Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitya time between us. — orphéa
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


a time between us. — orphéa

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Depuis ton retour sur Boston, la matière a réfléchir ne manque aucunement. Entre ta discussion honnête avec ta fratrie, couplé à la réalité qui s'exprime tout autour de ton état de santé, tu sens que tu as besoin de souffler, de prendre le large. Te changer les idées est une motivation qui n'a pas réellement lieu d'être. Depuis que tu as quitté le summer camp, la fatigue est bien plus grande et les douleurs thoraciques sont plus fréquentes. Un détail que tu as occulté de dire à ton frère et ta sœur. Si tu t'en veux d'inquiéter Nicola, c'est la réaction de Ryo qui a éveillé une colère presque inexistante chez toi. Une pensée qui se fane rapidement lorsque tu te retrouves devant le bâtiment de la cadette des Wertheimer. Orphéa et toi aviez décidés de passer la soirée ensemble et surtout de relever le défi de cuisiner quelques plats asiatiques. Et dans cet art, tu te débrouilles haut la main, sans doute grâce à ta grand-mère ou encore ta frangine. Tu étais passé faire quelques achats en route et c'est sur cette pensée que tu éteins le moteur de ta moto. Tu enlèves ton casque, attache ton deux roues. Tu récupères le sachet de course dans la main gauche, ton casque dans l'autre tout en observant le grand immeuble. Quelques minutes plus tard, tu sonnes à l'interphone puis pousse le portail et te rend à l'adresse juste devant la porte de la joie blonde. Tu toques à la portée de l'entrée, sourire aux lèvres lorsque tu découvres son visage alors qu'elle vient tout juste de t'ouvrir. « Désolé … je suis un peu en retard mais ... ». une odeur de brûlée vient chatouiller tes narines avant de poursuivre d'un rictus en coin. « … ça sent le brûlé on dirait ? ».
@Orphéa Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with @Kobe Rockefeller Son appartement retrouvée depuis plusieurs semaines, le quotidien et les habitudes qui reprennent leur place. Été difficile face auquel elle avait perdu le contrôle, le mal-être ainsi que les mauvais choix qui se sont accumulés jusqu'à devenir incontrôlable. Séjour à l'hôpital regretté, honte qui stagne autour de ses épaules depuis cette fameuse soirée, où tout a changé. Parce que le petit oiseau veut s'envoler, sauf qu'il n'était pas prêt à s'envoler aussi loin. Depuis, elle s'était renfermée sur elle-même, passant la plupart de son temps dans son lit, envoyée dans sa bulle, grâce à ses yeux fermés et ses écouteurs dans les oreilles. L'envie de reprendre une vie normal était difficile, surtout quand on est plus capable de se regarder face à un miroir. Pourtant, c'était son devoir de remonter la pente, dans quelques jours, les portes d'Harvard seront retrouvés. Son sourire devait aussi être là, parce qu'elle devait avoir la tête haute pour toutes les responsabilités qui l'attend. Les maladresses de côté pour faire place au petit soleil que tout le monde apprécie. Ce soir, elle faisait un effort. Il était temps de quitter son lit, se faire un minimum jolie et retrouver les fourneaux de la cuisine éteint depuis le départ de tous les colocataires. Un sourire qui retrouve ses lèvres à l'idée de voir Kobe, parmi ses proches, il était certainement l'un des seuls capable de lui faire autant de bien. Meilleure fréquentation qu'elle pouvait