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jeudi 14 juillet au soir Chaque personne réagit différemment selon les situations. Certaines personnes seraient restées plus longtemps à Londres. D'autres seraient rentrées à Boston. Moi, j'avais décidé de retourner au Summer Camp. Il était impensable pour moi de rester à Londres, n'ayant rien ni personne pour moi là-bas. Quant à Boston, je ne me sentais pas d'y retourner pour l'instant. Tout allait me faire penser à Gresham là-bas. Quant à mes amis, la plupart son partit. Justement à ce fameux SC. Il était donc préférable que je découvre de nouveaux endroits, entourée de mes amis présents sur place.

A peine revenue que j'avais fais appel au service de babysitting de l'hôtel. Je sentais que j'avais besoin de me retrouver, bien que cela me fasse énormément de mal de laisser mon fils, alors que celui-ci vient de perdre son père. Mais justement, je savais que je devais vite m'en remettre pour être au mieux pour lui. Et si cela voulait signifier que je devais le laisser quelques temps seul, alors soit ...

Munie d'une légère robe rouge, dû à la chaleur, je me dirigeais vers un bar sur la plage. Après avoir commandé un litre de sangria et un plat afin de faire passer l'alcool, je me mis à regarder des photos sur mon portable. C'était les yeux embués que je me mis à boire le litre d'alcool, sans même m'en rendre compte de la quantité d'alcool que j'ingurgitais. Pas une bonne idée pour une fille comme moi, pas habituée à l'alcool. Alors que je levais les yeux de mon portable, je crus l'alcool avoir déjà fait effet. Gresham était face à moi. Assis à une table. Je me frottais les yeux et le fixais. Je savais que c'était impoli, mais ... Non, ce n'était pas possible. Alors qu'il leva son regard vers moi, je rougis et baissais mon regard. Avant d'attendre quelques secondes et le lever de nouveau vers lui. Oups, il me regardait encore.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski


I
l s’en taperait la tête contre les murs, Ezekiel. Ne guère dormir la nuit, c’est ce dont il fait l’amer expérience depuis son arrivée au Summer Camp. Même après ce laps de temps passé, il ne parvient à fermer l’œil lorsque l’astre lunaire se saisit de son bâton de relais. Alors, c’est toujours las qu’il se laisse tomber sur l’un des fauteuils de sa suite afin de travailler ses cours comme s’il faisait jour. Le fait est qu’au petit matin, le sommeil commence à le gagner et dans les alentours de dix heures, rideaux grands ouverts, il se retrouve assoupi. Que cela soit sur son assise, son stylo jonchant le sol ou encore, sur l’immense lit bien vide qu’il s’essaye de combler à l’aide de son corps athlétique et de sa grande taille.
Soupir. Il s’en extirpe un d’entre ses lippes charnues lorsqu’il note l’heure présente sur l’écran de son smartphone. Durant sa prime jeunesse, le bel italien passait la nuit sur la corde à linge, préférant jouer les noctambules alors qu’il se trouvait être un étudiant et qu’il ne connaissait encore Beth. À Oxford, il ne rentrait qu’au petit matin les weekends, mais aujourd’hui, cette époque se trouve révolu ! Bien sûr, il peine à dormir d’une traite ; faisant d'innombrables cauchemars. Mais il se trouve pourvu d’un métier qu’il aime et s’il souhaite le pratiquer, il doit avoir un minimum d’heures de sommeil dans les jambes. Alors revivre un semblant de cette époque par le biais de ce Summer Camp le rend amer. Malade presque ! Titubant jusqu’à sa salle de bain, il se lave le visage à l’eau froide, clos ses prunelles et s’essaye à retrouver une respiration convenable. Comme toujours, il s’évertue à diminuer le nombre des battements de son palpitant et c’est souvent en massant son artère carotide qu’il y parvient, pour se laisser glisser contre le mur se trouvant dans son dos.
- "Tout va bien." Il se murmure, faisant au mieux le vide autour de lui pour finalement se redresser et prendre une douche, avant de se préparer pour descendre et avaler une sorte de petit-déjeuner.
