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Can't help falling in love with you | ft Arlo

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Can't help falling in love with you | ft Arlo Calend10 the 06.08.2022 Can't help falling in love with you | ft Arlo Marker10 Essaouira, Maroc, SC 2022

L’excitation et l'euphorie de mon arrivée s’étaient dissipées doucement pendant cette première soirée passée en compagnie d'Arlo. Comme à son habitude, le jeune homme avait trouvé le moyen de canaliser toute l’énergie dont je débordais. Si les premières heures, j’avais eu du mal à tenir en place, à garder le silence ne serait-ce que deux minutes ou à ne pas sauter sur l’écossais pour réclamer un câlin ou un bisous, les choses avaient fini par se calmer d’elles-mêmes, lentement mais sûrement. J'avais commencé à apprécier plus calmement la présence du jeune homme quand la fatigue m'avait rattrapé, repensant mes gestes avec plus de douceur. Mon affection pour Arlo était indéniable, et avoir dû repousser nos retrouvailles pour une raison aussi terrible que la perte de ma mère avait créé en moi un maelstrom de sentiments que j’apprivoisais encore, mais qui semblait bien moins difficile à dompter avec la présence de l’écossais à mes côtés. Ma mère avait sûrement  raison quand elle disait que j’étais plus apaisé avec le jeune homme.

La nuit avait été courte, rythmée par diverses discussions, taquineries et petites attentions l’un pour l’autre, comme il me semblait en avoir toujours été le cas entre nous. Même si tout était quelque part très récent. Notre séjour commun à Paris ne datait finalement que d'un mois, et pourtant, les choses semblaient avoir considérablement changées. Les conséquences de deux coeurs qui s'étaient ouverts l'un à l'autre. Sincèrement. Je n’avais cependant pas cherché à lutter contre Morphée cette nuit, comme j’aurais pu le faire à d’autres occasions. Je sais que demain, je n’aurais pas à quitter Arlo, je savais qu’à partir de maintenant, nous pourrions profiter de nos journées et de nos nuits près l’un de l’autre. Mais cela ne m’avait pas empêché de me réveiller aux aurores, ou presque. De longues minutes à rester sage, ne bougeant que très peu ou faisant le moins de bruit possible avant de finalement chercher à réveiller le jeune homme avec de petits gestes de tendresse. Et qu’il en profite, parce que viendrait un jour où j’allais finir par sauter sur le lit pour le faire. Une matinée aussi douce que la nuit passée ensemble à parler et se préparer pour sortir, histoire de profiter autrement que dans la chambre d’hôtel malgré tout. « Où est-ce qu’on va ? Qu’est-ce qu’on va faire ? » Je questionne Arlo, ayant un peu de mal à tenir en plus. C’était lui qui avait pensé au programme de notre journée, et si je ne m’inquiétais pas des activités qu’il nous avait réservé, j’avais quand même hâte de les découvrir.


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L’impatience était un trait qu’Arlo découvrait, il l'avait déjà connu, surtout enfant, mais jamais autant et jamais pour quelqu’un. C’est un détail qui semble toujours ravir celui qui est réputé pour ce petit défaut qui semble, aux yeux de l’écossais, n’être qu’un qualité de plus. Il l’avait retrouvé à l’aéroport, plusieurs heures avant même l'horaire d'arrivée de l’avion, tellement hâté de retrouver celui qui fait battre son coeur qu’il avait lu rapidement les informations du vol, retenant l’heure qui l’arrangeait, ne cherchant pas plus que ça à vérifier avant de partir, il ne voulait simplement plus attendre. Par cette maladresse, il avait rendu sa patience encore plus fine, voyant les avions se poser jusqu’à enfin retrouver Antoine, débordant d’énergie comme à son habitude. En quelques secondes, il ne regrettait plus sa grande attente, ce grand sourire lui mettait instantanément du baume au cœur. Les premiers instants, ils ont tenté de faire comme si de rien était, jusqu’à arriver dans le taxi où les gestes s’étaient défait de cette retenue, puis ce sont les baisers qui s’échangaient plus librement une fois à l'abri des regards dans la chambre d'hôtel qu’ils allaient partager. Le temps passa rapidement et l’engouement retomba vers une douceur et un partage à cœur ouvert. C’est d’ailleurs ces moments qui ont rassuré Arlo dans son intention de faire de cet homme, son petit ami.

