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GABRIELA BORGIA
feat. daniella beckerman
aux cons,
ça les
— michel audiard
naissance
Indonésie, sous ses horizons, son éducation. Je suis née là-bas et j'en suis fière. Loin de certaines mentalités, loin de certaines personnes malveillantes. Ses paysages ont toujours été ce que je préférais là-bas. De grands et vastes zones vertes à l'infinie.
nom & prénoms
Borgia, de par mon père mais si vous voulez mon avis, je ne pouvais pas tomber mieux pour le coup, j'adore ma famille. Gabriela Nicola Maria, on va dire que un ne suffisait pas, et que deux non plus. Trois prénoms au moins, on est sûr qu'il y en a forcément un qui rentre dans les rangs.
nationalités
J'ai deux nationalités. Indonésienne de naissance, mais Italienne par demande en vue des origines de mon père, et j'en suis fière.
origines
Le mélange est intéressant je vous promet. Une enfant purement partagé entre la belle Italie et la splendeur indonésienne.
orientation sexuelle
Hétérosexuelle, même si au fond je ne sais pas si autre chose me correspondrait. Je ne suis pas très aventureuse, j'aime les hommes même quand ils font des erreurs.
statut amoureux
Célibataire. What else ?
études
Etudiante dans les arts, troisième année. Je n'ai jamais été autant à ma place que dans ce cursus.
bourse
Aucunement.
statut social
Aisée est faible mais reste le terme politiquement correcte.
job étudiant
Pour le moment, je n'en ai pas besoin. Mais je pense un jour vivre la vie américaine la plus simple possible. De toutes manières je n'ai jamais été très extravagante si vous voulez mon avis.
maison
ADAMS HOUSE, car il n'y a rien de plus beau qu'une passion pour avancer dans la vie.
Indonésie, sous ses horizons, son éducation. Je suis née là-bas et j'en suis fière. Loin de certaines mentalités, loin de certaines personnes malveillantes. Ses paysages ont toujours été ce que je préférais là-bas. De grands et vastes zones vertes à l'infinie.
nom & prénoms
Borgia, de par mon père mais si vous voulez mon avis, je ne pouvais pas tomber mieux pour le coup, j'adore ma famille. Gabriela Nicola Maria, on va dire que un ne suffisait pas, et que deux non plus. Trois prénoms au moins, on est sûr qu'il y en a forcément un qui rentre dans les rangs.
nationalités
J'ai deux nationalités. Indonésienne de naissance, mais Italienne par demande en vue des origines de mon père, et j'en suis fière.
origines
Le mélange est intéressant je vous promet. Une enfant purement partagé entre la belle Italie et la splendeur indonésienne.
orientation sexuelle
Hétérosexuelle, même si au fond je ne sais pas si autre chose me correspondrait. Je ne suis pas très aventureuse, j'aime les hommes même quand ils font des erreurs.
statut amoureux
Célibataire. What else ?
études
Etudiante dans les arts, troisième année. Je n'ai jamais été autant à ma place que dans ce cursus.
bourse
Aucunement.
statut social
Aisée est faible mais reste le terme politiquement correcte.
job étudiant
Pour le moment, je n'en ai pas besoin. Mais je pense un jour vivre la vie américaine la plus simple possible. De toutes manières je n'ai jamais été très extravagante si vous voulez mon avis.
maison
ADAMS HOUSE, car il n'y a rien de plus beau qu'une passion pour avancer dans la vie.
admission à harvard
Harvard. Ce n'est pas forcément un rêve d'enfant, mais il s'agit d'un rêve tout de même. Cette université n'est pas comme les autres et personne ne pourra dire le contraire. Elle est sélective mais dans le bon sens du terme. Alors ça valait le coup de s'y inscrire, de tenter sa chance. Surtout en vue du dossier de Gabriela qui frôle la perfection dans chaque domaine possible. Alors oui, passer les SATs n'étaient pas la chose la plus difficile pour elle, surtout avec ce cerveau d'artiste perfectionniste. Lorsqu'elle se lance dans quelque chose, elle n'abandonne jamais. L'école est sa seconde maison depuis toujours. Surement grâce à son père et aux ambitions qu'il forgeait dans ses enfants. Ecrire était loin d'être une contrainte. Alors elle avait raconté dans son essai son envie de se surpasser dans l'architecture. De la poésie qu'elle voit à travers chaque pierre présente sur un site. Des couleurs, des vitraux. De tout ce qui l'anime au plus profond d'elle lorsqu'elle se promène dans des ruelles. De l'Indonésie et de ses constructions particulières. Elle n'a pas eu de mal à ouvrir son coeur. Loin de là. Et se fût de même pour l'entretien qu'elle avait dû passer. Son coeur parlait pour elle. Sa détermination accentuait la discussion. Sa curiosité vivait à travers ses nombreuses questions pointilleuses. Elle voulait le meilleur pour son avenir. Et le meilleur, elle ne pourrait le trouver qu'ici.
