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{ NICCOLÒ }- BIENVENUE EN TUNISIE.

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@Niccolò Russo }- BIENVENUE EN TUNISIE.

S
heraton Tunis Hotel. Seize heures. Éreinter. C’est l’état dans lequel se trouve Ezekiel, qui délaisse ses deux valises pour leur préférer sa nouvelle chambre d’hôtel. Le planning, il a bien du mal à le suivre, puisqu’il vit à tambour battant avec ce Summer Camp, impitoyable au niveau de l’emploi du temps. Las, il l’est. Dépiter, c’est également le cas. À cette heure, il ne peut encore se commander un verre de whisky et pourtant, c’est ce dont il a irrémédiablement besoin. Au diable les pyramides avec hiéroglyphes ainsi que les momies : il n’y a que l’alcool qui compte, avec cette quiétude qui l’étreint une fois qu’il s’en trouve enivrer. Appelons un chat un chat, le professeur Emerson est un alcoolique notoire. Il avait pourtant juré à son paternel qu’il allait mieux, mais la réalité est apparemment toute autre.
« On se retrouve au restaurant. À l’Oliveraie. Commande-moi un whisky, je te prie. » Une fois son message texte envoyé, Ezekiel s’engouffre sous le jet d’eau brûlant de sa douche. Poussant un soupir de satisfaction, il en sort avec une serviette nouée autour de la taille pour se demander en regardant par la fenêtre quand la pluie finira par tomber. Depuis le début des réjouissances du mois de juillet, il n’a jamais été surpris par la moindre averse, et même s’il les redoute - rapport à ses douleurs - le beau brun ne serait pas contre l’une d’entre elles afin qu’il fasse moins chaud. Cette pensée ayant quitté son esprit, il enfile des vêtements décontractés - ce qui lui arrive peu souvent - puisque c’est d’un simple t-shirt blanc et d’un jean qu’il se vêtit, pour quitter sa chambre et rejoindre ledit restaurant. Y émergeant, il ne lui est pas bien compliqué de retrouver son meilleur ami qu’il considère comme un frère puisque grand, athlétique et brun, tout comme lui. Leur différence est qu’il se trouve être plus bronzé, mais aussi plus décontracté, l’éminent professeur Emerson ayant étudié et enseigné à Oxford.
- "Salut." Il souffle à ce dernier tandis qu’il a des fourmis dans les jambes. Se tenant au comptoir du bar, il s’essaye à les faire disparaître quand il se dit que Niccòlo - comme la plupart des personnes qu’il connaît - sont nés sous une bonne étoile puisqu’ils n’ont des soucis de santé comme sa pathologie dont personne n’a connaissance. "Merci de m’avoir commandé mon whisky." Il lui souffle pour en avaler une gorgée et pousser un soupir. "Comment trouves-tu notre nouvel hôtel ?" Il s’enquit, puisqu’ils en passent des heures dans ses derniers, à boire, à profiter de ce qu’ils leur offrent, étant peu coutumier des pièges à touristes classiques, l’un comme l’autre. "Je me suis dit qu’un restaurant qui propose toute sorte de plats méditerranéens artisanaux, de ce que dit la brochure, nous conviendrait à merveille pour notre première soirée."

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Le SC avait très mal commencé pour moi. En effet, je ne suis pas quelqu’un qui aime énormément voyager. J’aime rester sur place dans ma petite bulle à Boston avec mon chien est ma tortue. Les seuls moments où je dois bouger, c’est pour l’entreprise familiale. Je suis obligé de m’en charger, mon père est malade, ma mère a complètement délaissé la boite. Dans un sens, je ne suis pas contre de m’occuper de certains dossiers surtout que ça me fait passé le temps. J’oublie le divorce avec mon ex femme. Un court instant, même si je sais que ça fait maintenant deux ans, je n’ai toujours pas réussi a tourné la page. Malgré l’entreprise, je ne laisse pas mon métier de professeur, bien au contraire, je m’investis au maximum avec les élèves. Maintenant, une relation de confiance avec eux est primordiale pour moi.

