourquoi céder au chagrin si facilement quand il est possible de garder le poids de tant de rancœur près de soi ? Au chaud, au plus près de la tombe béante creusée à la place du cœur. L’amour est un drôle objet de torture, il offre tant de joies avant de devenir létal. Il ronge l’être, grignotant les organes vivants et ne laissant qu’un cimetière. La terre fraiche attendant désespérément d’être remplie. Théodore, tu cherches continuellement à combler le vide. La demoiselle attendant son verre dehors est une preuve criante de ta douleur, mais bien sûr, personne ne constate. Non, tu parais pour un affreux salop la gueule grande ouverte, se gavant des fruits de l’existence. Tu ne cèdes jamais face à la facilité, c’est la magie des âmes foutues en l’air, inversé. Quand il te faudrait éclater de rire, les larmes brûlent tes yeux et quand tu es triste… Tu l’as haïe quand tu aurais dû l’aimer plus fort encore mais tu n’as jamais été particulièrement courageux sur le plan sentimental. Un sourire narquois vient se dessiner sur ton visage. « Qui l'a invité ? » Elle fulmine, le bruit de ses talons s’écrasant sur le parquet. Étrangement, la musique est un bruit sourd qui ne t’atteint plus. Sa seule présence occupe tout l’espace, tout ton monde. Elle s’approche rapidement, venant te confronter. « Dégage de chez mes parents… » Ton sourire s’élargit alors que tu oses replacer une mèche de ses adorables cheveux blonds derrière son oreille, tes verres patientant sur la table. Peu importe sa dureté, tu as besoin de son regard. Comment est-il possible d’atteindre ce stade de dépendance ? Comment est-il possible que tu joues si bien le rôle du parfait connard ? Provocation, toujours la provocation. « Bonsoir. J’ai souvenir de meilleur accueil de ta part… Je suis un peu déçu » Tu récupères les deux verres, connaissant bien la capacité de Lali de te les envoyer au visage. Il serait dommage de salir tes vêtements alors qu’une demoiselle patiente gentiment. À vrai dire, tu préfèrerais une gifle. Ton corps réclame avidement un contact avec sa peau, et ce peu importe la nature de ce contact. Sentir sa douceur, même dans un brusque élan de rage, est un plaisir précieux. « Je suis navré mais je ne compte pas partir immédiatement, vois-tu je suis attendu. » Tu recules de deux pas à regret, ne quittant pas ton atroce sourire et te permettant même un clin d’œil. Au loin, tu remarques justement la personne t’attendant. Tu lui fais un signe de la tête avant de la rejoindre. « Je te remercie pour la soirée Lili, elle s’annonce particulièrement… Mouvementée ? »


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La souffrance, La colère, l'envie… Ne sont pas les meilleurs sentiments au monde. Pourtant, Lali avait envie de croire que tout pouvait s'arranger entre eux. Comment ? Vu qu'ils ne sont plus très proches depuis cette histoire qui a brisé le cœur de la blonde en plusieurs morceaux. Elle avait parlé à beaucoup de monde pour connaître leurs avis. Puis, elle s'est sentie tellement nul qu'elle est tombée dans la drogue. Mauvais dosage et direction l'hôpital. Une période tragique qu'elle n'arrive pas à oublié sachant que c'est parfois compliqué pour elle. Ne pas tomber dans la tentation, la spirale infernale. Suivre des thérapies lui fait un bien fou, cependant elle sait très bien qu'elle peut replonger. Surtout qu'une seule personne peut la rendre minable… Lui. Organisé cette fête lui fait le plus grand bien, mais est-ce que c'est le moyen qu'elle avait trouvé pour le voir. Impossible vu qu'elle ne l'avait pas invité, sauf si leurs amis avaient mis la barre très haut. Sa punition pour t'avoir dit des choses pour ensuite