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@Esteban J. Quesada
14 juillet 2022, Paris


Je me suis lancée dans une aventure, qui me surprend moi-même. Tu m’as contacté via meetsa, j’ai accepté, on se parle depuis quelques jours, et aujourd’hui, je t’envoie le jet de ma famille pour que tu viennes me rejoindre. Après, on discute très bien, on rigole bien ensemble. Alors pourquoi pas ? On verra bien. On aurait pu attendre dimanche que je revienne au summer camp, bien que j’ai promis à Soenn qu’il serait le premier que je verrai en rentrant. Tu devrais être là en début de soirée, les deux heures trente pour que l’avion arrive à Tunis, et qu’il revienne avec toi. Ça me laisse le temps de prévenir Celyan que je ne l’accompagnerai finalement pas. Bien sûr, j’ai le droit à des petites remarques, des questions. Mais aussi la proposition que tu nous accompagnes avec mon frère et nos amis. Je décline sans la moindre hésitation, je sais comme mon frère peut être parfois lourd quand il s’y met, et ce n’est pas vraiment comme ça que j’imagine les choses. D’autant plus pour une première fois où l’on se verra, déjà que le contexte est particulier, je ne veux pas d’imposer la présence de ma famille. Je prend le temps de me préparer, le temps est chaud et lourd sur Paris, alors les vêtements légers sont de mises, avant de prendre une voiture pour aller te chercher à l’aéroport. Je dois reconnaître que je ne sais toujours pas si on va profiter du feux d’artifices de la fête national en France depuis la chambre ou sur le Champ de Mars directement. Et en même temps, aller directement dans la chambre peut renvoyer une mauvaise image. Oui, sur les Champ ça sera très bien.
Tu arrives vers vingt-et-une heures, et je dois dire que je ne suis déjà pas déçue physiquement parlant. Grand, ténébreux, les yeux très profonds, un beau sourire. La complicité se fait naturellement, retrouvant les mêmes délires que l’on peut avoir sur le meetssengers. On rit, on parle, on s’amuse, une personne extérieur pourrait croire qu’on se connaît depuis plusieurs semaines, plusieurs mois, et non depuis quelques jours. Quand on nous dépose au Trocadéro, la musique bat son plain avec un concert, beaucoup de monde déjà présent. Trop même, encore plus avec la chaleur qu’il fait. On finit par avancer et se trouver un endroit où se poser. « Me lâche pas, on aura dû mal à se retrouver sinon.» Instinctivement, je te tient l’avant-bras pour ne pas te perdre. Vingt-trois heures, les premiers feux d’artifices sont tirés, les yeux rivés vers le ciel pour voir l’explosion de couleurs sous toutes ses formes. Entre temps, je me suis retrouvée devant toi, mon dos collé à ton torse, la tête en l’air qui se pose presque sur ton épaule. Sur le moment, je ne le réalise pas forcément, je suis juste prise par l’événement, bien qu’on pourrait être trop proche pour des personnes qui viennent juste de se rencontrer.  Paris a encore mis les grands moyens car c’est un vrai spectacle de son et de lumières. « Tu aimes ? » Soucieuse de savoir que tu ne regrettes pas d’avoir fait le trajet pour rien, je quitte le spectacle des yeux pour te regarder toi, à l’approche du bouquet final.
