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(( QUEEN B )) RETROUVAILLES.

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C'
est la rentrée à Boston. Il y a de nouveaux des étudiants qui grouillent de partout et Thomas déteste ça. Lorsqu’il y a le Summer Camp d’Harvard durant les vacances d’été, la ville est plus paisible et putain, c’est vraiment appréciable. Seulement, les bonnes choses ont une fin et le brouhaha incessant des futurs diplômés de l’université reprend, pour lui crisser dans les oreilles. S’il y a bien quelque chose qui le met en rogne, hormis le fait qu’il manque de caféine ou encore qu’il y ait trop de soleil alors qu’il a peu dormi, c'est ça : les sons produits par ses jeunes qui sont de retour en ville. Ils reprennent les cours, mais n’oublient pas de brayer dehors, pour le plus grand déplaisir de ceux qui bossent : qui sont dans la vie active. C’est le cas de Thomas et chaque fois qu’il se rend dans un café ou qu’il marche pour rejoindre son cabinet d’architecture, il pète un plomb en les entendant vociférer comme les cons qu’ils sont. Heureusement, ce n’est pas le cas de tous et puis, il y a des étudiants qui se dégagent du lot de ceux à qui il désire vraiment refaire le portrait. Disons que ce sont ceux qu’il tolère, le richissime architecte, puisqu’il en a des amis qui sont encore étudiants. Matures, autant que lui. Sérieux et bosseurs, comme il l’était. Du moins, c’est l’image qu’il préfère avoir de ses personnes avec qui il s’est lié. Il préfère se trouver dans l’ignorance si ce n’est pas l’cas parce qu’il serait déçu et cela n’amènerait rien de bon dans leur relation.
Bosser, il a passé sa journée à le faire et c’est éreinté qu’il décide de rentrer à son domicile. Il est dix-huit heures passées, seulement, sa tête est pleine et il n’a qu’une envie : la fracasser contre un mur. C’est pour ça qu’il se tire si tôt et qu’il met le contact dans son Aston Martin, son volant se trouvant à droite, à l’anglaise. Démarrant en trombe, il se fout de la circulation et rentre le plus rapidement possible. C’est qu’il a un semblant de route à faire, parce qu’il vit pas au centre-ville, où à côté de son cabinet. En fait, il vit en retrait, dans un immense manoir avec jardin à l’arrière de son terrain. Il le possède, l’ayant acheté et il y a des personnes qui y travaillent, afin de le tenir propre, de s’occuper des parterres de fleurs ou encore de l’immense piscine. Thomas a même un chauffeur, mais il l’appelle uniquement s’il est incapable de conduire, ce qui arrive généralement au beau milieu de la nuit.
- « Bonjour. » Il souffle à l’homme qui lui ouvre sa portière tandis qu’il lui tend ses clés. Ce n’est pas le fameux chauffeur, mais l’homme qui gare ses véhicules, puisqu’il possède quelques voitures. Seulement, avec son allure, personne ne se doute de tout ce qu’il a et ça l’arrange.
- « Monsieur. » Le majordome l’accueil avant de se racler la gorge afin de reprendre. « Quoi ? » Le brun à la chevelure en bataille demande, tout en se saisissant de la bouteille d’eau qu’il lui tend. « Une jeune femme vous attend dans le salon. Il s’agit de Bianca, monsieur. » Surpris, Thomas le dévisage tandis qu’un sourire naît sur son visage. « Merci de m’avoir prévenu. » Il répond tout en s’y rendant à grandes enjambées. S’il y avait bien quelque chose qu’il n’avait pas prévu, c’était la visite de Queen B aujourd’hui, à son domicile. « Hey ! La Summer Campeuse ! » Il l’interpelle, pour lui faire signe de se lever et la prendre dans ses bras. « Tu m’as manqué, tu sais. » Il lui murmure, chaleureux, avant de la regarder. « T’as vachement bronzé dis-moi ! J’vais paraître encore plus fantomatique à tes côtés. Tu veux boire quelque chose ? » Il fait signe à la brune de le suivre dans la cuisine, car il souhaite grignoter.