Heureusement, durant ce mauvais passage, j’avais le soutient de mon meilleur ami Zequi. C’est la personne la plus importante à mes yeux. Je crois que personne au monde n’a une si belle amitié que nous. Jamais de dispute entre nous, bien au contraire que de la bonne entente à chaque fois. Zequi, c’est tout simplement la famille. Un frère que je n’ai jamais eu. Un soutien sans faille. De même de mon côté, il sait qu’il pourra toujours compter sur moi. On partage tout ensemble, c’est une personne unique mon Zequi.

Avec Zequi, on s’était donné rendez-vous dans un restaurant. Il est déjà sur place, j’étais content de le retrouver et de partager ce moment avec lui. J’entre dans le restaurant puis je l’aperçois avant de lui faire signe de la main. Enfer et damnation, on ne peut pas commander d’alcool à cette heure-ci au restaurant. Mon ami Zequi m’avait demandé de lui prendre un verre de whisky, j’avais fait de même pour moi. Je le rejoins dont en souriant avant de lui dire. Coucou Zequi.   { NICCOLÒ }- BIENVENUE EN TUNISIE. 3438063878 Dis-je en souriant à nouveau. Mais de rien, pour le coup, tu me connais, j’ai également pris un verre. Dis-je en m’installant à ses côtés. Franchement, pour une fois, je ne vais pas faire mon râleur. Elle est très bien. Il est rare que je fasse des compliments, mais là, je ne pouvais pas faire autrement. C’est parfait, on va se régaler. Dis-je en buvant une gorgée de mon verre.

@M. Ezekiel Emerson
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@Niccolò Russo


L'
Oliveraie lui avait immédiatement tapé dans l’œil lorsqu’il avait lu tout ce que proposait l’hôtel sur sa brochure. Il savait qu’ils adoreraient y dîner, que ce soit pour ce premier soir à Tunis ou encore les prochains et c’est pour cette indéniable raison qu’il avait donné rendez-vous à Niccolò dans ce dernier, au bar. Car ils se connaissent très bien, tous les deux. Chacun connaît les goûts de l’autre et savent ce qu’ils ont traversé de plus compliquer dans leurs existences nébuleuses. Oui, tout n’a jamais été un long fleuve tranquille durant toutes ses années écoulées. S’ils sont parvenus à tenir le coup, c’est en se soutenant l’un l’autre, sans jamais défaillir quant aux devoirs que leur imposaient leur amitié.
Présent au comptoir du bar, patientant derrière ce dernier, Ezekiel soupir, comme de coutume. Ses bottines doivent suivre ses babines, mais il n’y parvient. Des promesses, il en a formulé à son paternel ainsi qu’à tous ses proches qui connaissent son souci avec l’alcool. Il faut dire que le professeur sait formuler ses proses et insister sur le fait qu’il se soigne, qu’il sait à présent boire un verre sans en commander un autre, seulement, il ne s’agit que de mots. Les actes ne suivent pas. Ils n’ont jamais suivi et il est toujours parvenu à faire croire que ses mensonges ne sont que pures vérités, mais où en est-il à ce jour ? Hier encore, il avait les dents du fond qui baignaient, puisqu’il se trouvait appuyer sur ses genoux, face à la cuvette de l’hôtel qui allait délaisser, ayant bien trop bu et trop peu manger. Est-ce que cela arrivera encore, ici ? C’est cette même question qui tourne en boucle dans son esprit ombragé lorsque Nic émerge enfin pour le rejoindre et le sortir de ses songeries. De sa torpeur.
Lui rendant son sourire empreint de fausseté, le bellâtre épuisé l’écoute tout en faisant tourner son verre entre ses mains.
- "Effectivement. Je te connais." Il prononce en deux temps, sa fatigue notable dans le timbre de sa voix. Si Niccolò savait comme son meilleur ami va mal, que ce soit à cause de son addiction à l’alcool ou encore à ses maux, à cause de ses douleurs, il s’attèlerait à l’aider plutôt que de l’accompagner à boire et ainsi l’aider à sa chute. Seulement, il est doué pour feindre que tout va bien, Ezekiel et c’est en reprenant la parole qu’il s’essaye à tenir un sujet de conversation banal, afin que Nic ne l’interroge sur son avancement dans ses soucis, quels qu’ils soient. "Je suis d’accord avec toi. Cet endroit m’est très agréable à moi aussi." Il le pense, l’italien, en jetant un coup d’œil aux alentours pour reprendre au sujet de ce restaurant, vantant d’ores et déjà le lieu alors qu’il n’y a encore jamais mis les pieds jusqu'à cet instant et par conséquent qu'il n'a avalé quoi que ce soit d'ici. "J’y compte bien que l’on se régale. Je nous ai réservé une table." Délaissant le bar, il fait signe à son meilleur ami de le suivre. Ensuite, il s’adresse à l’un des employés qui leur ouvre le chemin jusqu’à leur table, se trouvant de côté, afin qu’on ne puisse entendre tout ce qu’ils pourraient se confier.
- "Elle se trouve en retrait, j’espère que cela te convient." Il dépose son verre sous ses yeux sans y toucher, pour le moment. "Ainsi, nous pourrons parler de tout un tas de choses sans que de potentiels étudiants puissent nous entendre." Car il ne perd pas de vue qu’ils se retrouvent ici par le biais du Summer Camp, tous deux faisant partie du corps professoral d’Harvard. "Alors, raconte-moi. As-tu apprécié l’Égypte et ses pyramides ?" Son entrée en matière est des plus simples, puisque les conversations sérieuses auront lieu plus tard.
- "Merci." Il dit à l’intention du serveur se trouvant à leur hauteur, bien qu’il ne daigne le regarder tandis que la carte des menus se trouvent à présent sous leurs yeux, ce dernier les ayant déposées devant eux. "Vous pouvez disposer." Il reprend, afin qu’il s’éclipse le plus promptement possible. "Meurs-tu de faim ? Moi, oui." Une énième interrogation des plus anodines tandis que son regard saphir trouve celui de son meilleur ami.