Aujourd’hui fait partie de ses jours où il se doit d’agir ainsi. C’est donc avec une chemise légère sur le dos et un pantalon de costume en lin qu’il se rend jusqu’à l’un de ses spots sur la plage, où se trouve notamment un bar. Immédiatement, son démon intérieur l’intime de commander un whisky tandis que sa raison lui demande de ne rien en faire.
- "Un whisky, je vous prie." Il termine de prononcer, son démon exultant, bien évidemment. D’ailleurs, une même excuse s’impose à lui : il a déjeuné et son dernier antidouleur remonte à plusieurs heures, alors il peut se permettre ce petit à-côté, bien qu’il sache pertinemment, au fond de lui-même, qu’il ne s’agit que d’une piètre explication à son alcoolisme. "Merci." Il ajoute, une fois son verre présent devant lui et s’en saisissant, il perçoit un regard brûlant sur lui. Ce questionnant, Ezekiel termine - sans difficulté aucune - par trouver la personne qui le fixe ainsi et c’est avec ses prunelles saphir et perçantes qu’il détaille la jeune femme qui a rompu leur contact visuel. Continuant à la détailler, il esquisse un mince sourire lorsqu’elle relève son visage et c’est en penchant légèrement sa tête de côté, car amusé, qu’il la jauge toujours.
- "Désirez-vous un nouveau pichet de…" Il pince ses lèvres pulpeuses et examine sa boisson. "De Sangria ? À mon avis, vous devriez déguster autre chose pour éponger ce que vous buvez." Faisant un signe au barman, il lui dit : "La note de cette jeune femme est pour moi." Payant rubis sur l’ongle chaque fois qu’il doit régler une dette, Ezekiel ajoutera tout de même un pourboire à cet homme puisqu’il ne risque guère de s’en aller avant un moment, d’autant plus que cette belle inconnue l’intrigue, ce qui n’est arrivé depuis bien longtemps.

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jeudi 14 juillet au soir Cela faisait déjà un an que j'étais célibataire. Une femme enceinte solo. Une maman célibataire. Et ce n'était pas du tout mon genre d'aller voir des hommes juste pour le plaisir. Bien que dernièrement, j'ai demandé à mon ami Ryan que l'on fasse quelque chose. Je ne savais pas comment ça allait se passer avec Gresham. N'ayant jamais réellement su les raisons de son départ. Je pensais tout simplement qu'il ne m'aimait plus, bien que je savais que ce n'était pas son genre de laisser une femme enceinte seule. J'avais toujours trouvé la situation bizarre et incompréhensible. Je ne pensais donc pas qu'il voudrait de moi en le venant le voir. Pourtant, une fois sur place, tout s'expliqua et j'avais passé nos soirées dans ses bras. Voulant profiter de ces moments, ne sachant pas combien j'en aurais encore. Je ne pensais en revanche pas que ce serait réellement nos derniers moments. Tout était allé trop vite. Et je m'en voulais de ne pas l'avoir suivi durant cette année. Une année de perdu à ses côtés. Je lui en voulais de ne rien m'avoir dit, et de ne pas être allé jusqu'au bout de ces fiançailles. J'aurais aimé être lié à lui, pour l'éternité, pour la vie et à la mort. J'aurais souhaité porter son nom. Même si cela aurait fait de moi une veuve.

A force de penser de penser à lui, je cru rêver en voyant cet homme. Était-il vraiment là, ou rêvais-je ? Mais alors que je l'entendis parler, je vis bien que ce n'était pas Gresham. Pas la même façon de parler. Pas la même tonalité de voix. Mais surtout, il ne m'aurait pas encouragé à boire davantage. Pourquoi? Réussis-je à demander, alors qu'il dit au serveur que la note était à ses frais. Presque du Gresham. Je secouais la tête, voulant arrêter de penser à lui. Ce n'était pas lui. C'est quoi votre prénom ? Juste de quoi me montrer que ce n'est pas mon ex-fiancé. Le barman revint avec de quoi grignoter. Je me mis directement à picorer dans les chips présentes.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski


D
epuis Oxford, Ezekiel n’avait plus abordé la moindre femme afin de la poursuivre de ses assiduités dans l’unique but de la mettre dans son lit. Il faut admettre que le déménagement ainsi que l’emménagement n’avaient été de tout repos et avec sa pathologie, ce n’était une mince affaire. Bien qu’il faisait plus chaud à Boston, le professeur universitaire ne pouvait s’acclimater en une journée ou deux, puisque son corps souffrait des différences de températures. De plus, il ne cessait de songer à celle qu’il avait perdue, ainsi qu’à leur enfant. Certes, il avait su qu’il devait être père à l’autopsie de sa défunte épouse, mais il rêvait chaque nuit. Dans ce songe, il tenait la main d’un bambin, parfois même de deux enfants. C’était toujours doux, léger, jusqu’à l’instant où il devenait cauchemar et que le pauvre homme se réveillait en nage.
