Les originescocktail juteux, divin mélange entre le maroc du côté maternelle et l'allemagne relevé d'une amertume de serbie pour ton paternel. le faciès qui divague de ton nom de famille, tu connais ce regard étonné d'un policier en contrôle de papier.
feat. EMILIO SAKRAYA
un 30 mars 1997, dans une clinique du bronx à new york.
les papiers américains seulement.
bisexuel, sans jamais véritablement s'être posé de questions. maintenant en couple avec @adrian goldberg.
t'as rejoint les rangs en septembre 2019, et maintenant t'es en troisième année en science de l'éducation.
l'enfant des quartiers qui a passé plusieurs soirées sans manger devenu garçon d'une élite avant inatteignable.
Le caractère
tu es le feu, flamme qui t'animent constamment. gamin turbulent devenu adulte colérique, parfois violent. personne ne sait te contrôler, pas même toi. lion en cage, indomptable, on en peut t'enfermer sans conséquences. tu frappes, tu hurles, tu bouges dans tous les sens. loin d'être un type canalisé. déterminé, sans jamais te soucier des conséquences. totalement irréfléchis et spontané, combien de voiture brulée par simple mental breakdown ? combien de flic insulté par simple haine de l'injustice ? incapable de refuser n'importe quels défis lancer, compétiteur dans l'âme. tu veux être le meilleur, gagner, constamment triompher dans ce que tu engages, égo mal placé. pourtant fauxhumble, selon les circonstances. tu sais avouer ta défaite pour mieux exceller par la suite. tu n'abandonnes pas, borné par tes convictions et tes valeurs, persévérant. tu défends tes pensées, tu n'aimes pas qu'on te contredise, têtu. sans passer par plusieurs chemins, la diplomatie n'est pas ton fort, franc, dans l'extrême. parfois même vulgaire, sans te soucier des conséquences ou des apparences. leader né, tu n'aimes pas suivre, tu es charismatique. chef de bande. amoureux de l'aventure, tu aimes explorer différentes contrées. curieux absolu, tout t'intéresses sans exceptions. selon toi, tout peut être intéressant, tolérant. malgré ton insolence, vulgarité, tu as ton jardin secret rempli de fragilité. souvent qualifié d'une sorte de robin des bois, tu aides les autres à trop souvent d'en écraser toi même. tu t'attires les emmerdes, continuellement. tu as peut être parfois trop confiance en toi. tu adores ces rapports de forces entre colère et passion. depuis gamin, habituée à vivre dans ton indépendance et autonomie, type qui ne demandera jamais rien à personne, l'habitude de déranger. artiste dans l'âme. tu peins, dessines, gribouilles sur tes carnets des montagnes de traits noirs sans parfois aucuns sens. tu chantes, tu sais jouer de la guitare. schémas chaotiques dans ton crâne que tu retransmet de ton âme.
Les anecdotes
(naissance) né dans une clinique de la grosse pomme en 1997, deux parents aimants. un père allemand/serbe et une mère marocaine/américaine. coup de foudre absolus dont tu es le fruit inespéré. grossesse et accouchement compliqué, elle n'a jamais pu retomber enceinte après toi. loin d'être né la cuillère en or entre les dents financièrement, pourtant, comblé d'amour depuis tes premiers cris.
(décès paternel) [2004] tu te souviens des cris qui ont donnés de leurs échos dans tout le quartier. elle a perdu sa moitié dans un accident de voiture. ton père est mort ce jour la sans jamais revenir du travail, laissant une femme à jamais inconsolable et son fils devenu adulte bien trop tôt. la douleur de ta mère est resté gravé comme un marker indélébile dans une gravure sur bois.
(pauvreté) elle était seule à subvenir à vos besoins pendant des années. longues années d'infortunes, où la faim se faisait sentir quelques soirs, où le chauffage manquait dans ta chambre et où les mains de ta mère était asséchée par le travail. tu mentais, parfois, prétextant avoir mangé ton assiette à ta faim, pour la voir manger, elle, ton héroïne. gamin qui a grandit trop vite, tu rentrais seul de l'école à ton jeune âge, tu faisais à manger en tentant de ne rien bruler de tes mains d'enfant, tu faisais les lessives en oubliant trop souvent de mettre la poudre comme un grand. tu voulais l'aider, la soulager de ses multiples travails incessants, fatiguants.