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C’est un secret pour personne, j’adore le sport. C’est une passion que j’ai depuis tout petit. J’aime me dépenser en salle, j’y passe au moins deux heures par jour. J’adore courir le matin, j’adore nager en fin de journée une fois par semaine. J’aime bien regarder le sport à la télévision, notamment le football. Le championnat italien, c’est légèrement éteint depuis quelques années, mais elle retrouve ses couleurs depuis peu. La F1, c’est l’un des sports dont je me lasse quasiment jamais. Il y a de très grands champions. J’adore quand ça roule vite, les accidents sont cruels, mais ça fait partie de ce sport. En septembre prochain, il y aura une nouvelle course en Italie, je m’y rends chaque année, rien que pour le plaisir pour rentrer au pays, mais pas que. C’est un sport classe, quand les voitures démarrent, tu sais que la folie va être au maximum. Bien sur le voir en vrai, c’est totalement différent que devant sa télé. Surtout que je suis en mode VIP. Je peux rencontrer les pilotes, prendre des photos discutées avec eux. C’est franchement le pied à chaque fois. D’ailleurs, j’aimerais bien le faire au moins une fois avec mon Zequi, une journée entre potes devant mon sport préféré. On ne peut pas faire mieux. Tu me connais comme personne, dis-je en rajoutant. Mieux que mon ex femme.La connaissant ce n’était pas vraiment une surprise. T'a vu ? Nous sommes heureux en même temps. Qui aurais cru que ça pouvait arriver un jour. Dis-je en souriant, c’est vrai que ce n’était pas grand-chose, mais le fait qu’on se sentent bien rien qu’un instant ça vaut de l’or.

Je sais que mon meilleur ami souffre, mais il a toujours cette petite pointe d'humeur qui me montre du positif, il ne sait jamais plaint avec moi et pourtant dans son regard, je ressentais la douleur qu’il avait tous les jours. Je le regarde avant de lui répondre. Merci pour la réservation, dis-je en me frottant les mains. Après avoir quitté le bar, je suis mon meilleur ami pour rejoindre notre table. C’est parfait encore merci. Dis-je en souriant de plus belle. Pour te dire la vérité, j’étais tellement bien avec mon pote que j’en avais oublié les étudiants. Dis-je en souriant à
nouveau
. J’ai bien aimé oui, alors que je ne suis pas quelqu’un qui en fait une fixation sur les pyramides, mais j’ai trouvé sa très beau, très intriguant. Je fais signe de la tête au serveur pour le remercier également. Mon ventre cri toujours famine, surtout que je n’ai rien manger de la journée.

