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(( REBECCA )) STRANGE DAY.

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TW :: état que l'on peut qualifier de dépressif - langage grossier


L'
eau ruisselle sur les vitres et il pousse un soupir. Ce temps lui remémore son passé à Londres. Les bons moments en couleurs. Les moins bons en noir et blanc. Étrangement, il a bien plus de souvenirs malheureux que d’excellents. En même temps, il n’a pas eu une vie facile l’architecte et s’il est brisé, cela ne se perçoit pas dans son travail. Thomas pense que sa mélancolie et l’alcool qu’il ingurgite lui permettent d’être dans un état second. Ce qui lui offre sa créativité, mais il se voile la face et il en a pertinemment conscience dans le fond.
Il soupire encore, son regard clair vrillé sur la vitre qui lui fait face. Cette demeure, il s’en occupe depuis le début et il est assez fier de ce projet qui prend forme. C’est bien plus prometteur qu’il ne l’imaginait, mais ce sentiment de fierté, il ne dure jamais. Car son passé le happe toujours pour le ramener au fond de ce placard dans lequel il se sent perpétuellement enfermer. Ravalant avec peine sa salive, tirant sur sa cravate, il ne parvient pas à détacher son regard de ses gouttes qui s’écoulent et sont remplacées par d’autres. Le ciel pleure, comme lui racontait sa mère, et ses iris s’injecte de larmes.
- « Putain. » Il souffle pour rapidement écraser celles qui veulent suivre le chemin tout tracé sur ses joues. Il n’est pas du genre a chialé pour un rien, surtout lorsqu’il bosse alors, il doit se reprendre et claquer la porte de c'te putain de placard. Après tout, il en est sorti et il est devenu l’homme qu’il est : un architecte de renom dont tout le monde parle dans les magazines de décorations. Il n’a pas quarante ans et il s’est fait un nom dans la construction d’immeubles, la conception de maisons, mais également dans l’aménagement. Car il ne se contente pas de faire une partie du job ; nan. Thomas, il s’occupe de tout. Même des jardins s’il y en a. Il puise son inspiration dans ses souvenirs, dans tous ses bouquins qu’il a lus durant ses études d’architecture à Harvard, puis il innove toujours. Adorant surprendre. Il aime être le premier à s’essayer à de nouvelles pratiques et l’écologie est un point d’ancrage dans son boulot. Se préoccuper de la planète, c’est un peu son crédo dans son travail parce que même s’il n’a pas de réelle famille, il ne veut pas laisser une planète à l’agonie à ceux qui lui survivront.
Se raclant la gorge, il enfonce ses mains dans ses poches après avoir ôté complètement sa cravate et avoir déboutonné sa chemise sur trois boutons. Il a également retiré ceux de manchettes qu’il a soigneusement mis dans l’une de ses poches afin de remonter ses manches jusqu’à ses coudes. Ainsi, il est bien plus à l’aise qu’avec un costume impeccablement porté et même s’il se dit qu’il ferait sans doute honte à son père, il préfère se sentir bien plutôt que de suffoquer. *Plus jamais c’te putain d’maudit d’placard !* Ses mains forment des poings dans ses poches, les jointures en deviennent d’une blancheur quasi fantomatique tant il se trouve en rogne contre elle : son bourreau. Tous ses muscles se trouvent bander et sa mâchoire est si serrée qu’on entend comme des craquements. Fermant les yeux, il s’applique à son exercice de respiration afin de se calmer, quand, il les rouvre et fait volte-face, ayant entendu les claquements de ses talons sur le sol, un mince sourire s'étant immiscé sur son visage.
- « Madame Walsh, on reprend concernant l'chantier ? Y'a-t-il des modifs que vous voudriez faire ? » Si une personne avait assisté à la scène avant qu’elle n’arrive dans la pièce, elle ne comprendrait pas ce changement si significatif chez l’architecte. Seulement, c’est un excellent acteur, mais également un excellent menteur puisqu’il use de son flegme britannique qu’il n’a pas réellement. La colère l’anime, fait battre son cœur et pulse dans son sang à chaque fois qu’il bat. La rancœur et le désir de vengeance, quant à eux, se rechargent à chaque nouvelle respiration. S’il y a une chose dont il est certain, Thomas, c’est que tout ceci s’arrêtera le jour où il mourra. Pas avant. Même pas avec un semblant d’amour de qui que ce soit, car on lui a brisé en des milliers de morceaux et qu’à présent, il n’est plus que poussière.

