Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(belgusto) don’t be a fool
Le deal à ne pas rater :
Code promo Nike : -25% dès 50€ d’achats sur tout le site Nike
Voir le deal


(belgusto) don’t be a fool

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
august 26th w/ @Belly Borghese trois jours qu’il était revenu de ses vagabonds européens et aucune présence n’avait pointé le bout de son nez à son appartement. comprenez par sa copine semblait être portée disparue. si l’idée, le deuxième jour, lui avait traversé l’esprit d’adresser un message bateau à son égard pour prétendre de s’inquiéter, cette idée disparut assez vite par manque de temps et préoccupations du nouveau restaurant qu’il tenait avec minjoo. la raison de son retour, la raison de toute personnalité impitoyable - le travail. belly fera son retour quand bon le lui chantera. en l’occurrence ce troisième jour, lorsqu’il s’était posé une petite demie heure dans leur cuisine, à la recherche d’un semblant de déjeuner qui suffira à leurrer son estomac qui crie famine. le bruit de clé qui s’enclenchait dans la serrure le fit d’ailleurs légèrement sursauter mais quand elle fit son entrée dans leur demeure, c’est un gusto visage de marbre, boisson en main, le sourcil droit arqué qu’elle fit face en premier. « ‘augusto, tu ne peux pas partir de boston sans me laisser un message’ que ma chère petite amie me grondait inlassablement ; la roue a si vite tourné belly borghese » ni de salutations ni de questions, direct une accusation en écho aux messages qu’il avait maudit au début du summer camp, ce sourire narquois collé aux lèvres, appuyant sa raillerie provocatrice.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
august 26th w/ @Augusto Calabrese la peau halée et cet immense chapeau qui te couvrait le visage. les iris visés à la vitre, paysage familier qui défilait sous tes yeux. les souvenirs plein la tête, de ce pays à jamais inscrit dans ton coeur. son astre luisant, ses saveurs incomparables ou encore le contact du sel qui te léchait la peau te manquèrent atrocement alors que le taxi effectua un mouvement brusque. arrêt marqué devant un haut bâtiment que tu regardas, main en visière et lunettes de soleil sur le nez. rétines qui durent accepter cette dure réalité, ce retour dans un rôle qui allait te rendre folle un jour. mine légèrement déconfite, tu esquissas un sourire face à ce compagnon de voyage qui descendit aussi du taxi, rencontre parfaitement fortuite et qui n'avait pas hésité après quelques jours enchanteurs de te proposer de rentrer avec lui. la main posée sur son torse, profitant encore de cette promiscuité qui risquait de ne pas se renouveler, tu l'invitas à monter tes valises. quelque part parce que cela t'arrangeait bien, mais pour montrer à l'autre là que tu restais indépendante et dont tu doutais déjà la présence. plus tard, tu ouvris la porte, tombant dans les bras du gus qui t'accompagnait pour l'inviter à entrer avant d'apercevoir sa présence à lui. à la fois désirée et non désirée. tu gloussas en voyant sa réaction, fière de ce grand chapeau qui cacha ta bonne humeur à cet instant avant de reculer, d'un air faussement gêné : — merci pour les valises et pour tout. il va falloir me laisser seule à présent. hésitant un moment, tu le pris par le coude pour le diriger vers la sortie. bisou envoyé par la main avant de refermer la porte derrière toi, et peinée d'entendre cette première réprimande de sa part. même après un mois sans le voir, son sourire te démangeait. tu avanças vers lui, avec ce port altier qui prouva que tu ne le laisseras pas t'atteindre si facilement : — je me suis pas lamentée pour autant que je sache, comme tu le vois j'ai vite réussi à passer à autre chose. référence à cette entrée aux bras d'un autre homme que lui. qu'il soit indifférent ou pas, tu restais fière. heureusement que tu l'avais vite poussé à la sortie, seul dieu savait de quoi un augusto était capable, et le confronter là après un mois était aussi satisfaisant qu'un gelato.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
une entrée tout aussi dramatique que son caractère. belly n’était pas seule, constat qu’il ne prit en compte qu’après l’accusation qui servait de salutations selon le langage gusto. un homme faisait guise d’ombre à la jeune femme et maudit soit-elle, une infime flamme de possessivité s’alluma instantanément en lui, ses doigts se crispèrent sur le satané sandwich qu’il tenait en main. malgré tout, son corps ne traduisait rien, l’italien se contenta d’observer la scène, toujours ce sourcil arqué, ses souvenirs d’été remettant vite ses entrailles sur le droit chemin. le spectacle se profilait ainsi devant ses iris très attentifs et lorsqu’elle daigna enfin prendre connaissance de sa présence, il intima ses pieds de bouger, jeta aussitôt son repas dans la poubelle à proximité. « tu l’as payé combien celui-là pour ce minable scénario ? préviens-moi la prochaine fois, je te ramènerai un gigolo de qualité au lieu d’un sac hors prix… » un rire jaune s’échappa de ses lèvres tandis qu’il s’approchait de belly, stature droite, imposante. fière. prêt à faire mal. comme quand il était provoqué, piqué. « … au moins t’en tireras peut-être ton premier orgasme de ces trois dernières années. » pour faire court, depuis la dernière