@Bianca M. Almeida
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C'était enfin la rentrée et je ne vais pas dire que je l'attendais à grand pas mais il y avait des gens que je voulais revoir, notamment Thomas qui n'avait pas participer au SC et qui s'était tuer au boulot, je comprenais que pour lui le travail était important et vu son train de vie je pouvais comprendre qu'il n'avait pas eu tout ça en claquant des doigts mais j'aurais aimer qu'il ce lâche un peu, qu'il profite parce qu'il était encore jeune et qu'il souffle un peu mais le plus gros changement chez lui devrait ce faire sur sa manière de parler de lui, il était trop négatif et je savais que c'était compliqué parce que moi j'étais bien négatif sur ma situation sentimentale mais parce que j'avais été déçue. J'étais enfin rentrer et j'avais prévu ce soir même de venir lui rendre visite, j'étais rentrer, je m'étais occupé de mes valises, de ranger un peu ce qui devait être fait, de me prélasser dans un bon bain avant de me rendre chez mon ami, il m'avait énormément manquer et je ne comptais pas attendre notre week end pour le revoir. Arrivée chez lui un homme m'avait accueilli pour me dire qu'il était encore à son travail et je n'étais pas étonnée, il me fit patienter dans son salon et je regardais autour de moi, je fis même le tour de la pièce avant de venir patienter en prenant place sur un fauteuil, je pianotais sur mon téléphone avant d'entendre une portière de voiture, je rangeais mon téléphone, je me retournais toujours assise sur ce fauteuil et le visage de mon ami apparu, je laissais un grand sourire apparaitre en me levant et en courant presque vers lui. "Hey chéri." Oui c'était mon chéri, mon amour, ma vie rien de sentimentale avec aucune étiquette mais j'appelais toujours les gens que j'appréciais par ces prénoms sentimentaux, je ne gardais pas ça que pour le fameux homme de ma vie, je sautais dans ses bras en enroulant mes bras autour de sa nuque pour le serrer contre moi. "Toi aussi terriblement." Je posais un baiser contre sa joue avant de me reculer pour qu'il puisse me regarder et j'en fis de même. "Moi qui pensait pas avoir pris énormément de couleur... Oui je veux bien une boisson fraîche, mais tu va surement diner je te dérange pas au moins??" Je me ramenais comme ça juste après son taff alors qu'il devait être épuisé et qu'il voulait surement manger et prendre une douche pour pouvoir ce détendre.

@Thomas Hemingway
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L
a journée avait été on ne peut plus banal pour l’architecte de renom travaillant sur Boston. De nouveaux projets, il en avait à foison en proposition et il se devait de choisir ceux sur lesquels il souhaitait réellement bosser. Ce n’était pas une tâche évidente d’en mettre de côté pour les rediriger vers d’autres qui se faisaient un plaisir à « ramasser les miettes de pain » qu’il leur laissait si généreusement. Car il préférait pouvoir se charger de tout ce qu’on lui propose, mais il n’en a pas le temps. Même avec sous sa coupe une dizaine de personnes travaillant sous ses ordres. Alors, s’était presque abattu qu’il rentre chez-lui, dans sa superbe voiture. Tout ce qu’il possède, il s’est tué à la tâche pour se l’offrir et aujourd’hui, il n’y a pas plus belle demeure que son manoir. La quasi-totalité de ses meubles sont des œuvres d’art, des pièces uniques, tout comme les tableaux présents sur ses murs. C’est pour cela que son lieu de vie est si bien protégé, bien qu’en apparence, il ne semble y avoir personne qui se charge de la sécurité.
Ayant laissé la clé de sa voiture à l’homme qui s’occupe de la lui garer, Thomas rentre chez-lui après que son majordome lui a ouvert la porte. La toute première chose qu’il aimerait faire est de se doucher et d’ôter ses vêtements, ainsi que sa paire de chaussures, seulement, un sourire illumine à présent son visage puisqu’elle est là : sa Queen B. Peu de personnes le font sourire ainsi alors même qu’il a seulement connaissance de leur présence, mais Bianca est un cas à part. Elle est l’exception qui confirme la règle, à savoir : qu’il ne sourit pour personne, du moins, pas ainsi, à en dévoiler l’intégralité de ses dents parfaitement alignées. Ensuite, lorsqu’il la voit, le brun à la chevelure perpétuellement en bataille l’enlace et la presse tout contre lui, puisqu’elle lui a affreusement manqué. Il faut dire que le Summer Camp les sépare toujours, étant donné qu’il se doit de bosser et qu’elle, part au soleil, pour profiter comme elle a travaillé dur toute l’année afin de passer à la suivante, comme chaque étudiant de la grande et renommée université : Harvard.