(cancer) [2009] rien ne s'est arrangé quand elle l'a découvert lors d'un examen de routine dans un dispensaire. cancer du seins en stade trop avancé pour tenter de lutter. elle ne te l'a jamais dit d'elle même, tu l'as découvert toi même dans ses papiers oubliés. ce rôle de chef de famille endossé, tu l'as obligé plus d'une fois à aller consulter, tenter des soins palliatifs pour la soulager. l'argent continuait de partir quand les salaires se faisaient moins fréquents. magouilleur par défaut, la rue t'a appris à voler, conserves et quelques billets dans les poches mal fermées. livreur de journaux, quelques billets pour aider les voisins : tu prenais tout ce que tu pouvais.
(stryder) [2011] elle déniche un travail dans l'entreprise stryder, couple touché par cette femme rencontrée par hasard au détour d'une rue, tombée de fatigue. ils lui ont offert une place facile d'accès pour son corps meurtris par ce cancer foudroyant. d'abord de la méfiance, puis de l'apaisement. tu voyais son sourire sur ses lèvres quand elle parlait avec ces gens. compréhensifs, avec elle, avec toi. inhabituel, pourtant agréable. elle leur faisait confiance. elle décède en 2011, dans son sommeil. garçon perdu, finalement rattrapé dans les filets des stryder qui ont décidés de t'adopter, toi. évènements qui s'enchainent. gamin des rues qui se retrouve dans les rangs d'une famille aux billets faciles. pourtant tu continues tes magouilles, les habitudes qui reprennent le dessus, tu continues de voler parfois, dealer quand tu peux. tu sais d'où tu viens, gravé en toi au fer rouge. @Haley Stryder est ta cousine par adoption.
(demi-frère) elle le savait, elle sentait son corps s'éteindre. quelques jours avant de rendre l'âme, elle ta donné cette boite avec pour seule consigne de l'ouvrir une fois qu'elle ne serait plus là. plusieurs mois qui s'estompent avant d'oser ouvrir le loquet de la boite de bois vieillis. des papiers accumulés, des lettres échangées. tu découvres que tu as un demi-frère. il t'a adressé cette lettre, traits rédigés de sa main te suppliant de le retrouver, il n'a jamais eu le courage de le faire, ton père. l'idée logée dans une partie de cette tête occupée, des recherches pendant de longues années sur du temps parfois oublié. tu sais que tu dois le retrouver, mais quand ? comment ?
(boston) [2015] tu rejoins boston. de quoi changer d'air, découvrir de nouvelles têtes. tu penses trop rapidement à ces soirées étudiantes, gosses de riches qui veulent s'amuser, s'écailler le nez de quelques poudres magiques à la recherche de la décadence d'une société : toi aussi tu veux t'amuser, leur vendre tes merdes, voler leurs poches, profiter de quelques frasques vengeresses de cette ancienne vie misérable.
(harvard) [2019] gamin étonnement pas mauvais à l'école. parcours scolaire réussis, capacités qualifiés de très intéressantes par plus d'un de tes anciens professeurs. t'es poussé par tes adoptants à rejoindre els rangs d'harvard, profiter de cette nouvelle chance de la rendre fière, ta mère. longues années à refuser, systématiquement, impensable de te retrouver dans cette cohésion de richesse et opulence constante. pourtant tu t'y inscris, finalement, pensant à elle. ce qu'elle te dirait, ses mots qui ont marqués tes lignes lors de ta candidature. tu es en science de l'éducation pour suivre ce chemin presque naturel d'aider les jeunes comme toi, dans les foyers, les rues ou ailleurs où la détresse se fait sentir.
(vie amoureuse) tu l'as vu souffrir si fort, ses larmes qui coulaient pendant des années chaque soirs. comme un rendez vous macabre pour continuer de célébrer l'amour de sa vie perdu trop tragiquement. tu connais cette souffrance de perdre quelqu'un que tu aimes dans les parties les plus profondes de ton âme. tu as toujours saboté tes propres relations, presque sans le vouloir. inconscient forgé à préférer la solitude plutôt que de vivre un abandon. loin de vouloir vivre ce qu'elle a vécu, le revivre une deuxième fois de tes yeux d'enfant spectateur. tu aimes facilement, pourtant tu t'interdis tout attachements officiels. préférant t'écorcher l'âme rapidement que d'en souffrir éternellement.