Ils avaient rapidement retrouvé le confort de leur lit, et comme à Paris, ils laissent le temps filer dans les bras l’un de l’autre, ponctuant chaque instant de gestes et de paroles plus ou moins évocatrices de ce qu’ils éprouvent. Leurs sentiments étaient indéniables, Arlo en était plus que convaincu, et il le savait depuis un mois déjà. Cette nuit du summer camp était différente de la dernière qu’ils ont partagé, mais avec un peu chance, elle sera aussi différente de celles qu'ils partageront dès demain. Le programme était déjà tout tracé dans l’esprit d’Arlo, mais il avait simplement stipulé qu’il voulait vraiment passer cette journée complète avec le couturier, sans lui expliquer ses plans ni ce qui l’attendait. Arlo avait tendance à dormir jusqu’à ce que quelque chose le perturbe, une alarme souvent, mais aujourd’hui ce sont quelques gestes doux qui effleurent sa peau qui prennent ce rôle. Mais l’écossais ne semblait pas être le plus réactif, et grimaça dans un premier temps en fronçant le nez, se cachant contre le torse d’Antoine. Il avait dû taper un peu dans la réserve sa patience en prenant son temps pour se réveiller et immerger. Mais une fois une bonne douche prise et l’esprit sorti de la brume, ils se préparaient ensemble pour une balade sous les questions du français “ Mh, je ne sais pas si je devrais tout te dire, mais pour le moment, on va faire un tour dans la ville, peut-être au marché puis on va manger quelque part, et oui j’ai déjà choisi où ” Il voyait bien venir la question, et ne prendrait pas d’autres propositions, premièrement parce qu’il avait déjà réservée et ensuite parce qu’il avait avec soin choisi le cadre; un petit salon typique, plein de verdure, prônant une ambiance d’un romantisme subtil. Mais le moment le plus important de cette journée allait prendre place, si tout se passe bien, dans une petite crique avant la tombée de la nuit.



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Je ne sais pas si Arlo en avait conscience, mais je venais de lui offrir un des réveils les plus doux possible. D’autres pourraient témoigner en ma faveur, affirmant que je faisais rarement preuve d’autant de patience, surtout face à ce si peu de réactions. Il lui avait fallu un moment pour réagir, grimaçant légèrement dans un premier temps avant de venir se cacher contre moi. Un comportement touchant qui ne m’avait pourtant pas fait oublier qu’une belle journée - en tout cas c’est ainsi que je l’envisageais - nous attendait et que plus tôt Arlo ouvrirait les yeux, plus tôt elle commencerait. Alors pas question de laisser l’écossais retourner au pays des rêves, même si je prenais note pour les prochains jours de le laisser profiter de quelques heures de sommeil supplémentaires, surtout après un coucher tardif. Pendant plusieurs minutes, je laisse mes doigts effleurer son bras avec douceur, remontant parfois jusqu’à son épaule sur laquelle je viens déposer un tendre baiser à quelques occasions. J’avais tendance à l’oublier facilement, agissant souvent puérilement, mais lui n’était pas beaucoup plus âgé que moi et dégageait aussi parfois une certaine vulnérabilité par moment que j’appréciais de découvrir.

Malgré l’impatience, je le laisse émerger à son rythme, ne cherchant pas à presser le moment où il ouvrirait les yeux, ni celui où il quitterait le lit. Après quelques minutes, je le regarde enfin se redresser lentement et le laisse aller à sa routine matinale l’observant dans chacun de ses gestes, rendant les miens bien plus maladroits. Mais pas mon esprit. Bien réveillé, les questions sur le programme de la journée affluent. Arlo s’était chargé de tout, mais je ne peux m’empêcher de me dire qu’il y avait sûrement une surprise qui m’attendait à un moment dans celle-ci. Déjà parce que j’étais certain que l’écossais chercherait à me faire plaisir, mais aussi parce qu’il avait clairement demandé à ce que cette journée ne soit que lui et moi, ce que j’avais accepté sans discuter. Ca me convenait parfaitement comme programme. Terminant de mettre de l’ordre dans mes cheveux, je me tourne vers l’écossais, penchant un peu la tête et fronçant légèrement les sourcils à l’écoute de ses réponses. « Donc si je comprends bien, tu as vraiment tout prévu pour aujourd’hui ? Hmmm. »  J’essaye de réfléchir à ce qu’il a pu penser où imaginer mais difficile avec ma connaissance limitée de notre environnement. Je viens au plus près de lui, sourire aux lèvres, laissant mes doigts s’égarer sur son corps. « Je n’ai aucune idée de ce que tu as prévu, mais tu sais quoi, je vais quand même te suivre avec le plus grand plaisir. » Ma main remonte le long de son cou pour venir se poser sur sa joue tandis que mes lèvres viennent chercher les siennes dans un baiser langoureux. « On y va ? » Clairement, j’étais impatient de vivre cette journée à ses côtés.
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Depuis tout petit, Arlo avait cette capacité à tomber facilement assoupi, un peu partout, et à trouver un grand confort dans son sommeil, qu’importe sa qualité. Et bien que le tirer du lit n’était pas si complexe, le tirer du sommeil était plus complexe, et c’est ce à quoi se confrontait, avec une grande douceur Antoine.  Une grimace, un petit gémissement plaintif et la recherche d’un abri pour protéger ses rêves dans les bras de celui qu’il aime. Il sentait contre sa peau, des doigts se balader, il rendait les baisers sur le torse contre lequel il est niché. Il sortait petit à petit de ses songes, montrant celà avec autant d’affection qu’il recevait. Quand il se sentit prêt, après tout de même quelque minutes, une voix rauque et légèrement tiraillante demanda un petit “ T’as bien dormi ..? ”. Il profita d’un dernier câlin avant de se redresser, étirant ses bras et son dos assez lentement. Un baiser sur la joue du français et sortit du lit, l’invitant à aller prendre sa douche pendant qu’il va leur chercher le petit déjeuner pour prendre la sienne après. Il s’occupait d’abord de son estomac, puis de son hygiène et enfin s’offre un petit plaisir matinal avant de prendre en main ses responsabilités.