- « J’adore quand j’entends ta voix prononcer chéri ! » Il scande à son intention, avant de lui souffler que son absence lui a été pénible. « J’espère bien que ç'a aussi été ton cas ! » Il plaisante, se permet même d’émettre un rire, avant qu’elle ne l’embrasse sur la joue et qu’il en fasse autant. « Je t’assure que t’as vachement bronzé. » Il confirme, posant ses mains sur ses hanches afin de les admirer, elle et son teint halé. Puis, il lui propose une boisson en se rendant à la cuisine et tandis qu’elle lui répond, il fourre l’une de ses mains longilignes dans sa chevelure pour se retourner et lui faire face.
- « Tu plaisantes ? Jamais tu n’me dérangeras, ma Queen B. » Ouvrant son frigo en grand, il propose : « Nous avons de l’eau, du jus d’orange, de pomme… Hum… Du coca, de la limonade… » Il fronce les sourcils et dit dans un rire : « J’bois autant de choses différentes moi ? » Puis, en lui jetant un coup d’œil, il continue : « J’espère que t’as pas prévu de décamper tout de suite. Tu dînes avec moi. J’veux tout savoir sur le SC et surtout, savoir comment tu vas. » De plus, il souhaite profiter de sa chaleur, des intonations de sa voix, de ses éclats de rire. De tout ce qui fait qu’elle est elle, car le SC lui a semblé durer une éternité.

@Bianca M. Almeida
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J'avais profité, je m'étais amusé au SC mais j'avais aussi eu des doutes, des soirs où j'étais rester enfermer dans ma chambre parce que j'avais le cafard et Thomas m'avait énormément manquer parce que je sais qu'en me sentant seule et triste il aurait été la personne qui m'aurait fait sourire, qui m'aurait fait me sentir bien et le retrouver ce soir j'en étais impatiente, j'avais besoin de revoir son sourire, sentir son étreinte et me sentir importante dans les yeux d'une personne. J'étais en train de patienter, de l'attendre et m'occuper comme je pouvais dans cet immense salon jusqu'à qu'il ce fit entendre, qu'il soit enfin là devant moi, je lui faisais face et voir le sourire qu'il avait quand il croisait mon regard me faisait tellement de bien, il y avait peu de personne qui me regardait comme il le faisait, qui me faisait sentir importante et qui remplissait mon coeur de joie, je courais presque dans ses bras pour lui sauter dessus, le revoir faisait tellement de bien. "Tu risque de l'entendre beaucoup ce soir." Le sentir et l'entendre, être dans ses bras mon dieu que c'était une sensation d'extase et avoir été loin de lui avait été dur surtout ces derniers temps. "Je ne pourrais plus partir sans toi si longtemps." Après un rapide baiser sur sa joue je recevais le sien et je souriais en me pinçant les lèvres, il était vraiment là contre moi. "Tant mieux si je peux avoir bonne mine mais on s'en fou de mon bronzage." Je me remis sur la pointe de mes pieds pour lui déposer un baiser contre son autre joue pendant que lui avais essayer de m'admirer. Il proposait de boire un verre et j'acceptais on avait tellement de choses à ce raconter autant le faire devant un verre et vu qu'il me rassurait sur le fait que je ne le dérangeais pas je posais mes fesses contre le plan de travail derrière moi. "Limonade c'est parfait." Je lâchais un rire à sa remarque sur les différentes boissons qu'il avait à disposition puis je croisais son regard de nouveau. "Tu te débarrassera pas aussi vite de moi même si concernant le SC on en fera vite le tour tu sais." Peut être même que lui aura plus de chose intéressante à raconter que moi.

