Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityça ne pouvait pas être plus humiliant ♥ROSALIA&KAELYN
Le Deal du moment : -16%
Friteuse sans huile NINJA Foodi Dual Zone 7,6 L 2400W ...
Voir le deal
135.01 €


ça ne pouvait pas être plus humiliant ♥ROSALIA&KAELYN

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le premier jour à l'université, voilà probablement la journée la plus importante pour te faire une réputation. Je souhaitais que tout se passe bien. C'était la première fois de ma vie que j'étais laisser à moi-même. Pour être honnête, j'y suis loin d'être prête dans ma tête. C'est maintenant que je me rend compte que le lycée à passer beaucoup trop vite. Donc voilà maintenant une nouvelle vie qui commence : nouvelle école, nouvelle ville et nouveau pays. Étant aucunement débrouillarde, je ne savais pas où me diriger. Pire encore, je ne savais même pas où j'allais dormir ce soir.J'aimerais pouvoir reculer, retourner avec ma famille d'accueil, mais rendu à l'âge de 18 ans, tu es laissé à toi-même. Quand j'étais adolescente, j'avais trop hâte de me rendre à cet âge. Mais voilà qu'aujourd'hui, j'aimerais tellement revenir en arrière.Je voulais que ce soit une journée parfaite pour moi. Je m'étais réveiller du bon pied ce matin, me disant prête à affronter ce nouveau monde. C'est en se retrouvant devant le gouffre qu'on a pas envie d'y aller.

Je me dirigeais vers l'entrée de l'université. Je ne pensais pas être autant nerveuse. J'avais mon sac sur le dos, avec quelque bouquin dans les mains. Je ne savais pas où me diriger. Je marchais le long des couloirs en regardant partout. Il y avait beaucoup de monde autour de moi. Alors que j'étais distraite et que je n'avais aucunement remarqué que mes laçais étaient défait, je sentis mes jambes flancher, me faisant ainsi trébucher par terre. Se fut l’humiliation pour moi. Tout mes livres se retrouvèrent par terre, incluant plusieurs feuilles qui étaient des dessins que j'avais fait. Tout le mondes marchaient sur ceux-ci. En relevant la tête, je remarquai que tout le mondes se moquaient de moi. Mon cœur débattait tellement rapidement que je me sentis pas bien tout d'un coup. Je tentai alors tant bien que mal de ramasser mes choses avant de courir vers la toilettes de filles et de m'asperger d'eau. Je sentis les larmes me monté au yeux. Ce n'était pas du tout le bon moment pour pleurer, mais j'avais tellement les nerfs à vif que je n'ai pas pu m'en empêcher. Je suis peut-être un peu trop fragile.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pour moi, aujourd'hui était une journée comme les autres. A peine réveillée, je m'était levée en sursaut : aujourd'hui, je ne devais pas être en retard. Une douche pour enlever les cernes qui prouvaient que je n'avait pas beaucoup dormit, ma toilette et enfin je m'habilla pour prendre mon sac et partir. Je n'avais pas très faim le matin-même et n'avait donc du coup pas déjeuner. Je sortit de la lowell house le sourire aux lèvres grâce à ce beau temps dès le matin comme d'habitude. Je ne put m'empêcher de penser à Londres, cette ville qui a une mauvaise réputation pour son temps alors qu'il n'y peut pas plus que dans d'autres pays. Je prit donc mes lunettes de soleil dans mon sac assortit à mes vêtements du jour que j'avais soigneusement préparés la veille. Je m'étais habillée toute en noire, avec un bandeau dans les cheveux et un sac marrons. Je n'étais pas très fashion, mais après tout, j'allais dansé et non faire un défilé de mode.
Alors que je passais dans le grand Hall, j'entendit des rires. Je me rapprocha et vit une fille courir aux toilettes, les larmes aux bords des yeux pendant que d'autres, des idiots, rigolaient d'elles. Au vu des feuilles et cahiers étalés par terre, elle venait de tombé et était surement nouvelle. Je fusilla du regard ces imbéciles et leur cria dessus :

- Vous n'avez pas honte ! La prochaine fois, on verra qui rigolera quand ça sera à votre tour de tombé !

De toute évidence, il ne me connaissait pas car il n'avait pas peur de ce que j'allais faire. Ils repartirent tranquillement, les mains dans les poches mais limite en train de m'insulter pendant que je me dirigeait vers les toilettes après avoir ramasser les travaux de la jeune fille.
Je poussa la porte tout doucement, histoire de voir si elle n'était pas derrière puis je m'arrêta. Je la dévisageait, sous le choc :

- Rosalia ! Mais qu'est-ce que tu fais là ?!