partir dans les draps d'une autre. Lali voulait oublier cette histoire pour enfin avancer dans les bras d'un autre, mais à chaque fois, il est là pour mettre le bordel dans sa tête. Comme s'il avait un pouvoir puissant sur elle. La blonde sait qu'il s'en fiche, que c'est juste le moyen de la rendre folle. Elle devrait se dire que ses souvenirs avec Théo sont plus que de l'histoire ancienne. Elle s'accroche pourtant, normal au fond, elle l'aime encore. C'est vrai qu'elle ne le montre pas par peur de se faire une nouvelle fois brisé le cœur. C'est pour cette raison qu'elle est parfois la pire de salope avec lui. Elle lui crache son venin en pleine figure pour lui faire de la peine. De temps en temps, ça marche. Lorsque son regard croise les siens. Elle devient très glaciale en imaginant la scène dans sa tête. On peut voir la haine que se dessine lentement sur le visage de la jeune femme. Comme si c'était devenu l'un de ce moment préféré. Lui dire ses quatre vérités en face à face. C'est sûrement la seule chose qu'elle trouve afin de pouvoir passer un instant en sa compagnie. Lali avait tellement verser des larmes pour lui… Elle ne peut pas dire qu'elle n'y pense pas encore, cela serait faux. Elle revoit la fille venir lui dire la vérité. Cette triste vérité, qui rend aujourd'hui Lili dans une noirceur que personne ne peut imaginer. Même lui, Théodore, ne comprendrait pas sa peine. Surtout qu'elle avait bien vu le 2ème verre dans les mains de celui-ci. Ce qui la rend jalouse. Directement, elle regarde une amie présente pour lui demander pourquoi il était là… À ses yeux, il n'avait pas le droit. Le bruit de ses talons sur le sol quand elle s'approche de lui. Elle doit être forte comme elle le fait d'habitude, mais c'est parfois la colère qui prend le dessus. Elle ne lui offre même pas un bonjour… Logique, il ne le mérite pas. Notamment ça l'énerve de voir son sourire idiot sur son visage. Elle avait envie lui en mettre une. Surtout qu'il ose déplacer une mèche dernière son oreille. Elle sert les dents dans sa mâchoire. Même si son cœur bat très fort lors de ce geste. Essentiellement qu'il joue de la provocation. Une provocation qu'elle adore. Complément sado la petite Lali. Pourquoi tu le mérites peut-être ? Dans les souvenirs, tu n'es qu'un abruti. Elle lui offre à son tour un sourire narquois sur son visage de princesse. Qui est loin d'être un ange. Il prend ses verres dans ses mains. Ce qui donne envie de faire rire la blonde. C'est vrai, la dernière fois, elle avait balancé son verre à la figure d'Alexei, mais c'était pour défendre son amie Olivia. Elle installe les bras contre sa poitrine en le regardant de la tête aux pieds. Va te faire foutre Théodore… Des mots brutaux qui sortent de sa bouche. Surtout qu'elle regarde du coin de l'œil cette pouffiasse qui avait pris l'avantage sur elle. Lali est furieuse vu qu'il préfère la compagnie de cette fille que plutôt la sienne. Je t'en prie… Dit-elle froidement. Elle regarde autour d'elle si elle va pouvoir faire de même avec un garçon. Elle avait besoin d'oublier que cet enfoiré est chez ses parents durant sa fête. À ce moment précis, elle avait envie d'aller éclater la figure de cette pauvre innocente jeune femme, mais au lieu de ça elle décide de le rendre jaloux. Enfin si ça marche bien sûr. C'est là que ses yeux clairs remarque un jeune homme charmant. Elle va prendre son verre en se dirigeant vers lui pour lui faire la conversation. Que le jeu commence même si au fond beaucoup savent que Lali voudrait que lui. Un peu fou quand on y pense. Elle ne veut pas lui dire car elle sait que c'est perdu d'avance ce qui lui fait la peine chaque jours.