Les questions ont rythmé ce début de matinée, intrigué par le programme, Antoine n’allait pas se retenir pour l’exprimer. Il y répondait le plus vaguement possible, voulant garder le mystère le plus intacte possible. Révélant seulement qu’il voulait partager ces moments avec lui, rien qu’eux, espérant qu’eux allait prendre une nouvelle dimension dès ce soir. “ Exactement, presque dans les moindres détails ”, il savait où aller, quand, et surtout, quelle serait la fameuse surprise qui devait piquer la curiosité du couturier. Ses mains se perdent sur le corps encore assez découvert d’Arlo qui lui dépose un léger baiser en retour “ Super, je pense que tu seras pas déçu, si tout va bien, assez loin de là ” De quoi le faire réfléchir et poser des questions pendant quelques heures. Le petit baiser devient un vrai, les mains de l’écossais viennent épouser les hanches du plus curieux. “ Laisse moi juste enfiler ma chemise et on peut y aller ”. Il récupère cette dernière sur le bord du lit, l’enfile et la boutonne.

Ils se promènent, côte à côte, allant dans un magasin de tissus aux motifs et couleurs traditionnels, de quoi se régaler les yeux. Ensuite un tour dans le marché, où ils naviguent entre des tissus, des vêtements, des plats typiques et des produits brut. Ils en profitent pour goûter ce que le pays peut leur offrir et ainsi mieux choisir le restaurant. Si la matinée était dédiée à la visite, l'après-midi était concentrée sur leur relation, et ce qu’elle pourrait devenir, le stress d’Arlo revient par moment comme des piques, mais quand il regarde Antoine, le pic redescend dans une simple expiration. “ Maintenant on va un peu s’éloigner de la foule si ça te vas, il y a un peu de marche mais ça vaut le coup ” après une randonnée qu’il avait menée durant une journée libre, il avait trouvé un merveilleux endroit, un beau point de vue à l’écart du centre de la ville, on pouvait cette mer bleue à portée de vue. C’était cliché, mais avec un peu de chance, ça lui plaira.


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Le réveil n’a jamais été quelque chose de compliqué pour moi. Il n’y avait qu’aux lendemains de soirée, quand l'alcool faisait plus de dégâts que la fatigue que je me surprenais à traîner au lit, à rester sous les couvertures, à attendre que mon corps veuille bien réagir sans douleur. Même pendant des épisodes de déprime, ou de grosse fatigue émotionnelle, ce n'était pas la façon dont je procédais pour m'en remettre. Au contraire, j'avais vite tendance à sacrifier mon sommeil pour une activité qui m'occuperait vraiment l'esprit et m'empêcherait de penser. C'est plus ou moins  ce qu'il s'était passé ces derniers jours, à Paris. Je n'avais cessé de dessiner, de croquer mes tenues en compagnies de Baptiste, pour avoir toujours une façon de détourner mon esprit de la perte que nous subissions. Ce n'était donc pas surprenant - pour moi - de me voir réveillé avant Arlo, déjà prêt à quitter le lit alors que lui se réveillait doucement. Un peu trop doucement à mon goût, mais je ne pouvais décidément pas commencer nos vacances en le réveillant sauvagement, en le secouant ou en sautant sur le lit. Pas sans prendre le risque qu'il en ait déjà marre de moi et demande à faire chambre à part pour le reste du séjour. C'est donc en douceur, par de petits baisers et caresses que je réussi à lui faire ouvrir les yeux, que son corps se détache doucement du mien pour éveiller ses muscles. « Oui. J'ai l'impression que ça faisait une éternité que je n'avais pas aussi bien dormi. » Que j'avoue un peu timidement. Il faut bien avouer que c'était peut-être le cas, ayant des difficultés à trouver le sommeil depuis de nombreux jours. Des jours sombres, liés à une cruelle douleur qui pour le moment, occultaient un peu trop facilement ceux qui autrefois étaient radieux.