@Thomas Hemingway
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B
oston avait été égale à elle-même. S’il aimait cette ville autrefois, aujourd’hui, il ne savait plus réellement ce qu’il en était. Bien sûr, ses parents s’étaient rencontrés ici et ils avaient filé le parfait amour, avaient été heureux. Seulement, s’il avait pensé marcher dans leurs pas, ça n’avait pas été le cas, dans la finalité. Puisque divorcé à l’heure actuelle avec un fils qui le hait et qui ne souhaite pas le voir. Tout comme son ex-épouse qui lui a brisé le cœur en des milliers de morceaux, si bien qu’il se questionne quant à savoir s’il en possède toujours un. Mais heureusement pour lui, il a ses proches, ceux qui sont restés à ses côtés durant la tempête et qui répondent toujours présents. Bianca fait partie de ses derniers, seulement, durant deux longs mois, son absence s'est faite ressentir. Leurs habitudes lui ont manqué, tout comme sa simple présence, ses sourires ainsi que son rire. Même son teint lui rappelant le soleil lui a manqué, c’est pour dire ! Alors, quand on lui annonce qu’elle est là, ici, chez lui, en cet instant précis, il n’hésite pas et l'a rejoint. Un immense sourire déforme immédiatement son visage et sans plus attendre, il la réceptionne dans ses bras. La sentir lui fait du bien, l’entendre aussi, la voir surtout. Quoique s’il ne la sentait pas ainsi tout contre son corps, il se demanderait s’il ne s’agit pas d’un mirage ou plutôt d’un rêve éveillé. Mais non, elle est bel et bien là, sous ses yeux attendris.
- « Tant mieux. Deux mois quasiment sans "chéri", c’était intenable. » Et il ne se moque pas d’elle, bien au contraire. Ce surnom qu’elle lui donne, il le chérit, le trentenaire à la chevelure folle. « C’est vrai ? » Il lui demande, surpris. « Je suis heureux de te l’entendre dire. » L’architecte ne peut s’empêcher d’ajouter pour continuer : « Est-ce que ça veut dire que tu renonces au Summer Camp l’année prochaine ou… » Comme d’habitude, il s’arrête afin de créer un suspens qu’il veut intenable. « … Tu souhaites me mettre de force dans ta valise afin que je prenne enfin des vacances ? » Cette fois, il rit et tandis qu’il la scrute, lui faisant une remarque sur son teint, Thomas lui offre une grimace à sa remarque. « Excuse-moi de jalouser ton teint parfaitement halé puisque je ne vire qu’au rose lorsque je bronze ! » Puis sa peau pèle, comme chaque personne aussi blanche que lui de teint. Petit, on le surnommait "Casper" à cause du dessin animé, avec ce petit fantôme portant ce prénom, et si à présent, il en rit, ce n’était pas le cas autrefois. « T’en as brisé des cœurs, dis-moi ? » Il ne peut pas s’empêcher de le lui demander, quand ils rejoignent la cuisine et lui propose de boire quelque chose, lui-même buvant de l’eau. « OK. De la limonade. » Il extirpe la bouteille de son réfrigérateur et se saisit d’un verre dans l’un de ses placards pour la servir. « Voici, queen B. » Il l’affuble du surnom qui lui a tout fraichement donné avant de lui proposer de diner ensemble, afin qu’ils partagent ses deux mois l’un sans l’autre.
- « J’me défile jamais, tu le sais. » Clin d’œil complice, bien qu’en réalité, il le fait quelques fois, mais à cet instant, il s’en moque. « Ah oui ? Il ne s’est rien passé ? » Sa curiosité transperce le son de sa voix. « Excuse-moi, curieux comme toujours. » Il affirme dans un hochement de tête pour lui proposer de retrouver le salon. « Que dis-tu de commander ? Je suis lessivé et franchement, préparer le dîner, j’en ai pas le courage. » Il s’affale dans son canapé. « J’ai donné une soirée de congé à ma cuisinière, ou plutôt, à ma… Je sais pas trop comment le formuler. » Il en a des personnes qui travaillent pour lui, seulement, les termes exacts quant à leurs fonctions, il les oublie sans le moindre mal. « Enfin bon, en résumé, elle n’est pas là et même si j’aime cuisiner et que je le ferai sous peu pour nous, là, ce soir, je préfère qu’on nous apporte à manger. » Réfléchissant, il propose : « Fast-food, chinois, pizzas ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? » Lui, il rêve de quelque chose de bien gras, pour terminer avec du sucré, mais ça, il se retient bien de le lui dire, préférant lui laisser le choix.