Au Summer Camp, l’italien ne déroge à son habitude depuis Boston. Car il se contente de boire de son élixir fétiche tout en broyant du noir dans son coin, généralement accoudé au bar. Il n’ennuie aucune âme solitaire et se laisse plutôt bercer par le brouhaha environnement, sauf lorsqu’il se trouve avec l’un de ses comparses et meilleurs-amis présents, eux aussi, au Summer Camp. Mais à cet instant, il n’a que son diablotin posté sur son épaule qui l’incite à boire jusqu’à s’enivrer et à tituber, comme de nombreux soirs depuis qu’il se trouve sur le continent Africain. Le fait est qu’il est épié et s’interrogeant sur la personne qui le fixe, il termine de tomber sur une jeune femme aux allures timide et gauche. Pourtant, s’il sait noter quelque chose chez ses semblables, c'est bel et bien la cassure présente dans leurs regards. Car il la perçoit chaque fois qu’il croise son propre reflet dans un miroir. De ce fait, il prend la parole et s’essaye à lui parler afin de… lui tenir compagnie ? Cela n’est guère l’une de ses habitudes, mais soit, il peut bien les changer de temps à autre. Bien entendu, il ne prend cette frêle brunette en pitié, mais quelque chose l’incite à garder un œil sur elle. Ressent-il un élan de compassion ? C’est d’une évidence flagrante, mais là encore, ce n’est coutumier. Il devrait méditer sur cela, seulement, il l’invite à manger davantage puisqu’elle ingurgite des litres de Sangria. Il lui propose par ailleurs un nouveau pichet et il se sent « con » de l’avoir proposé. *Ne souffre-t-elle pas suffisamment comme ça ?* De plus, elle ne semble boire de l’alcool couramment au vu de ses joues qui se trouvent d’ores et déjà enflammées, ce qui fait naître un mince sourire sur son visage anguleux. *Cesse de la détailler ainsi, Ezekiel !* Il s’implore à lui-même, quand elle l’interroge et qu’il vide son verre d’une traire, une ridule présente entre ses sourcils puisqu’il médite sur sa réponse.
- "Disons que j’ai l’âme charitable." Il commence, avant de se trouver niais et bien trop gentillet, ce qu’il n’est en réalité. "De plus, j’en ai les moyens." Haussement d’épaules, il se veut pompeux, prétentieux et distant, afin qu’elle ne l’atteigne guère, puisqu’il pourrait la briser davantage. Levant un doigt en l’air, il indique au barman de lui servir un nouveau whisky. "Le plus âgé, je vous prie." Car, il déteste déguster des alcools bas de gamme, bien évidemment. Pensant à autre chose, n’imaginant qu’elle allait de nouveau s’adresser à lui, Ezekiel termine d’encrer une nouvelle fois ses prunelles saphirs dans ceux de la jeune femme au visage en forme de cœur, comme pour le happer, sonder son âme tandis qu'elle l'a questionné, désireuse d'en savoir plus sur sa personne. "Ezekiel." Il murmure. "Masen Ezekiel Emerson." Son regard est toujours présent dans le sien. "Et vous, comment vous nommez-vous ?" Elle l’intrigue cette poupée qui ne semble comprendre qu’il peut être dangereux pour son petit cœur d'ores et déjà souffrant.