@M. Ezekiel Emerson
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@Niccolò Russo


S
a pathologie l’éreinte avec le temps. Les journées défilent et se ressemblent quant à ses douleurs qui prennent de l’ampleur avec les heures qui s’écoulent, pour l’achever tard le soir, au point qu’il ne désire que rendre. Fiévreux, il l’est très généralement, Ezekiel et c’est aussi pour cette raison qu’il boit. Car l’alcool faire taire ses maux. Il fait également naître un feu ardent dans l’intégralité de son être et ainsi, il se confond avec celui lié à sa maladie. En somme, s’il s’est mis à ingurgiter autant d’alcool, c’était pour avoir ces raisons toutes bêtes d’être en souffrance. Le commun des mortels, ceux qui n’ont son trouble HSD ne connaissent ses symptômes, mais lorsqu’ils boivent plus qu’ils ne le doivent, ils en ressentent quelques-uns, bien que ce ne soit le plus difficile à supporter. Le plus dur sont les douleurs infâmes qui irradient en chacune de ses articulations. Ses inflammations qui le paralysent parfois, lors de ses plus douloureuses crises. Alors, pourquoi ne boirait-il pas, ne serait-ce que pour être « comme tout le monde » ? L’espace de quelques heures ? C’est sans doute sot comme raisonnement, mais c’est ainsi qu’il régit sa vie depuis son décès et il ne sait se sortir de ce cercle vicieux dans lequel il s’est lui-même entraîné. Le bel homme aux origines italiennes souffre, non seulement à cause de sa perte, mais également à cause de sa connasse de pathologie qui le met un genou à terre, car elle s’amplifie avec les chocs émotionnels. Qui a-t-il de plus difficile à vivre dans ce monde que de perdre l’être aimé ? Rien. Ezekiel le sait pertinemment. Alors, depuis ses dernières années, il s’est retrouvé aliter à cause de cette dernière et rien, même son antidouleur, ne l’apaise autant que de s’enivrer d’alcools.
Seulement, les soirées auxquelles il termine en tanguant afin de retrouver son logement ou sa chambre d’hôtel, ont une suite logique : les matinées. Et c’est toujours nauséeux, en ayant la gueule de bois, qu’il se réveille, peu certain de pouvoir rejoindre la cuvette des toilettes pour terminer de régurgiter tout ce qu’il a avalé. Aujourd’hui n’a d’ailleurs fait exception à la règle, bien qu’il n’ait rendu et que sa migraine soit passée. Mais cela signifie le retour des douleurs et c’est en serrant la mâchoire qu’il est rejoint par son meilleur-ami, celui qu’il considère comme son frère. Tous deux descendus dans le même hôtel, logeant dans des suites qui s’avèrent se trouver au même étage, ils ont convenu de se retrouver dans un restaurant et c’est avec un fin sourire qui ressemble davantage à une grimace qu’il fixe Nicco, qui répond par l’affirmative quant au fait qu’il le connaisse comme personne. Le fait est qu’il ajoute à cela qu’il le connaît davantage que son ex-épouse et cela transforme sa grimace en un rictus dérangeant, étant donné qu’il n’aime lorsqu’il l’évoque. Bien sûr, il connait les tenant et aboutissant de leur histoire, seulement, Ezekiel sera toujours fidèle à Niccolò et il n’apprécie guère son ex-conjointe.
- "Heureux ?" Le futur professeur d’Harvard l’interroge, car le bonheur, il ne le connait plus. D’ailleurs, il en vient à se questionner afin de savoir s’il l’est et la réponse évidente fuse dans son esprit embrumé : non. Ezekiel n’est et ne sera jamais plus heureux. Il ne baignera jamais plus dans un océan de bonheur. Mais peu désireux de faire part de ses pensées, l’adonis épuisé et marqué par la douleur préfère jouer avec le liquide encore présent dans son verre.
- "Je t’en prie." Il se contente de répondre concernant la réservation avant d’offrir un frêle sourire à son ami, dans le but qu’il ne s’inquiète pour lui. S’il savait, Nicco, dans quel état il se trouve, il ne sourirait ainsi et ne prétendrait qu’ils sont heureux. Il s’inquiéterait même, sans le moindre doute et cela, l’Oxfordien dans l’âme le refuse.
- "J’ose espérer que tu parles de moi lorsque tu dis ton pote." Son sourire s’étire davantage sur ses lèvres charnues et rosés quand il acquiesce dans un hochement de tête. "Je vois ce que tu veux dire. Je n’ai visité aucune des pyramides à cause de ma taille, tu comprends aisément ce que je souhaite dire par là, mais il est vrai que c’était impressionnant, ainsi que fascinant de les voir d’aussi près. Elles nous surplombent depuis des siècles et des siècles. Elles ont vu des millions voir des milliards de personnes venir les admirer et elles se tiennent toujours aussi fièrement devant chacun d’entre nous. Comme pour nous assurer de leur grandeur, malgré les intempéries, tout ce qu’elles ont pu subir." Pensif, le beau brun l’est, évidemment. Il ne pensait se lancer ainsi dans un tel laïus et pourtant, cela est une habitude qui ne le quittera point. "Pardonne-moi. Je m’exprime beaucoup trop, j’en ai conscience." Il en vient à prononcer, lorsqu’un serveur leur apporte la carte des menus et qu’il lui demande de prendre congé afin de les laisser choisir en paix.
- "Alors, que souhaites-tu pour dîner ?" Son regard parcourt la carte et il s’en gratte l’un de ses sourcils. "Il y a un bon choix de plats contenant de la viande." Seulement, il commence à avoir la nausée à cause de sa maladie, alors il lui faut commander de l’alcool et vite. "Du vin, cela te conviendrait-il ? Du rouge, comme nous prenons de la viande. J’ose espérer qu’ils ont d’excellents millésimes." Dans le cas contraire, il devra boire du vin que l’on qualifie de piquet et cela le rend davantage nauséeux. D’ailleurs, il porte une main sur son torse tandis qu’il commence à transpirer à cause de sa fièvre. "Les pâtes sont apparemment faites maison." Il se saisit de sa serviette et tapote son front avec cette dernière, pour reprendre le fil de son monologue. "Je vais prendre un morceau de viande bien cuit et des pâtes. Je verrai plus tard pour le dessert." Levant une main afin qu’un serveur l’aperçoive, il dit une fois ce dernier à leur hauteur : "Veuillez nous apporter une grande cruche d’eau, je vous prie. Promptement." Un frêle sourire se dessine sur son visage à présent pâle, ce qui fait ressortir les cernes présentes sous ses yeux couleur saphir.