Une fois sorti du lit, le temps semble s'écouler à nouveau normalement. Tout s'enchaîne, dans une belle organisation proche d'une routine bien réglée qui n'existe pourtant pas. Douche, petit-déjeuner et préparation se font, rythmés par mes questions sur le programme de notre journée qui m'est encore inconnu, et qui, aux vues des réponses d'Arlo, le restera jusqu'à ce que je découvre les étapes de notre sortie au fur et à mesure. « Est ce que je dois m'inquiéter que tu ais tout pensé dans les moindre détails ? Parce que ça pourrait presque sonner comme un crime prémédité. » Évidemment, je ne crois pas Arlo capable de me faire du mal, mais j'espérais que cette petite pique me permettrait au moins d'avoir un indice, de sortir du flou absolu. « Je ne suis jamais déçu avec toi, alors c'est pas ça qui va m'aider à réduire les possibilités. » C'est d'une moue quelque peu renfrognée que j'accepte le baiser de l'écossais, encore trop plongé dans ma réflexion. « Mais je vais continuer d'y réfléchir en chemin. » Pour sûr, je n'allais pas cesser d'y réfléchir jusqu'à notre retour.

La journée passe à une grande vitesse, peut-être même trop vite pour réellement profiter de ce que la ville a à offrir. On se perd entre les couleurs, les parfums, sans pourtant trop s'éloigner du programme d'Arlo. L'écossais avait, semblerait-il, ès bien cerné mon caractère très bien cerné ma façon d’être, et ma tendance à tout observer, à vouloir tout voir. Je ne sais d’ailleurs pas comment il a réussi à me suivre sans me perdre dans la foule, tandis que je dévie de trajectoire toutes les cinq minutes et que sa main ne peut se glisser dans la mienne pour me temporiser. Je regarde Arlo curieusement, persuadé que notre journée allait se faire au milieu de la foule. « On va où ? » Que je demande, essayant d’obtenir quelques infos. « As-tu trouvé une nouvelle crique pour pouvoir me faire des bisous tranquillement ? Je commence à être en manque là ! » Naïf et taquin, mais sincère. Ca me faisait bizarre que la distance physique soit si grande entre nous, même si c’était nécessaire pour notre sécurité.
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Quand il était stressé, parce que des examens ou des performances se rapprochaient, Arlo avait la fâcheuse tendance à finir par s’endormir sur les touches de son piano. Ses phalanges encore en mouvement alors qu’il piquait du nez sur ses dernières. On pourrait imaginer que le bruit de son visage s'écrasant sur le clavier le réveillerait aussitôt, mais quand on grandit dans une maison où l’art, aussi bien visuel qu’auditif est envahissant, le bruit n’est plus une épreuve pour Morphée. Alors lui murmurer des petits mots doux pour le tirer de ces bras métaphoriques n’avançait que rarement la situation. Et ce matin ci ne fait pas exception. Ce sont les légers baisers contre sa peau qui le font doucement émerger. Après un moment de réconfort face au constat qu’il est sorti de ses rêves, il s’étire et de sa voix matinale engage la conversation “ Je peux comprendre, c’est apaisant d’avoir quelqu’un à ses côtés ” surtout quelqu'un que l’on aime dans des situations où l’on perd le goût d’aimer.