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jeudi 14 juillet au soir Je ne savais pas ce que j'avais fais au monde pour mériter tout ce qui m'était arrivé. J'avais toujours bien fait les choses. Gentille, studieuse, aimable, polie, souriante. Je rêvais du prince charmant, de l'amour avec un grand A, d'un Happy End. Mais j'avais eu tout le contraire. Peut-être un peu trop naïve. Et au moment où je pensais pouvoir me reconstruire, j'avais rencontré ce bel âtre. J'y avais cru. Pour la seconde fois. Un enfant. Un mariage à venir. J'avais cru pouvoir avoir mon Happy End. Avec Gresham. Mais lorsqu'il était partit, je lui en avais voulu. Pensant qu'il me quittait. Qu'il laissait sa fiancée enceinte seule. Et quand j'appris la nouvelle : sa maladie, je lui en voulus encore plus. J'étais prête à me marier avec lui et donc être là avec lui pour le meilleur et le pire, la santé et la maladie. Nous avions raté tellement de temps ensembles. Nous aurions pu être ensembles tout ce temps. J'aurais pu porter son nom. A défaut, je l'avais seulement donné à notre fils. Benjamin Ewart Borowski. Afin qu'il se souvienne à jamais de son père.

Mais ce soir, j'avais envie de l'oublier. Prendre du temps pour moi, car j'en avais marre de souffrir. Et je me plongeais donc dans l'alcool. Pour oublier. Mais ce n'était sans compter que le fantôme de Gresham vint me hanter, par le biais de cet homme. Je ne savais pas s'il lui ressemblait vraiment ou si c'était moi qui voulait voir Gresham en lui. Il ne parlait pas comme lui. Mais il lui ressemblait, du moins il le semblait. Riche et appréciant les bons alcools. C'est une blague ? Je continuais à boire, pour ne plus voir Gresham. Sans penser que je pourrais alors apercevoir mon premier ex. Ce qui serait surement peur. Ezekiel... Répétais-je. Ce n'était pas Gresham. Ouf. Je pris mon verre et le lui montra, en signe pour trinquer. A vous Ezekiel. Cette sangria était sacrément bonne, et traitre. Bien sucrée, cachant le gout fort de l'alcool. Je la buvais telle un jus de fruits. Lilly-Ann Borowski. Je le regardais et lui souris, avant de prendre le pichet (le second), déjà à moitié vide, et mon verre, afin de m'avancer vers lui et m'asseoir à ses côtés. C'est mieux pour se parler non ? Pas besoin que le reste du bar entende notre conversation. Je regardais son verre, le pris et sentit. Pff, c'est fort votre truc là.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski


E
zekiel était malheureux. On pouvait percevoir dans son regard saphir à quel point il se trouvait torturer par la perte de son épouse ainsi que de leur enfant, dont il ne connaissait l’existence jusqu’à ce que l’on lui révèle après son autopsie. Décès à cause de sa pathologie cardiaque ; c’était d’une évidence sans nom et il en avait levé les yeux au ciel, agacé, lorsqu’on lui avait révélé ce qu’il n’avait su jusque-là. Alors, aujourd’hui encore, tandis qu’il se retrouve sur le continent Africain, il s’essaie à faire le deuil de ses deux êtres qu’il chérit tant, bien que l’un d’eux, il ne l’a connu. Ses prunelles scintillantes à cause des larmes s’y trouvant, il a commandé un whisky, comme à son accoutumé puisqu’il s’agit de son poison préféré. Il aurait souhaité un minimum de quarante ans d’âge, seulement, ils n’en possèdent ici et c’est amer, avalant une gorgée de cet alcool qui ne sied à sa gorge qu’il débute sa journée, après une matinée à dormir. C'est à cause de ses douleurs, du décalage horaire, mais aussi du fait qu’il a bu la veille, s’étant enivré au bar de l’hôtel. Beth. Il ne cesse de songer à elle, avec ses énormes billes chocolats et c’est en jetant un coup d’œil à son alliance qu’il pousse un soupir, avant qu’on attire son attention.
