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Les originesFrançaise et du sang américain très lointain
feat. janae roberts
23 novembre 1996, Bordeaux, petite ville du sud ouest de la France, là où il fait bon vivre.
Française
hétérosexuelle, et nouvellement célibataire
septième année de médecine, spécialisée en gynécologie-obstétrique.
très aisée.
Le caractère
Impliquée aussi bien dans la famille que dans la vie, je vais jusqu’au bout de mes idées. On peut parfois me qualifier comme étant têtue, cela n’est pas totalement faux. Quand j’ai une idée, je ne l’ai pas ailleurs comme on dit.
Fofolle , un vrai bout-en-train, je suis assez bon public et pas la dernière pour rire et passer du bon temps avec mon entourage. Pas jusqu’à être extravertie non plus, je reste une jeune femme avec un esprit d’enfant.
Cependant, je garde un côté sereine et calme . Il y a un temps pour rire, faire la folle. Mais il y a également des moments où j’aime me poser, me détendre, souvent seule. C’est d’ailleurs grâce à cela, que je suis une oreille attentive, une écoute, une épaule sur laquelle se poser. Une amie en or ? Très certainement.
Famille le noyau, ma vie. Nous n’avons manqué de rien entre mon grand frère et ma petite soeur, la petite chouchoute. Nos parents ont toujours fait au mieux pour nous, et s’ils devaient être absent, c’est nos grands-parents paternels qui prennent le relai. Notamment quand ma mère est tombée malade et qu’elle nous a quitté. Il y a toujours eu beaucoup d’amour autour de nous, et il va s’en dire qu’ils sont un véritable exemple à mes yeux.
Je ne prend jamais de parti. Je déteste les conflits ou être faché avec quelqu’un. Même si ça prend du temps, je sais revenir en m’excusant.
Indépendante aussi contradictoire que ça puisse l’être, je forme ma vie sur une sorte d’indépendance. J’aime réussir par moi-même et ne pas dépendre de l’argent de ma famille. Je ne dis pas que je n’en profite pas, mais je ne cherche pas la réussite de par mon nom de famille. D’où mon choix d’études, mon nom m’a sûrement facilité l’entrer dans les grandes institutions, c’est mon travail qui fait ma réussite.
Carriériste Je peux refuser une sortie parce que j’ai un devoir à rendre le lendemain, je ne prendrai sûrement pas une cuite parce que je sais que j’ai un stage à assurer. Inconsciemment, je délaisse parfois ce qui m’entoure pour m’assurer de ma bonne réussite.
Je reste un mystère pour l’ensemble de la gente masculine. J’attire les regards par ma beauté et mon intelligence, enfin du moins, c’est ce que m’ont dit car je ne le réalise pas toujours. Sans pour autant être une jeune femme pure, je n’enchaîne pas pour autant les relations d’une nuit, ou les relations tout court.
Entres autres : impatiente, peu sportive, maniaque, intelligente, protectrice, sensible, souriante, digne de confiance, ambitieuse, vrai, peu rancunière, solaire.
Fofolle , un vrai bout-en-train, je suis assez bon public et pas la dernière pour rire et passer du bon temps avec mon entourage. Pas jusqu’à être extravertie non plus, je reste une jeune femme avec un esprit d’enfant.
Cependant, je garde un côté sereine et calme . Il y a un temps pour rire, faire la folle. Mais il y a également des moments où j’aime me poser, me détendre, souvent seule. C’est d’ailleurs grâce à cela, que je suis une oreille attentive, une écoute, une épaule sur laquelle se poser. Une amie en or ? Très certainement.
Famille le noyau, ma vie. Nous n’avons manqué de rien entre mon grand frère et ma petite soeur, la petite chouchoute. Nos parents ont toujours fait au mieux pour nous, et s’ils devaient être absent, c’est nos grands-parents paternels qui prennent le relai. Notamment quand ma mère est tombée malade et qu’elle nous a quitté. Il y a toujours eu beaucoup d’amour autour de nous, et il va s’en dire qu’ils sont un véritable exemple à mes yeux.
Je ne prend jamais de parti. Je déteste les conflits ou être faché avec quelqu’un. Même si ça prend du temps, je sais revenir en m’excusant.
Indépendante aussi contradictoire que ça puisse l’être, je forme ma vie sur une sorte d’indépendance. J’aime réussir par moi-même et ne pas dépendre de l’argent de ma famille. Je ne dis pas que je n’en profite pas, mais je ne cherche pas la réussite de par mon nom de famille. D’où mon choix d’études, mon nom m’a sûrement facilité l’entrer dans les grandes institutions, c’est mon travail qui fait ma réussite.
Carriériste Je peux refuser une sortie parce que j’ai un devoir à rendre le lendemain, je ne prendrai sûrement pas une cuite parce que je sais que j’ai un stage à assurer. Inconsciemment, je délaisse parfois ce qui m’entoure pour m’assurer de ma bonne réussite.
Je reste un mystère pour l’ensemble de la gente masculine. J’attire les regards par ma beauté et mon intelligence, enfin du moins, c’est ce que m’ont dit car je ne le réalise pas toujours. Sans pour autant être une jeune femme pure, je n’enchaîne pas pour autant les relations d’une nuit, ou les relations tout court.