caractère du personnage
anecdotes
us, as family
J'étais la plus jeune, la plus tendre et la plus docile de cette famille. Je me souviens encore de mes parents souriants à chaque instant ou ils posaient les yeux sur mon visage. Je les aimais, tout comme j'aimais mon frère. J'ai toujours été plus proche des hommes de ma famille. Surement parce qu'ils étaient plus intéressants et moins aptes à me laisser écouter leurs conversations. Après tout, une petite fille, c'est toujours pleins de curiosité. Et ça n'a rien à faire dans un monde d'homme, à en écouter certains. Pourtant, il n'y avait pas de mal à tout cela. J'adorais me faufiler partout, me cacher pour écouter. Entendre le rire de mon père quand il faisait des activités avec mon frère, me rendait toujours incroyablement heureuse. Il était le père idéal. La personne la plus fondamentalement en phase avec les siens. Il voulait le meilleur pour nous et ne nous laissait jamais sur le banc. Il m'a apprit à parler avec mon coeur, enfin, à travers l'art. Selon lui, c'était la chose qui me définissait, et même si à l'époque je n'avais pas compris sur le coup, aujourd'hui rien n'a plus de sens que cette phrase à mes yeux. you and me
Mon frère, c'est mon frère. Je l'aime d'un amour le plus pur possible. C'est simple, il n'a jamais haussé le ton sur moi et à toujours fait preuve de tendresse à mon égard. Malgré que ces traits de caractère ne soit pas accessible à tous, je ne saurais jamais le remercier de tout ce qu'il m'a inculqué. Il était le mouton noir. Pour tout le monde, sauf pour notre père, et bien sûr, notre grand-père. Je ne le voyais pas de cette manière non plus, mais je percevais ses différentes phases sur les autres. J'ai toujours eu cette facilité à percevoir l'aura de chaque chose et de chaque être vivant. D'après notre mère, je n'étais pas comme les autres, j'étais une enfant sensible. Et cette sensibilité se retrouvait sous différentes formes. school
Apprendre, comprendre, imprimer. À l'école j'étais une machine. Je n'avais d'ailleurs que très peu d'amis. En fait, j'en avais grand maximum deux si vous voulez tout savoir. Les livres sont des échappatoires du réel. Et je me cachais à l'intérieur à chaque minute de la journée. J'avais une imagination débordante à cette époque. Il faut tout de même ajouter que je ne lisais pas de livres de contes, mais bel et bien des bouquins sur l'histoire et l'architecture. J'ai toujours eu une passion pour les vitraux par exemple. Ces couleurs si différentes emmené à recréer un dessin biblique. C'était si beau et à la fois si intense. Au même niveau que les vitraux, vous pouvez ajouter les toitures indonésiennes traditionnels. Formé dans un élan presque vaporeux. Formant une vague à sa manière. feel love
Les filles ont toutes plus ou moins cette période ou elle commence à s'intéresser au sexe opposé. Et je ne dénote pas des autres. En fait, la seule personne à qui j'ai un jour fait confiance dans ma vie a seulement réussi à tout faire exploser en mille morceau. D'ailleurs mention spéciale à mon frère pour m'avoir sortie de cette soirée ridicule ou j'étais en larme tellement je haïssais le monde. Parce que oui, les coups de coeurs, ça n'arrive pas qu'aux autres. Et les coeur brisés non plus. Je revois ses yeux, je ressens son souffle. Ça me donne la gerbe tellement j'ai aimé cette personne. Il m'avait offert la possibilité de me libérer de cette gêne incessante que je pouvais avoir avec les autres, et je l'avais aidé à sortir le meilleur de lui-même dans ses cours. C'était clairement la représentation typique du beau mec assez ouvert d'esprit, qui ne se dirige que vers la paumé de service. Vous voyez ? Sauf que bon. À trop jouer au bon garçon j'avais lâché la bride pour le laisser entrer dans mon monde. Même si je n'aurais jamais dû. Il était ma première relation extra-familiale. Nous sommes restés un an ensemble. Un an et deux mois. J'ai dû le quitter pour la simple et bonne raison que ce minable ne savait pas gardé sa langue hors de la bouche des autres filles. Et ça, ça m'avait prit plusieurs mois pour m'en