Ce n’est pas la première fois qu’ils se préparent ensemble un matin, chacun va à ses tâches sans couper celles de l’autre, comme un ballet bien répété. Les questions d’Antoine restent sans réponses, quelques options évidemment irréalisables sont offertes par l’écossais, tournant en dérision l’avis du français sur les surprises. “ J’ai même choisi ta housse mortuaire pour te dire à quel point j’ai tout pensé ”. Loin d’une réponse romantique, il préfère garder précieusement sa surprise et sa grande demande quitte à se moquer une nouvelle fois de la curiosité dont fait preuve Antoine. “ Tant mieux, parce qu’on va bientôt devoir se mettre en route ” Il rit un peu face à la moue affichée contre son baiser. “ Tu peux réfléchir autant que tu veux, tu n’auras de réponse qu’au moment voulu ” Parce qu’il ne compte pas cracher le morceau, loin de là. Cette question envahit son esprit depuis un moment déjà, il se dit qu’ils sont prêts, du moins Arlo l’est, et espère sincèrement que ce soit un désir réciproque.

Le planning était peut-être un peu chargé. Le pianiste voulait offrir une visite des beauté de la ville qu’il avait découvert. Un aperçu de cette culture dans laquelle il baignait depuis quelques semaines. Tous ces décors et petits sons l'inspirent et il veut le partager avec le créatif qui l’accompagne. Les activités s'enchaînent et semblent lui plaire, ce qui ravi - et rassure - Arlo. Même si il a pu découvrir une nouvelle inquiétude qu’il n’avait pas vu venir ; le fait de perdre le couturier dans la foule. Heureusement, il ne détache pas son attention et arrive à suivre ses distractions. “ Un peu plus loin ” répond Arlo sur un ton taquin. Ses yeux s’écarquillent alors qu’Antoine demande s'il s’agit d’une petite où s’embrasser comme celle qu’ils avaient déjà explorée. Il lui fait signe, index devant les lèvres, de ne rien dire de plus, retenant un rire. “ Tu verras bien, pour le moment suis-moi, et préviens moi si tu vas regarder autre chose, c’est pas le moment de se perdre ”. La marche était un peu plus longue que ce qu’on qualifie de ‘un peu plus loin’. Après une vingtaine de minutes de promenade, quittant les routes pour des plus petits sentiers avec une pente qui peut fatiguer les mollets, ils voient le ciel qui vire à l’orangé. Une sorte de petit parc avec deux bancs et plusieurs plantes fleurissant dignement les attendaient. Le soleil couchant se reflète sur l’eau claire. “ Alors, tu aimes bien ..? ” Il est un peu hésitant, une peur que le résultat de la randonnée ne lui plaise pas. Peur aussi qu’il n’aime pas la question qui dans quelques minutes allait franchir ses lèvres.


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C’est quelque chose que j’avais un peu négligé ces dernières semaines, le sommeil. Il faut dire qu’allonger seul dans mon lit à ne rien faire, j’étais vite rattrapé par la tristesse et le deuil. Je me laissais alors submergé par l’émotion, par la tristesse, mais aussi par les souvenirs. Des souvenirs autrefois doux qui ne faisait désormais qu'accentuer combien la perte était grande. Le sommeil ne gagnait donc que par la fatigue, quand le corps et l’esprit abdiquaient face à celle-ci, et non pas par bien-être. C’était la différence majeure avec cette nuit, dans laquelle j’avais accepté de me laisser cueillir par le sommeil, mais aussi pendant laquelle je n’avais pas cherché à fuir le lit. Je m’étais couché avec Arlo à mes côtés, dans une humeur étrangement calme, et me réveillais dans les mêmes conditions. Dire que ça présence ne faisait que m’apaiser était donc un doux euphémisme que je ne pouvais qu’approuver ce matin là. En réalité, il recollait les morceaux et renforçait les piliers qui menaçaient de s’écrouler. Sans même le savoir, il apportait à mon cœur plus que quiconque. Mais je ne boude pas mon plaisir ce matin là de venir le taquiner doucement chaque fois que j’en ais l’occasion, redevenant un peu plus le garçon espiègle qu’il avait l’habitude de connaître.

Comme une routine bien ancrée, nous nous préparons l’un à côté de l’autre, sans vraiment s’interrompre ou se gêner si ce n’est volontairement, comme quand j’insiste un petit plus auprès de l’écossais pour avoir une réponse sur le programme de la journée qu’il refuse de me dévoiler. Ou quand les idées qu’ils proposent sont trop surréalistes pour être vrai. Mais ma curiosité inassouvie n’entache rien à ma bonne humeur, ni à ma capacité de plaisanter sur bien des choses. « Wouah ! Donc tu confirmes donc avoir mis au point le crime parfait ! Du coup, j’espère que t’as choisi quelque chose d’élégant et raffiné, sinon, je viendrais te hanter pour l’éternité. » Je lui tire la langue. A défaut d’avoir une véritable réponse, il fallait bien que je puisse en rire aussi. J’ajuste une dernière fois ma tenue en observant le miroir avant de partir pour cette journée surprise qui m’attends, non sans voler un dernier baiser à l’écossais. « C’est ce qu’on verra ! » Après tout, je savais être très insistant quand je le voulais.