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Ses cheveux sont d’une douceur effroyable, Théodore, mortifiant ta chair. Ils brillent légèrement sous la douce lumière de la cuisine, fil d’Arianne glissant dans ta paume pour mieux t’abandonner au cœur de la tempête. Il suffirait certainement d’un geste, d’une parole sincère pour que ton calvaire cesse. Cependant, tu les replaces rapidement derrière son oreille, suspendant ici toute opportunité de salvation. La haine vibre dans son regard et sa mâchoire se serre durement. Sa colère t’atteint comme une onde, pulvérisant les moindres espoirs essayant d’atteindre ton cœur. Non, aucune échappatoire dans ton labyrinthe et tu attends sagement que le minotaure te dévore entièrement. Tu supplierais presque que sa venue soit rapide, que l’attente insupportable cesse… Mais il ne vient pas non, tes lamentations ne l’attendrissent pas et tu es condamné à participer vainement à votre destruction. Ces échanges meurtriers sont les dernières miettes de relation qu’il est possible d’entretenir, et tu te joues de ces miettes, profitant des maigres mots qu’elle accepte de t’adresser. « Pourquoi tu le mérites peut-être ? » Seuls tes souvenirs entretiennent encore le lien vous unissant et son poison tente inlassablement de les rompre. Tu brûles intérieurement de la saisir d’une vérité, de presser son corps contre le tien mais les excuses sont douloureuses. Elles restent bloquées au fond de ta gorge. La blessure secrète fait saigner ton cœur, corrompu jusqu’à la moelle, un rire t’échappe face à sa colère. Son sourire narquois reste un sourire qui n’appartient qu’à toi. L’amour est un tyran exerçant son pouvoir sur les vestiges d’un empire construit de vos mains, ici même où vous vous êtes embrassés, où vous avez ris en fouillant après quelques snacks à grignoter devant un film, où tu es venu la conduire au bal… Le bal. Les images tendres sont anéanties par cet instant. Le bal. Apothéose de votre relation balayée d’un revers de la main par des secrets honteux, par une violence inattendue. Impossible. « Tout n’est pas une question de mérite. » Tu prends les deux verres avant de subir un assaut courroucé, reculant de quelques pas en direction de ton divertissement nocturne. Son regard te scrute, voit-t-elle les ecchymoses sur tes phalanges ? Devine-t-elle les multiples blessures cachées sous ta chemise ? Elle serre ses bras contre sa poitrine, se refermant définitivement de tout contact, éloignant ton désir de gifle bien loin. Dommage Théodore, l’insulte de ta présence aurait mérité ce contact. « Va te faire foutre Théodore… » Tu hoches la tête goguenard alors que tu vois ses iris noisettes dévisagées au loin la femme qui t’attend. Tu lui offres un clin d’œil, provocation ultime à sa colère maintenant que tes mains sont prises. Les mots du thérapeute résonnent encore dans ton esprit… Pourquoi ne jamais laisser les autres apercevoir les bons côtés de ta personnalité ? Pourquoi Théodore ? Pour ces instants de perdition ultime, lorsque tes actions mordent ta chaire de la plus douloureuse des manières, quand tu déchires ton être entier. Pour souffrir encore et encore, pour goûter la punition que tu mérites. « C’est mal me connaître. C’est elle…» Tu désignes la femme patientant d’un mouvement du menton avant de reprendre ta phrase. «…Qui va se faire foutre ce soir. Promis, j’essayerais de ne rien faire dans ta chambre. » Subtile allusion mensongère, jamais tu n’oserais souiller le sanctuaire de sa chambre par ton odieuse présence. Tu le sais Théodore, tu t’amuses simplement à la torturer pour qu’elle te retienne, pour qu’elle continue à te cracher sa haine au visage, pour qu’un instant de plus tu puisses plonger ton regard dans le sien, même si ce n’est que pour y lire du dégoût et de la colère. Que son attention soit encore sur toi ne serait-ce qu’une seconde. Tu t’éloignes déjà lorsque tu entends ses derniers mots amplis de froideur et tu rejoins ta compagnie, badinant gentiment avec elle alors que Lali occupe chacune de tes pensées. Sa main sur ton bras n’éveille pas le moindre frisson, pas une once de désir. Du coin de l’œil, la blonde plaisante avec un autre et le démon de la jalousie obscurci tes pensées. Jalousie, jalousie… Elle détruit ce qui tu es incapable d’offrir. Triste et misérable soirée, plein de chagrin et de malheur, animé uniquement par vos jeux puérils. Son rire te parvient, non. Le regard enflammé d’un pauvre type, son sourire carnassier… Insensé. Il transpire le désire. Jalousie, jalousie… Tu t’insupporte mais absence de réflexion tu abandonnes sans un mot ta compagnie pour.. Pourquoi Théodore ? Empêcher son bonheur est ta dernière consolation et sans prévenir ta main gauche saisie l’épaule de son prétendant et ton poing droit s’abat sur son visage. Phalange douloureuse mais tu réclames plus et tu frappes encore. Et encore.


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