w. @Shay Halliwell
Rabat ☆ 26 juillet 2022 ☆ Soir
Avec ce summer camp tu allais de surprise en surprise, Rainier. Pris d'un moment de nostalgie, tu avais décidé presque sur un coup de tête d'envoyer un message à Shay, celle qui a partagé ta vie pendant près d'un an et demi. Au vu de la façon dont ça s'était terminé entre vous, tu ne t'attendais pas spécialement à une réponse et contre toute attente elle t'a répondu. La conversation s'était enchaînée très naturellement, comme si vous n'aviez jamais mis un terme à votre relation et cela t'a donné assez de courage pour l'inviter à sortir. Pas lundi, parce que lundi c'était la fiesta avec la coloc pour fêter votre arrivée à Rabat, entre autres choses. Tu as donc proposé mardi soir, après l'excursion de l'après-midi, pour dîner et vous promener ensemble. Tu lui avais donné rendez-vous dans le hall de l'hôtel, d'ici 19h30. Après une douche rapide, tu avais enfilé des vêtements propres : une simple chemise de lin blanche, un peu plus large pour que ça ne frotte pas sur tes coups de soleil, et un pantalon en toile sombre. Tu avais également chaussé des mocassins, quelque chose de confortable, de moins guindé. Tu avais pris le soin de te parfumer légèrement et tu avais opté pour une odeur très fraîche, légèrement iodée et ambrée. Ainsi apprêté, tu te rendis dans le hall de l'hôtel et attendis. Puisque tu avais encore du temps avant que Shay arrive, tu sortis de l'hôtel et te mis dans un coin pour t'allumer une cigarette. Tu ne fumais pas souvent, Rainier, ce n'était pas très recommandé vu ton état de santé mais tu t'accordais volontiers cet instant pour essayer de te détendre un peu, tu étais toujours un peu nerveux quand tu devais retrouver une fille. Ce soir, tu ne retrouvais pas n'importe quelle fille, tu retrouvais celle que tu as aimé comme un fou avant de devoir y renoncer, notamment en partie à cause de ta famille, surtout à cause de ta famille en fait. Par acquis de conscience, tu lui envoyas un autre message pour lui indiquer que tu étais sorti, tu ne voudrais pas qu'elle s'imagine que tu t'étais dégonflé et que tu lui avais posé un lapin.
Avec ce summer camp tu allais de surprise en surprise, Rainier. Pris d'un moment de nostalgie, tu avais décidé presque sur un coup de tête d'envoyer un message à Shay, celle qui a partagé ta vie pendant près d'un an et demi. Au vu de la façon dont ça s'était terminé entre vous, tu ne t'attendais pas spécialement à une réponse et contre toute attente elle t'a répondu. La conversation s'était enchaînée très naturellement, comme si vous n'aviez jamais mis un terme à votre relation et cela t'a donné assez de courage pour l'inviter à sortir. Pas lundi, parce que lundi c'était la fiesta avec la coloc pour fêter votre arrivée à Rabat, entre autres choses. Tu as donc proposé mardi soir, après l'excursion de l'après-midi, pour dîner et vous promener ensemble. Tu lui avais donné rendez-vous dans le hall de l'hôtel, d'ici 19h30. Après une douche rapide, tu avais enfilé des vêtements propres : une simple chemise de lin blanche, un peu plus large pour que ça ne frotte pas sur tes coups de soleil, et un pantalon en toile sombre. Tu avais également chaussé des mocassins, quelque chose de confortable, de moins guindé. Tu avais pris le soin de te parfumer légèrement et tu avais opté pour une odeur très fraîche, légèrement iodée et ambrée. Ainsi apprêté, tu te rendis dans le hall de l'hôtel et attendis. Puisque tu avais encore du temps avant que Shay arrive, tu sortis de l'hôtel et te mis dans un coin pour t'allumer une cigarette. Tu ne fumais pas souvent, Rainier, ce n'était pas très recommandé vu ton état de santé mais tu t'accordais volontiers cet instant pour essayer de te détendre un peu, tu étais toujours un peu nerveux quand tu devais retrouver une fille. Ce soir, tu ne retrouvais pas n'importe quelle fille, tu retrouvais celle que tu as aimé comme un fou avant de devoir y renoncer, notamment en partie à cause de ta famille, surtout à cause de ta famille en fait. Par acquis de conscience, tu lui envoyas un autre message pour lui indiquer que tu étais sorti, tu ne voudrais pas qu'elle s'imagine que tu t'étais dégonflé et que tu lui avais posé un lapin.
(Rainier de Danemark)