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bastevie Ϟ blast from the past

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@Stevie Jenkins  tu t’ennuyais ou plutôt tu somnolais. il n’y avait pas plus clair comme état d’esprit, que tu hésitais à quitter ce quart de pelouse sur lequel tu étais allongé depuis quelques minutes. il faut dire que le summer camp réservait son lot de surprises, comme d’habitude, mais tu ne te sentais plus en état de suivre la même cadence que les autres étudiants, surtout après cette excursion dans le désert qui t'avait bien épuisé. à la recherche d’un coin tranquille, tu t’y étais tout de suite installé dès que tu en avais trouvé l’occasion et rapidement, morphée t’avait accueilli dans ses bras sans crier gare. heureusement que tu t’étais enduit de crème solaire dans la chambre avant de sortir, et que quelques palmiers avaient fait office d’ombrelles au-dessus de ta tête. subitement, tu te redressas, totalement perdu, tu mis un bon moment pour recouvrir tes esprits et constater que c'était une mauvaise idée d'avoir pris ces pilules qui pouvaient endormir n'importe quel cheval. disons que tu avais eu du sommeil à rattraper mais, voilà maintenant que tu te retrouvais plongé dans l’obscurité, n’ayant aucune idée de l’heure précise qu’il était. un bruit te fit sursauter, du coin où tu trouvais tu n'apercevais personne. — qui va là ? même si autour de toi, tout était devenu silencieux, tu étais persuadé d’avoir entendu quelqu’un. tu te levas pour ne pas rester les bras croisés, tu détestais stagner sur place trop longtemps et renouvelas l’appel : — je vous entends, vous savez ? tu erras encore un peu, légèrement engourdi, et t'approchas du bord de la piscine, tu voulais avoir le coeur net. cela t’obnubilait. — hého ? tu sortis ton téléphone pour essayer d’avoir une idée de l’heure et voir si tu avais des messages manqués. tu sursautas presque en apercevant une ombre se glisser à tes côtés avant de hausser le ton, furieux de cette petite frayeur : — putain, mais casse-toi. va effrayer quelqu’un d’autre qu’un pauvre merdeux comme moi. t’avais la haine d’avoir loupé plusieurs heures de la journée sans rien demander à personne.

(hj : j'espère que ça te va :heaart:)
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Assise à table, les verres de vin se remplissent plus vite qu’ils ne se vident. C’est traitre mais j’aime beaucoup l’idée que mon verre ne soit jamais vide et que je n’ai pas besoin de lever le petit doigt pour qu’il soit rempli à nouveau. Sourire sur le visage, étoiles dans les yeux, l’alcool commence doucement à faire son effet et moi, c’est à ce moment-là que je décide de quitter le restaurant et de retourner à l’hôtel. Je n’ai pas envie de finir ivre au repas du soir et compte bien décuver un peu - ou faire une sieste - avant de sortir dans l’un des clubs de la ville. Sourire collé au visage, je marche lentement en suivant les lampadaires en direction de ma chambre. Certains d’entre eux fonctionnent à la détection des mouvements et s’allument à mon arrivée. Ça me fait beaucoup trop rire. Éclairez-moi, princesse et reine de vos nuits ! J’en glousse et quand j’entends un drôle de bruit, je me tais rapidement. Ivre non, pompette oui, mais le vent frais qui s’abat sur mon visage me fait me redresser rapidement. Mes sens sont désormais tous aiguisés et je suis prête à me battre. Ou peut-être pas. Je continue d’avancer sur la pointe des pieds pour ne pas me faire remarquer et la voix que j’entends un peu plus fort m’intrigue. Comme une mouche sur un pot de miel, j’avance vers le bruit et quand je vois le visage de Bastille via l’éclairage d’un lampadaire, je ne peux m’empêcher de glousser. Il passe son temps à m’éviter, à rester loin de moi et ce soir, j’ai envie de savoir pourquoi. Alors je passe lentement à côté de lui et suis incapable de retenir mon rire. Un pauvre merdeux comme toi ? C’est pas beau comme vocabulaire pour se décrire Bastille. Que je souffle en me posant à côté de lui, presque dans son dos. Bouh ! Même pas peur. L’haleine imbibée au rosé, je souris et dis Ça va, je vais pas te faire de mal. Non, juste le pousser dans la piscine si l’envie me prend mais on y est pas encore, du calme.