La jeune femme gauche présente à la table face à la sienne se trouve belle, pour ne point dire magnifique. Le fait est qu’une cassure est présente dans son regard. Il la reconnait sans mal, possédant lui-même la sienne et c’est pour cette raison désespérément sotte qu’il lui propose de commander un second pichet de Sangria, pour déclamer qu’il compte payer l’intégralité de leurs consommations. Grand prince devant l’éternel ? À son humble avis : non. Grand salaud devant l’éternel, puisqu’il la pousse à s’enivrer davantage, et il s’en veut déjà, comme il pince ses lèvres charnues qui ne forment à présent qu’une ligne. Devrait-il lui dire de lever le pied ? Sans nul doute, mais diantre, comment doit-il s’y prendre ? Il ne le sait encore. Alors, il se contente de répondre à son interrogation et se présente.
- "Santé." Il prononce pour toute réponse en levant paresseusement son verre de whisky, pour la questionner à son tour afin de connaître ne serait-ce que son prénom. "Enchanté, Lilly-Ann." L’adonis ne peut s’empêcher de répondre, un frêle sourire ornant son visage de coutume impassible, lorsqu’elle se redresse, se saisissant de son second pichet à moitié vide ainsi que de son verre. Veillant à ce qu’elle ne trébuche, il se lève et lui tire la chaise présente face à lui afin qu’elle y prenne place pour retourner sur son assise et acquiescer, dans un hochement de tête. "Vous avez raison." Le professeur se contente de souffler, ses mains jointes au-dessus de la table ; ses doigts entrelacés. "Que…" Mais il n’a le temps de dire quoi que ce soit, car elle lui coupe le sifflet en agissant ainsi. Lilly-Ann est surprenante, il ne s’attend à ses actions et ça, c’est assez inédit. Puisqu'il sait toujours comment les personnes qu’il côtoie vont agir, réagir et ce n’a été le cas, ici.
- "Vous devriez goûter, avant de juger. Ne pensez-vous pas ?" Il dit, amusé, sa tête légèrement inclinée sur le côté alors que ses prunelles se font rieuses par leurs éclats. "Il s’agit d’un whisky." Il affiche une moue quelque peu déçue. "De coutume, ceux que je bois sont bien meilleurs, mais nous dirons que c’est acceptable." Son sourire réapparait. "Le goût que vous auriez en bouche est semblable à un feu de bois. C’est ce que l’on nomme la tourbe." Il fait tourner son verre avec l’une de ses mains et propose, ses iris à présent ardents : "Désirez-vous en goûter une gorgée, afin de développer votre palais ?" Il approche son verre de la jeune femme, tel le fruit défendu, son regard ancré dans le sien.

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jeudi 14 juillet au soir N'ayant pas du tout l'habitude de boire, je sentais que l'alcool monter déjà à mon cerveau. Du moins, c'est ce que je croyais. Je commençais à avoir chaud, à voir un peu trouble. Mais surtout, j'avais en face de moi le sosie de mon défunt fiancé. Et plus je buvais, plus il semblait que la descente était facile. J'en étais donc déjà à mon deuxième pichet, offerts par ce fameux sosie. Et plus je buvais, moins je sentais le goût de l'alcool. A part dans le verre de ce nouvel homme rencontré. Je ne réfléchissais plus trop à ce que je faisais ou pouvais dire. J'avais l'impression d'être de nouveau une petite marionnette, qu'une personne tierce me contrôlait. Mais avec cet homme je me sentais, plus ou moins en sécurité. Enfin, je ne pensais même plus au danger. Je me laissais vivre et profiter de cette soirée. Euh... Ne sachant pas quoi répondre. J'avais même déjà oublié ce qu'il m'avait dit sur sa boisson. Ok. Mais seulement si vous buvez un peu de la mienne aussi. Puis je pris son verre à la main et bu d'une traite, car je me connaissais, si je ne faisais pas cela, j'allais tout recracher. Mais une fois le verre bu, je sentis ma