@Rebecca Walsh
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L'
architecte nous avait semblé un choix simple. Nous n'avions pas débattu durant des minutes. Nous allions nous installer pour de bon ici, et nous comptions donc y mettre du nôtre. Un peu d'argent aussi. Mais nous savions que ça allait valoir le coup. De plus, avec mon nouveau poste, nous pouvions nous le permettre. Alors c'est bien Mr Hemingway que nous avions choisi pour les plans de notre future maison, ainsi qu'à l'aide de la construction de celle-ci. Seulement, je ne pensais pas ressentir ce désir envers lui. Pourtant, sa personnalité ne m'attire guère. Il est froid, sec, mystérieux, et ne donne aucune envie d'en connaitre davantage à son sujet. Et pourtant, il y a quelque chose qui me fait vibrer chez lui. Son regard ? Et son sourire. Pour le peu qu'il sourit.
Il semblerait qu'une nuit j'ai rêvé de lui et que son prénom m'aurait échappé. Mon mari étant le meilleur, m'a proposé que je cède à ce désir incompréhensible... à la seule condition qu'il ne nous regarde. Alors qu'il me fit cette proposition, je le regardais, l'air coquin. Hey, mais c'est que vous êtes un petit pervers Mr Walsh. Puis je l'embrassais langoureusement et alors que nous mettions notre plan en place, nous faisions l'amour sauvagement. A croire que l'idée nous excitait tous les deux.

Caméra mise en place en direct, afin que mon mari ne rate rien de l'instant, je rejoignis notre cher architecte. Mes pieds foulant le sol de notre future maison, je sentis mon cœur battre à chamade. De l'excitation, mais aussi de la peur. Et si je ne lui plaisais pas du tout et qu'il m'envoyait balader ? Pourtant, j'ai bien eu l'impression qu'il y a eu ces quelques regards venant de lui ... Tout en m'approchant de lui, je décidais de ne pas trop réfléchir, et fonçais vers lui afin de le plaquer contre une armoire derrière lui et l'embrassais à pleine bouche. J'ai envie de vous, Mr Hemingway. Plongeant mon regard dans le sien, je n'hésitais pas une seconde avant de venir lui défaire sa ceinture et faire passer ma main dans son pantalon.