avoir, passer du temps avec lui l'aidait à retrouver le chemin dans lequel elle s'est toujours épanouie et dont elle s'éloignait de jour en jour. Plus le temps passe, plus elle le découvrait et plus elle se rendait compte qu'il était devenu important pour elle et qu'à présent elle aurait du mal à s'en passer. Soirée cuisine asiatique en perspective, elle était passée faire quelques courses. La cuisine retrouvée, la recette qui tente de se suivre pas à pas, le manque d'expérience dans le domaine qui se ressent lorsque de la fumée s'échappe de son four, pas le temps de réagir que la sonnerie résonne déjà dans l'appartement. Son four qu'elle arrête rapidement et la porte qu'elle retrouve pour l'ouvrir. Large sourire qui s'installe sur les lippes lorsqu'elle le regardait, réflex ou simple besoin, elle s'approchait pour le serrer dans ses bras. Parce qu'elle était contente de le retrouver et peut-être que le temps était aussi devenu long sans lui. Léger instant qu'elle prend pour apprécier son odeur réconfortante et finalement se reculer pour observer la vue de son beau visage. T'inquiètes pas, t'es là et c'est le plus important. Dit-elle toujours aussi souriante. Tu peux poser tes affaires ici, mais surtout fait comme chez toi ! Dit-elle alors qu'elle secouait la tête d'une grimace lorsqu'il parlait de l'odeur. J'crois que ton aide en cuisine est devenu nécéssaire. Dit-elle alors qu'elle retrouvait la cuisine ouverte face au salon pour rapidement sortie le plat raté du four.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

La perspective de cette soirée en compagnie de la jeune Wertheimer a su captiver de bonnes ondes tout au long de la semaine. Tu as presque occulté ta dernière discussion avec ta fratrie qui s'est tissé par un fil on ne peut plus tendu. Néanmoins, une fois sur le pas de la porte, le sourire énigmatique mais naturel orne tes traits d'expression lorsque tu la vois. Elle te serre dans ses bras, une étreinte emplit d'une sincérité et d'une jovialité qui tend à réchauffer les cœurs – pour ne pas dire le moral. Les effluves de son parfum viennent chatouiller ton odorat avec un plaisir que tu dissimules aisément mais qui se veut avant tout réconfortant. Tu esquisses un rictus mutin lorsqu'elle secoue la tête lorsque tu fais référence à l'odeur de brûlé tout en invitant à faire comme chez toi. Tu déposes ton casque et le sac de course à terre un moment avant d'enlever ta veste en cuir et de l'accrocher. Tu rattrapes le sac de courses dans ton bras gauche tout en suivant et découvrant le logement où vit Orphéa. Une décoration avec beaucoup de goût qui respire l'esprit d'une colocation car tu en ressens la même ambiance. « Ne t'inquiète pas, on peut récupérer certains plats. ». Lui dis-tu tout en la considérant d'un petit clin d'oeil, déposant ainsi le sac de courses sur le comptoir de la cuisine. « Avant toute chose, voilà pour toi. Ce n'est pas grand-chose mais je me suis dit que ça te ferait plaisir ? ». En effet, depuis quelques temps déjà, tu t'occupais de bonsai même si le jardinage était loin d'être ta passion première. Tu te laves les mains et reviens vers elle tout en sortant les emplettes que tu as acheté à l'épicerie asiatique. « Tu as déjà goutté des ramens japonais, ça te dit ? ». Tu ne cuisinais pas pour tout le monde, seule ta famille et tes plus proches amis mais Orphéa était devenu quelqu'un d'important pour toi sans même que tu ne puisses t'en rendre compte.