gorge brûler et me mis à tousser. Sans même pouvoir m'arrêter. Tout en toussant je me retournais pour ne pas que ce bel inconnu ne me voit dans cet état. Après quelques longues minutes de toux, je me retournais de nouveau vers lui, tout sourire. L'air de rien. Mon palais est bien développé je crois. Puis je le regardais. Je ne trouvais désormais plus qu'il ressemblait à Gresham. Il avait ce quelque chose de différent. Quelque chose dont je ne saurais dire quoi. Et sans même savoir comment j'en étais arrivée là, je me retrouvais, ma langue dans sa bouche, à l'embrasser. Non, décidemment, ce n'est pas Gresham. Il embrasse bien plus sauvagement. Quoique, moi aussi, je crois. Le temps d'une lucidité, je reculais. Pardon. Puis de mon doigt, je vins lui essuyer les lèvres de mon baiser. Je crois qu'il est mieux que je continue à boire. Ou pas d'ailleurs.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski


L
illy-Ann attisait sa curiosité. Elle ne ressemblait à cette ribambelle de jeunes femmes qui se pavanaient en dévoilant leurs corps afin d’être vues pour ne point dire remarquer. Il n’y avait pour certaines que les apparences qui comptaient, seulement, ce genre de femmes, il le connaissait par cœur, Ezekiel. Il s’amusait avec ces dernières sans le moindre mal aucun, pour profiter de leurs corps en se moquant du reste. D’ailleurs, la plupart d’entre elles ne souhaitaient que cela. Vide de tout, de réflexion, c’est ainsi qu’il les percevait l'homme aux origines italiennes et il s’ennuyait, à la longue, avec ce type d’inconnues toutes semblables les unes aux autres. On aurait dit qu’elles sortaient toutes du même moule, ce qui lui semblait assez pathétique, dans le fond. Aurait-il de la pitié pour elles ? À la vérité, il ne saurait le dire. Seulement, il se lassait de jouer avec ces poupées.
La jeune femme, présente devant lui, fait donc exception et cela lui plaît. Ezekiel désire même tout connaître d’elle, dans les moindres détails. Il souhaite lire en elle, pour la comprendre, saisir ses raisonnements, bien qu’il raffole des surprises qu’elle lui offre en conversant avec lui. Car il ne s’attend à ses propos et même plus : il se s’était attendu à elle.
Scrutant son visage tandis qu’un « euh » s’extirpe d’entre ses lèvres pleines, le bellâtre patiente, légèrement amusé, lorsque enfin, son cerveau semble s’être remis en fonctionnement. *Cesse d’être amusé et intime là d’arrêter de s’enivrer !* Lui somme une voix dans sa tête : sans doute l’ange censé être présent sur son épaule : celui qu’il occulte perpétuellement, de coutume.
- "Fort bien. Je n’ai rien contre le fait de goûter à votre sangria." Il prononce quasi-instantanément après ses dires, quand, sa voix se fait suave et que ses prunelles saphir s’ancrent dans celles de la jeune femme ; comme pour l’hypnotiser. Contrairement à la Bible, il s’agit plutôt d’Adam qui présente le fruit défendu à Eve et elle se saisit de son verre afin de le vider d’une traite, ce qui le laisse pantois. *Que Diable !* Retentis dans son esprit alors qu’il la scrute avec intensité, lorsque soudain, tandis qu’il réceptionne le verre afin qu’il ne se brise sur la table, la belle se met à tousser. Ne cessant de le faire, devenant aussi rouge de teint que sa Sangria, il fait signe au serveur de lui apporter un verre d’eau, quand, elle lui fait comprendre qu’elle ne souhaite qu’il la voit ainsi, puisqu’elle détourne son visage. Inquiet, bien plus qu’il ne le devrait, l'adonis se saisit de la main libre de la jeune femme afin de lui faire part de son soutien, lorsque enfin, son fabuleux visage réapparaît. Laissant échapper un mince soupir de soulagement, Ezekiel lui offre un regard empli de reproches, bien qu’il devrait s’en vouloir à lui-même.