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Parfois, tu arrivais à te surprendre toi-même. Déjà que tu avais réussi à partir une grande partie du mois sans forcément revoir ta petite. Et voilà que tu acceptais de partir dans un jet privé pour rencontrer cette demoiselle avec qui tu parlais depuis maintenant quelques jours. Un feeling s’était créé, et pour être franc, ça faisait déjà bien longtemps que tu n’avais pas eu cette sensation. Tu avais vu son profil, très belle jeune femme, tu lui as envoyé une invitation sans réellement savoir si elle allait l’accepter. A ton grand étonnement, elle avait validé cette demande et depuis, impossible d’arrêter de lui parler. Les simples pauses : les heures de sommeil. Elle te faisait sourire et rire, franchement, tu étais content de cette découverte et quand elle te proposa de la rejoindre pour cette soirée si spéciale. Tu n’avais pas hésité longtemps, même si tu avais décidé de la faire un peu patienter. C’était déjà tout vu pour toi, tu n’allais pas refuser cette proposition et tu allais pouvoir enfin la voir de tes propres yeux. Tu ne savais pas réellement quoi mettre, d’après ton iPhone, la température était également élevé la-bas, pas autant qu’ici, mais au vu de tes souvenirs de tes voyages dans le sud de la France. Ça ne rigolait pas non plus, comme en Espagne. D’ailleurs, peut-être que tu allais prévoir un sac un peu plus gros et que tu allais t’absenter quelques jours en plus, retournant un ou deux jours dans ton pays natale par la suite. Tu anticipais, tu verrais sur le moment venu, peut-être que tu retournerais ici juste après cette soirée. Tu préparais rapidement ton sac avec des vêtements légers, mais tout de même classe. Un simple t-shirt blanc, toujours ta chaine autour de ton cou et un jean noir assez proche de toi et des baskets. Simple, mais élégant, ça t’allait toujours à merveille ce genre de tenue. Pas besoin de sortir le costard, tu mettais un coup rapide de peigne dans tes cheveux, un peu de laque, du parfum et c’était parfait. Tu avais déjà pris ta douche il y a quelques heures, pas besoin d’utiliser encore plus de l’eau. Le temps que son jet arrive, tu décidas de boire un verre ou deux au bar de l’aéroport, puis finalement tu pris place sur l’un des premiers sièges. Grand, spacieux et l’équipe était très chaleureuse, seulement deux petites heures de voyage, ça allait être rapide. Tu te posais tout de même quelques questions, ne sachant pas comment allait se passer cette soirée, est-ce que le feeling sera encore présent en face à face ? Beaucoup de questions, pour finalement apprécier le moment venu. Cette demoiselle, aussi belle qu’en photo, même plus mignonne en réalité. Très vite, les taquineries reprenaient le dessus, créant une ambiance décontractée. Le monde est présent, la musique et forte, les gens étaient décontractés, ça faisait du bien de retrouver un peu de civilité. Depuis ton arrivé en Tunisie, tu sortais moins et l’ambiance était un moins festive, du moins c’était ton avis. Un léger sourire s’afficha sur tes lèvres en entendant ses paroles « Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te lâcher d’aussitôt. » soufflais-tu en rigolant. Appréciant sentir sa peau contre la tienne. L’heure fatidique arrivait, les premières détonations, elle se posa devant toi, son corps contre toi, l’arrière de sa tête contre ton torse. Tu décidas de la tenir par la taille pendant ce moment, pour ne pas la perdre et s’éloigner d’elle. Tu posas ton regard dans le sien un instant, te coupant du spectacle. « Oui j’aime bien, c’est agréable. » laissait-tu glisser entre tes lèvres. « Je ne regrette pas d’être venu. » souriais-tu tendrement.
@Maxyne C. Arnault
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Si le summer camp me plait jusque maintenant, revenir à Paris fait du bien tout de même. Même sans être une femme matérialiste, je ne dis pas non à une virée shopping, voir les nouvelles collections à venir de l’entreprise. J’ai même pu donner mon avis de femme sur des vêtements, ou sur une collection cosmétique à venir sur les attentes du moment. Puis, c’est l’occasion pour Celyan et moi de se retrouver, le summer camp nous puisse tellement dans nos énergies qu’on n’a pas vraiment profiter ensemble. J’aime Paris, j’y reviens de temps en temps, surtout quand je rend visite à ma famille. Et ta présence ici, ce soir, me donne encore plus envie d’aimer cette ville de lumière. Je te tiens le bras jusqu’à trouver l’endroit parfait pour se poser, et regarder le feu d’artifice. Je rougis quand tu me dis ne pas vouloir me lâcher de sitôt. Preuve que tu aimes le moment qu’on passe ensemble, que tu ne regrettes pas les kilomètres fait pour une parfaite inconnue. Car oui, quelques jours de discussion ne fait pas de moi une personne de confiance, juste une simple connaissance, et encore.