fois qu'il l'avait touché. un pas les séparait dorénavant et il esquissait ce sourire on ne peut plus faux, salaud. puis amena doucement une main au visage de sa copine, dégagea du bout de ses doigts une mèche rebelle qui s’échappait de son chapeau. ces mêmes doigts caressèrent brièvement sa joue tandis que ses paroles résonnaient dans sa tête. ‘passer à autre chose’. vraiment belly, vraiment ? gusto était sans aucun doute le dernier des salopards infidèles mais benêt et crédule, par contre, ça ne rentrait pas dans son caractère. malheureusement pour elle. peu importe ce qu’elle jasait, il était conscient de la vérité; ses doigts emprisonnant dorénavant le bas de son visage étaient conscients de la vérité. son emprise sur elle. « dis-moi belly.. qui t’a donné la permission de faire rentrer des inconnus chez moi ? » qu’il finit par chuchoter, les lippes volontairement proches des siennes, les pupils dilatées, mâchoire serrée. une voix lui susurrait un ‘chez nous.’ mais il ne lui fera pas le plaisir de la satisfaire de ces mots lourds de sens, quand bien même véridiques.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
august 26th w/ @Augusto Calabrese
dès l'instant où vos iris s'étaient croisés, tu sus. malgré cette froideur qu'il affichait constamment à ton égard, tu compris. cela était inévitable, ce besoin de le provoquer histoire de le faire réagir, parce que tu voulais à nouveau ressentir cette infime flamme pour lui. semblant éteinte mais toujours présente quelque part en toi et qui justifiait cette envie de te faire passer pour une extravagante à ses yeux. pas folle, extravagante. peu importe la situation, tu daignais vouloir rester digne, même lorsque cela concernait un trait de ton caractère. tu souris donc intérieurement, partagée entre la joie de cette folie orchestrée sans réelle intention derrière et la crainte de revoir son minois exaspérant. tu sus l'espace d'une micro seconde que cela le déstabilisait, aucun message, aucune nouvelle de ta part, rien et tu débarquais chez lui, sans tracas, comme une fleur. quel plaisir, surtout si celui-là ne t'avait pas touché depuis belle lurette, contrairement à l'autre. sympa de sortir le couteau alors que tu sus pertinemment qu'il avait l'orgueil aussi gros que cet appart. sensible donc. mais tu t'en fichais royalement, son sale caractère, tu t'en acclimatais depuis le temps que tu le connaissais. mais cela t'amusait, plus que tu ne le pensais qu'il n'arrivait pas à faire l'impasse sur le sujet, alors que monsieur s'aventurait lui aussi ailleurs. un juron te démangeait fortement mais encore une fois, cela était indigne d'une borghese. les yeux dans les yeux, tu fis vraiment face à lui pour la première fois. — je suis grande et je n'ai point besoin de ton avis gusto, ni de me référer à tes goûts dans ce choix qui se révèlerait, je dirais particulièrement douteux. peut-être que tu fis mention aux demoiselles qu'il fréquentait en cachette, tu évitais de les rencontrer, plus par fierté que par curiosité, mais les quelques fois où tu te retrouvais face à une de ses conquêtes, tu cherchais toujours à comprendre ce qui te différenciait d'elles. ton prestige sûrement et tu arrivais aisément à te consoler avec cette info. mais une part de toi demeurait toujours attachée à lui, et souvent tu voulais te débarrasser de ce sentiment. la preuve, à nouveau il se montrait infect avec toi. même habituée à cela, tu restas ébranlée mais toujours calme. — ah, à présent, tu te préoccupes de mon orgasme ? tu me rassures, heureusement que je ne comptais pas sur toi, puisque celui qui m'a gentiment raccompagné se débrouillait pas mal. toi-même, tu t'étonnais de partir là-dessus, ne parlant jamais de tes exploits à ton faux petit-ami. encore une fois, il n'était pas ton petit-ami. celui qui t'entretenais, peut-être. — le fameux gigolo qui fait mieux que mon petit-ami... tu le piquais ouvertement mais tu préférais cela à une bonne claque, geste une nouvelle fois pas approprié pour une borghese. tu ne doutas pas une seule seconde du doux contact qu'il laissait sur ta mâchoire, ses doigts se glissant dessus. caresse presque agréable, geste qu'il n'avait pas effectué depuis longtemps. merde belly. tu voulus lui crier un va t'en gusto, laisse-moi. mais tu étais coincée entre lui et l'îlot de la cuisine, écoutant à demi ses mots. mots aussi durs que son caractère. mais il avait cette désagréable habitude de facilement te déconcerter, ce qui te déstabilisa. — chez toi ? tu sortis de ta torpeur et tes doigts manucurés repoussait doucement ses lippes. — il m'a raccompagné jusqu'à la porte, je l'ai pas invité chez toi. tu mentais effrontément, et honteuse tu lui tournas le dos. peut-être pas la meilleure idée mais mine de rien, il t'avait blessée, en décrétant qu'il était chez lui, en plus de n'avoir pas été présent le jour de ton anniversaire. ce n'était pas un fichu sac à main hors de prix qui changerait la donne. certes, c'était gusto mais vivement que cette comédie cesse alors. huit ans que cela durait et franchement, tu te demandais encore si t'étais prête à rempiler une année de plus avec lui. clairement, il perdait de l'intérêt à tes yeux là. tourments du coeur qui te firent oublier l'espace d'un instant tes soucis financiers.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)