@Orphéa Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with @Kobe Rockefeller Maintenant plusieurs mois qu'ils se côtoyaient, que ça soit pour des sorties en tout genre ou juste de simple moments réconfortant. Kobe ne s'en doutait certainement pas, mais peut-être sans même le vouloir, il avait pris une grande place dans la vie d'Orphéa. Souvent, elle se demandait comme il allait, toujours tentée de le lui envoyer un message ou de passer un moment à ses côtés. Pendant ces vacances, ils n'ont pas réellement eu l'occasion de se retrouver et bizarrement, ça lui a fait un petit pincement au coeur de le savoir aussi loin. Depuis qu'elle connaissait son état de santé et les risques contre lesquelles il se battait tous les jours, elle s'inquiétait. Effrayée qu'un jour il ne soit plus là, ses jolis mots ainsi que ses paroles réconfortantes effacés par ce destin rempli d'injustice. Alors elle voulait profiter, de chaque moments qu'ils pouvaient et pourront vivre ensemble. Large sourire ensoleillée qui l'accueil, étreinte échangé jusqu'à retrouver la cuisine où prônait une mauvaise odeur de brûler. Elle comptait bien se rattraper pour le dessert, parce que pour le plat, c'était plutôt lamentable. Le seul échappatoire pour déguster un bon repas était bien que Kobe vienne y mettre sa patte. Sourire qui s'écarte lorsqu'il sort un bonsaï de son sac pour lui offrir, les joues qui en rougissent, c'est bien le genre d'attention qui lui faisait énormément plaisir. Oh c'est génial merci ! Je manque cruellement de plante dans ma chambre, il sera parfait prêt de ma fenêtre. Dit-elle toujours aussi souriante alors qu'elle déposait un gros baiser contre sa joue comme guise de remerciement. Elle déposait la petite plante sur la table à manger en attendant, revenant prêt du champs de bataille qu'était devenu les fourneaux de l'appartement. J'adore ça, c'est un bon choix ! Par contre, je te fais confiance.. T'es le chef et moi ta fidèle assistante. Dit-elle amusée en relevant son pouce d'un air dynamique. Tu veux boire quelque chose avant, pour prendre un peu de force ? J'ai fais du jus d'orange frai ce matin ! Dit-elle prête à sortir un verre. Bonne humeur qui se retrouve, présence bien trop agréable qui s'émane de la silhouette masculine, ça lui faisait tellement de bien de sourire à nouveau.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Jamais tu n'aurais songé que ton entente avec la jeune Wertheimer soit aussi solide. Tu te surprends souvent à songer à elle surtout lorsque tu composes. Les moments que vous partagés sont nombreux, comme si vous vous connaissiez depuis toujours. Une aisance amicale mais dont la tonalité est parfois une véritable énigme si l'on y regarde avec plus de profondeur. Son sourire lumineux fait fleurir le tien lorsque tu lui offres le petit arbuste asiatique. Tu ne savais pas quoi lui offrir d'original pour la remercier de son invitation et ton choix c'est tout naturellement posé sur un bonsaï. Elle dépose un baiser sur ta joue et tu en apprécie un peu trop le contact mais tu n'en dépeint rien afin de ne pas la mettre mal à l'aise. Et puis tu es plutôt doué pour ne rien laisser apparaître. Une fois tes mains lavées, tu en profites pour lui proposer de déguster un plat typique au Japon et tu que tu sais surtout cuisiner pour avoir appris de ta sœur. Nico et Ryo ont cuisinés chacun leur tour lorsque tu étais enfant. C'était des instants familiaux qui se conserveront à jamais dans ta mémoire. Tu jettes une œillade à l'ensemble de la cuisine, et tu y repères rapidement une casserole, une planche à découper et un couteau. Tout ce dont tu as besoin pour débuter ce plat simple et efficace à la fois. Tu mets de l'eau sur le feu pour faire bouillir les pâtes puis commence à laver les légumes. « Alors c'est parti ! ». Lui dis-tu tout en la considérant d'un clin d’œil emplit de charme sur lequel tu n'as pas le contrôle tant il est naturel et honnête à la fois. Tu hoches d'abord la tête en réponse à sa proposition de boire quelques choses de rafraîchissant. « Oui je veux bien merci ! ». Tes mains sont celles d'un musicien, d'un pianiste mais pas que car l’effort et le travail ça te connaît depuis que tu es en âge de bosser. Tes doigts s’attellent donc à la tâche de couper les légumes en fines lamelles. « Alors, ça fait longtemps que tu vis en colocation ? ». Lui demandes-tu tout en continuant à découper les légumes, tes prunelles s'attardent un peu sur le visage de la jolie blonde car la voir sourire fait plaisir à voir.
