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TW’ Silence | Aaros

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Mardi 30 Aout, fin de matinée | @Eros D. Kaine | Le pere ne m’avait pas loupé. Je souffrais salement. Meme avec les médicaments. Mais je m’en fous. Meme s’il avait frappé fort. J’avais pas fermé ma gueule. J’avais vidé mon sac entre chaque coup, quitte a cracher mon sang contre sa tronche. Lui qui me pensait faible. Je lui avais prouvé le contraire. Dos en charpie. J’avais serré les dents a l’infirmerie. Je lui avais sciemment manqué de respect publiquement. Il avait fait son job. Mais mon avis n’avait pas changé. C’etait de l’abandon. Pur et dur. Alors il ne meritait que de l’affront de ma part. C’etait que le debut. Le retour en avion fut douloureux. Tout mouvement l’etait. Je ne repondais que par onomatopées. Et la gueule fermée n’invitait personne en m’en demander davantage. C’est donc coincé sur mon lit, sur le ventre que je ressasse cette nuit de punition. Ca ne m’avait pas calmé pour autant. Bruit indiquant une venue. Je m’attendais a voir les chiens. Mais non bipede etant ma moitié. - Hm ?
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Le weekend n’avait pas été de tout repos et nous étions loin d’imaginer tout ce qui allait se passer. Je savais que la réaction d’Aaron lors de l’annonce n’avait pas plus à son père, je savais qu’Aaron n’allait pas se taire et lâcher tout ce qu’il avait sur le cœur. La nuit où il m’a dit qu’il allait parler à son père, j’aurais aimé le supplier pour qu’il n’y aille pas, mais je savais que c’était nécessaire. J’avais tourné et virer dans la chambre, préparant tout ce que je pouvais pour quand il remonterait, gardant la face en le voyant rentrer dans cet état. J’en avais mal de l’entendre hurler de douleur. Je ne pouvais pas faire grand-chose, je le laissais dans ses pensées tant que je pouvais, tentant de le soulager doucement. Un arrêt dans un restaurant récupéré des burgers gourmet, parce qu’un burger pouvait tout soigner. Je rentre dans l’appartement, déposant le sac remplis de nourriture dans la cuisine, donner à manger aux deux poilus avant d’entrer dans la chambre, voir le mari allongé sur le ventre et tous ses bandages. “Coucou...” dis je doucement je m’assois à côté de lui sur son lit prenant le sachet de médicament “Je vais changer tes pansements et tes bandages” je préférais le faire moi-même plutôt qu’un.e infermièr.e vienne se rincer l’œil ou se fasse mordre par la bête. “Tu veux en parler ?” demandais-je quand même en commençant à retirer les bandages.
(Invité)