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Mon ex femme Sarah n’était pas apprécier par son entourage, et pour cause elle avais un sale caractère. Elle n’était pas facile à vivre. Elle s’était mis à dos sa propre famille. Il ne restait plus que moi. Si je suis resté, c’est parce que je l’aimais plus que tout au monde, même si personne ne comprenait réellement. Nous aimions notre intimité, notre bulle était parfaite malgré nos problèmes, mais c’était nos soucis, une fois la porte fermé personne ne peux connaître réellement une personne. Elle était différente avec moi, quand elle était avec ses copines, elle ne montrait pas son vrai visage avec elles. Je ne la jugeais pas, bien au contraire, je la soutenais. Surtout dans ses addictions. J’avais fait la promesse à Sarah que personne ne saura pour ses problèmes de drogue, c’est pour cela qu’elle ne parlait plus à sa famille. Ça me faisait du mal de l’avoir ainsi, mais je n’avais pas le droit de dire quoi que ce soit, j’avais moi-même des problèmes, mais avec l’alcool, ce sont deux choses différentes, un contexte qui n’est pas le même. C’est ce qu’on voulait nous convaincre, je ne savais pas comment elle ce procuré cette drogue, je ne connaissais pas son dealer. Si j’étais mis au courant, je pense que j’aurais fait une grosse bêtise. Elle voulait me protéger en quelque sorte en ne me donnant pas son identité. Elle aimait me voir m’angoisser pour x raison, au début, je savais gérer la situation, mais à la fin de notre relation, c’était plus grave. Je ne savais pas si elle allait revenir à la maison. Le moment où j’avais le plus eu peur, c’est quand elle avait fait une overdose, j’étais en panique générale. Elle m’avait demandé de ne pas appeler les secours, de demandé de l’aide à l’un de ses amis qui lui aussi prenais également de la drogue. Elle m’avait dit qu’il serait comment s’y prendre pour ce genre de moment. Mais j’en avais décidé autrement. Elle prenait ça comme-ci, c’était normal, moi tout ce que je voulais, c’était de lui en mettre une pour lui montrais que ce n'est pas bien ce qu’elle faisait.