@Orphéa Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with @Kobe Rockefeller Elle a pas réellement osée dire à Kobe de ce qui lui est arrivé cet été. Parce qu'elle en avait honte et que leur relation se portait assez bien pour qu'il puisse changer d'avis sur elle. Elle ne voulait pas être cette pauvre fille, celle qui prends des mauvaises décisions, celle qui fait tout pour s'enfoncer au fond du trou. Elle voulait être cette fille, pleine de vie et lumineuse par sa bonne humeur et ses sourires. C'est ce qu'elle a toujours été après tout, mais les évènements de la vie font que les gens changent et elle fait peut-être partie de ces personnes. Pourtant, depuis qu'il est là, ce sourire est de retour. Parce qu'elle est heureuse de le retrouver et qu'elle a certainement un peu trop de mal à le cacher. Parfois, elle se pose des questions sur la nature de leur relation. Des amis ? C'était une évidence. Mais parfois, elle se demandait si il avait quelque chose de plus, ce petit plus qui fait qu'elle a souvent envie de le voir ou lui parler. Ou pour toutes ces fois où elle s'est imaginée l'embrasser sans jamais vraiment oser le faire. Leur relation était simple et naturel, elle voulait pas que toute ces questions noircisse ce qu'ils ont construit. Les yeux qui s'écarquillent lorsqu'elle l'observe se mettre aux fourneaux, il s'en sortait comme un chef et elle était surprise de lui découvrir une nouvelle qualité. Wouah, t'as clairement l'âme d'un cuisinier ! Il faut que t'arrêt d'être bon dans tout, c'est presque frustrant. Dit-elle d'un léger rire, c'était dit avec humour, parce qu'évidemment, il devait rester qui il est. Cet homme qu'elle admire de jours en jours. Un verre qu'elle attrape pour le rempli de jus d'orange qu'elle lui tend ensuite d'un sourire. Ca doit faire six mois ou plus.. J'aime bien vivre avec du monde, la solitude c'est pas trop mon truc. Dit-elle en haussant ses épaules alors qu'elle se servait à boire à son tour. Et toi ? Tu vis tout seul ? Ils avaient l'habitude de se voir en extérieur, pour diverses activités, c'était la première fois qu'ils se retrouvaient chez l'un ou chez l'autre. En tout cas merci d'être venu ce soir.. Tu m'as manqué et ça me fais vraiment du bien de te voir. Dit-elle d'un sourire sincère, les noisettes plongés dans les siennes, les joues qui virent rapidement au rouge.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Tu te surprends à imaginer un plus avec la jeune blondinette. Un plus qui signifie de voir au delà du lien amical que vous avez tissés au fil des mois. Tes deux dernières relations ont été des ruptures que tu as pris avec beaucoup de recule mais cela n'en demeure pas moins une blessure que tu as su étouffer. Voir Maeve trouver le bonheur, espérer que Jade y croit à nouveau était pour toi le plus important. La fibre solitaire a toujours fait partie de toi, cette fibre où tu ne réfutes toutes attaches possible. Ton passif à sans doute à voir dans tes décisions quand même ton grand-frère et ta sœur ont tout fait pour t’élever du mieux qu'ils ont pu. Jusqu'à présent, ils n'ont jamais rien eux à te reprocher – du moins jusqu'à ce que tu leur annonces à tous les deux que tu avais arrêté ton traitement car il réduisait tes performances. Des erreurs de parcours existent, c'est ainsi que l'on en sort grandit néanmoins, en compagnie de Orphea tu as la sensation que pe verbe projeter peut encore avoir un sens. Une réflexion qui s’essouffle lorsque la voix de la Werhteimer te sort de ta songerie passagère. « Crois moi j'ai encore beaucoup à apprendre! ». Commences-tu en souriant avant de poursuivre sur la même tonalité. « Tout le mérite revient à mon frère et ma sœur si tu veux tout savoir. ». Lui dis-tu tout en la considérant d'un petit clin d'oeil alors que tu termines de découper les