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PACO ¥ désir ou amour, tu le sauras un jour.

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Tu n’es pas concentrée ce soir, Esmée. Tu danses devant cet homme qui semble aux anges, mais t’es pensées sont ailleurs. Tu sais qu’il est là dehors à t’attendre. Tu te sens nerveuse, tu ne sais pas comment ça va se passer. Tu as encore tellement de choses à lui révéler sur toi. T’as peur que ce soit lui qui fuit après ça, parce qu’il aurait toutes les raisons de le faire. T’as passé la journée à lui parler et à lui ouvrir ton cœur. Tu n’avais rien contrôlé, mais la peur de le perdre a été plus forte. Dimitri a comprit et finalement tu le verras samedi dans la journée. L’homme pose ses mains sur tes fesses et tu reviens à la réalité. Tu lui lances un regard noir et te redresse en regardant l’heure. — La danse est terminé, bonsoir. Tu files rapidement parce que tu ne veux pas qu’il se montre insistant. T’as déjà été agressée trois fois à la sortie. Tu vas voir ton patron et il te laisse rentrer. Tu enfiles ton long manteau pour cacher ta tenue et pouvoir être tranquille. Paco t’attend et lui il saura prendre soin de toi. Quand tu pousses la porte pour aller au parking il est là contre sa voiture. Ton regard trouve le sien et même si t’as envie de te jeter dans ces bras tu ne le fais pas. T’oublies pas que tu viens de passer trois heures à te faire toucher par des sales types. Tu n’es pas fière de toi. Il a mit un pied dans ton monde ce soir, ta réalité. Tu marches vers lui doucement et serres ton manteau autour de toi. — Salut.. je suis contente que tu sois là. Il t’as manqué comme chaque fois que vous restez trop loin l’un de l’autre.
@Paco Reyes
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désir ou amour, tu le sauras un jour - @Esmée Bourgeois CW: langage cru
Le pouce sur mon téléphone, je scrollais nerveusement sur les réseaux sociaux, regardant à peine les publications qui défilaient sous mes yeux. J'avais la haine, j'avais envie d'aboyer sur tous les mecs que je voyais sortir du strip-club depuis une demi-heure. De les traiter de gros porcs, de leur faire bouffer leurs parties. J'en revenais toujours pas de ce que Esmée m'avait révélé un peu plus tôt dans la journée. Elle, strip-teaseuse ? J'avais été tellement à des kilomètres de la réalité. Maintenant qu'elle m'avait tout expliqué, je comprenais mieux pourquoi elle avait eu peur de me décevoir. J'étais révolté par la situation, essayant vainement de trouver une solution qui pourrait lui permettre d'arrêter ce job dégradant qu'elle ne semblait pas apprécier une seconde. Mais la triste réalité de la situation ne faisait que me revenir à la tronche, me plongeant dans un sentiment d'impuissance que j'avais réellement du mal à gérer. Pour la première fois de ma vie, j'avais envie de foutre le feu au Nirvana, moi qui en avait été pourtant le client à plusieurs reprises.
La seule chose que je pouvais faire là, c'était l'attendre. Alors je l'attendais, prenant sur moi pour ne pas entrer comme un fou et l'arracher de son podium où je l'imaginai sans mal au coeur de toutes les attentions masculines. Pourquoi est-ce que je réagissais avec autant de ferveur ? J'en savais rien. Quand il s'agissait d'Esmée, je ne savais plus où donner de la tête. Adossé à la voiture empruntée à Casey, j'attendais, impatient, que l'heure tourne. Et enfin je la voyais sortir, un long manteau sur le dos malgré la chaleur estivale - probablement pour cacher la tenue qu'elle portait dessous. Ses yeux, bien plus maquillés qu'à son habitude, se posèrent sur les miens et pour la première fois, je perçus une part de vulnérabilité que je n'avais encore jamais entrevue chez elle. Moi aussi répondis-je en venant la prendre dans mes bras, sans retenue. Oui, j'étais content d'être là. Viens, on se casse d'ici dis-je en relâchant mon étreinte, lui ouvrant la portière passager. Je démarrais rapidement, essayant de chasser cette colère qui grondait en moi, maintenant qu'elle était à mes côtés. Je te laisse me guider.. ? demandai-je soudain car en réalité, je ne savais même pas où elle habitait.