La journée se passe dans de bonnes conditions alors que nous profitons de la ville. Et il faut avouer que dans celle-ci, je me laisse complètement absorber par ce qui m’entoure, oubliant complètement les mille - au moins - questions que j’avais à poser à Arlo sur notre programme. Au final, je deviens un enfant émerveillé par le monde qui se laisse porter sans réfléchir, allant là où mon attention est captée, oubliant parfois même de faire attention à ne pas me perdre dans la foule, n’ayant pas la main de Arlo dans la mienne pour me retenir ou me canaliser comme c’était le cas à Paris. Mais l’écossais parvient à me suivre me temporise quelques secondes pour m’annoncer que notre balade allait suivre une autre direction. Et là, les questions reviennent, et je ne réfléchis pas à la teneur de mes propos quand les premières franchissent mes lèvres. Au geste d’Arlo, je me mords la lèvre inférieure dans une légère grimace traduisant combien je suis désolé tandis que je hoche la tête. J’avais définitivement pas réfléchi sur ce coup là. « Oui chef ! » Cette fois, je suis Arlo, prenant bien le temps de le prévenir chaque fois que je veux m’arrêter ou dévier un peu du chemin pour aller voir quelque chose. Des arrêts moins nombreux, mais qui rallongent tout de même notre balade, d’autant plus que Arlo semblait avoir un sens bien à lui de “un peu plus loin”. Mais ça valait le coup. En haut du sentier, une vue imprenable nous permet d’observer le soleil se coucher, teintant le ciel de couleurs chaudes. « Wouaaah ! » C’est ma première réaction sur le sujet mais aussi probablement la plus sincère. « J’adore ! C’est magnifique ! On va rester ici jusqu’à ce que la nuit tombe ? » Je questionne Arlo, remarquant en plus la présence de deux bancs sur lesquels s’installer pour finir d’observer tranquillement le spectacle céleste.
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@Antoine St-Laurent


Bien qu’il essayait d’être aussi présent que possible, de l'appeler pour faciliter son sommeil, il savait très bien que cette période était dure à vivre pour Antoine. Essayer de réconforter une peur n’est pas aussi simple qu’une peine immense. Il n’avait jamais connu ça, toute sa famille proche allait bien et ce d’aussi loin qu’il pouvait se souvenir. Alors près de lui il voulait réussir à lui sortir de la tête ce démon qu’il ressassait, les doigts qui se baladent dans ses cheveux, des murmures de petites histoires ou des bribes de mélodies.  Le matin les petites attentions se sont inversées, Antoine devait sortir Arlo de ses rêves, puis du lit, même si la première étape était plus ardue.

Ils avaient depuis quelques années semé les prémisses des habitudes que leur couple allait suivre. Ils se préparent comme ils le faisaient, mais cette fois s'interrompent avec quelques baisers, des gestes ou des mots que leur amitié ne pourrait pas assumer. Mais les rires avaient toujours été présents, ce matin bien plus du côté de celui qui a préparé la journée que de celui qui s’apprête à la subir sans même une idée de ce qui l’attend. Arlo tenait à la surprise, parce qu’elle allait construire avec soin ce moment dont, si tout va bien, ils se souviendront pendant des années. “ Si c’est pour t’avoir auprès de moi, je pense que je vais te jeter dans une benne à ordure, ou des égouts” Il rit et pose ses lèvres sur la joue de celui qui fait battre son coeur sur un rythme parfois aléatoire. Il se place derrière lui devant le miroir et lui murmure un “ Magnifique ”. Après un dernier baiser, ils s’apprêtent à partir.