légumes. Orphéa vient de te servir un verre de jus d'orange alors que tu te laves à nouveau les mains et que tu attrapes un paquet de noodles japonaises. « Merci ... ». Tu l'écoutes te confier qu'être seule n'est pas dans ses habitudes et tu le comprends très bien. « Mh, je comprends. Je suis plutôt en mode solitaire mais je m'adapte à toute situation ce qui parfois à tendance à déconcerter certains de mes colocataires. ». C'est vrai, vous vivez à quatre est Hera est sans la première à bien te comprendre quelques fois. Tu repères une casserole et tu te permets de la remplir d'eau afin de la faire chauffer. En attendant, tu reviens vers la jolie blonde et boit une gorgée de ta boisson. Son minois solaire et joyeux transpire la sincérité même si tu te doutes que l'existence n'épargne aucun individu. Ses joues se parent d'un rouge qui sait mettre en valeur la lumière de ses pupilles. « Sentiments partagés, ça me fait plaisir de te voir surtout que ces temps-ci on en pas trop eux l'occasion. ». Entre le retour des vacances de fin de l'été et la reprise qui s'active, le temps semble s’écouler plus rapidement que de coutume. Tes prunelles s'ancrent dans les siennes quelques secondes et y plonger davantage est presque un appel à la tentation à laquelle tu résistes néanmoins. Tu lèves la main gauche pour replacer une mèche derrière son oreille.
@Orphéa Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with @Kobe Rockefeller Pauvre poupée naïve, celle qui pense pouvoir s'entourer de garçons, devenir leur amie tout en oubliant qu'elle pouvait s'attacher bien trop vite. Parce qu'il suffit parfois qu'on lui apporte un peu trop d'affection pour qu'elle plonge. Quête du grand prince charmant qui dur à présent depuis trop longtemps, elle a finis par l'abandonner. Se laissant aller à ses envies en priant pour que rien ne déraille. Sauf qu'elle peut pas s'en empêcher, elle le sent bien ce coeur qui tambourine lorsqu'elle le retrouve, elle se rend bien compte de cette façon qu'elle a de le regarder. Peut-être qu'il suffit qu'elle ouvre les yeux, qu'elle se rende compte que Kobe représente son idéal. Cet homme droit, sain et sur qui on peut compter. Pourtant, elle a toujours décidée de prendre les mauvais chemins, ceux qui lui font du mal, ceux qui lui brisent le coeur. Et si cette fois, elle utilisait la bonne route ? La route qui lui permettra de retrouver le bonheur dont elle avait réellement besoin ? Les questions qui s'embrouillent tel un tourbillon envahissant, elle essayait de mettre tout ça de côté, mais plus le temps passe aux côtés du Rockfeller, plus elle ne peut s'empêcher d'y penser. Y'a un domaine où tu n'es pas doué ? Parce que j'aimerai bien des exemples. Air taquin qui s'affiche, le coin de sa lèvre qu'elle mordille tout en gardant ses yeux posés sur la carrure masculine. Trop modeste ! Maintenant j'comprend mieux quand mes proches me le disent, j'dois faire comme toi, à pas assumer le mérite qui te reviens. Rire qui s'échappe, ils avaient beaucoup de point commun et accepter ses qualités, n'était pas toujours simple. Elle s'appuyait sur le plan de travail après lui avoir donnée son verre, observant ses faits et gestes, en plus de manger un bon repas, elle apprenait. Je vois.. Donc t'es le loup solitaire de la coloc ? Celui qui reste dans sa chambre quand tout le monde fait trop de bruit ? Air taquin qui reste sur le visage, cette soirée lui permettait d'en apprendre toujours plus sur lui et c'est ce qu'elle appréciait. Sincérité qui s'échappe, les yeux qui se retrouvent et qui ont du mal à se décoller. Léger frisson qui parcoure sa joue lorsqu'il déplace l'une de ses mèches. Envie qui prends aux tripes, sa lèvres inférieur sur lequel elle dépose son regard. Vous savez, ce moment de pause où seule l'envie tambourine dans les oreilles, l'envie que leurs lèvres s'échappent et qu'elle puisse, enfin, comprendre cet alchimie qui les entourent. Sa main qu'elle vient délicatement déposer contre la joue de Kobe, son pouce qui caresse l'épiderme. Je.. Je peux t'embrasser ? Les joues qui ne changent pas de couleur, peut-être que c'était idiot comme genre de question, mais il était bien trop respectueux envers elle pour qu'elle ne le soit pas aussi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