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Toute la journée, tu n'avais cessé de t'ouvrir à Paco. Tu comprenais que tu t'étais beaucoup trop attaché à lui. Tu n'avais pas su te protéger et il te rendait plus faible. Il arrivait à retirer toutes les couches de protection que tu avais mise entre vous. Le manque de lui que tu ne maîtrisais plus. La peur de la chute. La réalité était en train de te rattraper et tu constatais que tu n'avais jamais eu aussi peur de perdre quelqu'un. Paco avait réanimé quelque chose en toi. Éveillé des sensations nouvelles qui t'étais encore inconnue. Tu n'arrivais plus à être dure et froide avec lui. Il était ton soleil et toi sa lune. Finalement, même si vous n'arriviez pas à être aligné et si tout finissait toujours par se compliqué.. Tu ne fuyais plus pour la première fois. Une fois qu'il approcha de toi pour te serrer dans ces bras, tu en fis de même. Tu fermais les yeux et venait respirer son odeur. Essayant de t'en imprégné comme si ça allait être la dernière fois. Il te relâche et t'ouvre la portière. — D'accord. Tu montes et finalement, tu le laisses démarrer pour que vous quittiez le Nirvana. Tu le sais, si il est là c'est pour que vous ayez la discussion que tu as tellement redouté. Celle que tu aurais aimé ne jamais avoir. Toutefois, tu l'as compris si tu ne fais rien, tu vas le perdre pour toujours. Quand tu comprends que tu dois le conduire chez toi, tu te sens de plus en plus fébrile. — Je vis à Cambridge. Alors c'est ce soir. Ce soir qu'il va découvrir ton deux pièces, tes vingt mètres carrés. La moisissure sur les murs. T'as tellement honte et en même temps, c'est tout ce que tu peux t'offrir. Tu lui indiques où ce garer puis tu le laisses te suivre. Quand tu ouvres la porte, tu le laisses entrer et reste silencieuse.
@Paco Reyes
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désir ou amour, tu le sauras un jour - @Esmée Bourgeois
J'avais besoin de m'éloigner de cet endroit, de mettre le plus de kilomètres possible entre nous. Si je me contenais au fond, je bouillonnais. Mais je vouloir pas déraper devant Esmée, jvoulais pas qu'elle pense que j'étais pas assez fort pour accepter tout ça. Alors je démarrais vite, avant de réaliser que je ne savais pas vraiment où aller. Esmée commença à me guider, et instantanément, je sentais une espèce de tension grimper de son côté. Sa voix un brin moins assurée, son visage qui restait résolument tourné droit devant elle. Et je comprenais rapidement qu'elle n'était pas fan à l'idée que j'aille chez elle... pour je ne savais quelle raison. Je peux t'attendre dans la voiture si tu veux... le temps que tu te changes glissai-je bien qu'elle me disait habiter à Cambridge, m'indiquant la route. Jvoulais pas qu'elle se sente obligée de quoi que se soit... même si avouons le, ça me plaisait d'en savoir enfin plus sur elle. Finalement on arrivait en bas de chez elle, et elle me faisait monter. Fébrile. Quoi, elle avait un cadavre dans le placard ou quoi ? Je la suivais, intrigué maintenant, alors qu'elle passait devant pour allumer la lumière. Ah. Clairement, je m'étais pas attendu à ça. Elle qui faisait très "princesse" par moment, on pouvait dire que les lieux ne collaient pas à son image. Bien qu'on voyait l'effort déployé pour rendre les lieux un peu sympa, on ne pouvait que constater à quel point son logement était vétuste. Petit à petit, je commençai à comprendre la galère qu'elle vivait au quotidien. Bon... il manque les moulures au plafond mais sinon c'est plutôt sympa chez toi ! lançai-je pour faire un peu d'humour, voyant bien qu'elle était hyper tendue là. Hé, tranquille ok ? J'ai eu je sais pas combien d'appart dans ce genre là tu sais ajoutai-je en passant ma main sur sa taille.
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Jouer avec les apparences depuis si longtemps tu jouais à ça. Esmee la reine de la manipulation, des faux semblant. Seulement ce soir, tu ne fais plus semblant fini de tricher. Fini de de l’esquiver quand ça devient trop sérieux. Tu ne sais pas s’il va réaliser combien tu te livres pour lui ce soir. Tu as touché le fond et cet appartement c’est presque une chance. T’as vécue dehors quelques temps, t’as connu les coups, la violence psychologique, finalement tu t’en sors bien. Tu ne bouges plus pourtant dans sa voiture, tu as peur. Terrorisée parce que tu dois affronté la réalité de ta vie. Tu veux qu’il vienne alors tu l’attires avec toi jusqu’à ton appartement. Impossible de faire marche arrière, demain tu aurais pu perdre le courage de faire ça. Tu restes derrière et tu l’observes. Tu ne sais pas trop à quoi t’attendre pour tout dire et finalement c’est avec humour qu’il réagit. Tu sens ton corps se détendre et il t’attire contre lui de sa main. Tu viens contre lui et tu enfouies ton visage dans son cou. — Tu voulais en savoir plus.. Tu te décides à affronter son regard et tu glisses un tendre baiser sur ces lèvres. Juste assez pour aller chercher un peu plus de courage. — Je suis cette fille qui s’est tiré de chez son père quand elle avait dix huit ans. Cette fille qui a dû survivre dehors sans argent, avec cette peur au ventre qu’il finisse par me retrouver.. Je suis celle qui se cache derrière une assurance à tout épreuve. Un caractère dure, parfois froid, parce que je ne connais rien de bons dans la vie Paco. que tu souffles le regard brillant. Tu te jures d’être plus forte demain et le jour suivant. Ce soir tu baisses les armes pour qu’il voit celle que tu es, celle que la vie a détruite.