@Thomas Hemingway
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T
homas se trouvait concentrer, comme sur chaque nouveau projet. Il le serait jusqu’au dernier jour et sans le moindre doute, il ne serait pas entièrement satisfait par son œuvre. Seulement, s’il a appris quelque chose, l’architecte de renom, c’est que le bien appartient au client et s’ils sont heureux, s’ils trouvent que leur maison est à leur goût, voir idéal pour y vivre durant de nombreuses années, c’est ce qui prime. Car, comme son paternel le lui disait si bien : « Si De Vinci n’avait pas décroché La Joconde de son chevalet, elle aurait des bigoudis dans sa chevelure ! » Autrement dit, une œuvre se doit d’être achevé et non retoucher indéfiniment. Bien sûr, au début, cela le contrariait, mais aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Puis il se dit qu’il va continuer à se perfectionner pour se rapprocher de ses souhaits et ainsi, frôler du bout des doigts cette perfection qu’il désire tant.
- « Alors, madame Wash. » Il reprend, son regard d’un bleu océan s’encrant dans le sien durant une fraction de second puisqu’il se retrouve bousculer contre une armoire, se situant juste derrière lui, près des fenêtres. « Qu’est-ce… » Mais il n’a pas le temps d’interroger l’épouse Walsh parce qu'elle fond sur lui et l’embrasse goulument. Sa langue cherchant déjà la sienne, il oublie durant un instant qu’elle a un époux et à ses mots, malgré son désir évident - car son entrejambe est d’ores et déjà tendu - il l’interroge : « Et votre mari, il est dans le coin ? » Lorsqu’elle l’embrasse à nouveau, ses mains aux doigts longilignes descendent sur son dos, pour s’arrêter sur son fessier et commencer à le malaxer. « Je n’ai pas très envie que votre époux tombe sur nous, dans cet état. » Il murmure à son attention, tandis qu’il s’agrippe à la jupe de son tailleur pour la lui remonter et ainsi avoir un contact peau contre peau. « Je ne vous imaginais pas aussi téméraire, mais j’adore ça. » Thomas ne peut nier le fait que madame Walsh lui a tapé dans l’œil lorsqu’il l’a vu pour la toute première fois, seulement, se trouvant marier, il a gardé ses distances avec respect, d’autant qu’il travaille pour le couple. Le fait est qu’à présent qu’ils se trouvent coller l’un contre l’autre, il est indéniable qu’il la désire et c’est avec facilité qu’il retourne la situation. La plaquant contre l’armoire afin qu’elle se retrouve coincer entre lui et cette dernière, il se saisit de ses mains afin de les lui tenir au-dessus de sa tête tout contre le placard et laisse sa seconde main palper l’un de ses seins, dont il devine son téton se durcir sous l’effet de l’excitation et de l’adrénaline dû à la situation.

@Rebecca Walsh
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T
homas était sur le chantier, comme prévu. Au delà d'être le meilleur architecte, il est aussi ponctuel et toujours présent. Certains architectes ne suivent pas aussi bien leur chantier. Mais ce n'était pas le cas de Thomas. Et c'est pourquoi nous avions une confiance aveugle en lui. Nous savions que le chantier n'allait pas dépérir car il serait présent et qu'il remonterait les bretelles aux ouvriers si le travail n'avançait pas, ou mal. Avec son incroyable caractère. Il est clair qu'il n'est pas l'homme le plus chaleureux et agréable que j'ai pu rencontré, et pourtant, il y avait quelque chose en lui qui m'attirait. Son regard ? Ce petit sourire que l'on ne voit pas si souvent, mais agréable à voir lorsqu'on l'aperçoit. J'ai déjà pu trouver des hommes attirants, autre que mon mari, mais je n'ai jusque là jamais eu envie de franchir le cap. Mr Hemingway était l'unique homme. J'en avais donc parlé à mon mari et on avait eu cette idée. Farfelue, étrange, coquine, obscène et surement pas respectueux envers l'architecte mais l'idée nous avait plu. Alors nous avions tout mis en place afin que je puisse passer à l'acte. Il n'est pas là. Réussis-je tout simplement à le lui dire lorsqu'il mentionna mon mari. Mon souffle s'accélérant déjà à son contact. Davantage même lorsqu'il prit les devants. C'était exactement ce à quoi je m'attendais de sa part. Je n'en attendais pas moins. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit doux et calme. Avec lui, je souhaitais que ce soit sauvage, passionné, à la limite de la violence. Et je savais que ça allait aussi plaisir à Marshall. Et moi je vous imaginais comme ça...