Les surprises et étapes de ce plan semblent bien se dérouler, du moins d’après le visage radieux d’Antoine. Les questions se sont stoppées pour profiter du moment, comme il l’avait espéré. Mais la partie qu’il n’avait pas envisagée était bien comment ne pas le perdre si il ne peut pas le tenir un minimum ? Et bien il n’avait pas la solution, il essaye donc de coller ses pas, de parfois rappeler son attention. La main sur son épaule pour le stopper dans sa marche, il la retire rapidement pour lui expliquer la suite de la journée. Plus ils s’espacent de la foule, plus ils peuvent retrouver leur complicité même si les gestes restent absents. Quelques personnes les entourent encore ce qui fait monter le rouge aux joues d’Arlo, ce n’était pas le genre de chose à évoquer, et Antoine le réalise très vite. Un petit sourire en coin se dessine suite au ‘oui chef’, cachant peut-être un rire ou une surprise appréciée. Il suivait Antoine sur les détours qu’il demandait, faisant attention à ne pas rater le meilleur horaire pour ce qui suit. La route semble fatiguer Antoine, qui n’avait pas bien compris les estimations minimalistes de l’écossais. Mais la réaction ressemble à celle qu’il voulait voir, ce qui lui offre un grand sourire mais aussi une petite suée. Il allait devoir poser la fameuse question. Heureusement pour lui, Antoine est toujours le plus rapide pour poser des questions “ Super, on peut rester là aussi longtemps que tu veux ” Il l’invite à venir s’assoir, prenant discrètement sa main dans la sienne, soufflant un coup et prenant quelques instants pour chercher ses mots. “ Mh, tu sais, je t’aime ” il souffla de nouveau pour essayer de gérer la pression qui commence à l’envahir “ Je t’aime vraiment, et je voulais te demander si.. Tu penses qu’on pourrait devenir petits-amis, enfin pas forcément maintenant si t’es pas prêt ” Le voilà qui cherche des excuses au non qu’il pourrait se prendre avant même d’entendre sa réponse. Il parle rarement autant que quand le stress l’envahis.



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Can't help falling in love with you | ft Arlo Calend10 the 06.08.2022 Can't help falling in love with you | ft Arlo Marker10 Essaouira, Maroc, SC 2022

Ma langue ressort naturellement dans une grimace adressée à l'écossais pour ses plaisanteries douteuses auxquelles je ne crois pas une seule seconde, mais sur lesquelles je m'amuse à surenchérir. Il n'est pas agressif Arlo, ni violent, et il a tellement pris soin de moi que je n'ai pas l'ombre d'un soupçon que tout cela puisse, ne serait-ce qu'un seul instant, être vrai. Depuis plusieurs heures, il atténuait même la douleur qui perçait mon coeur, par sa présence, son sourire et ses gestes doux. Il était le calme qui prévenait de la tempête que je pouvais me révéler être à tout instant, me protégeant de moi-même. Alors, il pouvait plaisanter autant qu'il le voulait sur la possibilité d'avoir mis au point le crime parfait, je n'en croirais pas un mot. « A ce compte là, jette moi dans la mer, ça sera encore plus simple. » A condition qu'il veuille faire simple. Et puis quelque part, il y avait surement plus affreux comme dernière demeure. Même si je préférais ne pas m'attarder sur celle que je voudrais avoir une fois que l'inéluctable arriverait. Heureusement, Arlo me distrait rapidement par ses baisers, et la présence de son reflet dans le miroir. Il était beau, et il provoquait en moi tout plein des sentiments sur lesquels j'avais encore un peu de mal à mettre des mots.

La journée passe à une vitesse folle, comme si le temps s'était arrêté ces derniers jours, pour reprendre sa course soudainement. Peut-être était-ce le cas, peut-être était ce les effets normaux du deuil, lorsque l'on l'impression que son monde s'écroule. Un monde qui se reconstruit auprès d'Arlo, un monde qui reprend vie dans une ville qui ne me rappelle pas celle que j'ai perdue, dans une ville qui ne s'arrête pas, dans une ville où les rires, les discussions sont partout, étouffant le silence sans même y penser. Une ville qui ne ressemble en rien à la Paris que j'ai laissé derrière moi, qui semblait tout simplement avoir perdu de son énergie. Tout comme moi. Une énergie que je ne tarde pourtant pas à retrouver, naviguant entre les échoppes sans jamais vraiment prendre le temps de prévenir celui qui m'accompagne, comme si c'était le vent qui me portait entre les allées, insaisissable. Et quand Arlo arrive enfin à me stopper, je m'étonne qu'il ait réussi à me suivre avec tant de faciliter où plein d'autres personnes m'auraient rappelé à l'ordre il y a bien longtemps pour que je cesse de partir dans tout les sens, comme un enfant.