*
Il y a une certaine simplicité dans votre relation qui se dessine à chacune de vos rencontres. Une légèreté qui pourrait effrayer mais qui se veut quelque énigmatique et profonde. Beaucoup de tes camarades du plus récents aux plus anciens s’étonnent de te voir si performant dans certains domaines. Tout cela tu le dois à ton frère et ta sœur qui ont fait de leur mieux pour t'élever et tu essais de le leur rendre du mieux que tu peux. Ce n'est pas tous les jours simples mais l'antérieur t'a appris à un très jeune âge et ta maturité t'ont toujours fait prendre des décisions mûrement réfléchies. Après tout, que tes choix soient bons ou mauvais, il y a toujours un revers de la médaille. « Tu pourrais être surprise, tu sais … je suis loin d'être si doué en tout. Par exemple, petit je restais toujours en retrait sans me mêler de quoi que cela soit et me faire des amis étaient compliqué. ». En effet, gamin tu ne pouvais pas attirer l'attention sur toi, de peur que l'assistance sociale ne viennent à mettre son grain de sel dans votre famille et quotidien. Mais au-delà de cette évidence, tu étais extrêmement solitaire à ce moment-là. « On me le reproche aussi, à croire que l'humilié est mal perçue de nos jours. Mais je pars du principe que rien est acquis alors … je continue de m'améliorer encore et encore. ». Tu en profites pour boire une gorgée de ton jus d'orange fraîchement pressé tout en ayant une œillade à la fois sur ce qui chauffent et sur les dires de la jolie blonde. L'intérêt que te porte Orphéa est loin de te déranger bien au contraire, cela vous permet de mieux vous connaître davantage. « On peut dire ça oui, mais je m'adapte à la vie en communauté et puis on passe de bons instants ensemble. Franchement, j'ai pas à me plaindre, ils sont cools. ». Tu avais créé des liens avec chacun de tes colocataires et plus le temps passé plus l'amitié se renforce. « Et toi, alors ? Tu es tout le contraire ou plutôt un mixte des deux ? ». Orphéa était la présidente de sa confrérie, elle avait le sens de la collectivité et de l'organisation. Tes amis ne manquaient pas de louer les projets des Adams. Quelques minutes s'écoulent et avec elle un silence profond où tes prunelles sombres rencontrent la clarté des siennes. Tu lèves ta main gauche pour replacé une mèche derrière sont oreilles. Un geste naturel mais sans doute as-tu été trop instinctif et tu décides de laisser ta main retomber. Et puis comme si elle pouvait lire entre tes lignes, sa place vient se placer sur a joué. Un toucher de velours où l’électricité est une sonorité presque sensuelle. Une poésie muette qui ne trouve vie qu'au creux de l'un des cinq sens : celui du toucher. Elle te pose alors une question directe et efficace. Un peu hésitante certes mais le rouge qui pare ses joues exprime un dialogue que tu attrapes au vol. Doucement, tu te rapproches d'elle, évinçant alors la distance qui pouvait exister entre vous. Un soupire léger effleure tes lippes alors que ton regard ne l'a pas quitté une seule seconde. Ta main droite se glisse derrière sa nuque, tes lèvres venant capturer les siennes avec une délicatesse qui traduit le respect et le bourgeon d'une alchimie qui prend forme au corps à corps. Un myocarde qui se fissure à son contact, un myocarde que tu gardais jusque-là sous l'armure de fer qui l'entoure depuis ta dernière souffrance.