@Paco Reyes
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désir ou amour, tu le sauras un jour - @Esmée Bourgeois
Je percevais ce mal être qui émanait d'elle, cette façon qu'elle avait soudain de se faire petit, discrète, elle qui jusqu'à maintenant avait toujours fait la fière en levant son menton bien haut, à parfois me donner l'impression de me mener complètement en bateau. Pour la première fois, j'avais cette impression de vulnérabilité que je n'avais encore jamais vue chez elle. Comme si, quelque part, je la redécouvrais.
Elle venait se blottir contre moi, et je resserrai mon étreinte. Le souffle heurté quand elle plongeait son regard dans le mien et qu'elle faisait glisser ses lèvres sur les miennes dans un baiser volé. Puis elle se mit à parler, à coeur ouvert, et je l'écoutai sans l'interrompre, saisissant soudain à quel point cette fille se trainait un lourd bagage. Combien aussi, ça lui coûtait de se mettre ainsi à nu devant quelqu'un, elle qui semblait d'un orgueil débordant. En réalité, Esmée était avant tout un oiseau blessé, qui se défendait d la vie comme elle le pouvait. Merci.. dis-je en glissant ma main près de sa nuque, entremêlant mes doigts à ses cheveux. Merci de te confier à moi de cette manière. Qu'est-ce que j'étais pour Esmée ? Une source de réconfort ? De tendresse, quand elle se sentait seule ? J'en savais rien, tout comme je n'aurais su dire réellement ce qu'elle était pour moi. Mais ce soir, je ne pouvais pas nier que j'étais touché. Oubliant totalement le jeu et ses règles à la con. T'es pas obligée de jouer ce rôle tu sais. Tu pourrais baisser les armes de temps en temps.. comme maintenant. Et pourtant, oh combien je la comprenais... si elle elle avait choisi la froideur moi, j'avais choisi ce sourire à toute épreuve qui ne quittait jamais mon visage. Mais ça, c'était un autre sujet.
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Dis-moi que je ne fais pas la plus grosse erreur de ma vie, Paco. Dis-moi que je ne suis pas en train de m’ouvrir à toi pour que tu partes sans te retourner. Je suis en train de lui montrer mes failles. Lui révèle une partie de ma vie, je le laisse voir la petite fille brisée par la vie et par les coups. Je réalise qu’il parvient à passer la carapace, qu’il arrive à m’apaiser. Bestiole sauvage qu’il parvient à dompter. Je suis pourtant apeuré et effrayé ce soir. Je ne sais pas où on va tous les deux. Je sais juste que j’ai besoin de lui. Je m’accroche irrémédiablement à ce soleil, j’ai juste terriblement peur de me brûler. Je veux croire qu‘il ne se joue pas de moi, qu‘il est prêt à perdre dans ce putain de jeu que j’ai lancé. Je veux croire que si je lui fais mal, si je le blesse il sera encore là. Je veux imaginer ses mains caresser ma peau inlassablement. Le goût de ces lèvres à jamais ancré sur les miennes. Je veux croire que je ne suis pas en train de me tromper. Parce que oui, je peux perdre ce jeu stupide, je pourrais finir par laisser ressortir ces sentiments qui me terrifient qui je cache au fond de moi. Je suis là dans ces bras à lui révélé un bout de mon passé, lui montrant combien je suis brisée à l’intérieur. Que d’être comme je suis ce n’est que la seule barrière que j’ai trouvée pour survivre à tout ça. Pour rester droite et fière alors que ouais je suis si faible. Une apparence avec laquelle je joue continuellement. Bienvenu dans mon monde, bienvenu en Enfer, Paco. Son regard qui se plonge dans le mien et je me sens désarmée. Il joue avec une de mes mèches de cheveux et je tombe pour lui un peu plus. — Si tu savais ce que je ressens quand je m’autorise à être ainsi.. Je me prends la réalité en plein visage. Je ressens à nouveau ses coups, ses cris qui résonnent à mes oreilles. Je veux oublier tout ça. Je glisse ma main dans sa nuque et j’attire son visage près du mien capturant ses lèvres.
 @Paco Reyes
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