Je sais bien qu’en parlant de bonheur mon ami Zequi, ne connaîtrais pas cette définition. Je le regarde avant de lui répondre.
Bien sûr que oui, mon pote mon frère. Il n’y a que toi que je nomme ainsi. Dis-je avant de poursuivre. Nous partageons donc le même avis sur les pyramides. Je souris à sa remarque avant de lui lancer. Ne t’en fais pas, tu parles juste avec passion, je ne vais pas t’en vouloir pour ça. Je pense que je vais tester leur viande. Dis-je en observant la carte. T’es sûr que ça va ? Je sais qu’il n’aime pas quand je m’inquiète, mais c’est plus fort que moi, c’est mon frère. Allons-y pour le vin rouge. Dis-je en souriant. C’est toujours meilleur quand c’est fait, maison, dis-je en souriant légèrement soucieux pour son ami. Je vais prendre du riz pour accompagner la viande. Dis-je en restant inquiet pour Zequi. Je pense qu’on aura envie d’une deuxième cruche d’eau nous connaissant.

@M. Ezekiel Emerson
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@Niccolò Russo


T
unis ne le connaîtra qu’avec le cœur au bord des lèvres. Il faut dire que leur périple ne l’a connu qu’ainsi depuis son arrivée sur le continent africain, car il ne fait que souffrir, dormir, boire et ingérer des antidouleurs. Manger, il s'y applique de temps à autre, préférant agoniser dans sa suite avant de prendre des cuites et de se coucher, la plupart du temps, à l’aube. Seulement, depuis leur arrivée à seize heures, Ezekiel n’a pu se reposer comme il l’aurait souhaité et il se sent nauséeux à présent. Son palpitant battant à tout rompre dans sa poitrine qui se soulève à chacune de ses respirations, il se saisit de sa serviette de table afin de tapoter son front, puisque des gouttes se trouvent apparentes à cause de sa fièvre soudaine. Et si l’italien préfère taire sa souffrance, il ne peut toutefois la cacher. Se raclant la gorge, il s’essaye à offrir un semblant de sourire aux dires de son meilleur-ami Niccolò, tandis qu’une seule envie l’anime : celle de boire. Il serait prêt à avaler n’importe quoi, seulement, il se préfère essayer à songer à autre chose. Les pyramides, il en parle, se laisse aller à ses réflexions comme il en a l’habitude et une fois terminé, il se confond en excuse, puisque peu de personnes apprécient le fait qu’il se lance ainsi dans de longs monologues, comme s’il était le seul à détenir le savoir, alors qu’il n’en est rien. Seulement, cela l’arrange dans la plupart des occasions, car la distance, il aime l’instaurer entre lui et ses étudiants, afin qu’ils s’imaginent qu’il est un être sans cœur, sans le moindre sentiment aucun. Le fait est que Niccolò ne fait partie de ceux qu’il souhaite éloigner.
- "Je suis bien content de l’apprendre, pour les pyramides." Il commence, délaissant la carte des menus. "Tu me connais bien mieux que tous, car tu as connaissance de ma passion." Un franc sourire s’inscrit sur son visage à présent fantomatique ou plutôt, livide, ce qui lui va très mal au teint, ce dernier se trouvant généralement halé. "Je me disais bien, concernant la viande." Il sourit un peu plus encore, quand, soudain, il s’efface et laisse place à une fine ligne ; ses lèvres se trouvant pincer. "Je… Je ne suis guère dans mon assiette. Le changement de pays ne me sied à merveille." Baissant son regard saphir, se trouvant assailli par la honte, Ezekiel se sent de plus en plus mal, en plus d’être mal à l’aise et il fait signe à un serveur de rejoindre leur table afin de leur apporter une cruche d’eau. "Deux. Mon ami a raison. Deux cruches ce serait préférable." Puis, il tapote de nouveau son front avec sa serviette de table, et reprend, au sujet du vin rouge : "Je le commanderais la prochaine fois qu’il viendra à notre table. Il prendra notre commande." Les mains moites, il clôt durant un instant ses prunelles claires pour se concentrer sur sa respiration et revenir sur leur conversation, afin de garder le fil, de ne point le perdre, puisque cela le raccroche à cette soirée. "J’aime tout particulièrement le fait maison moi aussi." Devrait-il se rendre aux toilettes les plus proches pour humidifier son visage ? Sans le moindre doute. Seulement, il ne sait s’il va parvenir à tenir sur ses jambes alors, il se saisit de la cruche d’eau lorsque le serveur réapparait dans le but de se servir un verre, pour avaler son contenu d’une traite. "Nous souhaitons commander." Il prononce ensuite, pour déclamer, ce qu’il souhaite dîner, avant de laisser Niccolò faire de même. Une fois le serveur hors de leur champ de vision, Ezekiel interroge Nicc’, sur un tout autre propos :
- "As-tu eu des nouvelles de ton ex-épouse ?" Il se sert un second verre d’eau fraîche et fait de même avec celui, vide, de son meilleur-ami en le remplissant. "Sait-elle que tu te trouves sur le contient Africain, au Summer Camp ?" Il n’ose réellement croisé son regard avant de terminer de l’interroger, car chaque sujet la concernant se trouve épineux, puisque lui ne l’a jamais apprécié et que son frère de cœur l’aime toujours, semble-t-il, du moins.