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@Stevie Jenkins  tu lui en voulais pour cette petite frayeur, peu importe de qui il s’agissait. tu n’avais jamais aimé qu’on te surprenne, dans les moments où tu t’y attendais le moins, même pour te faire plaisir. tu avais souvent tendance à fuir les situations gênantes et celle-ci en faisait partie, d’autant plus que tu avais discerné ses traits que tu reconnaissais entre mille. même dans la semi obscurité, tu n’aurais pas confondu ce visage bien familier à un autre. il t’était impossible de l’oublier, bien qu’il semblât appartenir à une autre personne. pour toi, tu n’admettais pas l’évidence qu’il pouvait appartenir à quelqu’un d’autre, qu’il ne pouvait s’agir là que d’un mauvais tour de ton imagination. tu n’arrivais toujours pas à croire qu’un tel visage pouvait exister sur un autre, que cela te perturbait grandement. d’autant plus que ce visage, il riait de façon effronté. et un rien te rendait de mauvaise humeur. — ah c’est toi, jenkins. no comment. la présence de la jeune femme t’irrita déjà, en plus de ne pas t’être complètement remis de cette sieste improvisée — et de tes émotions — mais fallait mieux ne pas souligner ce détail, que tu ne fus pas réellement surpris de la voir se comporter ainsi à tes côtés. elle semblait bien différente mais en apparence, cela te troubla toujours au point d’avoir un début de nausée. mais devant la jenkins, tu te fis violence pour demeurer imperturbable. l’exercice te parut difficile à chaque fois qu’elle apparaissait de façon impromptue, tout cela te paraissait calculé et bien lourd venant de sa part. aucun doute que ton esprit la dédaignait d’une manière extrême, au plus profond de toi-même tu n’arrivais pas à supporter sa liberté toute acquise. elle devait t’appartenir, même si celle qui te faisait face n’était pas celle à qui tu pensais réellement — heureux de l’entendre. que tu lui répondis, non sans grande conviction. sous la lumière crue du luminaire, elle te parut enjouée, limite euphorique. pompette à coup sûr. — mon dieu, t’as pas été particulièrement épargnée ce soir. que tu lui lanças, avec insolence. bien sûr que tu n’avais aucune envie de rester une seconde de plus avec elle, mais elle semblait pire qu’une mouche. man vs bee, tu ne souhaitais pas vivre ce même scénario. — déjà qu’est-ce que tu fous toute seule à cette heure ? limite que tu aurais pu trébucher dans la piscine, y laissant ta vie. inconsciemment tu te souciais pour elle, à cause de son état, à cause de ce putain de visage qui te ramenait quelques années en arrière. à cause d’elle, de cette fille que t'avais dans la peau à jamais. tu reculas de quelques pas par instinct. — c’est toi qui vas te faire mal. ou bien toi si tu continuais de fuir. elle n'était pas elle.
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C’est moi, no comment. Ça veut dire quoi ça, au juste ? Les sourcils froncés, je tente de le dévisager mais je dois avouer que mes yeux partent un peu dans deux positions opposées et mon front me tire beaucoup trop. Il a cette aversion pour moi qui me fascine plus que cela ne devrait. Il n’y a qu’à voir son visage pour s’en rendre compte. Il pourrait être un peu plus souriant, un peu plus détendu et l’entrevue n’en serait que plus agréable. Mais avec Bastille, il n’y a rien à faire. Il y a un truc qui coince et je ne sais pas quoi. Ça m’intrigue particulièrement ce soir parce que nous ne sommes que deux et que la tension - venant de lui - est plus que palpable. Je m’en sors pourtant bien. Tu devrais voir les autres. J’en glousse, comme si je parlais d’une baston à laquelle j’avais participé. Mes petits poings d’écureuil et moi n’irions pas loin mais tout ça est bien trop hilarant pour que je m’arrête là. Je ne le lâche pas du regard et suis incapable de détendre le large sourire qui est collé à mes lèvres. Je crois que ça me plaît de le sentir aussi déstabilisé juste avec ma présence. J’ai jamais trop eu le temps de m’y intéresser ces dernières années, toujours bien trop occupées pour chercher la petite bête. Mais désolée pour lui, ce soir, il est le seul que j’ai sous la main. T’inquiète papa, je sais me gérer toute seule, je suis une grande fille. Et quand toute ta vie fout le camp alors que t’es même pas majeure, t’apprends vite à nager parmi les requins. T’es trop mignon à t’inquiéter pour moi. Que je souffle alors que je fais un pas dans sa direction. Je vais pas te noyer Bastille. En plus, tu viens toi même de le dire, la seule personne que je risque de blesser c’est moi. Et puis, il doit y avoir des caméras un peu partout. Si j’essaye de le noyer, on me retrouvera facilement. J’ai pas envie de visiter les prisons tunisiennes de toute façon. J’hausse les épaules et laisse tomber mon sac sur un des transat bien rangés. Tout est aligné, on pourrait presque sortir la règle et l’équerre pour tout vérifier. T’as un problème avec moi ? Les paroles sortent trop vite, pas assez pensées, comme si j’en avais quelque chose à faire. On a couché ensemble et je t’ai jamais rappelé ? Et je suis vraiment désolée si mes courbes l’ont fait chavirer mais je fais pas dans le posé, la fidélité et tous ces principes contemporains qui me foutent la chair de poule. En tout cas, depuis mon transat, je le regarde et attends de voir ce qu’il en est. J’ai besoin de juger, de jauger et de voir si je dois l’amadouer pour avoir des réponses à mes questions.