Les premiers artifices éclatent dans le ciel comme des petites lucioles de différentes couleurs. Je me pose contre toi, appréciant le contact de tes bras qui encerclent ma taille, me rapprochant encore un peu plus. J’ai beau ne pas faire facilement confiance, encore moins dans les hommes, je me retrouve avec ses vacances à apprécier de plus en plus le contact des hommes à mon égard. Et il faut dire que les étudiants n’ont pas froid aux yeux pour faire comprendre quand ils apprécient quelqu’un, même si c’est juste un physique. Là où en Europe, on est parfois un peu plus subtiles. Ou alors moi qui ne voit pas grand chose, ça c’est possible aussi. Mon regard s’enfonce dans le tien pour te demander ce que tu penses du spectacle. Le sourire tendre aux lèvres quand tu me dis que c’est agréable. « Je suis d’accord.» C’est agréable d’être là, posée devant tant de beauté. Et je ne parle pas forcément du divertissement dans le ciel. « Je ne regrette pas que tu sois là aussi.» Au moins s’était dit. Je cache mon sourire béat en tournant le visage vers le bouquet final, le ciel scintillant de milles feux par toutes les explosions de lumières, de toutes les couleurs, de toutes les formes. Cela se termine, bien trop vite à mon goût, et la foule commence à se disperser autour de nous. « C’était .. wahou ! » que je m’exclame des étoiles dans les yeux encore. Je fini par te faire face, me détachant de ton étreinte. « Tu veux faire quoi maintenant ? Parce que là, les bars risquent d’être bondés...» Après tout, tu es mon invité, alors je me plis à ce que tu voudrais faire. Je ne sais pas ce que tu connais de Paris, après peut-être qu’on peut trouver un endroit plus calme pour continuer à se connaître.
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Pourquoi avais-tu accepté de prendre ton envol pour rejoindre la capitale française ? Pour cette jeune femme avec qui tu échangeais seulement depuis quelques jours ? Chose que tu n’aurais pas fait auparavant, il était peut-être temps pour toi d’évoluer, d’arrêter de penser au passé et aux douleurs. C’était peut-être simple de le dire, mais plus difficile de le faire, mais tu finirais par y arriver, par aller de l’avant. Tu n’avais pas réellement le choix pour ton petit bout, elle avait besoin d’équilibre et d’une ‘maman’. Bien évidement, tu ne demanderais pas à ta future femme de s’en occuper comme sa propre fille, mais déjà de l’aimer, serait bien. Tillie avait tellement d’amour à donner, elle en avait à revendre. Chaque fois que tu croisais une belle femme, elle te demandait si elle était sa mère. Une situation délicate, et pourtant tu lui ana vais déjà parlé plus d'une fois, mais elle gardait espoir. Elle tenait de toi sur ce point là, même si ce n’était pas forcément le meilleur. Alors, partir un peu loin de Boston, sans personne, ne pourrait que te faire du bien. Tu avais décidé de t’ouvrir un peur à des autres personnes que ton entourage, et c’est pour ça que tu avais accepté de te rendre à Paris. De plus, ça faisait bien longtemps que tu n’avais pas mis un pied la-bas, c’était l’occasion. Par la suite, tu prendrais certainement un avion pour te rendre dans ta ville natale, revoir ta famille éloignée et quelques anciens amis. Un besoin de te ressourcer, seul, était limite obligatoire pour ne pas perdre pied.