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soustitre



J’ai toujours eu une image de charo. Le séducteur invétéré qui ramène une fille chaque nuit après une soirée arrosée dans son bar préféré. J’ai été marié deux fois. Le mariage est une chose merveilleuse, j’aime prendre soin de la personne que j’aime, j’adore lui offrir tous les plus beaux cadeaux au monde pour lui faire plaisir. Je suis en réalité un amoureux de l’amour, peu de personne ne me connaît ainsi. Je déteste quand des inconnus me disent que je suis faible, car pour eux l’amour, c’est pour les faibles. L’homme que je suis à un
coeur qui est capable d’aimé, que ce soit dans les plus beaux moments de la relation de couple que dans les plus délicats. Offrir des fleurs, préparées le petit déjeuné a la personne que j’aime, c’est quelque chose qui me manque, des petites attentions qui ne veux pas dire grand-chose, et pourtant ça a une grande signification. Comme par exemple complimenté sa
partenaire quand elle s’achète une nouvelle robe ou quand elle va chez le coiffeur. J’ai de leçon a donné à personne, je ne suis pas parfait, la preuve deux divorces, mais qu’est-ce que c’est bon de vivre ce genre de chose. L’amour, c’est vraiment la plus belle chose au monde. Je respecte les femmes, on dit de moi, que je suis un salaud, quelqu’un qui

humilie les femmes. Je déteste entendre ça, mon ami Zequi n’a jamais eu de mauvaises pensées envers mon égard et c’est ce qu’il y a de plus important. J’aimerais bien revenir hors cadre du Summer camp tellement que je suis admiratif par les pyramides. Dis-je en souriant. Nous sommes deux hommes passionnés. Dis-je en souriant à nouveau. Imagine-je n’aurais
pas pris de la viande, tu ne m’aurais pas reconnu sur le coup
dis-je sur le ton de l’humour. Est-ce que tu as besoin d’une pause ? On peut reporter notre repas, ce n’est pas grave la santé avant tout. Dis-je en attendant une réponse de sa part. Il vaut mieux prendre des précautions. D’accord, c’est parfait. Dis-je avant de poursuivre. Peut-être qu’en mangeant ça ira mieux ? Je sais que c’est faux, mais j’essaye de m’en dissuader du contraire. Le voir mal, me fait mal. Oui, je l’ai revu, dis-je en laissant un moment de silence avant de reprendre. Elle va mieux, ça me fait plaisir pour elle. Merci de m’avoir servi un autre verre d’eau, dis-je en buvant une gorgée.  Et bien le monde et petit, car on s’est retrouvés y a deux trois jours sur le sol africains, j’ai été bien entendu surpris. Dis-je en buvant une nouvel gorgée d’eau.