Je courut vers elle et la prit dans mes bras. Rosalia Connor, ma petite sœur adorée avec laquelle j'avais perdu contact pendant des années était là, devant moi, à Harvard !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

En ce moment, j'avais vraiment trop la honte. Comment voulez-vous que j'ai une bonne réputation après sa. Tout le monde de Harvard vont se moquer de moi lorsqu'ils vont me voir. Je pouvais maintenant faire une croix sur le fait de peut-être avoir un petit copain cette année. Je manque cruellement de confiance en moi. C'est probablement la raison pourquoi je n'ai jamais eu de copain. Même je dirais pire, je ne sais même pas ce qu'est un baiser, vu que j'en ai jamais reçu un. J'ai énormément de chemin à rattraper, donc le garçon que je vais rencontrer un jour à intérêt à être patient avec moi. J'avoue que tout sa me fait peur. C'est complètement de l'inconnu pour moi et je n'ai aucun point de repère. Peut-être que je m'en fais pour rien au fond., mais je suis incapable de penser à cette éventualité. Pour moi c'est clair, je ne suis probablement pas assez bien pour personne.

Je m'étais réfugier dans les toilettes des filles pour me cacher en pleurant. Il ne fallait que personne ne rentre, en tout cas c'est ce que je souhaitais. Si non on se moquerais de moi. Je tentais tant bien que mal de m'essuyer les yeux, mais j'étais tellement nerveuse et en panique que mes larmes coulaient tout seul. J'avais trop la honte. D'un coup, j'entendis la porte s'ouvrir. Mon coeur se mit à débattre, me disant qu'on allait encore plus se moquer de moi. J'entendis alors la personne dire mon nom. Qui pouvait connaitre mon nom ici? En me retournant, je vis ma grande soeur devant moi. J'étais sous le choque. Elle me demanda ce que je faisais ici avant de me prendre dans ses bras. Je ne savais pas quoi dire. J'étais tellement heureuse de revoir ma soeur ici. « Kaelyn » Dis-je alors alors avec une petite voix émerveiller. Alors qu'un "Je suis contente de te voir" aurait été plus de mise, je me mise alors à avoir un peu peur. « Sache que je ne t'ai abandonné. Je n'ai jamais voulu sa. Je n'ai jamais voulu partir rien de toi. Ce sont mes parents qui ne voulait pas qu'on se voit et je n'ai jamais su pourquoi. J'espère juste que tu ne me détestes pas après toute ses années. » Durant ces longues années, j'avais si peur qu'elle croit m'en veule de l'avoir abandonner. Je suis parti sans pouvoir lui dire au revoir et sans lui donner signe de vie par la suite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
D'habitude, j'était toujours joyeuse, mais cette fois-ci, j'avais du mal à tenir en place : je n'avais qu'une envie, faire demi-tour et mettre une bonne raclée à ces idiots, bouffons, trou du cul et j'en passe ! Je me contenta donc de rester là et de consoler ma petite soeur, que je n'avais pas vue depuis un moment quand même. Je me souviens encore de la dernière fois que l'on s'étaient vu. Nous étions encore à Londres et, comme ses parents ne voulaient pas qu'elle ai un contact avec moi, nous nous retrouvions en cachette. Mais un jour, alors que j'attendait Rosalia à notre rendez-vous habituel, celle-ci ne vint pas. Depuis ce jour-là, je ne l'avait pas revue. Et c'était ici, à Harvard que je la revoyait mais je ne pensais pa savoir de telles retrouvailles.
J'était fixer sur place et je n'arrivais pas à bouger. Je la tenait dans mes bras mais ne bougeait, la regardant pleurer sans rien y faire : a vrai dire, ça me faisait un choc, je n'avais pas vue ma soeur depuis je ne sais plus combien de temps et je la voyais la en train de pleurer aux toilettes. Je ne disait rien. Heureuse mais gênée. Rosalia finit alors par me répondre :

- Kaelyn. Sache que je ne t'ai abandonné. Je n'ai jamais voulu sa. Je n'ai jamais voulu partir rien de toi. Ce sont mes parents qui ne voulait pas qu'on se voit et je n'ai jamais su pourquoi. J'espère juste que tu ne me détestes pas après toute ses années.

Je ne m'attendait pas à ça. Elle croyait que j'allais la détester et lui dire que je la détestait alors qu'elle pleurait dans mes bras. Elle m'avait tellement manqué !

- Mais jamais je ne te détesterais ! Tu es folle !

Je l'écarta alors de moi doucement alors qu'elle essuyait ses larmes. Je la regardait et décida de parler d'autre chose :

- Ça va sinon ? Tu ne t'es pas fait mal ?
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)