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@Stevie Jenkins  no way, avec mademoiselle jenkins, tu n'y arrivais pas. tu ne ressentais pas une once de sympathie à son égard ou un sentiment quelconque, un minimum positif qu'il soit. cela restait ancré au plus profond de toi, comme une partie de toi qui s'était pourrie avec le temps mais dont tu ne parvenais pas à t'en débarrasser. contraint de vivre éternellement avec ce fardeau qui te pesait, apprenant à vivre avec malgré toute la volonté du monde pour oublier ce coeur qui avait été meurtri par une seule femme. la blessure béante se ravivait en sa présence, mine de rien et cela te perturbait grandement. tu avais petit à petit réussi à l'oublier, même si tu ressentais à l'intérieur de toi sa présence tous les jours. — tu sors d'une orgie ou quoi ? les mots avaient été arrachés dans la douleur, pitié faites qu'elle disparaisse de ton champ de vision et ne ravive pas ta migraine. mais c'était sans compter sur son côté d'emmerdeuse qu'elle chercha à mieux t'embrouiller. elle y arrivait, puis face à un tel visage, tu éprouvais plus de mal à fuir que d'habitude. elle dégageait une sorte d'aura qui te retenait malgré toi. elle se moqua de ton côté protecteur, prétextant être une grande fille. — mouais, que tu dis. ne compte pas sur moi pour t'aider à retrouver le chemin de la chambre si c'est ce que t'étais en train de faire. démerde-toi, tu essayas de la repousser mais elle semblait décidée à ne pas te lâcher, c'était encore pire. — je veux pas devenir la personne qui t'a vue vivante en dernier et vivre l'expérience des prisons tunisiennes, comme toi en fait. d'où tu montrais que t'avais peur qu'elle te noyât ? sûrement dues à tes expressions, révélant clairement ton mécontentement de l'avoir sous les yeux. jenkins l'avait parfaitement remarqué et ce n'était pas la première fois que tu la médisais. elle s'écroula sur un transat, avec sans doute une dose importante d'alcool dans son sang, pas étonnant qu'elle perdait facilement l'équilibre. mais son interrogatoire continuait et tu soupiras presque. elle savait que tu ne la portais pas dans son coeur et voulait pertinemment en savoir les raisons. — pourquoi toutes ces questions ? je t'intéresse soudain ou bien ? tu te rapprochas d'elle, tout en restant méfiant. tu ne savais toujours pas si elle était réellement dangereuse dans son état. — si ça se trouve, demain tu oublieras tout de ta soirée, tu ne te souviendras pas de moi. alors tes questions à la con, tu les fourres bien là où je le pense. puis d'un coup, tu lui fis un claquement de doigts sous ses yeux pour retenir son attention et ajoutas d'une voix presque agressive : — pour ta gouverne, non on n'a pas couché ensemble miss, avec ce corps je m'en souviendrai sinon. et puis, t'es pas trop mon genre. au contraire, tu pourrais avoir la trique pour elle et lui clouer instantanément le bec là si tu le désirais. surtout si tu te retrouvais dans le même état qu'elle mais non, elle ne méritait pas un tel traitement. elle devait souffrir comme elle.