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T
out est assez chaotique depuis l’atterrissage de l’avion, il y a de nombreux jours à présent, pour Ezekiel, toutefois, il ne se plaint. Il faut dire que l’homme aux origines italiennes, n’est ainsi, sans doute à cause de sa fierté ou alors, car il ne souhaite percevoir de la pitié dans le regard d’une tierce personne. Le fait est qu’il se trouve pourvu d’un teint bien pâle depuis l’aéroport et après ce changement de cité, le voici de nouveau en train de ciller. Car il a mal et est en nage à causes de sueurs froides. Seulement, serait-il mieux dans sa chambre d’hôtel, à agoniser sur son immense lit ? La réponse fuse dans son esprit : non. Il a besoin de son entourage, de ses amis, mais surtout de son meilleur-ami, celui qu’il considère comme un frère, afin de tenir debout ou plutôt de garder la tête hors de l’eau. Sans eux, l’adonis se laisserait couler. Alors, il fait acte de présence et s’essaye à tenir comme il le peut. Fort heureusement pour lui, il peut s’asseoir à leur table et on leur apporte promptement deux cruches d’eau, au vu de son état. Le serveur l’interroge même, afin de savoir s’il va bien, et il lui répond dans un arabe approximatif que ça va aller.
- "Hm… Seulement pour les admirer dans ce cas." Il prononce, songeur. "Car, on ne peut y pénétrer avec notre taille." Cela l’a toujours amusé, mais il aurait souhaité pénétrer ses minuscules cavités afin de découvrir le ventre de ses lieux inestimables. "Il est vrai que nous sommes des hommes passionnés." Il termine de répondre dans un frêle sourire, puisqu’il sait Niccolò romantique, bien plus que lui, par ailleurs. Car s’il y a bien un « salaud » parmi tous deux ; c’est d’Ezekiel dont il s’agit. Avoir des rapports charnels afin d’assouvir ses besoins primitifs, il sait faire, et cela, sans donner son prénom à la femme avec qui, il a partagé ce moment. De plus, il ne reste guère. Il ne dort avec la femme avec laquelle il a pris du plaisir, parce qu’elles ne sont pas elle. D'ailleurs, bien avant qu’il ne la connaisse, il était tout aussi polygame, se refusant à la monogamie avant de s’éprendre de la seule qui a su toucher son cœur.
- "Hm ?" Il fronce les sourcils. "Toi, sans viande dans ton assiette ? Impossible ! Quelqu’un aurait pris ton apparence où tu serais mourant !" Plaisanterie qui peut ne sembler drôle au vu de son état physique, puisque de plus en plus pâle et de plus en plus désireux de rendre. "Ça va. Je préfère être en ta compagnie que seul." Son regard se dérobe tandis qu’il prononce ses mots et il acquiesce faussement aux dires de son meilleur-ami. "Peut-être oui. L’appétit vient en mangeant et les nausées se dissipent." Il souhaiterait que cela soit le cas, Ezekiel, seulement, il sait qu’il se méprendrait s’il songeait ainsi. Avalant plusieurs verres d’eau bien fraiche, le bellâtre s’appuie contre le mur et écoute avec attention son frère de cœur, tandis qu’il l’a interrogé sur sa relation avec son ex-épouse, se doutant qu’ils se sont revus ou qu’ils sont restés en contact. Il faut dire que le professeur connait l’homme se tenant face à lui et joignant ses mains, il hoche positivement son visage pour patienter de nouveau.
- "Je suis heureux d’apprendre qu’elle se sent mieux." Ezekiel est on ne peut plus sincère, bien qu’il n’ait jamais porté dans son cœur cette dite ancienne épouse. "Je t’en prie." Il ajoute au sujet de l’eau pour être surpris par sa révélation. "Seigneur !" Il souffle dans un premier temps, sa bouche formant un « O » parfait. "Le monde et bel et bien petit, parfois." Il admet davantage pour lui-même que pour Niccolò avant de conclure sur cette nouvelle question : "Comment se sont déroulées vos retrouvailles ?" Car curieux et soucieux, au sujet de celui qui est un frère à ses yeux.

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