@Bianca M. Almeida
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Je ne pouvais pas nier que partir loin de Boston m'avait fait du bien au départ mais par la suite j'avais regretter d'être là bas et j'attendais qu'une chose rentrer sur Boston et retrouver entre autre Thomas, j'avais essayé de le faire venir me rejoindre mais cela n'avait pas marcher, il avait beaucoup de boulot et comme je m'y attendais il aurait pas laisser tout tomber pour partir au soleil. J'étais rentrée à présent, j'étais là à Boston et je venais de sauter dans ses bras, il me réceptionnait et je laissais mes bras l'entourer en lâchant un rire à sa remarque, beaucoup de chose l'avait manqué tout comme beaucoup de choses m'avaient manqué. "Tu fera surement une overdose de ce surnom maintenant." Partir sans lui avait été dur surtout les derniers jours parce que j'avais vécu pas trop cool et j'avais eu besoin d'une épaule sur laquelle pleurer et je ne l'avais pas eu. "J'avais trop besoin de toi." Des amis j'en avais mais des amis comme lui je n'en avais pas beaucoup, c'était la personne de laquelle j'étais la plus proche et celle que j'aimais le plus. "Ce qui veut dire que si tu prend pas des vacances comme tu dit je ne partirais pas et je resterais ici avec toi." Je me reculais pour pouvoir le regarder, je prenais tout de même sa main dans la mienne pour être toujours proche de lui avant de sourire amusé et de lever le visage fièrement. "Ben alors je te fais de l'effet.." Je ris en ne le prenant pas au sérieux, je savais qu'il ne voulait rien venant de moi mais j'avais encore le droit d'en rire au final. "Non je crois pas, par contre on a brisé le mien pour pas changer." Je grimaçais légèrement en y pensant mais je dois dire que je regrettais un peu m'être fait avoir à mon propre piège, je le suivis jusqu'à la cuisine et je choisissais une limonade en posant mon fessier contre son plan de travail en le remerciant quand il me servit mon verre, je le levais vers lui avant d'en boire une gorgée. "Ouais ça dépend pourquoi." Je fis tourner le verre entre mes mains en secouant la tête. "Non j'ai pas dis qu'il ne c'était rien passé mais rien de très joyeux en vrai." Je le regardais dans les yeux en résumant rapidement ce qui s'était passé. "Je flirtais avec un mec mais au départ il voulait rien de sérieux, donc j'ai préféré m'amuser, il m'a dit que lui ne voulait pas s'amuser avec d'autres jusqu'à que je découvre qu'il le faisait aussi puis il a voulu qu'on soit ensemble mais j'ai refusé parce que j'aspire à mieux que ce genre de relation." Je le suivais par la suite dans son salon en préférant oublier ce que je lui racontais du SC, je secouais les épaules en acceptant sa proposition. "Faisons ça, j'aurais pu préparer le diner aussi mais si on commande on passera plus de temps ensemble." Je souriais en coin à sa remarque en chuchotant de manière taquine. "On doit partir en week end si tu n'a pas oublier donc tu cuisinera pour moi à ce moment là." Je réfléchissais un instant avant de proposer. "Pizza on va faire simple." Il y aurait l'embarra du choix avec le choix des pizzas puis cela faisait longtemps pour moi.

@Thomas Hemingway
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(( QUEEN B )) RETROUVAILLES. Glass-10 with @Bianca M. Almeida and Thomas Hemingway
(( QUEEN B )) RETROUVAILLES. Megaph10 warning : familiarité
(( QUEEN B )) RETROUVAILLES. Calend10 the 09.01.2022 (( QUEEN B )) RETROUVAILLES. Marker10 chez Thomas, manoir, alentours de Boston
Les mois de juillet et d’août avaient été productifs pour Thomas, mais il s’était senti affreusement seul. Sans ses proches, tous au Summer Camp d’Harvard, il avait mis les bouchées double pour que l’temps passe plus vite, mais aussi pour travailler d’arrache-pied afin d’avoir les meilleurs contrats, comme à son habitude, seulement, putain, qu’est-ce qu’ils lui avaient fait défauts ! Déjà, sa queen B, ou Bianca, qu’il considère comme la seule et unique personne dans ce monde à le faire sourire. Ensuite, son meilleur pote, Niccolò qui est prof à Harvard et qui a accepté d’y aller également à c’te foutu Summer Camp ! Lui qui avait étudié à cette université aussi, n’en avait jamais profité et il détestait plus encore ce rituel, où la moitié de la population de Boston disparaît, comme un claquement d’doigts de Thanos.