(robin des bois) gamin qui a appris à vivre seul, une mère trop occupée à faire vivre votre foyer. tu as toujours tout fait pour la rendre fière, alléger ses tâches. elle ne t'a jamais félicité, jamais remercier d'avoir été cet enfant sacrifié. loin d'être méchante, seulement épuisée par cette vie, vidée de toutes énergies. un simple corps sans âme qui a erré pendant des années pour te maintenir en vie, toi. elle ne voyait plus tout ce que tu pouvais faire, pour elle, pour vous. gamin qui faisait toujours tout pour elle sans jamais avoir de retour. l'habitude maintenant, de tout faire seul. indépendance comme trait de caractère forgé au fil des années. paradoxe quand tu ne demandes jamais rien à personne par peur de déranger et que toi, tu dis toujours oui pour aider. une routine qui s'est installé devenue naturelle, te sacrifier pour les autres.
(pseudo bad boy) la dégaine presque cliché, on pourrait souvent te qualifier du "bad boy", l'homme trop sanguin, aux quelques cicatrices comme preuves de tes nombreux excès de colère. rage au ventre constante sans en connaitre la solution d'apaisement. t'es sous l'influence de tes émotions, jamais canalisé. tu sais jouer des poings, courir trop vite pour fuir, crocheter des serrures merdiques, voler tes poches discrètement ou magouiller des tirades entière pour vendre tes folies.
(décès paternel) [2004] tu te souviens des cris qui ont donnés de leurs échos dans tout le quartier. elle a perdu sa moitié dans un accident de voiture. ton père est mort ce jour la sans jamais revenir du travail, laissant une femme à jamais inconsolable et son fils devenu adulte bien trop tôt. la douleur de ta mère est resté gravé comme un marker indélébile dans une gravure sur bois.
(pauvreté) elle était seule à subvenir à vos besoins pendant des années. longues années d'infortunes, où la faim se faisait sentir quelques soirs, où le chauffage manquait dans ta chambre et où les mains de ta mère était asséchée par le travail. tu mentais, parfois, prétextant avoir mangé ton assiette à ta faim, pour la voir manger, elle, ton héroïne. gamin qui a grandit trop vite, tu rentrais seul de l'école à ton jeune âge, tu faisais à manger en tentant de ne rien bruler de tes mains d'enfant, tu faisais les lessives en oubliant trop souvent de mettre la poudre comme un grand. tu voulais l'aider, la soulager de ses multiples travails incessants, fatiguants.
(cancer) [2009] rien ne s'est arrangé quand elle l'a découvert lors d'un examen de routine dans un dispensaire. cancer du seins en stade trop avancé pour tenter de lutter. elle ne te l'a jamais dit d'elle même, tu l'as découvert toi même dans ses papiers oubliés. ce rôle de chef de famille endossé, tu l'as obligé plus d'une fois à aller consulter, tenter des soins palliatifs pour la soulager. l'argent continuait de partir quand les salaires se faisaient moins fréquents. magouilleur par défaut, la rue t'a appris à voler, conserves et quelques billets dans les poches mal fermées. livreur de journaux, quelques billets pour aider les voisins : tu prenais tout ce que tu pouvais.
(stryder) [2011] elle déniche un travail dans l'entreprise stryder, couple touché par cette femme rencontrée par hasard au détour d'une rue, tombée de fatigue. ils lui ont offert une place facile d'accès pour son corps meurtris par ce cancer foudroyant. d'abord de la méfiance, puis de l'apaisement. tu voyais son sourire sur ses lèvres quand elle parlait avec ces gens. compréhensifs, avec elle, avec toi. inhabituel, pourtant agréable. elle leur faisait confiance. elle décède en 2011, dans son sommeil. garçon perdu, finalement rattrapé dans les filets des stryder qui ont décidés de t'adopter, toi. évènements qui s'enchainent. gamin des rues qui se retrouve dans les rangs d'une famille aux billets faciles. pourtant tu continues tes magouilles, les habitudes qui reprennent le dessus, tu continues de voler parfois, dealer quand tu peux. tu sais d'où tu viens, gravé en toi au fer rouge. @Haley Stryder est ta cousine par adoption.