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Quand tu sors d’un repas, on appelle ça un festin. Que je souffle en souriant largement. Bah alors, que se passe-t-il ? Les neurones ont oublié de se connecter, le courant ne passe pas ? Je ne cherche même pas trop parce que le moment est bien trop intéressant pour s’attarder sur ce genre de choses. Je glisse mes yeux sur Bastille et attends les réponses à mes nombreuses questions. Qu’il ne s’inquiète pas, je ne suis pas d’humeur à le noyer ou je ne sais quoi. J’ai profité de ma soirée et il y a une soirée qui m’attend. Je ne compte pas m’attarder avec lui ni même déroger à mes plans pour ça. Je n’aurais pas de motif, j’écoperai d’une plus petite peine mais il ne fait pas partie de ceux que j’ai envie de voir disparaître. Il y a du monde avant lui sur la liste. Et puis, il ne m’a jamais rien fait. C’est le genre de choses que je n’oublie pas, jamais. Alors on va tous les deux rester en vie, c’est merveilleux. Que je souffle, presque dans un soupir. Et je ne préfère pas répondre sur sa première accusation parce qu’il a tout faux. Vraiment. Sur toute la ligne, il se plante quand un con. Si c’est ce que j’avais voulu, je me dépeindrais comme une jeune femme en détresse, ce que je déteste le plus au monde. Je m’ennuie, t’es mon occupation du moment. Que je réponds après m’être posée sur le transat. J’ai un peu de temps pour moi et tout ça m’intéresse grandement. Si l’avis des autres sur moi ne m’intéresse pas, j’adore savoir ce qu’il se dit sur ma personne. Paradoxal, n’est-ce pas ? Mais si j’étais un chat tout doux, ça se saurait. Là, surtout avec lui, j’ai tout du chat qui joue avec une souris, qui la laisse partir avant de la chopper à nouveau avant de lui arracher la tête et d’offrir le cadavre à ses maîtres. Justement alors, réponds. Que je lance avant qu’il me claque ses doigts devant les yeux. Je relève le visage vers lui et l’écoute. Je lève les yeux au ciel et soupire fortement. Je suis pas ton genre mais mon corps te plaît. Essayes de mettre de l’ordre dans tes yeux Bastille, c’est contradictoire tout ça. On est tous les deux incohérents et c’est bien parce que ça nous rapproche. Allez, dis moi réellement ce qui te tracasse Byers, ça m’intéresse. Genre vraiment. Ne me fais pas perdre mon temps. S’il te plaît ? C’est bien ce qu’on dit non ? J’en sais trop rien mais ça m’arrache un sourire carnassier.
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@Stevie Jenkins   — un festin ? haussement de sourcils perplexe, tu voulus réagir mais tu perdais presque toutes tes neurones avec elle. décidément sa présence n'augurait rien de bon, et tu compris rapidement pourquoi. la jeune femme, bien qu'éméchée, était déterminée à atteindre son but ce soir, pour tenter de comprendre un peu ton comportement avec elle en temps normal. — t'as vu un peu l'état dans lequel tu te mets pour moi ? t'es à deux doigts de m'amadouer mais en vrai, tu me fais pitié. ouais la pauvre fille s'était assise sur un transat pour régler son problème d'équilibre pour de bon, franchement tu devrais continuer ton chemin et laisser les gens tranquille. vraisemblablement, elle n'en avait cure. — ah tu t'ennuies ? aucun mec n'a voulu de toi ce soir, c'est ça ? voix railleuse, car c'était tout ce qu'elle méritait. même pas ton attention. mais tu continuais de lui faire face, plutôt que de tourner les talons pour qu'elle sorte de ton esprit. son visage t'hypnotisait malgré tes efforts pour rester pleinement insensible. tu ne contrôlas pas le rire qui s'empara immédiatement de toi, après ses propos. — c'est mort jenkins, je suis juste en train de kiffer de te voir toute déchirée. tu souris, les jambes te portant au plus près d'elle. d'une certaine façon, tu souhaitais approcher le feu, celui qui t'avait consumé par le passé, mieux l'approcher pour mieux combler le manque toutes ces années. tu brûlas de colère de l'intérieur, car tu n'oublias jamais à quel point elle t'avait détruit. encore une fois, tu confondais les deux femmes. — pourquoi tu t'obstines ? ce n'est pas un s'il te plaît qui va changer la donne. tu la foudroyas du regard, simplement parce qu'elle portait son visage. ce visage d'ange qui te charmait toujours. et qui cachait sous ses traits angéliques un démon. si t'avais su, tu ne serais jamais tombé amoureux. — va t'en, jenkins. m'adresse plus la parole. tu tournas les talons, non sans difficulté. te tenir éloigné d'elle te paraissait bien plus simple, fuir l'était également comme à l'instant. tu espéras donc qu'elle t'ait entendu. tu préférais qu'elle se trouve un autre os avec lequel jouer. qu'elle aille au diable.

(hj : vraiment désolé du retard :ôô:)
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