rendre compte. Techniquement, c'est presque comme si il avait eu envie que je le quitte. Je n'étais pas invitée à cette soirée, et il a insisté pour que je vienne. Chose que j'ai naturellement fait, pour lui. Certainement pas pour moi. Je voulais lui montrer que je savais m'amuser. Que j'étais quelqu'un de marrant. Mais passer plus de deux heures complètement seule dans un salon rempli d'inconnus, ce n'était pas agréable. Alors comme toute bonne copine, vous savez ce que j'ai fait ? J'ai été à sa recherche. Et en cherchant, on finit forcément par trouver. Même si je ne pensais pas que ce serait dans un des lits de l'habitation et encore moins avec la pétasse du coin en tenue légère complètement à côté de ses pompes. Je ne voulais pas l'entendre trouver des excuses, alors j'ai refermé la porte pour commencer à marcher tout en envoyant un message à mon frère. C'est lui qui m'a sortit de cette enfer. C'est lui qui a fait comprendre à mon ex que ça ne servait à rien de revenir. Que je ne comprendrais jamais. Mais... Vous savez ce qui est encore plus génial que ça ? Apprendre une semaine après que votre ex vous a trompé durant toute la durée de votre couple. Oui, ça, ça vaux un Oscar.her name
Est-ce que vous avez déjà essayé de connaître le côté de votre famille qui n'a jamais réellement fait cas de vous ? Ou même des vôtres ? Et bien, moi oui. Bien entendu, je ne règlerais jamais les différents envers les ancêtres Borgia, mais si jamais personne ne fait le premier pas, comment est-ce qu'on est censé apprécier quoi que ce soit venant de cette famille. Katalia c'était montrée différente avec moi. On a du parler pendant pas mal de temps avant que cette fille ne soit réellement de ma famille à mes yeux. Surement parce que mon père ne cautionnait pas cette relation a distance, et que mon frère me faisait la tête sans réellement le déclarer haut et fort. Je n'aimais pas les tensions. Mais tout paraissait si simple quand je parlais avec elle. Que bon, je fermais les yeux sur ma situation. Harvard. Elle me parlait d'Harvard. Plus elle m'en parlait, plus je rêvais de cette endroit. Passant les bouchés doubles pour réussir tout ce que j'entreprendrais là-bas. Je passais mes demandes, envoyais mon dossier. Mes proches ne savaient rien de tout ceci. Sauf mon frère. Et j'étais loin d'imaginer qu'il me suivrait dans cette folle aventure. Je l'avais su au moment où j'avais reçu cette enveloppe venant des Etats-Unis. sans bouger de devant ma boîte aux lettres j'avais fait une danse de la joie, sautant encore et encore de bonheur. Sauf que ... Deux enveloppes, c'était suspect. Je le savais. Il venait aussi. Il avait été accepté. Qu'est-ce que c'était que ce bordel ? Donc ouais, je lui ai tendu son enveloppe, le regardant intensément. Lui aussi était prit. Et au lieu de faire la tête, je sautais à ses côtés, droit dans son lit, me couchant a ses côtés en criant et rigolant de bonheur sur notre futur voyage. Je ne serais pas seule, tant pis, mais au moins, ma moitié serait là. Et avec un peu de chance il acceptera de parler avec notre cousine et on pourrait représenter une nouvelle branche de notre famille. Même si j'en avais que peu d'espoir connaissant le phénomène masculin. Un nouveau chapitre s'écrivait. Un chapitre si rose et si pailletté. error 404
La vie ce n'est jamais que tout rose ou tout noir. Et j'aurais dû le savoir. Deux jours avant le grand départ pour Harvard et les Etats-Unis, j'ai eu la merveilleuse idée de sortir pour fêter la fin d'une ère. Je ne suis pas fêtarde. Je suis encore moins résistante à l'alcool. Mais faute de ne plus revoir mes deux supers copines de toute une vie, je me suis dit que j'avais le devoir de prendre sur moi et de leurs faire plaisir en les accompagnant à une soirée soit disant " grandiose ". Je ne savais pas que comme d'habitude il s'agirait d'une porcherie, ni même que pour la première fois de ma vie j'allais connaître de la violence gratuite. En arrivant, je me souviens avoir dû boire quatre shooter avec elles. Que nous avons dansé comme si c'était la dernière nuit de nos