- "Est-ce que vous allez bien ?" Il s’enquit, balayant ses propos qu’elle souhaitait sans nul doute amusant, une ridule présente entre ses sourcils. "Je m'inquiète pour vous." Son regard pénétrant le sien, il fait glisser le verre d’eau sur la table, jusqu’à Lilly-Ann, mais elle ne semble le voir. Car elle se contente de le fixer, pour ne pas dire qu’elle se contente de le dévorer du regard, quand, à sa plus grande surprise, elle se rapproche afin que leurs lèvres se touchent. Immédiatement, l’homme l’attire à lui pour placer une main sur son visage tandis que l’autre trouve sa chevelure. Leurs bouches se meuvent aisément, comme s’il était naturel pour eux de s’embrasser et rapidement, leurs langues se mêlent pour s’adonner à un tango enflammé. S’il n’a qu’un souhait à cet instant, le bellâtre, est qu’il rêverait que leur baiser ne cesse jamais. Seulement, devant tous deux reprendre leur respiration, elle termine de mettre fin à leur baiser.
- "Ce…" Il ne sait que dire, le professeur et lorsqu’elle essuie de son doigt ses lippes charnues, il se saisit de son poignet avec délicatesse pour entrouvrir la bouche, ses iris plantés dans les siennes tandis qu’il approche son fameux doigt de cette dernière afin de le sucer. Ce faisant, son regard ne se défait du sien et lorsqu’il le libère, il sourit à ses mots.
- "Vous devriez manger davantage et avaler de l’eau." Il lui désigne son verre, avant de se saisir de celui qui se trouve rempli de Sangria, dans le but d'y goûter. Le déposant ensuite face à lui, vide, il prononce tout bas : "Je préfère l’alcool fort. Le vôtre est traitre et entraine des situations comme celle que nous avons vécue." Il fait référence à leur baiser, qu’il a très fortement apprécié. "Il n’est conseillé de mélanger les alcools et, croyez-moi sur parole, vous devriez arrêter votre Sangria pour aujourd’hui." Pause. Leur connexion reste présente par leurs regards. "Ce serait plus judicieux. Plus prudent." Ses conseils sont avisés, seulement, il ne sait les suivre lui-même et commande : "Un second laphroaig, du plus vieil âge que vous possédez."

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jeudi 14 juillet au soir La sangria passait si bien. Je ne sais pas à quoi elle était, mais je n'avais pas l'impression de boire de l'alcool. L'impression de boire un bon jus de fruit qui te rend heureuse, mais surtout qui te fait faire des choses que tu n'aurais jamais faites en temps normal. Comme gouter ce whisky. Enfin, c'était du whisky non ? Je ne savais même plus. Tout ce que je savais c'est que ça m'avait arraché la gorge et toux après toux, je crus ne pas m'en sortir. Je préférais largement ma sangria, douce, traitre certes, mais au moins je n'avais pas l'impression de vomir mes tripes après une gorgée. Ca va, ca va. Dis-je après de longues minutes de toux. Je le regardais, surprise par ses mots. S'inquiéter ? Mais pourquoi devrait-il s'inquiéter ? Et pour lui montrer que j'allais bien, je vins l'embrasser. Sans réellement savoir la raison. Mes pas, mes mains, ma bouche et ma langue avaient fait le travail tout seul. Je le laissais alors me faire la morale et me mis légèrement à rire. Hey, vous êtes pas mon père, hein. Je fais ce que je veux, avais eu-je envie de rajouter. J'arrêterais de boire quand vous stopperez vous aussi. Je lui dis cela juste après qu'il ait commandé un énième verre pour lui. Je restais là, à le regarder, presque défiante. Et lorsque son verre arriva, je me jetais dessus et le bus à nouveau. Qu'est ce qu'il venait de dire ? Il ne faut pas mélanger les alcools ? Pourquoi ? Qu'est ce que ça peut bien faire ? Allez-y, commandez-en un autre. Puis je posais son verre vide devant lui. Cette fois-ci, pas de toux. A croire que je commençait à m'habituer.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski
TW : désir - colère
Un songe. Un mirage. Elle lui était apparue sans même qu’il ne s’y attende et elle le captivait. Ann lui semblait bien différente des autres, bien que briser. Ezekiel, lui, souhaitait lui redonner le sourire, ne serait-ce que l’espace d’un instant, hors du temps, sans nul doute. Seulement, toutes les belles histoires, les superbes rencontres, paraissent avoir une fin.
