waves and ripples | jillace

petit coin tranquille sur le sable, installés sur vos serviettes, le soleil laisse place au ciel étoilé. à vos côtés, boîtes de pizzas, packs de bières. rien de tel pour passer une soirée chill. quelques longues minutes déjà que vous êtes installés. elle te raconte les derniers potins. plus en détails. ton meilleur pote qui s'est remit avec son ex, leur embrouille de hier. t'écoutes sans vraiment trop lui couper la parole. si elle a besoin de râler qu'elle le fasse, mais pas trop longtemps. puis d'un seul coup, tu claques tes paumes entre elles juste devant sa face ― STOP ! t'as écoulé tes cinq minutes de râlage. mot qui n'existe pas mais on s'en fout non ? tu te lèves de ta serviette, te places devant elle puis t'agenouilles devant elle en venant écarter ses jambes pour t'y placer en milieu sans la quitter du regard, grand sourire aux lèvres ― maintenant j'veux juste voir un grand smile ici. tu viens rapidement l'embrasser sur la bouche puis la regarde de nouveau ― montre que t'es contente d'être avec moi. la classe en plus sous le ciel étouélé dé ouarzazaaaate ! sourire espiègle aux lèvres, tu remues le popotin. tes mains viennent se poser de part et d'autre de ses jambes pour venir pincer doucement ses cuisses.

@Jill Rothschild

cette soirée j'en ai besoin. persuadée que tu sous estime les bienfaits de ta présence à mes côtés. c'est comme si un bout de chez moi était partout où tu allais. je me sens en sécurité, je me sens apaisée. un bout de pizza à la main, je parle la bouche pleine et gesticule dans tout les sens. « .. et j'ai beau lui dire que quand même j'étais là à chaque fois il ne m'écoute pas [...] et elle l'a fait tu t'en rends compte ? [...] bah non parce que c'est Jill qui abuse [...] et moi ça me fait juste chier parce que je sais que j'ai raison [...] de toute manière je l'aime pas et .. » CLAP. je ferme ma bouche et je termine ma pizza, comme une enfant. « j'imagine que cinq minutes de plus c'est pas négociable ? » que je demande en buvant une gorgée de bière et en souriant. t'as la patience de m'écouter, t'as la force de me sortir de mon cercle vicieux de colère. je me mords la lèvre quand tu t'approches de moi et je plonge mes yeux dans les tiens. petit bisou rapide. tes mains contre mes cuisses. je suis au paradis. « merci d'avoir organisé cette soirée. c'est parfait, t'es parfait » je vais pour t'embrasser et je me stop. « mais Sim quand même il aurait pu ... » sourire d'enfant. « non je déconne » je vais éviter de penser à lui trop longtemps quand je suis avec toi.

@Jace Brekker

à genoux face à elle, entre ses jambes, mains posées sur ses cuisses, t'hausses les épaules ― yep, j'te trouve tendue. j'aime pas quand t'es tendue, donc.. puis lorsqu'elle fait mine de revenir dessus, tu grognes, puis captes rapidement qu'elle déconne. néanmoins, tu viens vite plaquer ta main sur sa bouche, puis la fait tomber en arrière dans le sable. rapidement, tu viens te positionner au dessus d'elle, retires doucement ta main ― faut que j'fasse quoi pour te faire taire ? bats des cils, sourire enjôleur aux lèvres. regard qui descend rapidement sur sa poitrine. des coeurs pleins les yeux. puis tu viens rouler à ses côtés en faisant l'étoile sur le table ― viens là... tu lui fais signe de venir contre toi.

@Jill Rothschild

à genou entre mes jambes, j'ai l'impression d'être une ado de 16 ans en vacance avec son petit ami, quarterback de l'équipe de football du lycée. « je suis pas tendue.. je suis moins tendue » parce que t'es là, parce que c'est toi. tu plaques ta main sur ma bouche, me pousse à m'allonger dans le sable alors que je ris comme une gosse. toi au dessus de moi, j'ai l'impression d'être au bon endroit. « je sais » que je lâche avant que tu ne te décales sur la côté, m'invitant à venir contre toi. je me relève un peu, vient placer ma tête sur ton torse, le visage relevé en direction du tien. « embrasse moi » que je demande doucement.

