les pas qui s’enchaînent, chemin tout tracé, comme un besoin vitale de te retrouver. comme une envie pressante qui s’installe dans le myocarde encore bouillonnant des derniers textos avec soenn. l’envie d’oublier, de plonger dans le vide comme à chaque fois quand c’est toi. j’sais que tu sauras faire, que tu pourras tout faire taire. peu importe comment, tu t’y prends que trop bien. toi, le démon de mes nuits sombres, toi ce vide immense dans lequel je me sens foutrement bien parfois. alors dis moi que t’es là scott, quand les phalanges tapent à ta porte. dis moi que tu vas ouvrir dans la seconde, que tu voudras salement te perdre dans mes décombres. - ouvre putain.. soufflé comme un supplice. comme un début d’adieu quand la poignée se met à trembler. entraîne moi dans le fond, dans ce monde qu’on a construit toi et moi.
@scott guerin
(Lena Castiglia)