Inquiet, ses sourcils froncés, une ridule d’inquiétude présente entre ses derniers, l’adonis l’observe et lui tient la main en prenant garde à lui donner de légères pressions, de temps à autre, tandis qu’elle tousse péniblement. Il songe à l’idée que ça lui brûle la trachée, qu’elle a cette sensation désagréable de pouvoir rendre ses organes, mais elle termine d’aller mieux. Seulement, l’instant magique se trouve déjà sur son déclin. Lui assurant que ça va, l’ancien professeur d’Oxford lui fait part de ce qu’il a ressenti, de son inquiétude, mais sans doute trop enivré par les alcools, elle l’embrasse et le temps se fige. Ce moment est plus qu’agréable, il est absolument divin, délicieux même et évocateur d’un désir plus profond, plus ardent. Le fait est qu’après ce baiser échangé, il reprend son cours, le temps et après un léger rire de moquerie, ses dires sont à l’image d’une douche froide. Humectant sa lèvre inférieur, son regard se trouvant à présent de glace, empli de colère, Ezekiel délaisse la main de miss Borowski. La femme timide et gauche qui lui plaisait tant à laisser place à une jeune femme moqueuse et ivre, à l’image des autres.
- "Effectivement." Il répond, sec, pour ajouter : "J’en suis d’ailleurs bien heureux." Sous-entendu qu’il ne souhaiterait avoir une pareille fille, puisqu’il s’inquiéterait en permanence pour elle, ce qui ne lui siérait guère. Alors, furieux, il commande un énième whisky, afin de faire passer cette désillusion, quand elle reprend ses prunelles saphir pénétrant les siennes, il lui souffle, sa langue claquant contre ses dents : "Ne me défiez pas, miss Borowski. Ne me mettez non plus d'avantage furieux que je ne le suis déjà." Ici, il s’agit d’un avertissement, mais elle s’en moque, celle qu’il pensait être un ange puisqu’elle se saisit de sa commande et boit son contenu cul-sec. Positionnant une main sur son visage, se trouvant autant dépité qu’en rogne, Ezekiel s’essaye à se calmer en fermant ses iris durant quelques secondes, le temps de compter en décroissant. *Calme-toi. Cinq. Ne te mets en rogne en hurlant. Quatre. Pas d’esclandre. Trois. Bien que tu la ferais fuir. Deux. Mais ton ange s’en irait. Un.* Rouvrant ses prunelles orageuses, l’italien fait signe à l’un des employés qu’il souhaite régler leur addition en tendant sa carte, sans daigner le regarder. Il faut dire qu’il fixe Ann, avec une rage non dissimulée, quand on passe sa carte et que l’on lui rend.
- "Allons-y." Il termine de prononcer pour se saisir de son poignet afin qu’elle se lève et le suive. "Personne ne m’a jamais mis dans un tel état depuis bien longtemps." Il dit à son intention, les dents serrées, quand, se trouvant dans le hall de l’hôtel, après avoir marché à toute hâte, il la plaque contre l’un des murs, pour se presser tout contre elle. Son visage est si proche du sien, qu’il sent son souffle court, ainsi que son haleine parfumée d’alcools. Il détient l’une de ses mains et sa seconde est plaquée contre le mur.
- "Écoutez-moi, bien, Ann. Il ne faut jamais, ô grand jamais me défier." Puis il l’embrasse, se jette sur ses lèvres qu’il a tant aimé goûter pour dévorer davantage sa bouche, sa langue se faisant plus pressante contre la sienne. Quand il le rompt, leurs souffles se font courts, mais il ne leur laisse le temps de reprendre contenance. Car il se saisit à présent de l’une de ses mains pour l’entraîner à sa suite et reprendre leur chemin jusqu’à sa chambre d’hôtel. Son ange lui a fait voir rouge, mais il le désire si ardemment, qu’il ne peut résister à la tentation de la goûter plus encore. *Lilly-Ann sera ma perte.* Il songe, tandis qu’ils se retrouvent dans l’ascenseur, en compagnie d’inconnus.


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