Entres autres : impatiente, peu sportive, maniaque, intelligente, protectrice, sensible, souriante, digne de confiance, ambitieuse, vrai, peu rancunière, solaire.
Les anecdotes
- ( 01 )Née un vingt-trois novembre 1996, à Bordeaux, grande ville du vins par excellence. Je suis la deuxième de la fratrie Lurton, d’un père à la tête de la gestion du viticole du domaine Château Cheval blanc (Saint-Emillion) et propriétaire du Château d’Yquem (Sauternes), tous classés grands crus, ou la moins bonne des bouteilles et vendu au bas mot quelques milliers d’euros. Ma mère est architecte, on lui doit les plus belles constructions du sud de la France et d’ailleurs.
- ( 02 )Ma mère a passé la plupart de son temps à la maison, partant parfois en voyage, mais c’est le plus souvent mon père qui a été absent de part ses obligations pour faire marcher le domaine viticole. A contrario, je me sens plus proche de mon père que de ma mère, contrairement à ma petite soeur qui est une vraie fille à maman.
- ( 03 )Malgré tout, on a eu une éducation assez stricte. Apprendre à bien se tenir, faire attention à notre façon de parler en société, savoir distinguer une fourchette pour manger qu’une fourchette pour le dessert. On a appris très vite à avoir une belle image devant chaque personne face à nous.
- ( 04 )D’ailleurs, en tant que bonne image de petite fille, j’ai été inscrite dans une école de danse classique où j’en ai fait pendant de longues années, de mes six ans à mes seize ans. Si aujourd’hui je ne pratique plus ce sport, l’écoute de la musique classique me détend.
- ( 05 )Élève modèle depuis toujours, je suis toujours sur le podium des meilleurs notes de ma classe, sûrement. Studieuse en France, fait je passe mon baccalauréat que j’obtiens avec mention très bien m’ouvrant beaucoup de porte.
- ( 06 )Pour mes dix huit ans (2014) on part à l’autre bout du monde avec des copines pour marquer le coup de la majorité. On s’amuse, on profite, je me laisse lâchement séduire par un homme, en utilisant les bons, ceux qu’on rêve d’entendre en tant que femmes. Naïvement, je lui offre ma première fois. Dès le lendemain, je n’entendrai plus parle de lui, m’ignorant totalement.
- ( 07 )Je me dirige naturellement vers la médecine, en ressentant le besoin de partir faire mes études ailleurs. Une hésitation entre la Sorbonne à Paris, et Oxford à Londres. Je fini par choisir la deuxième option. Bien sûr, je rentre régulièrement pour voir ma famille. Pour être sûr de mon coup, je fais tout de même une année de prépa avant de commencer médecine.
- ( 08 )Je fini par rentrer au près de ma famille, en demandant un transfert de dossier, lors du décès de ma mère quatre ans plus tard, en 2018. Je continue donc mes études à la Sorbonnes, cela me permet de rentrer autant que possible sur Bordeaux.
- ( 09 )Ma mère décède d’une maladie génétique, la chorée de Huntington. Une maladie dégénérative neurologique. J’ai vu l’état de santé de ma mère se dégrader chaque fois que je rentrais en France. Mon père nous pousse à faire les test mais je ne les ai toujours pas fait. Je reste convaincu que si l’on cherche les ennuis, on fini forcément par les trouver, et je préfère vivre ma vie sans savoir que j’ai cette maladie, d’autant plus que je peux dire adieux à la médecine si c’est le cas.
- ( 10 )A la fin de mon master en France (qui m’a fait un an de plus pour la coupure que j’ai fait pour rester au près de ma famille la première année du décès de ma mère), je décide de rentre hommage à ma mère en allant rejoindre Harvard afin de continuer mes études, ayant été accepté en cursus gynécologie-obstétrique. Mon père retrouve le goût à la vie en se plongeant corps et âme dans le travail, et dans sa vie avec sa nouvelle femme. Il est donc tant pour moi de prendre mon envol vers Boston, retrouvant mon grand frère Nicolas.
- ( 11 )Je ne collectionne pas les histoires, ni les amis, ni même la popularité. Je ne m’entoure que de gens vrais, avec qui je m’épanouie.
- ( 12 )Je n’ai pas le permis de conduire, il est tellement facile de se déplacer sans que je n’ai besoin du permis que ce n’est pas ma priorité. On dispose également d’un chauffeur dans la famille si nécessaire.
- ( 13 )J’ai la phobie des immensité comme l’océan, tout ce qui ne possède pas de fin.
- ( 14 )Gourmande, j’adore commencé ma journée avec un bon café et un bon petit déjeuner. Autrement, je peux être ronchon sans mon café.
- ( 15 )Je peux être poser avec un livre - souvent de médecine - à la main, où on peut me retrouver en train de danser au milieu du salon.
- ( 16 ) Je ne profite pas de la richesse de ma famille, mais j’aime tout de même profiter des belles choses, j’ai toujours pris soin de moi, de beaux vêtements, sans forcément être dans le bling-bling. J’ai un gros penchant pour la belle lingerie.
- ( 17 )Avec mon frère, on a une cave à vin des meilleurs vins de ma famille en guise de collection.
- Code:
<div class="card-user-bottin-adams class="text-s-bebas text-upper">JANAE ROBERTS</adams><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Maxyne C. Lurton"</span></div>
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