@Jace Brekker

tu sais pas tenir en place plus d'une minute. mais une fois ton dos posé contre le sable encore chaud, t'as juste plus envie de bouger. bras écartés, tu lui fais signe de venir se poser contre toi. tu lui avais promis des câlins. tu tiens ta parole. et puis, c'est pas comme ci t'en avais pas envie. ça lui fera autant de bien qu'à toi. une fois en place, sa tête posée contre ton torse, te demandant de l'embrasser, tu surélèves légèrement la tête, te mordilles la lèvre inférieure petit sourire espiègle et de ton autre main tu viens saisir son visage pour le relever légèrement pour un long baiser langoureux durant quelques secondes ― au moins, on est tranquilles là.  personne qui risque nous surprendre. j'crois que ça nous est jamais vraiment arrivé. regard qui s'abaisse vers son décolleté, et c'est l'coup de chaleur instantané. le plus beau décolleté de la terre, sans déconner.

@Jill Rothschild

je me sens bien avec toi ce soir, en dépit de la dispute avec Sim, des aveux de Vic concernant Jasper. je me sens vraiment hors du temps. et une fois dans tes bras, quand ta main se pose sur ma hanche, que tes lèvres retrouvent leur place contre les miennes, je me demande si ce n'est pas le bon moment de t'avouer ce que je peine à m'avouer moi-même, ce que je ressens quand je suis avec toi. « c'est jamais arrivé. on s'est toujours vu chez toi ou chez moi. enfin caché quoi » je me soulève, pour me retourner un peu sur toi, la poitrine en évidence, contre ton torse. « c'est ça que tu regardes depuis tout à l'heure ? » que je demande en souriant, levant un sourcil amusée.

@Jace Brekker

il est vrai que depuis l'histoire avec veritas, t'avais essayé de prendre tes distances avec elle. clairement, c'est pas ce que tu voulais de base, mais d'un autre côté, est ce que vous aviez vraiment le choix ? c'était méga chaud durant quelques jours après l'apparition des messages. puis le fait que tu te sois encore plus enfoncé dans le mensonge avec ivy. pour le coup, le pire c'est pas sim, mais ta meilleure amie. t'as pas à devoir faire un choix entre ton amitié avec cette dernière et ta relation avec jill de base. mais tu le sais qu'elle le prendrait mal, encore plus maintenant. alors tu t'étais dis que t'avais pas forcement le choix pour le coup. vous alliez surement passer rapidement à autre chose. elle trouvera toujours quelqu'un d'aussi bien que toi ou même mieux. et toi pareil. pourtant c'est pas forcement ce qui se passe. du moins de ton côté. elle voulait te voir et forcement, t'as pas pu refuser. non pas pour son plaisir à elle, mais surtout pour toi. parce que c'est comme ça, t'aimes être avec elle. t'es pas le genre à te forcer à faire des trucs que tu ne veux pas ― cachés, oui. grimaces, puis lorsqu'elle vient se placer plus contre toi, mettant sa poitrine en valeur histoire que t'en profites encore un peu plus, ton sourire s'élargie de plus bel et c'est les yeux qui brillent davantage ―  hein ? m-nooon, pas du tout. mais oui, biensur. ya ton regard indécent qui prouve le contraire. grand smile espiègle aux lèvres, tu viens placer tes mains sur ses fesses, puis déposes un rapide baiser sur sa joue ―  c'est encore plus kiffant qu'en photo. j'en suis... raide dingue. que tu dis en secouant la tête rapidement histoire de chasser toutes ces pensées impures qui t'envahissent.


@Jill Rothschild

j'ai essayé de m'éloigner de toi, de moins te parler, de pas te voir, même de t'en vouloir parfois. mais c'est plus fort que moi, je n'y arrive pas. pas sur du long terme en tout cas. même si Ivy ou Simeon pourrait mal le prendre, je veux pas être loin de toi trop longtemps. alors j'essaie de ne pas penser à ça pendant que je suis avec toi. je profite de nos moments, je veux être à 100% avec toi. tu répètes le mot qui fait mal. caché. j'aime pas ça. j'aime pas ce mot, j'aime pas le vivre. alors je me blottis contre toi, je profite de tes bras contre moi, de ton odeur et de tes câlins. putain ce que je voudrais être ici si souvent. t'as ce sont de pouvoir mélanger douceur, tendresse, jeu et attirance en même temps. alors je me mets à jouer à mon tour, me soulevant doucement pour que tu puisses avoir un petit oeil sur mon décolleté. « noooon pas du tout » que je répète en riant, fermant doucement les yeux quelques secondes quand tu viens poser tes lèvres contre ma joue. « tu sais ce qui est encore plus kiffant ? » je regarde autour de moi, on est totalement seul. alors je me relève d'un coup, les genou de part et d'autre de tes hanches, assise à califourchon sur toi. je me mets à rire alors que je retire mon débardeur, libérant ma poitrine, nue. « le plus kiffant c'est quand tu les touche » on est seul, deux adultes et je sais que t'en meurs autant d'envie que moi.

@Jace Brekker