(demi-frère) elle le savait, elle sentait son corps s'éteindre. quelques jours avant de rendre l'âme, elle ta donné cette boite avec pour seule consigne de l'ouvrir une fois qu'elle ne serait plus là. plusieurs mois qui s'estompent avant d'oser ouvrir le loquet de la boite de bois vieillis. des papiers accumulés, des lettres échangées. tu découvres que tu as un demi-frère. il t'a adressé cette lettre, traits rédigés de sa main te suppliant de le retrouver, il n'a jamais eu le courage de le faire, ton père. l'idée logée dans une partie de cette tête occupée, des recherches pendant de longues années sur du temps parfois oublié. tu sais que tu dois le retrouver, mais quand ? comment ?
(boston) [2015] tu rejoins boston. de quoi changer d'air, découvrir de nouvelles têtes. tu penses trop rapidement à ces soirées étudiantes, gosses de riches qui veulent s'amuser, s'écailler le nez de quelques poudres magiques à la recherche de la décadence d'une société : toi aussi tu veux t'amuser, leur vendre tes merdes, voler leurs poches, profiter de quelques frasques vengeresses de cette ancienne vie misérable.
(harvard) [2019] gamin étonnement pas mauvais à l'école. parcours scolaire réussis, capacités qualifiés de très intéressantes par plus d'un de tes anciens professeurs. t'es poussé par tes adoptants à rejoindre els rangs d'harvard, profiter de cette nouvelle chance de la rendre fière, ta mère. longues années à refuser, systématiquement, impensable de te retrouver dans cette cohésion de richesse et opulence constante. pourtant tu t'y inscris, finalement, pensant à elle. ce qu'elle te dirait, ses mots qui ont marqués tes lignes lors de ta candidature. tu es en science de l'éducation pour suivre ce chemin presque naturel d'aider les jeunes comme toi, dans les foyers, les rues ou ailleurs où la détresse se fait sentir.
(vie amoureuse) tu l'as vu souffrir si fort, ses larmes qui coulaient pendant des années chaque soirs. comme un rendez vous macabre pour continuer de célébrer l'amour de sa vie perdu trop tragiquement. tu connais cette souffrance de perdre quelqu'un que tu aimes dans les parties les plus profondes de ton âme. tu as toujours saboté tes propres relations, presque sans le vouloir. inconscient forgé à préférer la solitude plutôt que de vivre un abandon. loin de vouloir vivre ce qu'elle a vécu, le revivre une deuxième fois de tes yeux d'enfant spectateur. tu aimes facilement, pourtant tu t'interdis tout attachements officiels. préférant t'écorcher l'âme rapidement que d'en souffrir éternellement.
(robin des bois) gamin qui a appris à vivre seul, une mère trop occupée à faire vivre votre foyer. tu as toujours tout fait pour la rendre fière, alléger ses tâches. elle ne t'a jamais félicité, jamais remercier d'avoir été cet enfant sacrifié. loin d'être méchante, seulement épuisée par cette vie, vidée de toutes énergies. un simple corps sans âme qui a erré pendant des années pour te maintenir en vie, toi. elle ne voyait plus tout ce que tu pouvais faire, pour elle, pour vous. gamin qui faisait toujours tout pour elle sans jamais avoir de retour. l'habitude maintenant, de tout faire seul. indépendance comme trait de caractère forgé au fil des années. paradoxe quand tu ne demandes jamais rien à personne par peur de déranger et que toi, tu dis toujours oui pour aider. une routine qui s'est installé devenue naturelle, te sacrifier pour les autres.
(pseudo bad boy) la dégaine presque cliché, on pourrait souvent te qualifier du "bad boy", l'homme trop sanguin, aux quelques cicatrices comme preuves de tes nombreux excès de colère. rage au ventre constante sans en connaitre la solution d'apaisement. t'es sous l'influence de tes émotions, jamais canalisé. tu sais jouer des poings, courir trop vite pour fuir, crocheter des serrures merdiques, voler tes poches discrètement ou magouiller des tirades entière pour vendre tes folies.
- Code:
<div class="card-user-bottin-dudley"><dudley class="text-s-bebas text-upper">EMILIO SAKRAYA</dudley><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Niels Rosenhoff"</span></div>
(Naim Wolford)