Cette fois, c'est à moi de suivre l'écossais, ce que je fais, le prévenant chaque fois que je dévie du chemin qu'il nous ouvre, respectant sa demande à la lettre. Après plusieurs minutes de marche qui tiennent plus du " il y a de la marche" que du "il y a un peu de marche" nous arrivons au bout d'un sentier, donnant sur la mer, sur laquelle le soleil commence à se coucher. Je m'approche le plus possible du bord, émerveillé par ce spectacle naturel que j'apprécie pleinement. Ma main dans celle d'Arlo, il m'attire vers un banc pour que nous puissions nous assoir, ce que mes jambes apprécient après cette belle journée de marche. Mes doigts caressant ceux de Arlo, je reporte toute monde attention sur lui quand j'entends une certaine hésitation derrière ses mots. Mon coeur loupe un battement. Dans les films, c'est toujours à ce moment là qu'un "mais" surgit. Le souffle bloqué jusqu'à ce qu'il reprenne, il me faut quelques secondes pour assimiler la demande qu'il me fait, sans vraiment la faire. Mon coeur reprenant alors ses battements dans un rythme chaotique, et pourtant ravi. Un sourire se dessine sur mes lèvres, et je pense que mon regard se rempli d'amour pour l'écossais. D'un rapide coup d'oeil, je vérifie qu'il n'y a personne à proximité pour venir l'embrasser, intimant dans un premier temps une réponse silencieuse, mais débordante de sentiments. « Oui, oui, oui ! Bien sûr que oui. Et dès maintenant Arlo. C'est toi que j'aime. Et toi seul que je veux ! » Et ce depuis des semaines. «C'est pour ça que tu me voulais exclusivement pour cette journée ? Tu avais tout prévu. » Que je demande, bien que je connaisse parfaitement la réponse. « Il semblerait que j'ai de la concurrence pour les rendez-vous romantique. » Je viens embrasser sa tempe avant de poser ma tête contre épaule, retenant les larmes qui viennent humidifier mon regard. « Merci Arlo. Pour cette journée, et pour tout ce que tu as fait pour moi. » Et ce depuis des jours déjà.
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★ ─ Can't help falling in love with you.
@Antoine St-Laurent


Un argument après l’autre, le rendez vous se transforme en une potentielle scène de meurtre qui masque le réel plan d’Arlo. Cette plaisanterie détourne l’esprit et les questions du français, ce qui le soulage un peu, du moins un court instant. Il devait bien savoir tout l’amour que le pianiste ressentait, et il ne semblait pas en douter. “ C’est beaucoup moins romantique que de t’enterrer moi-même ” si romantisme il pouvait y avoir dans ce genre d’actions. Ces pensées le faisaient un peu rire, pas de joie mais avec un certain malaise qu’il distrait pour eux deux de par quelques baisers.

Il avait prévu dans tous les détails possibles ce rendez-vous, ayant déjà emprunté ce chemin pour même vérifier ce que les stands proposaient, cherchant à être certains que les stands pourraient captiver son attention et relancer sa créativité après les circonstances qui ont dû s'essouffler. Il n’avait pas forcément pris en compte les détours et les petits chemins que son potentiel petit ami allait prendre car son œil avait perçu une jolie couleur au loin. Un rythme qui ne devait pas laisser le temps à l'endeuillé de penser à son cœur qui peine mais aide ce dernier à se sentir comme avant. Comme quand il ne recevait que de l’amour de la part d’Arlo, de manière dissimulée, et de sa famille, plus ouvertement. L’écossais s’appliquait à suivre les pas hasardeux et pressés de celui qu’il aime jusqu’au fatidique moment où le soleil commence à fatiguer.

Il l'interpella doucement pour lui indiquer que cet instant arrivait à sa fin mais qu’un autre les attendait. Ce qui était une balade, et décrite comme telle par Arlo mais ressentie différemment par le couturier, l’écossais en rit en l’encourageant sur le chemin. Arrivé au bout du sentier, le stress se fait de nouveau ressentir. La solitude laissa les gestes tendres se retrouver dans un magnifique décor. Le début du discours était bancal, le regard d’Antoine l’avait replongé dans la pression qu’il ressentait. Les deux étaient suspendus au milieu de cette phrase avant que la fin sonne comme une délivrance en deux temps. Un sourire se dessine, et un second sur le visage du compositeur. Baiser rendu, délivrance offerte. “ Oh mon dieu merci, tu savais pas à quel point je flippais que ce soit pas le bon moment ” Il se coupa tout seul en rire niais. “ Oui, de quoi te remonter le moral, apaiser ton coeur, et pouvoir te demander ça au bon endroit ”. Il posa la main sur sa joue, la lui caressant alors qu’il se posait sur son épaule, sentant sur son pouce une larme qui chercha son chemin vers le sol. “ Merci à toi, de m’aimer autant que je t'aime, d’être qui tu es, d’être venu ” Pour leur avoir permis de s’aimer d’une nouvelle manière, bien qu’encore cachée pour quelques jours.


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