Tu l’avais retrouvé dans le hall de l’aéroport, elle était sublime, même plus belle qu’en photo. Autant le dire, tu ne regrettais pas ton choix. Après avoir été conduit par son chauffeur jusqu’au lieu, où la soirée allait commencé, tu avais marché en sa compagnie parmi la foule. Elle te tenait pour ne pas te perdre, et tu ne comptais pas la lâcher d’aussitôt. Tu venais seulement de la rencontrer, tu voulais au moins passer quelques heures en sa compagnie. La découvrir un peu plus, la taquiner comme tu l’avais fait depuis le début. L’ambiance est bien différente de celle en Tunisie, ça te fait du bien de retrouver ce train de vie. Tu préférais quand c’était plus vivant, tu allais profiter du moment présent. Ton téléphone était enfouie dans la poche de ton jean et tu ne comptais pas le sortir avant la fin de la soirée. Tes parents étaient au courant de ton déplacement, ta petite était dans les bras de Morphée. Le spectacle pyrotechnique commençait et la jeune femme se glissa contre toi, sans réellement réfléchir tes mains entouraient sa taille. Vue de l’extérieur, il formait un magnifique couple, le feeling était là, il n’y avait pas de blanc, pas d’hésitation dans tes mouvements comme dans les siens. C’était particulier, mais ça ne te dérangeait pas, tu étais décontracté, tu étais bien. Un sourire se glisse sur tes lèvres en l’écoutant « C’est quand même mieux en face à face que derrière un téléphone non ? » finissais-tu par lui demander. Tu préférais toujours passer à l’acte, derrière un écran, c’était totalement différent. Les lumières défilaient devant tes yeux, c’était magique comme ce moment. Le bouquet final se termina, la foule applaudissait et sifflait. Ton regard se posait un peu partout, avant de se poser sur elle. « C’était magique. » lançais-tu. C’était rare que tu pouvais voir des feux d’artifices comme celui-ci. La foule commençait à se disperser, certainement pour continuer la soirée dans les bars et les boites les plus proches. Tu haussais les épaules « C’est toi qui connait mieux Paris que moi, comme tu souhaites. Je te suis, là ou tu désires aller. » après tout, il lui laissait le choix. Que ça soit dans un bar, dans un parc, chez elle, ça te conviendrait. Tu n’étais pas difficile, tant que tu étais en bonne compagnie.
@Maxyne C. Arnault
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Un léger rire s’échappe de mes lèvres. « C’est bien plus sympa comme ça oui.» A vrai dire, je n’y connais pas grand chose en rencontre. C’est tout nouveau pour moi. J’ai même l’impression d’enchaîner les premières fois depuis mon arrivée à Boston. En France, comme en Angleterre, les sites de rencontres comme le meetsachussets ne sont les sites où je m’inscris en temps normal. Sauf qu’ici, c’est comme si c’était un site banal que tout le monde a. Alors, je me suis fondue dans le moule, fait un peu comme tout le monde. Et nous voilà ici, à Paris, sous un feux d’artifices des plus magnifiques. Les yeux rivés vers le ciel, profitant des derniers détonations, des dernières couleurs au point de ne plus savoir où regarder. Le sourire aux lèvres. Je reste quelques secondes comme ça, devient un ciel qui retrouve sa couleur sombre de la nuit, avant de reprendre mes esprits de ce spectacle. Magique, c’est le mot oui. Paris a toujours su mettre les petits plats dans les grands pour les événements. Elle a pas mal de défauts mais pour tout cela, elle est la meilleure. Pour certains la fête s’arrête là, pour d’autres non. Je dois dire que je ne suis pas fatiguée pour l’instant, espérant que toi non plus pour continuer la soirée. Tu me suis dans ce qu’on fera, tel est ta décision. Un regard autour de nous, je sens déjà les terrasses bondés du Trocadero ou des Champs Elysées non loin d’ici. « Ce que je peux te proposer, on rentre à l’hôtel...» que je pointe du doigt pour indiquer la direction d’où il se trouve, visible de là où on était.  «... on se commande un truc à la réception, et on se met un film ensemble ?» Et si jamais il veut, je pourrais lui faire visiter Paris demain avant qu’il ne rentre. Moi j’ai encore à faire ici sur Paris avec mon frère. Ça me paraît être une bonne idée sur l’instant, puis on pourra continuer à parler sans être interrompu, sans devoir crier pour se faire entendre. Cela peut paraître étrange de t’inviter dans ma chambre d’hôtel, mais en même temps, je ne me vois pas non plus t’avoir fait tous ses kilomètres pour te prendre une autre chambre, et être venu juste pour une après-midi et un feu d’artifice. Juste dormir avec un homme, c’est possible. Dans l’idée où on dort bien sûr.