- « J’te dis que non. J’te l’assure. » Un immense sourire orne son visage. « T’aurais dû m’dire que c’était super urgent et que j’devais débarquer. » Il prononce, extrêmement sérieux, ses sourcils froncés. « Dans tous les cas, tu resteras la prochaine fois avec moi. C’est tout ce qui compte. » Il retrouve cet air de joie sur son visage anguleux tout en laissant B. s’emparer de sa main pour se rendre ensemble à la cuisine. Souriant bêtement, il lève les yeux au ciel et rit à sa remarque. « Ouais, t’as deviné. J’suis jaloux comme un pou et j’veux savoir si j’ai un concurrent. » Thomy plaisante aussi, mais regrette quasi instantanément. Il a le droit de plaisanter d’ça, lui ? Il espère bien que oui et avant même de prendre la parole, sa Queen reprend pour faire dissiper toute trace de sourire sur son visage. « Qu'est-ce que cette histoire ? » L’air grave, il patiente, ayant donné un verre de limonade à sa B. Comment un connard peut encore vouloir profiter d’elle, qui a un si grand cœur ? Elle peut sembler superficielle, mais c’est pas l’cas. Elle est une perle, sa Bianca et aucun homme ne semble s’en apercevoir, hormis lui.
- « Comment ça, j’me défile ? » Se retournant pour faire face à B., il écoute attentivement la suite : changement de sujet. Ou plutôt, elle en revient à ce qui s’est passé au SC, avec ce crétin qui lui a brisé l’cœur. « J’vois. Toujours l’même genre de connard. » Il bougonne pour lui-même, sans en dire davantage, les poings serrés. « T’as raison, tu mérites bien mieux que c’te genre de relation. » Thomas conclu, le visage fermé. S’affolant sur son canapé, il propose à Bianca de commander parce qu’il est bien trop crevé et il acquiesce dans un mouvement de tête aux dires de la belle brune. « Exact. J’te ferai à manger lorsqu’on partira en weekend. » Proposant des menus, de quoi être livré, l’homme à la chevelure en bataille est ravi à sa réponse quant à son choix de menu. « Partons pour des pizzas. » Il s’empare de son iPhone et se connecte pour commander en ligne : « Tu veux une pizza à quoi ? » Il interroge B. du regard, ses iris bleus plantées dans les siennes pour reprendre : « Ce sera une indienne pour moi, avec du poulet et des suppléments. Pommes de terre… Poulet aussi. » Il se parle une nouvelle fois à lui-même, pour se dire qu’il va falloir qu’il débouche une bouteille de rouge, afin de faire passer les pizzas, ainsi que cette histoire de "défilement" et celle concernant le connard qui a osé briser l’cœur à sa B.
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J'avais essayé de profiter à ce summer camp et il y avait eu des instants où j'avais réussi à m'amuser, à penser à autre chose mais j'étais aussi tomber dans le panneau de mon ancien flirt que je détestais aujourd'hui et que je ne voulais pas revoir mais à choisir j'aurais choisi de rester ici avec Thomas, je savais que j'aurais passer de meilleurs moments avec lui mais maintenant que je suis revenue je comptais bien profiter de sa présence. "Tant mieux je m'ne priverais pas ce soir." Je grimaçais à sa remarque en secouant les épaules. "Urgent pas tellement je suis habitué à me faire avoir à force alors tu sais je n'étais pas au bord du gouffre non plus." J'affirmais d'un signe de tête sa remarque sans y réfléchir une seule seconde. "Oh que oui je ne compte pas y retourner, du moins pas célibataire." Je prenais sa main pour nous rendre à la cuisine et le taquiner un peu, il était jaloux et je le savais mais pas au point d'être amoureux, en amitié il était comme moi assez possessif. "Un concurrent non, je crois les avoir tous éliminés." Je souriais en y pensant parce que oui j'avais fait du ménage autour de moi et le dernier flirt que j'avais eu en date il avait disparu, je ne donnais pas non plus de nouvelle à dire vrai, à personne mais surement parce que j'étais fatiguée de courir après des hommes qui n'en valait pas la peine. "Une peine de coeur encore mais je le vis bien." Je le vivais même très bien, la dernière fois j'avais assez mal vécu ma rupture parce que j'avais été amoureuse mais cette fois ci je m'étais protéger et je m'étais interdit de tomber amoureuse et cela avait plutôt bien marcher puisque je n'éprouvais aucun sentiment. "Tu te défile tu sais très bien." On fini par revenir sur mon flirt au SC et je secouais simplement les épaules pour répondre. "Tout à fait." Je confirmais d'un signe de tête avant de le laisser prendre place sur le canapé, j'en fis de même en venant poser mes jambes sur ses cuisses. "J'y compte bien oui, avoir de bons petits plats." Je le laissais prendre possession de son iphone pour prendre commande et je me penchais pour y jeter un oeil mais il y avait bien trop de choix et j'avais du mal à me décider jusqu'à qu'il parle de poulet et me donne envie, je me pinçais la lèvre avant de dire dans un sourire. "Je vais prendre pareil, sans supplément pour le coup, je pense en avoir assez." Toujours mes jambes contre ses cuisses je venais caresser sa nuque de mes doigts le temps qu'il commande.