@Thomas Hemingway
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(( REBECCA )) STRANGE DAY. Glass-10 with @Rebecca Walsh and Thomas Hemingway
(( REBECCA )) STRANGE DAY. Megaph10 warning : désir - sexe
(( REBECCA )) STRANGE DAY. Calend10 flashback (( REBECCA )) STRANGE DAY. Marker10 maison des Walsh, Boston
Son divorce l’a meurtri. Il peut même affirmer qu’il l’a détruit. Il faut dire qu’il n’a jamais eu une existence facile et malgré toutes ses putains de difficultés qu’il a vécu : c’est celle-là qui l’a terrassé. En même temps, perdre l’amour de sa vie en apprenant qu’elle a déjà refait la sienne et que son propre fils désire vivre avec sa mère ainsi que son amant, ce n’est pas facile à avaler. Et Thomas n’y est toujours pas parvenu. Cette histoire reste coincée au travers de sa gorge et il parvient pas à oublier. Il en est carrément torturé, chaque jour, et il s’est évidemment renfermé. Il n'est plus le même Thomas, parce qu’il est devenu l’ombre de lui-même, et depuis leurs abandons, l’architecte ne fait que bosser. Des chantiers dans l’monde entier, il en a fait, mais il s’est décidé de vivre de nouveau sur Boston et c’est par la demeure des Walsh qu’il commence. S’il est certain de son boulot, il ne se serait pas douté un seul instant, Thomas, que l’épouse, Rebecca, se jetterait sur lui.
L’embrassant, sa langue ayant trouvé la sienne, il la cale entre lui et l’armoire, afin de pouvoir profiter de son corps qu’il possède, l’une de ses mains plaquant les siennes au-dessus de sa tête. Ses réponses, il les a eues et maintenant qu’il sait que monsieur l’époux n’est pas là, il ne va pas se gêner à assouvir les désirs de madame.
- « Et encore, vous n’avez rien vu, madame Walsh. » Il souffle contre sa poitrine qu’il embrasse, malaxe, pour se saisir de l’un de ses tétons entre ses lèvres avant de le lui mordiller. « Déjà ? » Il répond le souffle court, dans un sourire avant de défaire sa prise sur ses mains et de remonter la totalité de sa jupe au-dessus de sa taille. « C’était prévu de vous jeter sur moi ? »
 
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S
a façon de répondre à mes avances me surprenaient sans vraiment me surprendre. Surement que j'avais espéré au plus profond de moi qu'il soit si direct, si franc. Qu'il ne passe par cent chemins pour qu'on en arrive à du sexe pur et dure. C'était clair et net, nous n'allions pas faire l'amour sur ce chantier. Non. Nous allions baiser, comme deux grosse bête en soif de sexe.


@Thomas Hemingway
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@Rebecca Walsh
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C’te moment lui semble irréel. Faut dire qu’il se doutait pas que Rebecca Marshall lui sauterait dessus de c’te façon, dès que son époux aurait décampé. Pourtant, c’est ce qu’elle a fait et il ne va pas s’en plaindre. Bien sûr, Thomas aurait dû dire non, parce qu’ils travaillent pour eux et qu’elle est mariée, seulement, il s’en contre-fout. Ouais, l’architecte se fiche qu’elle soit l’épouse d’un autre tout simplement parce que les mariages durent pas. Le sien, il a bien éclaté, nan ? De plus, de ce que son avocat lui a dit, un mariage sur trois termine en divorce et ça fait qu’augmenter, alors y’a des chances, qu’un jour, elle franchisse ce pas, elle aussi. Puis merde ! Il a envie d’elle et d’ressentir un corps vibré avec le sien, donc pourquoi refuser ? ! Il l’peut simplement pas. Ainsi défaisant sa braguette pour sortir tout ce dont il a besoin, il la prévient. Et dès lors qu’elle le repousse, il explique :
- « Généralement, lorsque je vais bosser, je pense pas qu’on va se jeter sur moi. Jusqu’à ce jour c’est jamais arrivé. »


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C
'était en lui cachant que mon mari allait nous regarder que je vins vers vers lui. Ou plutôt que je lui sautais dessus. Cela semblait le prendre de court, mais il ne semblait pas totalement contre l'idée. J'avais donc vu juste, il y avait bien quelque chose entre nous. Une attraction mutuelle. Je ne m'étais pas trompée, et ça me faisait du bien de voir que je pouvais être tout aussi attirante et excitée un autre homme que mon mari. Après tout, depuis que je m'étais mariée, j'avais l'impression que cette bague en faisait fuir plus d'un. Et jusque là, cela ne m'avait posé aucun problème, n'ayant d'yeux que pour mon cher et tendre mari. Il faut bien une première à tout. Comme celle de se faire filmer à son insu. Mais ça, il n'en saura jamais rien. Cette vidéo restera entre Marshall et moi.



@Thomas Hemingway
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