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Tu étais loin de t’imaginer dans cet endroit avec cette jeune femme, il était rare que tu te donnes autant les moyens. Même si cela remontait à plusieurs années, le goût amer était toujours présent dans ta bouche concernant ton ex. Un abandon qui reste toujours en travers et surtout pour ta fille, elle qui aimerait rencontrer sa mère. Avoir un peu de présence féminine dans l’appartement. Tu ne lui faisais pas rencontrer tout le monde, tu ne voulais pas la perdre, et lui donner des faux espoirs. Cette petite bouille avait besoin d’un équilibre sans faille, pas de haut et pas des bas. C’est pour ça que tu ne présentais pas tout le monde, seulement tes amies avec qui tu t’entendais à merveille. Ainsi, elle pouvait parfois se retrouver en elles, et ce n’était pas rare qu’elle te demande d’aller voir telle et telle personne. Alors oui, là tu avais décidé de la rejoindre à Paris, passer une fin d’après-midi et une soirée en sa compagnie, tu ne savais pas réellement ce qu’il se passera par la suite. Peut-être qu’elle ne te parlera plus où inversement, où peut-être qu’elle deviendra une amie. A vrai dire, tu ne pouvais pas poser des mots sur ça, tu la connaissais seulement depuis quelques jours et par messages. Alors oui, ça te faisait un bien fou de pouvoir la rencontrer, de la voir en face de toi. Un léger sourire s’afficha sur tes lèvres en entendant ces douces paroles. Le regard plongé dans le feu d’artifice, puis sur l’ensemble des personnes qui t’entourait. Finalement, ce merveilleux moment pris fin, il était temps de bouger plutôt que de rester en plein milieu de la grande allée. Tu la laissas prendre la décision de ce que vous pouviez bien faire par la suite, après tout, c’était elle qui connaissait parfaitement Paris. Tu étais venu plusieurs fois, il y a des longues années en arrière, ça avait bien changé depuis ton dernier passage. Tu hochas simplement la tête à sa réponse « Ça me va, je te suis ! » soufflais-tu doucement « Je ne suis pas un homme bien compliqué. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, rigolant légèrement. Tu attrapas sa main, pour marcher dans la direction qu’elle avait donné quelques temps avant. « Une idée du film que tu veux regarder ? » autant déjà y réfléchir. Ce n’était jamais la tâche la plus simple, ça serait dommage de passer des heures à réfléchir. Le temps passait vite en sa compagnie, et demain tu t’envolerais pour rejoindre Malaga, ta ville natale. Tu ne savais pas réellement si tu allais la revoir, alors avant en profiter.