@Thomas Hemingway
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@Bianca M. Almeida
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Thomas déteste cette période qu’on nomme « vacances d’été » parce que tous ses proches se font la malle pour le Summer Camp. Lui, il répond toujours présent pour les siens, mais est-ce qu’ils se rendent compte qu’il peut aussi avoir besoin d’eux ? Puisqu'il boit beaucoup trop lors de cette période étant donné qu’il est seul. Il se noie dans son passé, ce qu’il a vécu d’pire, mais lui, il lance aucun S.O.S. Il préfère souffrir dans son coin que d’gâcher le temps des siens. Puis il est pas de ceux qui demandent de l’aide, qui passe un appel pour dire qu’il a besoin qu’on soit à ses côtés, mais dans l’fond, peut-être qu’il devrait. Seulement, comme dire à sa Queen B que durant ses putains de deux mois, il replonge dans les abysses de son existence de merde ? Il en est incapable, Thomas et il le sait bien.
- « J’trouve que tu l’dis pas assez. D’ailleurs, depuis que tu l’as dit, tu l’as pas répété. » Il sourit de plus belle et à ses mots, il grimace. Ça veut dire quoi, "urgent" dans l’fond ? « Comme j’t’ai déjà dis, t’es trop gentille et aucun des crétins qu’tu fréquentes ne te mérite. » Et c’est sincère qu’il prononce ses mots, toujours. Y’a pas d’hommes assez droits dans ses bottes pour elle, car sa B, elle mérite quelqu’un de bien, d’intègre, qui l’aimera pour ce qu’elle est et qui voudra pas la faire changer. C’est pas censé être ça, l’amour inconditionnel ? Puis il devra évidemment lui être fidèle, pas regarder ailleurs, même lors d’une soirée. Seulement, c’te genre d’hommes est comme les dragons : ils existent pas. Ce sont des putains de mythes. « J’pense que c’est une bonne décision. » Il admet, pour décoiffer un peu plus ses cheveux et acquiescer, toujours. « Mais, ça veut dire qu’en couple, tu m’laisseras ici, seul. » En même temps, comment il pourrait lui en vouloir ? Sa reine doit faire sa vie, et parfois, sans lui. Poussant un soupir à c’t’idée, Thomas rejoint la cuisine avec Bianca, leurs mains unies, pour r’joindre le frigo.
- « Ah ouais ? Tu les as tous éliminé pour moi ? » Qu’il plaisante en riant franchement. Parce qu’il est possessif et même jaloux, souvent, en amitié. Mais c’est parce que les personnes qu’on aime se font rares alors, quand il en trouve une qui mérite son amitié, il veut pas la perdre et s’montre donc ainsi. « Tu devrais pas à avoir bien vivre les peines de cœur, tu sais. » Ça l’attriste d’entendre ça, de sa petite brune tant adorée. D’ailleurs, son sourire s’est fait la malle et à ça r’marque comme quoi, il se défile, il répond rien. Thomy a pas envie d’se prendre la tête avec sa queen alors, il propose qu’ils dînent ensemble, mais surtout qu’il commande, car il lui préparera à dîner une autre fois. « On prend pareil. Okay. Sans les suppléments. » Tapotant sur son iPhone, il passe commande, paie et surveille ce qu’on lui indique. « Bon. Ça arrivera dans une bonne demi-heure. » Laissant tomber ses bras sur les jambes de Bianca, il ferme les yeux tandis qu’elle caresse sa nuque à la naissance de ses cheveux.
- « Faudra quand même que tu m’dises un jour dans quoi j’me défile, mais ce sera pas pour aujourd’hui. » Il ronronne presque, ses yeux clos. C’est qu’il s’endormirait presque en s’trouvant ainsi.


FIN.


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