@Orphéa Wertheimer
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with @Kobe Rockefeller Sourire qui reste ancré, douceur presque accablante qui repose sur son visage, sentiments et sensations d'apaisement lorsqu'elle se retrouve à ses côtés. Il portait cette aura dont elle avait besoin, le côté coloré et positif de la vie qu'elle avait mis trop longtemps de côté. En fait, peut-être qu'il lui faisait du bien. Elle a jamais posée son regard sur les bons garçons, préférant ses opposés alors que c'est les similarités qui sont capable de lui réchauffer le coeur. Ses mots qu'elle écoute, sensation de solitude par laquelle elle est aussi passée, elle connait la difficulté, pouvoir bien s'entourer quand on est différent et qu'on ne rentre pas dans les cases. Parfois le temps fait les choses, c'est en grandissant et récupérant assez d'assurance qu'elle a réussi à prendre sa place à l'université. Entourée des personnes qu'elle apprécie et d'une maison qui représente aujourd'hui une grande famille. Je connais cette sensation.. Et j'vois pas ça comme un défaut, c'est jamais simple de s'intégrer quand on est pas comme tout le monde.. Mais c'est pas pour autant qu'on est pas important. Les esprits qui apprennent à se connaître et qui semblent se compléter de plus en plus au fil de la discussion. Ils n'avaient pas le même vécus, mais des sensations bien similaire. Restons bienveillants et oublions les jaloux. Clin d'oeil qu'elle affiche, sourire de malice qui s'installe dans le coin des lèvres. Restons les mêmes et mettons de côtés ceux qui pourraient critiquer cette envie de s'améliorer à toujours être quelqu'un de meilleur. Un petit mixte, j'aime être dans ma bulle, mais j'aime aussi être entourée. Mais j'pense pas pouvoir vivre seule.. Je crois que ça m'angoisse. Les épaules qui se haussent, léger rire qui s'échappe. Atmosphère qui se détourne vers quelque chose de différent, parce que la sincérité n'a pas pu s'empêcher de s'échapper, une envie qui se profane au fond de son coeur depuis bien trop longtemps. Parce qu'un baiser, c'est peut-être rien, mais parfois, ça peut être le début d'une belle aventure. C'est peut-être de cette manière qu'on se rend compte si tout est bien réel ou pas. Silence presque oppressant dans l'attente de sa réponse, son coeur qui manque presque un battement lorsqu'il s'approche pour finalement attraper ses lèvres. Douceur endiablée qui s'échangent entre leurs lippes, sa main qu'elle remonte doucement contre la nuque masculine, ses cheveux bruns qui s'évadent entre ses phalanges. Coeur qui tambourine, les frissons qui parcourent l'épiderme. Baiser qui se prolonge et auquel elle a du mal à décoller, alchimie qui continue de transpercer l'écriture de cette nouvelle relation. Les lèvres qui se reculent, respiration qu'elle récupère, sourire idiot qu'elle ne peut s'empêcher d'aborder en le regardant. C'est encore mieux que c'que je pensais. Les joues rouges, petit nuage trop parfait qu'elle avait déjà du mal à quitter. Soirée qui continue d'avancer dans la bonne humeur, bon repas partagé, longues conversations échangés, les corps qui s'endorment dans le canapé au bout de la nuit, bercée par la télévision qui ne s'arrête pas. Soirée presque trop parfaite pour être oubliée.

fin :heaart:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)