@Maxyne C. Lurton
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Paris est une seconde maison. J’y ai passé beaucoup de temps. Sûrement autant qu’à Bordeaux en fait. C’est ici que j’ai fait ma deuxième partie de mes études de médecine, après Oxford. Je ne rentrais que le temps des week-end dans ma ville natale. Même si je ne pensais qu’à mes études, je passais tout de même du temps à me balader dans les rues de Paris, à rêvasser le long des quais de Seine, prendre de quoi lire aux Buttes-Chaumont, prendre un verre à la place Saint-Michel. Cette ville me surprend encore tout de même. La preuve, c’est ici que je rencontre une personne comme toi, où tu te déplaces pour venir me voir. Moi. Je n’étais vraiment sûr d’en valoir la peine, mais cela ne nous empêcher pas de passer un très joli moment ensemble. Je te propose de rejoindre  ma chambre d’hôtel. J’espère ne pas t’y méprendre sur la suite des activités, car je ne suis pas sûre moi-même de ce qu’il s’y passera. Tu acceptes sans aucune hésitation. « Pas bien compliqué tu dis.» Je te regarde en rigolant doucement. « Les choses les plus simples sont parfois les meilleures.» Et je sais de quoi je parle. Dans ma famille, on possède un très grand patrimoine, une belle fortune, et l’un des plus grands vignobles. Autant dire que les soirées entre gens de la haute classe j’en ai fait, et ce ne sont pas les plus drôles. Loin de là. Toujours devoir maîtriser son image, mettre en application l’éducation de jeune femme bien élevée que j’ai reçu, les faux-sourires à des personnes que je connais à peine. Je suis bien contente que ça soit mon grand frère qui s’occupe de cela. On avance en direction de l’hôtel, côte à côte, continuant de discuter sans cesse, comme dans l’après-midi. « Une comédie ou un film d’horreur ? Je préfère regarder les films d’horreurs quand il y a quelqu’un.» Un aveu qui me fait rire. Je vais t’épargner les films à l’eau de rose quand même. On arrive bien rapidement à l’hôtel, la carte se glisse dans la fente de la poignée qui s’ouvre avec un léger son. « Vas-y rentre. Fait comme chez toi.» Le sourire aux lèvres, je ne traîne pas à commencer en retirer mes chaussures que je laisse à côté de la porte. Cela à beau être ma chambre, je veux que tu t’y sentes à l’aise. « Si tu veux, tu as la liste de ce qu’on peut commander sur la carte à côté de la télé.» Je t’abandonne deux secondes, le temps d’aller dans la salle de bain et prendre de quoi attacher mes cheveux dans un chignon semi-défait.
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Tu passais plutôt une bonne soirée, à vrai dire, tu ne regrettais pas du tout ton voyage plutôt rapide en France. Elle avait réussi à te motiver à venir, et franchement, elle avait bien eu raison. Tu comprenais plutôt bien le Français et ça t’aidait, tu écoutais de temps à autre les conversations des autres personnes. Regardant ce merveilleux spectacle, les yeux levés dans le cel, la jeune femme contre toi. Le feeling était toujours pareil, voir même meilleur en face à face. Ce petit bout de femme pour qui tu avais fait tant de kilomètres, tu appréciais échanger avec elle, en plus de ça, elle était plutôt très agréable à regarder. Finalement, le spectacle s’acheva doucement, les personnes commençaient à s’éloigner de l’endroit pour s’entasser les uns après les autres à chaque bar. Ça ne te dérangeait pas de faire la queue pour boire un verre ou même s’éloigner, tu lui laissas le choix. Elle préférait rentrer, manger un bout et profiter de la télévision, un emploi du temps plutôt simple et ça te convenait. « Je suis bien d’accord avec toi. » soufflais-tu doucement. Tu marchais à ses côtés, continuant la discussion comme toujours. Il n’y avait pas un blanc, toujours quelque chose à relancer et à découvrir. « Si tu veux regarder un film d’horreur, ça me va. » tu appréciais tous les types de films. Ça ne te dérangeait en rien de frissonner un peu, surtout si tu dois la réconforter quand elle sera surprise. Elle glissa la carte dans la porte, celle-ci s’ouvrit pour laisser apparaitre une très belle chambre. Spacieuse, lumineuse, elle devait coûter une sacrée fortune. Tu retrouvais tes affaires dans sa chambre, ton grand sac, tu déposais tes chaussures à l’entrée également. Tu faisais rapidement le tour de la chambre « Tu es bien installé. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu récupères cette fameuse carte pour regarder ce que tu allais pouvoir manger. Une pizza ferait l’affaire, tu posas un coup tes fesses sur le rebord du lit, attendant qu’elle revienne pour lui demander son avis sur les différents choix.
@Maxyne C. Lurton
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