vies, et que je ne me sentais pas bien du tout. Les images tournaient et ne semblaient jamais resté droite. Je ne contrôlais pas réellement mon corps, mais ce qui sortait de ma bouche... comment dire. J'essayais vraiment de le retenir. Nous n'étions pas là depuis très longtemps et c'était la honte d'être déjà malade alors que même le mec le plus crade de la soirée tenait encore sur ses jambes. Dans le jardin, je cherchais un endroit pour me soulager. Vous vous demanderez surement pourquoi je n'ai pas été au toilette, et vous auriez raison. Enfin, il faut savoir que c'était aussi mon premier choix, mais en vu de la queue d'attente, je n'allais clairement pas tenir. J'aurais surement terminée par vomir sur la personne devant moi, ou qui sait, j'aurais peut-être vomis sur moi. Quelle horreur. Tout ça pour dire que j'aurais surement mieux fait de me vomir dessus plutôt que de chercher un endroit à l'extérieur. Je ne sais toujours pas réellement ce qui c'était passé ou dans quel ordre, mais je me souviens tomber sur deux garçons dans un coin sombre et que l'un d'entre eux paniquait. Je me revois essayer de partir, mais quelque chose me retiens. Tout est si flou. Après je ne me souviens que de la douleur ardente dans mon bras gauche et de la sensibilité de mon visage qui avait quadruplé. Je me suis réveillée à l'hôpital, je ne sais toujours pas par quel miracle. Avec une épaule déboitée et un coquard à l'oeil. Mon frère avait un regarde fermé quant à mon égard. Je n'aurais jamais dû sortir ce soir-là. J'aurais mieux fait de continuer à être une pauvre fille asociale. new beginning
Deux semaines c'étaient écoulées depuis l'incident. Et j'étais finalement partie pour ma nouvelle vie. Je ne savais réellement pas à quoi m'attendre. Pourtant ma première visite du campus universitaire me confirmait une seule et unique chose. Harvard est merveilleuse. J'étais admirative devant les jardin, mais également face aux devantures des différentes maisons qui y étaient installés. L'odeur était différente de l'Indonésie. Je préférais celle de mon pays, mais je me gardais bien de le dire. Depuis mon léger trou de mémoire, je fais profil bas. Une casquette sur la tête, des vêtements plus ample que d'habitude. Je ne cherche pas les ennuis, je ne les aies jamais cherché à vrai dire. Donc dans la prévention, j'essaye de faire attention. Et de cette manière, je me débrouille seule. Pas que mon frère m'étouffe. Mais depuis qu'il m'a retrouvé à l'hôpital il a changé. Comme si on venait de casser sa boule de neige. Comme si les flocons n'existaient plus et que la magie l'avait quitté. Je l'aime, mais ce que je préfère dans cette histoire, c'est qu'à cause de ça je n'aurais plus jamais ce regard niais sur le monde. La méfiance est de rigueur, même si ce n'est pas tant naturel pour moi. Et même si au fond, je ne suis pas mauvaise, on a tous le droit d'avoir peur. Surtout ici, dans ce nouveau pays et dans cette nouvelle ville. & irl, ça donne quoi ?
pseudo meemo.lb
âge 26 ans, je commence à être vieille.
nationalité française, of curse.
forum connu par... par pur hasard en vrai, même si j'en avais déjà entendu parler.
ILH, j'en pense quoi ? pour le moment ? que du bien, ah.
autres comptes ? aucun autre compte.
avatar utilisé daniella beckerman
crédits images coeurcanif (tumblr//avatar)
nombre de mots par rp tout est une question de perspective, je peux écrire de 300/500 mots à 1000 mots et plus en fonction de l'inspiration et de la personne avec qui je suis.
type personnage scénario par @Katalia Borgia
Summer camp
Moi, pseudo de ton personnage, désire être : [] dans une équipe [] vacancier [xx] citizen
code études
histoire de l'art et architecture ;; department of art, litterature and history ;; troisième année ;; 2019-2026
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@"Gabriela Borgia" » <i>(histoire de l'art et architecture)</i>
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<span class="pris">DANIELLA BECKERMAN</span> <span class="scena"></span> @"Gabriela Borgia"
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